Passer au player
Passer au contenu principal
Rechercher
Se connecter
Regarder en plein écran
Like
Favori
Partager
Plus
Ajouter à la playlist
Signaler
Guerre: sommes-nous prêts à "perdre nos enfants"?
BFMTV
Suivre
il y a 5 minutes
Le général Fabien Mandon avait estimé lors du Congrès des maires de France que "ce qu'il manque (à la France)" pour "dissuader le régime de Moscou", "c'est la force d'âme pour accepter de nous faire mal pour protéger ce que l'on est".
Catégorie
📺
TV
Transcription
Afficher la transcription complète de la vidéo
00:00
Dans BFM Direct, c'est la conséquence directe de la menace russe.
00:03
Les autorités françaises préparent les esprits à la guerre.
00:06
Et cette semaine a été marquée par des propos controversés.
00:10
Les propos du numéro 1 de l'armée, le chef d'état-major des armées plus exactement,
00:14
le général Fabien Mandon. Réécoutons.
00:17
Si notre pays flanche parce qu'il n'est pas prêt à accepter de perdre ses enfants,
00:22
parce qu'il faut dire les choses, de souffrir économiquement,
00:25
si on n'est pas prêt à ça, alors on est en risque.
00:27
Il faut être prêt à accepter de perdre nos enfants, les enfants français.
00:33
Jérémy Trottin est avec nous pour en parler. Rebonjour Jérémy.
00:36
Ulysse Gosset, éditorialiste politique internationale BFM TV.
00:39
Alexandra Saviana, journaliste à l'Express, bonjour.
00:41
Je montre le numéro d'ailleurs de cette semaine de l'Express.
00:45
Et vous êtes l'autrice des scénarios noirs de l'armée française aux éditions Robert Laffont.
00:50
Avant d'écouter Jean-Marie Boquel, l'ancien ministre qui a perdu son fils au Mali
00:55
lors de l'opération Barkhane, il y a de cela six ans, il était l'invité de BFM TV hier soir,
01:00
juste d'un mot quand même, quand vous avez entendu le général Mandon cette semaine,
01:03
vous spécialiste de ces questions-là, vous avez été surprise ?
01:06
Pas vraiment. En fait, c'est un peu dans la droite ligne de ce que le chef d'État,
01:10
major des armées et son prédécesseur font depuis quelques années,
01:14
qui est vraiment de préparer la société française à l'éventualité,
01:18
et j'insiste sur le terme éventualité, d'un affrontement avec la Russie.
01:22
L'idée, c'est de dire, on sait que la Russie se prépare à un possible conflit
01:29
avec un pays de l'OTAN, avec un pays européen,
01:32
dans la mesure où ils augmentent leurs effectifs, notamment depuis 2022,
01:36
dans la mesure où ils augmentent leurs équipements.
01:39
Et donc, dans ce cadre-là, il faut que l'Europe soit prête à combattre et à répondre.
01:43
Pas parce qu'on a une volonté belliciste, mais parce qu'on veut les dissuader
01:47
et les empêcher d'envahir, par exemple, les pays baltes.
01:51
Jérémy, le chef des armées, le général Mandon, c'est Emmanuel Macron.
01:56
Est-ce que le général Mandon, dans ses propos, a été téléguidé par l'Élysée ?
02:00
C'est la question que, forcément, nous nous sommes posées.
02:04
En fait, c'est vrai qu'on a pu voir à plusieurs occasions un chef d'État-major
02:08
qui s'exprimait dans un premier temps avec, derrière, une autre expression du chef de l'État.
02:14
On l'a vu notamment sur l'augmentation des crédits pour la loi de programmation militaire récemment.
02:18
Là, on sait que le président de la République doit aussi s'exprimer sur la question du service volontaire.
02:22
Donc, en fait, c'est vrai qu'il y a peut-être une chorégraphie à deux.
02:25
Est-ce que c'est précisément téléguidé ?
02:27
Je pense que le chef de l'État a totale confiance dans son chef d'État-major
02:30
et que le président de la République a exactement le même constat que son chef d'État-major
02:35
sur la question militaire et sur le risque face à la Russie.
02:39
Après, il ne s'est pas encore exprimé, le président.
02:41
On a vu, en revanche, Catherine Vautrin aussi venir un peu en secours du chef d'État-major
02:45
parce que cette déclaration, finalement, elle a marqué les esprits très largement dans le pays.
02:51
Parce qu'elle était peut-être un tout petit peu maladroite avec le manque de précision.
02:55
Certaines sources au sommet regrettent ce mot-là.
02:59
Les enfants.
02:59
Non, parce que peut-être qu'il aurait fallu l'expliquer que les militaires étaient aussi des enfants de la nation
03:05
et que les premiers en risque étaient en réalité les militaires avant l'envoi des enfants de tout un chacun
03:09
sur un fond qui n'existe pas encore.
03:13
Mais c'était fait pour marquer les esprits.
03:14
Et pour le coup, ça a plutôt bien fonctionné, peut-être un peu plus que ce que le chef d'État-major aurait voulu.
03:20
Et encore, en tout cas, on voit que les pays ont chacun une stratégie pour sensibiliser leur public.
03:26
Donc, le chef de l'État, lui, va s'exprimer la semaine prochaine sur la question du service militaire,
03:31
nouvelle mouture, service volontaire, qui n'aura pas du tout la même facture que le précédent,
03:36
qui n'est plus en place depuis 1998.
03:39
Mais on a vu que, par exemple, en Allemagne, moi, je trouve que c'est très intéressant,
03:43
à partir du 1er janvier, tous les hommes de plus de 18 ans vont passer une visite médicale avec un questionnaire.
03:48
Donc, en fait, il y a aussi une forme de sensibilisation qui peut passer par des actes
03:51
et pas uniquement par des mots ou des formules chocs
03:54
qui permettent de faire avancer aussi les consciences.
03:57
Formule choc, dites-vous, coup de tonnerre, incontestablement, cette semaine,
04:00
au Congrès des maires de France.
04:01
Le général Mandon, chef d'État-major des armées,
04:04
qui déclare donc que notre pays doit restaurer sa force d'âme
04:07
pour accepter de nous faire mal, pour protéger ce que l'on est
04:11
et être prêt à accepter de perdre ses enfants.
04:13
Réaction de l'ex-secrétaire d'État à la Défense, Jean-Marie Bockel,
04:17
invité de BFM TV hier soir,
04:19
lui qui a perdu son fils dans l'opération Barkhane au Mali en 2019.
04:22
– On n'est pas vraiment concernés,
04:25
mais à ce moment-là, effectivement,
04:26
comme l'a dit le général Mandon,
04:29
à ce moment-là, nous sommes fragiles, nous sommes faibles
04:30
et donc nous sommes une cible facile.
04:33
Je pense que notre réarmement moral
04:36
doit, dans l'esprit de chacun,
04:38
en tout cas de la plupart de nos concitoyens,
04:41
prendre en compte ce risque.
04:42
– C'est de cela qu'il est question, Ulysse,
04:44
de réarmement moral.
04:45
– Oui, c'est la force d'âme dont parlait le général Mandon,
04:49
le chef d'État-major.
04:50
Vous posiez la question de savoir quel était le lien avec le président.
04:53
Il faut rappeler qu'il a été le chef d'État-major particulier
04:56
du président à l'Élysée pendant deux ans
04:58
avant de devenir le chef d'État-major de toutes les armées.
05:01
Mais le chef suprême, ça reste le président de la République.
05:03
Et lui a déjà dit très clairement,
05:05
notamment le 13 juillet dernier, à la veille du 14 juillet,
05:07
que la situation, je dirais, générale en France, en Europe,
05:11
était extrêmement grave et préoccupante.
05:13
C'est la première fois depuis 1945, a-t-il dit,
05:15
que les démocraties sont autant menacées
05:17
par un éventuel risque de conflit.
05:20
Donc il partage la même vision sur le fond,
05:22
la formule sur les enfants.
05:24
Est-ce que le président de la République l'a validé ?
05:26
Probablement pas.
05:27
Mais le chef d'État-major exprime sans aucun doute
05:29
la même vision que celle du chef de l'État
05:32
sur le risque d'une menace russe.
05:34
Et le président de la République lui-même
05:35
y est confronté chaque jour, et notamment en particulier en ce moment
05:38
avec le nouveau plan de paix en Ukraine
05:41
que veut imposer Donald Trump avec le soutien de Poutine.
05:43
Donc c'est vrai que ça a créé un choc dans l'opinion publique,
05:46
une honte de choc, et on ne peut pas éteindre une telle,
05:49
comment dire, une telle polémique,
05:51
comme disait la ministre des Armées,
05:52
en disant qu'il ne faut pas polémiquer.
05:53
Il faut surtout répondre aux interrogations des Français.
05:56
Et on a vu d'ailleurs à cet égard
05:57
la porte-parole du gouvernement qui a dit
05:59
nos enfants ne sont pas amenés à aller faire la guerre en Russie
06:03
pour répondre à tous les messages sur les réseaux sociaux
06:05
qui allaient dans ce sens.
06:07
Donc il y a, si vous voulez, je pense un moment important
06:09
aujourd'hui en France,
06:11
et le chef de l'État devra y répondre.
06:13
Parce qu'effectivement, il y a une inquiétude dans le pays,
06:15
et une inquiétude qui est basée sur une réalité.
06:18
C'est le changement de paradigme en Europe,
06:20
avec le retour de la guerre en Ukraine, bien sûr,
06:22
mais peut-être au-delà, comme cela vient d'être dit.
06:24
Donc ce changement de climat général,
06:27
pas simplement en France,
06:29
mais dans tous les pays européens,
06:30
en Suède, en Finlande, en Allemagne,
06:31
cela a été dit très justement,
06:33
on voit bien que les temps changent,
06:35
et qu'il faut se préparer à peut-être
06:36
ce qu'on avait oublié depuis cette période de paix
06:39
qui durait depuis 1945.
06:41
La menace, ça veut dire l'ennemi en face de nous,
06:44
l'ennemi potentiel,
06:45
en réaction aux propos du général Mandon cette semaine,
06:48
notamment celle de Jean-Luc Mélenchon,
06:50
qui a reproché au général Mandon
06:51
de prévoir des sacrifices
06:53
qui seraient la conséquence de nos échecs diplomatiques
06:56
sur lesquels son avis public n'a pas été demandé.
06:58
Fin de citation, Alexandra Saviana,
07:00
tout cela a trait aussi à l'idée du patriotisme,
07:03
qui, pour le coup, en Russie, est très exacerbée,
07:06
en tout cas au minimum au Kremlin.
07:09
Nous, en face, on est obligés de s'adapter ?
07:12
On est forcément obligés de s'adapter.
07:14
Moi, je pense que le chef d'état-major,
07:17
le président et une partie de la classe politique
07:19
a conscience du moment dans lequel on est...
07:24
Jean-Louis Thériault, qui était ancien...
07:26
Il y a une très grande inquiétude au sommet, en France.
07:29
Oui, je pense qu'il y a une grande inquiétude,
07:31
parce que, tout simplement,
07:32
les données du terrain,
07:34
de l'adversaire possible,
07:37
qui est la Russie,
07:38
sont inquiétantes,
07:39
et qu'il faut les prendre en compte.
07:41
On dit souvent,
07:43
et je l'entendais encore à la radio ce matin,
07:44
que la France est protégée par sa dissuasion nucléaire.
07:47
Et c'est vrai.
07:48
On ne parle pas de chars russes
07:50
qui vont envahir Strasbourg,
07:52
comme il a pu être dit demain.
07:53
Ce n'est pas du tout le sujet.
07:55
Le sujet, c'est comment fait-on pour encore...
07:57
La guerre est protéiforme.
07:58
La guerre est protéiforme, exactement.
07:59
En réalité, elle est déjà, d'une certaine manière, menée.
08:01
Exactement.
08:01
Ce n'est pas de la potentialité, par la Russie.
08:03
Exactement, vous avez raison.
08:04
On a une guerre hybride,
08:06
c'est-à-dire une guerre sous le seuil,
08:07
qui est menée sur le continent européen depuis 2022,
08:09
qui s'intensifie.
08:11
Ça signifie des survols de drones,
08:13
ça signifie des cyber-statecs,
08:15
ça signifie également des incendies d'entrepôts,
08:18
notamment d'équipements militaires.
08:20
Donc, la pression est globale sur tout le continent européen.
08:23
Et c'est pour ça, justement,
08:24
que les autres chefs d'État-major aussi s'inquiètent
08:27
et que les autres pays européens aussi s'interrogent
08:30
sur la manière de lutter
08:31
et de mettre en place éventuellement un service militaire.
08:34
Alors, justement, j'allais y venir,
08:35
le service militaire, ça fait énormément réagir.
08:38
Le retour, le rétablissement du service militaire.
08:43
L'exécutif s'apprête, en effet,
08:45
à annoncer l'instauration d'un service volontaire.
08:48
On est d'accord sur la base du volontariat, Jérémy ?
08:51
Oui, alors, selon les infos du service international de BFM,
08:55
il y a en effet la volonté du chef de l'État
08:57
de mettre en place un service militaire volontaire,
09:00
10 000 personnes volontaires, hommes et femmes,
09:04
les premières années, jusqu'à 50 000 dans une deuxième phase,
09:08
avec aussi la possibilité de puiser dans ces volontaires
09:14
des personnes qui pourraient être amenées à aller peut-être
09:17
à terme, plus tard, sur le combat.
09:19
Ce serait une force de réserve aussi de l'armée,
09:22
une forme de formation, formation des esprits,
09:24
formation des corps, parce qu'on ne devient pas de militaire
09:25
du jour au lendemain.
09:26
Et qu'aujourd'hui, on a une armée qui est professionnelle,
09:29
mais qui, parfois, pourra peut-être, en cas de conflit,
09:32
avoir besoin de renfort.
09:34
Et c'est peut-être ça, en fait, le sens de ce service volontaire,
09:37
de servir de réserve au cas où.
09:40
C'est quand même pas anecdotique, Ulysse.
09:42
Non, c'est un profond changement.
09:44
Alors, ce n'est pas un retour aux années Chirac,
09:46
qui, lui, avait supprimé le service national obligatoire.
09:51
Effectivement, d'abord, c'est la base du volontariat.
09:52
Et quand on donne les chiffres, qui sont les bons,
09:54
c'est-à-dire environ 10 000 la première année,
09:56
il faut comparer avec la classe d'âge que cela représente.
09:59
C'est 800 000 jeunes et le service national volontaire
10:03
qui pourrait être annoncé la semaine prochaine
10:04
par le président de la République, ou autrement, on verra.
10:07
Ça touche les garçons et les filles,
10:10
à la différence du service d'antan.
10:11
Donc, c'est une nouveauté.
10:13
La question, c'est, effectivement, est-ce que ça va être utile ?
10:15
Combien ça coûte ?
10:16
Et si ce n'est pas un service national...
10:18
86 % des Français, dans un sondage de marche dernier,
10:20
86 % des Français favorables au retour du service militaire,
10:24
dont 53 % pour la version, si je puis dire,
10:28
une version obligatoire ?
10:29
Oui, parce qu'elle est défendue aussi par certains partis politiques,
10:32
notamment par le Rassemblement national, effectivement.
10:34
Mais ça coûte très cher.
10:36
Et est-ce qu'on a les moyens, aujourd'hui,
10:37
de former 800 000 jeunes par an,
10:39
de les loger, de les nourrir ?
10:41
Probablement pas.
10:42
Il n'y a pas le budget,
10:43
il n'y a pas les moyens humains non plus de les formateurs.
10:45
Donc, on voit que c'est un débat extrêmement sensible
10:47
compte tenu de la situation budgétaire du pays.
10:49
Le budget de l'armée, des armées,
10:51
augmente déjà considérablement à nouveau cette année,
10:53
plus de 7 milliards, il y a d'autres budgets qui sont à la peine.
10:56
Donc, si vous voulez, on voit que le débat est à la fois financier,
11:01
il est à la fois moral.
11:03
Il y avait cette formule, vous savez,
11:04
on rappelait que quand le général Mondon parlait des enfants
11:06
qui pourraient être atteints par la guerre,
11:11
il y a cette formule « allons enfants de la patrie »
11:14
et qu'un journal avait transformé en disant
11:16
« allons enfants de l'apathie ».
11:18
C'était une façon de réveiller un peu les esprits
11:20
pour dire « le monde a changé, il faut en tenir compte ».
11:22
Sachant que le débat, Alexandra Saviana, fait rage ailleurs,
11:26
en Europe, nous ne sommes pas une île.
11:28
On évoquait tout à l'heure, justement, l'Allemagne
11:30
sur le service militaire obligatoire,
11:32
le volontaire, pardon,
11:33
et justement, c'est volontaire dans la mesure
11:35
où l'Allemagne a mis en place
11:37
une clause d'objecteur de conscience
11:39
et on a aujourd'hui des partis politiques.
11:42
La prévision de volontaire, pardonnez-moi,
11:44
en Allemagne d'ici 2030,
11:45
elle est dix fois supérieure à la nôtre.
11:48
Ils ont aussi une armée qui est plus faible, effectivement.
11:53
La question, c'est effectivement,
11:55
est-ce que les Français sont disposés ou pas à le faire ?
11:59
Je voulais revenir sur un chiffre.
12:00
Les 86%, justement, ce qui est intéressant,
12:03
c'est qu'il y a 78% de jeunes qui sont pour,
12:05
donc c'est aussi majoritaire au sein des jeunes Français.
12:09
Donc, il y a vraiment un élan
12:11
et la grosse question qui se pose,
12:14
c'est qu'en Allemagne,
12:16
il y a un tiers des jeunes qui sont prêts,
12:18
effectivement, à aller à ce service militaire obligatoire.
12:20
Donc, on va observer comment eux s'y prennent
12:22
et en France, il va falloir résoudre, effectivement,
12:24
la question des effectifs,
12:26
la question des casernes qui ont été fermées
12:29
depuis notamment le mandat Sarkozy
12:31
parce que les dividendes de la paix...
12:33
Ça ne sera pas comme ça.
12:34
Et donc, effectivement,
12:35
on va être dans une configuration extrêmement compliquée
12:38
et l'échec du SNU n'encourage pas non plus énormément.
12:42
Il va falloir mettre plus de budget et plus d'effectifs.
12:45
Et on n'a toujours pas de budget.
Écris le tout premier commentaire
Ajoute ton commentaire
Recommandations
1:24
|
À suivre
"Il y en avait qui n'ont pas bien compris": Orelsan répond au tacle de Mbappé
BFMTV
il y a 3 heures
2:21:08
La Matinale Week-End (Émission du 22/11/2025)
CNEWS
il y a 3 heures
1:55
Attaque d'Oléron: les gendarmes racontent leur intervention pour interpeller le suspect
BFMTV
il y a 1 heure
1:06
«On ne choisit pas son enseignant en fonction de son genre. Ce n’est pas l’école de la République» : après la menace de mort visant un enseignant à Rennes, le corps enseignant s’est mobilisé
CNEWS
il y a 4 heures
1:15
Pêche aux pétoncles: un démarrage morose après trois ans d'interdiction
BFMTV
il y a 2 heures
1:05
Risque de guerre avec la Russie : «Les menaces existentielles pour la France, aujourd’hui, sont le narcoterrorisme et le totalitarisme islamique», affirme Matthieu Hocque
CNEWS
il y a 2 heures
1:00
La chanteuse Ornella Vanoni, égérie de la chanson populaire italienne, est décédée hier soir peu après 23h, des suites d'un arrêt cardiaque, à son domicile de Milan
Jeanmarcmorandini.com
il y a 5 heures
1:51
Météo (Bulletin du 22 11 2025)
Jeanmarcmorandini.com
il y a 5 heures
2:53
L’« Arctic Blast », ce décrochage polaire glaçant qui paralyse l’Écosse
Le Parisien
il y a 16 heures
1:18
Outlets : comment les marques vous arnaquent sur la qualité
Le Parisien
il y a 18 heures
0:37
Plan de paix : Zelensky affirme qu'il ne « trahira » pas l’Ukraine
Le Parisien
il y a 18 heures
0:25
Le maire élu de New York, Zohran Mamdani, arrive à Washington D.C. avant sa rencontre en tête-à-tête avec le président Trump à la Maison-Blanche.
Jeanmarcmorandini.com
il y a 18 heures
9:39
Ce samedi 22 novembre est la journée de novembre la plus froide depuis douze ans
BFMTV
il y a 1 heure
2:39:32
BFM Première week-end - Samedi 22 novembre 2025
BFMTV
il y a 2 heures
0:35
Une toile géante avec 111.000 araignées découverte dans une grotte en Grèce
BFMTV
il y a 3 heures
1:50
Meurtre de Mehdi Kessaci: un rassemblement sous haute sécurité à Marseille
BFMTV
il y a 3 heures
1:15
Neige et verglas: l'Île-de-France en vigilance orange à partir de 20h ce samedi
BFMTV
il y a 3 heures
0:20
Canada: un loup sidère les scientifiques en remontant un piège à crabes pour se nourrir
BFMTV
il y a 4 heures
1:13
Votre patron peut désormais vous faire travailler jusqu'à 12 jours d'affilée légalement
BFMTV
il y a 4 heures
1:18
Plan de Donald Trump pour l'Ukraine: Emmanuel Macron s'entretient avec la présidente de la Commission européenne, avant l'ouverture du G20
BFMTV
il y a 4 heures
3:45
À la découverte des trésors cachés de la BNF Richelieu à Paris grâce à un jeu immersif
BFMTV
il y a 4 heures
1:25
Des touristes trompés par un faux marché de Noël devant Buckingham Palace généré par IA
BFMTV
il y a 5 heures
1:08
La partie recette du budget 2026 rejetée à la quasi-unanimité après 125 heures de débats
BFMTV
il y a 5 heures
1:29
Transparence salariale: en 2026, les salariés auront le droit de demander des informations sur les rémunérations de leurs collègues
BFMTV
il y a 5 heures
1:23
Le Babybel fait peau neuve et se convertit à l'emballage en papier
BFMTV
il y a 5 heures
Écris le tout premier commentaire