Star des plateaux français depuis des décennies, Marlène Mourreau continue de fasciner par sa détermination à rester sous les projecteurs coûte que coûte. Entre télévision, téléréalité, shows, scandales médiatiques et retours inattendus, elle poursuit son ascension avec une énergie inépuisable. Pourquoi cette quête de célébrité semble-t-elle ne jamais s’arrêter ? Voici le portrait d’une femme qui refuse de disparaître des écrans — un contenu parfait pour les publics en France, au Canada, aux États-Unis et au Royaume-Uni fascinés par les personnalités hautes en couleur.
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00:00marlène comment ça va très bien mais marlène est franchement marlène
00:03désolé franchement vous n'avez pas changé ah non c'est les cheveux qu'on poussait quand même
00:09oui les cheveux oui mais il n'y a pas que les cheveux qui ont poussé mais non mais les cheveux
00:15qu'on poussait les doudounes c'est toujours les mêmes alors marlène jour on va revoir alors vous
00:21vous étiez on a eu envie d'envenue venus sexy zap je sais que raymond était fou amoureux de marlène
00:26il est encore chaud non non non quand vous êtes rentré marlène c'est vous rendez compte marlène
00:37est-ce que tu dis j'ai dit marlène quelle belle femme c'est vrai que vous êtes magnifique mais
00:42ça c'est pas moi non non pas du tout c'est pas vous savez pas qu'ils ont mis ça je sais pas qui
00:46c'est mais ça c'est toi qui c'est moi ça doit être ça doit être ça doit être ça doit être une
00:57cabine il a cherché une blonde aux cheveux lourds mais ça doit être une ex à raymond c'est n'importe
01:01quoi quand j'ai commencé je sais on va voir un extrait c'était chez patrick sébastien regardez
01:05c'est pas
01:35where you have to put a Marbella?
01:38I don't speak English.
01:39I don't speak English.
01:41Tell me, do you have a Marbella house?
01:44Well, not really.
01:48Not really.
01:49Yes, because you are the neighbor of my friend.
01:52Who is your wife?
01:53Elisa.
01:54Elisa, yes.
01:55Yes.
01:56You don't go to the moches.
01:59What is that?
02:04Ah, Elisa, attention.
02:06Très jolie, je l'adore, c'est comme ma sœur.
02:08Je l'embrasse d'ailleurs.
02:10Comme ma sœur.
02:11Oui, oui, comme ma sœur.
02:13Non mais c'est vrai, on s'est vu...
02:15Si c'est ta sœur.
02:16On s'est vu en...
02:17Ben oui.
02:18Je l'adore, je l'embrasse d'ailleurs.
02:20Tu lui diras que je l'embrasse.
02:21Oui, je sais le bon dit de t'embrasser, c'est pour ça que je parle.
02:24Je l'embrasse aussi.
02:25Alors on parle de quoi aujourd'hui?
02:26Ben, on va parler d'autre chose, ouais.
02:30On va parler d'autre chose, parce que là, c'est des conneries ça.
02:33C'est pas du direct, hein?
02:35Non, non, on regarde pas avec ça.
02:37Bon, j'ai des questions, Marlène, s'il vous plaît.
02:40Gilles Gardez, c'est un très beau travail.
02:42C'est insupportable.
02:43C'est insupportable.
02:44Marlène, bonjour, Marlène.
02:45Bonjour.
02:46Non mais gentil, oh.
02:47Très gentil.
02:48J'adore Marlène.
02:49J'adore Marlène.
02:50J'adore Marlène.
02:51Vous avez encore énormément de succès.
02:53Vous avez eu du succès toute votre carrière.
02:55Vous avez gagné énormément d'argent.
02:57Comment ça coûte?
02:58Est-ce que vous vivez encore aujourd'hui des années fastes où vous gagnez énormément
03:03d'argent, Marlène?
03:04Moi, j'ai investi dans l'immobilier, donc je vis de la rente réellement.
03:07Ah, vous vivez...
03:08Alors, je vends une maison à Marbella, si vous voulez.
03:10Ben, j'ai arrêté un peu la profession, parce que c'est vrai que d'être une vedette,
03:15d'être sur scène à moitié nue avec des plumes dans les fesses, logiquement, au bout d'un certain âge,
03:20il faut arrêter, hein?
03:21Ça me dérange pas, moi.
03:23Rires
03:24Donc, tout ce que j'ai fait dans le spectacle, maintenant, c'est sûr que...
03:28Ah, vous avez placé dans l'immobilier tout de suite?
03:30J'ai placé l'immobilier en Espagne, oui.
03:31Marlène, qui est devenu ce parti politique que vous aviez montré?
03:33Ah ouais?
03:34Oui, c'est vrai.
03:35Le droit au plaisir.
03:36Alors, il y avait...
03:37Moi, j'aurais voté pour vous.
03:38Ah oui, les élections 95.
03:39Il y avait justement...
03:40Vous étiez présenté à l'élection présidentielle en 95, il faut le rappeler, avec...
03:44Le programme, c'était mettre les préservatifs gratuits.
03:46Oui.
03:47Une journée de l'amour par an?
03:50À Marbella?
03:51Que ce soit férié, le jour de l'amour, le 14 février, le jour de la Saint-Valentin,
03:56c'était un jour pour faire l'amour.
03:57Voilà.
03:58Et puis, surtout, le mariage gay, vous avez été la première...
04:00La première...
04:01La première en Europe.
04:02La première en Europe.
04:03A vouloir légaliser le mariage...
04:04Légaliser le mariage pour tous.
04:05Et ça, c'est important, parce qu'en 95, c'était bien avant...
04:08Oui, mais tout le monde m'a copié.
04:09Après ce moment, on m'a mis dehors.
04:10Oui, c'est ça.
04:11Moi, on m'a mis dehors de TF1 à l'époque.
04:13Oui, Gilles.
04:14Marlène, vous êtes une icône de la chanson, de la beauté.
04:17Vous avez été une femme hyper sexualisée.
04:19Est-ce que c'est difficile d'être hyper sexualisée à un moment de votre vie?
04:23Est-ce que ça a été compliqué à gérer?
04:24Ça a été difficile, parce que j'ai voulu faire actrice.
04:27Et j'avais toujours l'étiquette de la sexy, la sax symbole, comme on l'appelle, la bimbo,
04:34qui ne m'a pas donné l'opportunité de faire d'autres personnages,
04:39ni de faire des rôles plus intéressants que de faire toujours la poupée gonflable,
04:43la poupée gonflante, je ne sais pas comment ils appellent ça ici.
04:45La poupée gonflante, ce n'est pas vous.
04:47La poupée gonflante, elle n'est pas là, elle ne vient que le samedi.
04:53Le dimanche, elle n'est pas là.
04:55Le problème, c'est que quand on est trop sexy, c'est vrai que les gens ne prennent pas au sérieux.
04:59Mais bon, c'est la facette que j'ai jouée, ça a été mon travail pendant un moment,
05:04et c'est ça qui a fait mon patrimoine, on va dire.
05:07Oui, qu'est-ce qu'il y a, Raymond ? Vous avez peut-être une question pour moi ?
05:09Non, non, je regardais l'oreiller derrière moi.
05:14Qu'est-ce qu'il y a ?
05:15Je regardais l'oreiller parce que moi, je cherche le même, là.
05:20Je refais la déco de son appart.
05:23Arlen, vous faites quoi aujourd'hui ? Alors, vous êtes à Madrid, vous faites quoi ?
05:25Je suis à Madrid et je suis gérante de société immobilière.
05:29Immobilière ?
05:30Société, gérante de patrimoine et gérante de société immobilière.
05:33Vous êtes dans l'immobilier, comme Marjolaine.
05:35Oui.
05:36À Madrid.
05:37On fait du business.
05:38J'adore, oui, mais Madrid.
05:39J'adore acheter, vendre, acheter, revendre, rénover.
05:42Moi, j'adore vendre, mais pas acheter.
05:46Oui, mais c'est ça, le business.
05:48Merci, en tout cas, d'être avec nous.
05:49C'est tout ?
05:50Non, mais non, mais non.
05:51Je parle deux minutes à Philippe, après on fera un petit tour de table.
05:54Ah, Philippe, merci.
05:55Un petit tour de table.
05:56Ah oui, mais qu'est-ce qu'elle dit ?
05:57Je n'ai pas un petit tour avec moi.
05:58Vous avez peut-être une question à poser à Marlène de 22 minutes ?
06:00Je ne vais pas faire un petit tour dehors ?
06:02Euh, non.
06:04Qu'est-ce que...
06:05Non, le magazine, le magazine, le premier magazine dont vous êtes apparu,
06:08c'était le magazine Louis à l'époque.
06:10Ça n'existe plus, lui, aujourd'hui.
06:12Et il y avait un sujet très important sur vous avec les photos en noir et blanc.
06:15Très gros sujet.
06:16C'est comme ça que vous avez commencé, finalement, merveilleusement bien votre carrière.
06:19Mais aussi parce qu'il y avait Anne Sinclair en couverture de lui, à ce moment-là,
06:22où elle était un peu en Amazon, un peu érotique.
06:24Anne Sinclair, c'était un dessin à l'époque.
06:26Oui, oui.
06:27D'accord.
06:28C'est quoi la question ?
06:29Et ce magazine, aujourd'hui, quand vous le trouvez sur Internet ou ailleurs,
06:31il est vendu à plus de 700 euros.
06:33Ah ouais ?
06:34Il est très rare, ce magazine, avec lequel vous avez commencé.
06:36Ah bon ?
06:37Comme le jean de Johnny.
06:38Et au même prix.
06:39Tout est à 700 euros, lui.
06:40Le slip de Johnny, le magazine de Marlène.
06:42Non, mais Marlène, c'est vrai ça ?
06:45Oui.
06:46Ben, je sais ce qu'il dit.
06:47S'il le dit, moi, je ne sais pas.
06:48Vous êtes mariée, Marlène ?
06:49Vous êtes mariée ?
06:50Je me suis mariée, divorcée.
06:51J'ai un fils.
06:52D'accord.
06:53Et maintenant, vous en êtes où, là ?
06:54Qui est plus célèbre que moi, d'ailleurs.
06:55Très célèbre.
06:56Vous en êtes où, sentimentalement ?
06:57Sentimentalement ?
06:58Si vous me battez, pourquoi t'es libre ?
06:59Non, mais...
07:05Il est acculé, il est acculé.
07:07Il est acculé, il est acculé.
07:09En fait, Cyril, maintenant que je suis libre,
07:11tu pourrais profiter de me draguer.
07:13Avant que tu me draguais, j'étais pas libre.
07:15Non, c'est vrai.
07:16Ah, moi, je vous ai dragué, Marlène ?
07:18Non, mais c'était pas moi, c'était un autre Cyril.
07:20Mais c'est il y a 15 ans, quand même.
07:21Ah, c'est vrai ? Ah ouais.
07:22Ah, c'est vrai ?
07:23Allez, faut qu'on finisse l'émission, là.
07:25C'est bon, les gars.
07:27Non, mais je l'adore.
07:28Elle a toujours été très sympathique, Marlène.
07:30Non, mais c'est vrai.
07:31Elle rigole tout le temps, j'adore.
07:32Mais je blague, hein.
07:33Je sais, on rigole.
07:34Mais Marie, peut-être ta femme,
07:35elle va te tirer les oreilles quand t'arrives à la maison.
07:36T'emmerdes pas avec ça, Marlène.
07:42T'emmerdes pas avec ça.
07:43T'emmerdes pas avec ça.
07:45Merci, Philippe Chevalier, d'être avec nous.
07:48Merci, Philippe.
07:49Comment ça, mon Philippe ?
07:50Bah, moi, je ne suis pas un sexe symbole.
07:52Enfin...
07:53Si, si, si.
07:54Mais je continue à travailler avec Bernard Mabille.
07:56Ah oui, je l'adore.
07:57Ah, avec le gros Bernard.
07:58J'adore Bernard.
07:59J'adore, je l'embrasse fort, d'ailleurs.
08:00Tu l'embrasses de ma part ?
08:01Bah, bien sûr, oui, oui.
08:02Comment il va, Régis ?
08:04Ah bah, la spalès, je l'ai eu au téléphone
08:06il n'y a pas très longtemps.
08:08Ouais.
08:09Je lui ai dit...
08:10Alors, j'ai laissé un message.
08:12Là, il a décroché.
08:14Il s'est passé 10 secondes.
08:16Ouais.
08:17Je lui ai dit, ça va, Régis ?
08:18Il m'a dit, oui, ça va.
08:20Et c'est tout ?
08:21Alors, non.
08:22Parce qu'il n'a pas de portable, je crois, Régis.
08:23C'est tout portable, je crois, Régis.
08:24Non.
08:25Je lui ai dit, t'as des projets.
08:26Il m'a dit, oui.
08:27Et au bout d'une demi-heure, il m'a dit, je peux pas en parler.
08:30Vous êtes fâché ?
08:32Pas du tout.
08:33Pas du tout.
08:34On a discuté deux heures au téléphone, mais il y avait des grands blancs.
08:36Ce que tu nous racontes, c'est un truc de mec qui...
08:38Mais non.
08:39Pas du tout.
08:40C'est parce qu'il est comme ça, Régis.
08:41En fait, je veux montrer le caractère de Régis.
08:42Régis, il est comme ça.
08:43Oui, il est comme ça.
08:44J'adore ce mec, moi.
08:45C'est un amour de mec.
08:46Non, mais ça marche très bien.
08:47Il a des projets.
08:48Alors, je peux pas vous dire quoi, parce que moi-même, je le sais pas.
08:50Et les deux, vous avez pas envie de refaire des trucs ?
08:52Moi, j'aimerais bien.
08:53C'est incroyable.
08:54Ça va peut-être se faire.
08:56Moi, je suis fan, absolument.
08:57Dans un avenir proche.
08:58Ah oui, c'est vrai ?
08:59Il faut qu'ils prennent le temps de mûrir la réflexion.
09:03C'est vrai que les deux, mais bon, c'est une aventure incroyable.
09:06On a la chance d'avoir été et d'être encore, je pense, populaires.
09:09Bien sûr.
09:10Ce qui est un peu dommage, c'est que pour l'instant, on prend chacun une trajectoire différente.
09:13Mais bon.
09:14On sent, Philippe, que vous avez envie quand même de refaire des choses avec lui.
09:17Ah bah oui, mais moi, je crois que ce serait une très bonne idée.
09:19Moi aussi, je pense que ce serait une très bonne idée.
09:21Mais vous vous rappelez, on avait une amie en commun, Monica.
09:23Oui, bien sûr.
09:24Ah oui, voilà.
09:25Bah oui.
09:26Enfin, toi, t'étais très amie avec elle beaucoup plus que moi.
09:28Non, mais non, pas du tout.
09:31Non, non, non.
09:32Tout ça, c'était à l'époque.
09:34C'était à l'époque mon cher Cyril, oui.
09:38C'est lui.
09:39Il leur demande.
09:40C'est le suicide tout seul.
09:41Je cherche.
09:42Alors, qu'est-ce qu'elle est devenue ?
09:43Moi, très sympa, c'est une copine, moi aussi.
09:45Bah oui, c'est ça.
09:46Tu l'as quand même revue, alors que moi, depuis que je suis marié, je vois plus personne.
09:50Ah bah...
09:51Bah oui.
09:52Il y a juste, bon, Marlène m'a demandé mon numéro de téléphone, c'est tout.
09:55Mais...
09:56Merci.
09:57Moi, lui, il le demande.
09:59Ah, pfff.
10:00C'est un suicide, c'était ça.
10:03C'est un suicide.
10:04C'est un suicide.
10:05Je vais parler à Anthony parce qu'il y a un con qui peut sortir de là.
10:11Merci, Anthony.
10:12Merci d'être là, mon Anthony, quel bonheur.
10:14Eh, toujours beau gosse, hein.
10:15Merci.
10:16Ah, franchement, t'en es où ? Toi, t'es marié ?
10:17T'es...
10:18Marié, oui, oui.
10:19T'as des enfants ?
10:20Deux enfants.
10:21Ah ouais.
10:22Ça y est, toi, parce que toi, t'as bourlingué, comme on dit, dans le métier.
10:25Eh, mais toi, c'est incroyable, ton métier.
10:27Oui.
10:28Eh, franchement, c'était incroyable.
10:29Franchement, premier baiser, il y avait que des meufs.
10:32Ah, mais c'est incroyable.
10:33C'était incroyable.
10:34T'es sorti avec qui de...
10:35On peut savoir, il y a eu des aventures avec des...
10:37Oh, il y avait eu Manuela, je t'avais dit.
10:40Manuela Lopez ?
10:41Ah ouais, parce que c'est toi, parce que c'est moi.
10:42Parce que c'était écrit comme ça.
10:43C'est nous.
10:44C'est une de mes chansons préférées.
10:46Oh, j'adore.
10:47Allez, on va regarder un petit extrait de premier baiser avec Anthony, regardez.
10:49Parce que c'est toi.
10:50Bon, bah, j'ai compris.
10:51J'ai compris.
10:52Tu me regardes ?
10:53J'y vais.
10:54Bon, bah, je vais essayer, tu vas voir.
10:55Oui, t'as raison.
10:56Vas-y, Anthony, montre-nous.
10:57Hein ?
10:58Attends, attends, attends.
10:59Qu'est-ce qu'il va faire, là ?
11:00Eh bah, regarde, tu vas voir, c'est un magicien.
11:07C'est malin.
11:08Je suis trempée.
11:09Ah oui, oui, effectivement.
11:11Ah bah, vous pouvez pas être la seule, hein.
11:16Je suis trempée aussi.
11:17Allez, on va mettre Laurent, d'accord.
11:23Eh, ça, ça aussi, ça, ça devait être, tu devais kiffer.
11:25Ouais, c'est une belle époque.
11:26Quoi ?
11:27C'est amusé, c'était génial.
11:28C'est comme ça qu'on draguait à l'époque ?
11:29Ouais, avec le gardeau, ouais.
11:30C'était cool, non ?
11:31C'était sympa.
11:32À l'époque, c'était comme ça, ouais.
11:33Anthony, c'est vrai que toi aussi, c'est une aventure agréable.
11:35Combien de temps ça a duré, toi ?
11:37Comment de temps ?
11:38L'époque AB, ça a duré 5 ans, 6 ans.
11:40Parce que toi, t'arrivais après, je m'en rappelle.
11:41Moi, je suis arrivé un petit peu après les autres, en 93.
11:47En réalité, toi, t'as fait quoi ?
11:48J'ai pris des cours.
11:49Ah ouais, de théâtre ?
11:50Voilà, je suis allé chez Pygmalion prendre des cours.
11:52Ouais.
11:53Pour me perfectionner.
11:54Et puis ensuite, j'ai eu la chance de tourner sur d'autres choses.
11:56J'ai fait l'Instit avec Gérard Klein.
11:57Ouais, bien sûr.
11:58J'ai fait Navarro en Suisse avec Roger Hanin et Philippe Nicolique pendant 6 ans.
12:01Très bien, bien sûr.
12:02Ça a été une époque formidable.
12:03Ouais.
12:04Et je me suis beaucoup amusé.
12:05Après, j'ai fait Le Bleu de l'Océan, une saga d'été à l'époque
12:08qui avait fait 50 millions de téléspectateurs.
12:10Pourquoi tu continues à tourner ou pas ?
12:11Là, je suis au théâtre en ce moment, Théâtre et de Gare, avec la photo de mon pote.
12:14Je joue avec Anthony Joubert, Rosalie Hamet, de la mise en scène de Luc.
12:17Anthony Joubert, qu'on aime beaucoup aussi.
12:18Anthony Joubert qui est génial, qui est un acteur fabuleux.
12:20Il est incroyable.
12:21Très drôle.
12:22Il s'éclate tous les soirs.
12:23Il faut aller voir.
12:24C'est à Montparnasse, le Théâtre et de Gare.
12:25Anthony, avec Rosalie.
12:26Ouais.
12:27Voilà.
12:28Et...
12:29Tire à voir la pièce, tiens.
12:30Euh...
12:31On t'attend, hein.
12:32Anthony Joubert, il l'adore.
12:33Il est bien.
12:34Il est bien.
12:35Et Anthony, toi, t'es heureux, toi ?
12:37Oui, ça va.
12:38Super.
12:39Tu sais, tant que tu bosses et que tu fais ce que t'aimes...
12:41Financièrement, mine de rien, il y a quand même un...
12:43Bah, évidemment, oui.
12:44Mais comment ça va ? Tu t'en fous.
12:45Tu virais, quoi.
12:46Pour tout le monde, en fait.
12:47L'important, c'est de travailler, de se lever le matin et de faire ce qu'on aime.
12:50Et c'est ce que je fais.
12:51Donc, je suis heureux.
12:52Après, le succès qu'on a eu, c'est tellement incroyable et tellement fou que tu peux pas avoir ça toute ta vie.
12:58Et d'ailleurs, je ne voudrais pas vivre ça.
13:00Je n'aurais pas voulu vivre ça toute ma vie parce que c'est une vie qui est complètement dingue.
13:04On vivait...
13:05On vivait des...
13:06Enfin, on n'arrêtait pas.
13:07Non, non.
13:08Quoique.
13:09Mais les concerts, les tournages...
13:11C'est une vie de fou.
13:12C'est une fou.
13:13Et là, aujourd'hui, voilà, je fais mon métier.
13:16Je suis super.
13:17Voilà.
13:18Philippe, ça, le principal.
13:19Philippe, toi aussi, financièrement, toi, tu m'as dit que tu t'en sortais toujours.
13:22T'as mis de côté ?
13:23Oui, ça va.
13:24Oui, oui.
13:25Je bénis si t'as...
13:28Sinon, Jordan, je gagne.
13:30Jordan Deluxe, etc.
13:32Moi, ce que je vous propose, je vais vous laisser avec Gilles Verdez.
13:35Gilles Verdez, vous restez.
13:37Vous allez leur poser toutes les questions sur l'argent.
13:39D'accord.
13:40Je ne veux pas entendre ça.
13:41D'accord.
13:42Ok, merci.
13:43Je vous laisse avec Gilles Verdez et je vous dis revoir.
13:44Et on n'a pas de joker.
13:45Non, vous n'avez pas de joker.
13:46Vous restez avec Gilles Verdez.
13:47A tout de suite.
13:48Merci.
13:49Merci.
13:50Merci.
13:55Bernard, bonjour.
13:56Bonjour.
13:57J'ai une question pour vous en premier.
13:59Ah.
14:00Les Musclés, le club Dorothée, des années.
14:03Vous avez gagné une fortune.
14:04Non.
14:05Combien avez-vous gagné ?
14:07Moi, je ne parle pas d'argent, Gilles.
14:09Pourquoi ?
14:10Parce que je n'aime pas ça et je ne parle pas d'argent à la télé.
14:12Anthony, vous, vous avez gagné énormément d'argent.
14:15Combien ?
14:16Bernard.
14:17Combien par jour ?
14:19Ben voilà.
14:20Pareil.
14:21Philippe, vous êtes riche.
14:22C'était combien les cachets à l'époque ?
14:24À votre plus grande époque ?
14:25J'aurais aimé te le dire, mais le chiffre est tellement énorme qu'il est imprononçable.
14:30Isabelle, une star comme vous, aujourd'hui encore, vous touchez de l'argent.
14:33Et ben voilà, l'addition de Philippe, d'Anthony, de Bernard.
14:36C'est beaucoup alors.
14:38Merci.
14:39Bravo.
14:40Bravo.
14:41Bravo.
14:42Bravo.
14:43Bravo.
14:44Bravo.
14:45Bravo.
14:46Bravo.
14:47Bravo.
14:48Bravo.
14:49Bravo.
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