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Moselle Info du mercredi 19 novembre 2025 à Meisenthal
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00:00...
00:00Bienvenue sur Moselle TV Plateau, vous le voyez délocalisé,
00:13cette fois-ci au cœur du Centre international verrier de Maïzental,
00:18une émission spéciale qui sera d'ici quelques minutes
00:21autour des ciliaires vertueuses du verre et du bois,
00:24le tout au cœur du Pays de Beach.
00:26C'est une émission qui vous attend dans quelques minutes
00:29avec des invités très spéciaux, mais avant cela,
00:32place à l'actualité comme d'habitude.
00:35Le monde agricole tire la sonnette d'alarme
00:38avec la mise en place de l'éco-contribution sur les poids lourds
00:41voulue par la région Grand Est d'ici 2027.
00:44Si les syndicats ne sont pas contre le projet,
00:46ils demandent néanmoins d'être exemptés.
00:5040 000 dans les années 50, à peine 3 500 de nos jours en France,
00:55les cordonniers se font de plus en plus rares
00:57alors que toute une génération doit partir à la retraite.
01:00Les repreneurs ne se bousculent pas, vous le verrez.
01:04Dans la filière du commerce, les candidatures ne manquent pas.
01:07Plus de 7 800 contrats d'apprentissage dans le domaine
01:10ont été signés en 2024 dans la région Grand Est.
01:15Mais le monde de l'alternance pourrait changer de visage d'ici 2026.
01:19De son côté, le Pays de Bich poursuit ses projets de développement
01:24dans bien des domaines mobilité, notamment mobilité douce,
01:28agriculture, entreprise.
01:30Nous ferons le point d'ici quelques minutes
01:32avec le président de la communauté de communes du Pays de Bich, David Suc.
01:37Un point météo pour continuer.
01:39Si la neige s'est installée fébrilement ce mercredi,
01:42la journée de jeudi sera surtout bien grise.
01:44Avec quelques précipitations à la clé,
01:46les flocons pourraient persister vers Sarbourg tout de même.
01:49Comptez moins 1 à 0 degré au thermomètre au réveil
01:52et à peine 5 degrés dans l'après-midi.
01:57Et vous l'avez peut-être vu,
01:59les tout premiers flocons ont fait leur apparition ce matin en Moselle
02:02et particulièrement en Moselle Est.
02:04Par endroits, une fine pellicule de neige a blanchi temporairement
02:07certaines communes sans toutefois tenir bien longtemps pour le coup.
02:12Pensez, si ce n'est pas déjà fait,
02:13à vous équiper avant de prendre la route
02:15avec la loi Montagne en vigueur depuis déjà le 1er novembre,
02:19surtout en vue des températures négatives
02:21qui sont prévues jusqu'à ce week-end.
02:24On continue cette édition avec cet accident
02:27entre Fontois et Boulanges
02:28impliquant un bus du réseau TEMO
02:30et plusieurs véhicules légers.
02:32Une personne a perdu la vie
02:34et plusieurs autres ont été blessés,
02:35mais rapidement pris en charge par les secours sur place.
02:39Dans un communiqué envoyé aux rédactions,
02:41Rémy Dic, maire de Florange et président du réseau de transports en commun,
02:44a fait part de sa profonde tristesse.
02:46Adresser ses pensées à la famille de la victime
02:48et soutenu les blessés,
02:49les circonstances exactes du drame restent encore à définir.
02:53Une enquête est en cours.
02:56Vous l'avez vu dans les titres au sommaire.
02:58Côté région, la taxe poids lourd
03:00présentée par les élus du Grand Est
03:02fait réagir les syndicats agricoles.
03:04Alors si l'objectif d'une éco-contribution
03:08semble légitime aux yeux des syndicats,
03:10les professionnels attendent une particularité
03:12bien précise
03:13et bien d'être exemptés.
03:16Regardez.
03:17Votre assiette aura-t-elle bientôt
03:20un goût salé d'éco-taxe ?
03:22Si la question se pose,
03:23ce sont surtout les agriculteurs
03:25qui s'inquiètent aujourd'hui.
03:27Avec la pression constante sur les prix en grande distribution,
03:30ils redoutent d'être les premiers touchés.
03:32Moi, je calculais pour ma coopérative,
03:34par exemple, en Moselle,
03:36l'impact, c'est 1 000 euros par adhérent et par an.
03:391 000 euros.
03:41Si vous le répercutez sur toutes les entreprises,
03:43les forestiers, c'est encore plus.
03:44Les forestiers, d'après ce que j'ai compris,
03:46leur activité peut être clairement remise en question.
03:48Et nous, nous n'avons pas la faculté,
03:50contrairement aux autres,
03:51de répercuter dans nos factures
03:52une hausse de charge.
03:54On ne fixe pas nos prix de vente.
03:55Si son montant n'a pas encore été définitivement arrêté,
03:59cet axe pourrait avoisiner
04:00les 15 centimes d'euros du kilomètre.
04:02Une mesure qualifiée d'injuste
04:04par les organisations agricoles.
04:06Vous allez taxer de la même façon un camion de blé,
04:08à 150 euros la tonne de blé,
04:11qu'un camion qui transporte des iPhones.
04:14Alors, je ne sais pas combien ça peut représenter,
04:15de centaines de milliers d'euros à la tonne.
04:17Voilà, vous voyez un peu la disproportion.
04:18Face à ces problématiques,
04:20la région Grand Est se dit ouverte à la discussion.
04:23Mais à vous ne pas être seul maître d'exemple,
04:25c'est ou non les agriculteurs de cet axe.
04:28Nous, notre intérêt en tant que région,
04:30c'est d'avoir des routes en meilleur état
04:32et de refaire les travaux nécessaires,
04:34d'avoir une ressource pour pouvoir le faire.
04:37Et effectivement, notre cible, on va dire, principale,
04:40c'est quand même le trafic de transit
04:42qui passe sur ces routes-là.
04:43Et donc forcément, si on peut trouver des solutions
04:46pour notamment les agriculteurs de notre région,
04:50qui ne sont pas notre cible principale aujourd'hui
04:52sur ce projet-là, on le fera avec grand plaisir
04:56et ça fait partie des travaux qu'on engage en ce moment.
04:59Parmi les travaux menés d'ailleurs par le Grand Est,
05:02un dispositif de verdissement des flottes dès 2026.
05:06Mais faut-il encore avoir les infrastructures nécessaires
05:08pour leur recharge ?
05:10La région espère pouvoir en développer
05:12grâce notamment à cette éco-taxe
05:14mise en place en 2027.
05:18David, je suis que je me tourne vers vous pour la suite.
05:21Vous êtes vous-même issu du monde agricole
05:23avant d'être un élu.
05:25Quel regard avez-vous sur ce sujet, justement ?
05:28Un regard attristé.
05:29Un regard attristé parce que je crois qu'aujourd'hui,
05:31les centres de décision s'éloignent du territoire,
05:34s'éloignent du terrain.
05:35Et lorsqu'on évoque évidemment l'éco-taxe,
05:37lorsqu'on parle de transit,
05:39un agriculteur aujourd'hui,
05:40je crois que c'est la première entreprise
05:41non délocalisable.
05:43Je ne vois pas où, lorsqu'elle utilise son matériel,
05:45elle fait du transit.
05:46Et donc, je crois que la question se pose
05:48de manière plus profonde encore.
05:50Aujourd'hui, la région est en capacité
05:52d'organiser l'ensemble du dispositif ferroviaire,
05:55est en capacité de gérer quelques routes.
05:57On sait qu'en Moselle,
05:58ce sont plutôt 4000 kilomètres de routes départementales
06:01qui sont gérées par le département.
06:03Et donc, je crois que chacun,
06:04dans sa responsabilité,
06:06doit garder évidemment à l'esprit
06:07l'intérêt qu'il doit avoir
06:08pour l'économie de territoire
06:10et pour ces métiers
06:11qui sont des métiers particulièrement difficiles.
06:13Et on sait évidemment que
06:14les grandes masses budgétaires
06:15ne sont pas véhiculées par le monde agricole.
06:16Donc voilà, je crois qu'on a besoin
06:18à un moment donné d'élus
06:19qui soient attachés
06:20à la dimension territoriale,
06:22attachés à cette économie locale
06:23et puis qu'on prenne des décisions
06:25qui restent des décisions sages.
06:27Sur la question du transit,
06:28oui, je crois qu'aujourd'hui,
06:30en Grand Est,
06:30nous avons besoin de taxer
06:31celles et ceux
06:32qui usent nos infrastructures,
06:34qui sont de manière générale et globale
06:35payées par le contribuable.
06:37Je pense à la Moselle,
06:38on peut évidemment penser
06:39aux contribuables de Grand Est,
06:41mais sur la question routière,
06:43évidemment, il est peu contributeur.
06:45La vraie question se pose ensuite
06:47de la question du ferroviaire.
06:49Aujourd'hui, organiser des voies ferroviaires,
06:52organiser évidemment cette capacité
06:54de mobilité supplémentaire,
06:55cela vient désengorger
06:56à la fois les autoroutes
06:57et les routes départementales.
06:59On reste sur le sujet de l'agriculture
07:01avec, vous l'avez dit,
07:03un métier qui est mis à mal régulièrement,
07:05lourdeur administrative,
07:06les normes européennes
07:07et le Mercosur,
07:09également cet accord
07:09qui fait grincer les dents.
07:11Là aussi, votre regard est tranché.
07:15Vous savez, le regard n'est pas tranché,
07:16mais le regard s'inspire
07:17à un moment donné de la réalité.
07:19Lorsqu'on parle du Mercosur,
07:20je crois que c'est beaucoup
07:21une agitation qui produit
07:23très peu d'effets.
07:25Très peu d'effets dans les masses.
07:26Le Mercosur, c'est,
07:27je vais prendre l'exemple
07:28de la viande bovine,
07:28c'est un vrai sujet en Moselle.
07:30Lorsque nous avons développé
07:31sous l'impulsion du président Weyton
07:32la valorisation de viande bovine
07:33dans les cantines scolaires,
07:35c'est une centaine de tonnes
07:36que nous achetons,
07:37la Moselle produit en gros
07:3815 à 17 000 tonnes
07:39de viande bovine par an.
07:41Lorsqu'on évoque le Mercosur,
07:42c'est 99 000 tonnes
07:44qui doivent arriver en Europe
07:45lorsqu'on sait que nous sommes
07:46440, 445 000 lions d'habitants.
07:50C'est 10 grammes.
07:51Tout ça pour évoquer 10 grammes.
07:53Lorsqu'on évoque le Mercosur,
07:55moi, ce qui me frappe,
07:56c'est l'incapacité de considérer
07:58que l'agriculture de France
08:00et d'Europe a d'abord pour vocation
08:02à produire des produits alimentaires.
08:03Nous sommes déficitaires
08:04dans l'essentiel des produits agricoles.
08:07On pourrait évoquer le miel,
08:08on peut évoquer évidemment la viande,
08:10on peut évoquer le lait.
08:12Donnons d'abord comme priorité
08:13à l'agriculture d'être
08:14source de production alimentaire.
08:16Aujourd'hui, on se tourne
08:17vers des productions plutôt énergétiques.
08:19C'est votre volonté,
08:19en tout cas dans le pays de Beach,
08:20de valoriser cette agriculture ?
08:22C'est la volonté d'abord au département.
08:24Lorsqu'on travaille sur les circuits courts,
08:25lorsqu'on travaille sur le poulet,
08:27la belle,
08:27lorsqu'on travaille sur la viticulture,
08:29lorsqu'on travaille évidemment
08:30à renforcer toute cette agriculture
08:32et notamment les filières
08:33pour pouvoir ensuite rentrer
08:34dans la restauration hors domicile,
08:36c'est d'abord donner les débouches
08:37à l'agriculture,
08:38leur permettre de s'installer,
08:39leur permettre de se diversifier
08:40et être moins l'otage
08:42des décisions qui se prennent à Bruxelles
08:43ou qui se prennent ailleurs dans le monde.
08:45Et au pays de Beach,
08:46vous savez que c'est le creuset
08:47du circuit court
08:47et de la diversification.
08:48Donc évidemment,
08:49on a quelques pépites
08:51qu'on développe
08:52et c'est une vraie mission
08:53qu'on se donne aujourd'hui en Moselle
08:54que de travailler
08:55sur la résilience
08:56de nos agriculteurs.
08:57Le pays de Beach,
08:58vous parliez de projets.
09:00Vous êtes un élu
09:00qui prône aussi l'expérimentation
09:02à même les territoires
09:03en matière de mobilité.
09:05On l'a dit en préambule,
09:06vous avez un projet
09:07sur les pistes cyclables,
09:09plus précisément,
09:10avec un dédoublement,
09:12un coup d'accélérateur,
09:13c'est ça,
09:13dans la création
09:14pour favoriser cette mobilité ?
09:15C'est un projet
09:16qui est rentré en phase active
09:17puisque nous avons déjà aujourd'hui
09:18créé 11 kilomètres supplémentaires.
09:20C'est à peu près 100 kilomètres
09:21qui existait.
09:22L'ambition aujourd'hui,
09:22c'est de continuer
09:23à tisser un réseau
09:24de routes,
09:25de pistes cyclables
09:26pour arriver
09:27à entre 150 et 170 kilomètres.
09:29L'objectif,
09:30c'est de raccorder
09:31l'ensemble des collèges,
09:32l'ensemble des zones d'activité,
09:33l'ensemble des sites touristiques
09:34par de la voie cyclable
09:36et en piste cyclable
09:38en voie propre
09:39pour des questions de sécurité.
09:41Donc là aussi,
09:41c'est la capacité
09:42pour ces territoires ruraux
09:43entre Metz et Strasbourg
09:45de pouvoir avoir
09:45une offre diversifiée,
09:47d'avoir une offre
09:47qui soit durable
09:48et puis surtout aussi,
09:50je crois que c'est
09:51la capacité d'adapter
09:52aujourd'hui
09:52le mode de déplacement
09:53de nos concitoyens.
09:54Le vélo électrique
09:55a chamboulé
09:57et a complètement changé
09:59le cadre
10:00de la façon
10:01de se déplacer
10:01et donc,
10:02on s'est inspiré
10:03du schéma départemental
10:04qui, à un moment donné,
10:05organise une vision départementale
10:07pour la décliner
10:08sur le territoire.
10:09Et là aussi,
10:09je crois qu'on a besoin
10:10aujourd'hui d'une diversité
10:11et la question du ferroviaire
10:12revient régulièrement
10:13puisque nous sommes aujourd'hui
10:15sur un territoire
10:16où les gares de Grand Est
10:17sont tout autour.
10:18la difficulté,
10:20c'est qu'à un moment donné,
10:20elles doivent rentrer
10:21dans les territoires,
10:22pouvoir organiser les choses
10:23de manière coordonnée.
10:25Et là aussi,
10:25je crois qu'en Moselle,
10:26on a une vraie ambition
10:26de pouvoir accompagner
10:29la région
10:29au-delà des analyses
10:31et des évaluations
10:32dans des phases actives
10:33parce qu'on sait
10:34qu'aujourd'hui,
10:34lorsque les trains arrivent
10:35au bon moment,
10:36nos populations,
10:37avec l'évolution
10:38de leur façon
10:39d'aborder les déplacements,
10:40avec l'augmentation
10:42du coût de la matière première,
10:43l'augmentation évidemment
10:44des charges,
10:45sont tout doucement intéressés
10:46à utiliser du transport collectif
10:50et le ferroviaire en particulier.
10:51Merci beaucoup David Tuch
10:53pour ces premiers éléments de réponse.
10:54On se retrouve dans quelques instants
10:55pour parler développement économique
10:57plus précisément.
10:59On continue avec nos reportages.
11:01Il y a d'autres secteurs
11:02où les difficultés sont présentes.
11:04Ils étaient plus de 40 000
11:06dans les années 50,
11:07plus que 3 500 aujourd'hui en France.
11:10Les cordonniers métiers manuels
11:11longtemps considérés
11:12comme indispensables
11:14s'éteint dans un relatif silence.
11:16Faute de repreneurs,
11:17des ateliers parfois transmis
11:18depuis plusieurs générations
11:20ferment leurs portes.
11:22Un reportage de Florent Arnold
11:23et Mathéo Philippe.
11:25Un métier qu'il maîtrise
11:27depuis 36 ans.
11:29Jacques est cordonnier.
11:31Dans sa famille,
11:33on répare les chaussures
11:34depuis 5 générations
11:35dans cette boutique
11:37ouverte depuis 1907.
11:39J'ai des mamies
11:40qui m'envoient leurs petits-enfants
11:41pour venir ici.
11:43C'est là qu'il faut aller.
11:44C'est la cordonnerie là
11:45qu'il faut aller.
11:46Mais le sexagénaire
11:47se rapproche de la retraite.
11:49Depuis 3 ans,
11:51il cherche un repreneur
11:52pour lui transmettre le flambeau.
11:55Problème,
11:55il n'y a personne.
11:57Les jeunes ne pensent pas
11:58à ce métier.
11:59Parce que c'est un métier
12:00qui n'est pas connu, reconnu.
12:02Là, moi,
12:03je veux bien aller
12:04jusqu'à 66, 67 ans.
12:06Ce n'est pas un problème.
12:07Mais il faut au moins 2 ans
12:09pour apprendre le métier.
12:12Parce que c'est un métier.
12:13On ne peut pas l'apprendre
12:15avec une baguette magique.
12:18Qu'ils soient jeunes
12:19ou en reconversion,
12:21les candidats se font rarissimes.
12:23Chez Jacques,
12:24on les compte
12:24sur les doigts d'une main.
12:27À Metz,
12:28Olivier vit lui
12:29ses derniers jours
12:30dans sa boutique
12:30du centre-ville.
12:32Allez, une belle journée.
12:33à bientôt, merci.
12:36Propriétaire de deux cordonneries,
12:38il s'apprête
12:38à fermer celle-ci.
12:40La raison ?
12:41Impossible pour lui
12:42de trouver quelqu'un
12:43pour épauler son associé.
12:45En 2 ans,
12:47il n'a reçu
12:47aucune candidature.
12:49Ce n'est pas du tout
12:50un problème financier,
12:51c'était un problème
12:52de recrutement.
12:54Les 2 activités,
12:55les 2 boutiques
12:55fonctionnent parfaitement bien.
12:58Mais ce qui était
12:59vraiment tendu,
13:00c'était trouver
13:01quelqu'un
13:02pour pérenniser
13:04les 2 sociétés.
13:06Une fermeture
13:07plutôt dictée
13:08par la nécessité
13:09de préserver
13:09un équilibre
13:10entre la vie de famille
13:12et le travail.
13:14Dans cet atelier,
13:15c'est Loïc
13:15qui se retrouve
13:16le plus souvent seul.
13:18À un peu plus de 30 ans,
13:20il est souvent rare
13:20dans sa génération
13:21de travailler le cuir.
13:24C'est triste de voir ça.
13:25Et on n'a plus d'école,
13:27ce côté où il n'y a plus
13:28d'apprentis,
13:28il y a moins de demandes.
13:29C'est un métier
13:30qui doit moins fasciner
13:31alors que c'est des métiers
13:32d'artisanat
13:33qui sont très beaux.
13:34Il y a plus de 60 ans,
13:36la France comptait
13:37plus de 40 000 cordonniers.
13:39Aujourd'hui,
13:40ils ne sont plus
13:41que 3 500.
13:45Toujours à Maïzental
13:47pour cette émission.
13:48D'ailleurs,
13:48on remercie
13:49la guinguette d'hiver
13:49qui nous a gentiment
13:51donné une boisson chaude
13:53parce qu'il fait un petit peu frais
13:54au cœur de l'alverrière.
13:56On continue la suite
13:57de nos reportages.
13:58Cette fois-ci,
13:58on va parler alternance.
13:59Si vous avez suivi depuis le sommaire,
14:01un chiffre fort,
14:02la région Grand Est
14:03comptait plus de 7 800 contrats
14:05d'alternance
14:06dans la ciliaire commerce,
14:07dans un secteur fort
14:08de 116 000 salariés.
14:11Un domaine
14:11qui recrute
14:12des candidats variés,
14:13parfois loin
14:14des grandes écoles,
14:15même si l'année 2026
14:17sera peut-être plus frileuse
14:19côté embauche.
14:19À 23 ans,
14:22Hugo a décidé
14:23de reprendre
14:24ses études
14:25et de se lancer
14:26dans un parcours
14:27en alternance
14:28dans le secteur
14:29du commerce
14:29en tant qu'adjoint
14:31du chef de rayon
14:32dans cette grande surface.
14:33J'ai été mis en situation
14:35par rapport
14:36à toutes mes missions
14:37et du coup,
14:38ce que j'ai appris,
14:38tout ce que j'ai appris,
14:39j'ai pu le mettre
14:40en pratique
14:41tout au long
14:42de mon alternance
14:42et moi,
14:43à la fin
14:43de mon cursus d'alternance,
14:45j'ai un vrai plus,
14:46c'est-à-dire
14:46que j'ai de l'expérience
14:47professionnelle
14:47que certains n'ont pas
14:48quand ils ont fait
14:49leur cursus normal.
14:50Une semaine sur deux,
14:51Hugo troque ses rayons
14:53pour les bancs
14:54de l'université.
14:55Au niveau de la mode masculine,
14:56très pauvre et très stéréotypée.
14:59À l'IUT de Thuonville-Youth,
15:0120% des étudiants
15:02ont fait le choix
15:03de l'alternance,
15:05un fonctionnement
15:05qui pourrait être bouleversé
15:07par le projet
15:08de loi de financement
15:092026.
15:11Alors effectivement,
15:12il est prévu
15:12au 1er janvier 2026
15:13une suppression
15:15d'exagération
15:16des charges
15:16sur les salaires
15:17des apprentis.
15:18Ce qui aurait pour conséquence
15:19un salaire net
15:20moindre
15:20pour ces personnes.
15:23Si aujourd'hui,
15:24ces recettes complémentaires
15:25venaient à ne plus
15:27être aussi conséquentes,
15:28ça remettrait effectivement
15:28en question
15:29l'équilibre budgétaire
15:30de nos composantes.
15:31La baisse
15:32concerne uniquement
15:33les nouveaux contrats
15:34et pourrait représenter
15:35une perte
15:36de 100 à 180 euros
15:38sur le salaire net
15:39de l'alternant.
15:40C'est dommage
15:41de réduire les aides,
15:41surtout que les alternants
15:42ont beaucoup à apporter
15:43à ces entreprises.
15:45Pour le corps enseignant,
15:46les avantages
15:47de l'alternance
15:48ne sont plus approuvés.
15:50C'est un tremplin.
15:50La façon dont je vois
15:51le BUT aujourd'hui,
15:53c'est d'aller vers
15:55peut-être des premières expériences
15:56et puis aussi
15:57de s'ouvrir des portes
15:58pour la suite
15:58et de pouvoir aussi
16:01aller explorer
16:01peut-être d'autres choses
16:02sur le long terme.
16:03Donc l'alternance,
16:04c'est un premier pas.
16:05Ça permet d'être à l'aise,
16:06ça permet d'apprendre
16:07plein de choses
16:07et puis peut-être aussi
16:08d'avoir d'autres expériences
16:09par la suite.
16:10Après un an d'alternance
16:12dans ce magasin
16:12de grandes distributions,
16:14Hugo compte bien
16:15être embauché
16:16en tant que chef de rayon.
16:21Ce qui soulève
16:21une question,
16:23David Suge,
16:23je me tourne à nouveau
16:24vers vous,
16:25que ce soit l'alternance
16:26ou même des contrats
16:27CDD, CDI, etc.
16:29on veut garder
16:31les talents locaux
16:32chez nous
16:33et dans le pays de Beach,
16:34j'imagine qu'on a
16:35la même volonté.
16:36Oui, on veut garder
16:37les talents
16:37et donc il faut leur donner
16:38la capacité de trouver
16:39des emplois,
16:40il faut leur donner
16:40la capacité de se former,
16:42il faut leur donner
16:43la capacité pour ensuite
16:45trouver évidemment
16:46celles et ceux
16:47qui ont cette capacité
16:48de transmettre l'expérience.
16:49Ici dans la Halle Verrière,
16:51cette belle entreprise
16:52qui a fermé ses portes
16:53à la fin des années 70
16:54a ressurgi
16:56parce qu'on avait d'abord
16:57la vocation,
16:57la volonté,
16:58une volonté farouche
16:59entre les anciens verriers
17:00et quelques jeunes
17:02amoureux du métier
17:03de pouvoir appréhender
17:04le métier
17:04et donc cela s'est fait
17:06au travers d'un certain
17:06nombre d'ateliers
17:07et donc je crois
17:08que l'alternance
17:09c'est cette capacité,
17:09ce regard,
17:10cette bienveillance
17:11entre un homme expert,
17:12une femme experte
17:13en tout cas quelqu'un
17:14qui est un maître
17:16dans son art
17:16et ce jeune
17:17qui a envie,
17:18qui est intéressé.
17:18Alors évidemment
17:19il y a toute la scolarité,
17:21toute la théorie
17:21qui est essentielle
17:22mais je crois que la plus-value
17:23vient ensuite
17:23dans l'âme d'une entreprise
17:24avec cette volonté
17:26de quelqu'un
17:26qui va vous suivre,
17:28qui va vous suggérer,
17:29qui va vous donner
17:29un certain nombre
17:30de filons et de ficelles
17:31et je crois que le germe
17:33ensuite de l'esprit
17:33d'entreprise,
17:35de cette appartenance
17:36à une famille
17:37passe aussi par l'alternance
17:38et beaucoup par l'alternance.
17:39Donc moi évidemment
17:40je reste convaincu
17:41que l'alternance
17:42c'est à la fois
17:42pour un certain nombre
17:43de jeunes
17:43la capacité
17:44de se trouver une voie,
17:46de pouvoir évidemment
17:46avoir cette satisfaction,
17:48cette motivation
17:49d'apprendre un métier
17:50et puis très rapidement
17:51d'accéder à une rémunération
17:52et ensuite un emploi
17:53et c'est l'occasion
17:54pour les entreprises aussi
17:55de pouvoir détecter
17:56quelques bons éléments,
17:57de pouvoir réorganiser.
17:59Je crois que c'est
17:59du sur-mesure l'alternance.
18:01Merci pour ces éléments
18:02de réponse.
18:03Ça sous-entend
18:04une autre question aussi.
18:06Si vous deviez décrire
18:07le pays de Beach
18:08pour montrer finalement
18:10ses forces,
18:11les filières qui recrutent,
18:12les filières vertueuses,
18:14vous aimeriez dire quoi ?
18:15Je préfère vous poser
18:16la question en disant
18:17pour vous le pays de Beach
18:18c'est quoi ?
18:18Mais je crois que c'est à vous
18:19de poser les questions,
18:20c'est à moi de répondre.
18:21Je crois que le pays de Beach
18:21c'est un territoire
18:22qui d'abord s'est toujours battu.
18:24L'histoire particulière
18:25d'Alsace-Moselle
18:25nous la connaissons.
18:26Ici sur ce territoire
18:27on a été victime
18:27d'un certain nombre
18:28de désindustrialisations.
18:30Ici c'est à l'Alverière
18:31c'est 230 emplois
18:32qui ont été supprimés.
18:34Et puis il y avait
18:34évidemment la désindustrialisation
18:36côté Allemagne
18:37puisque 30% des actifs
18:39de ce territoire
18:39allaient bosser
18:40et allaient travailler
18:40en Allemagne.
18:41Mais je crois que c'est
18:42aussi la caractéristique
18:43de ce territoire
18:44qui s'est toujours battu,
18:44qui s'est toujours relevé,
18:46qui de manière générale
18:47a toujours su composer
18:48avec la nature
18:49et son environnement.
18:49Aujourd'hui vous êtes
18:50dans un territoire
18:51qui est classé
18:52Réserve mondiale
18:52de la biosphère.
18:5360% de forêt,
18:54une agriculture évidemment
18:55très développée
18:56avec une agriculture familiale
18:57qui fait du circuit court
18:58depuis toujours.
18:59Un territoire qui
19:00s'est toujours battu
19:02aussi pour la transmission
19:03des savoirs.
19:03On parle de l'art verrier,
19:04je pourrais vous parler
19:05de l'art du bois.
19:07Et donc c'est ces métiers
19:08d'art que nous cultivons,
19:09que nous organisons
19:10au travers d'un certain
19:12nombre de porosités
19:13entre l'enseignement,
19:14les entreprises
19:14et puis la collectivité
19:16qui restent la gestionnaire
19:19d'un certain nombre
19:19de grandes structures.
19:21Ici la Halle Verrière,
19:21le site Verrier,
19:22c'est une propriété communautaire
19:24donc publique,
19:24service public.
19:25Le Moulin des Chulaires
19:26qui est un haut lieu
19:27connu autour de l'éducation
19:28à l'environnement
19:29sur la question de l'agriculture,
19:31des musées
19:31et toutes les techniques rurales.
19:34C'est sur Volminster,
19:35Moulin des Chulaires.
19:36L'histoire,
19:37la ligne Magito.
19:38Et donc il y a
19:38cette appropriation du territoire
19:40à essayer d'être
19:41le premier acteur.
19:42Et ensuite dans notre sillage
19:43évidemment les acteurs économiques
19:44et pour le bois par exemple,
19:46nous avons pu avec le président
19:47Weyton et le préfet
19:48parrainer une entreprise,
19:50des entreprises
19:51qui se sont fondées
19:51en association
19:52pour justement
19:53être force de proposition,
19:54pour prendre des stagiaires,
19:56des jeunes apprentis
19:58et puis surtout
19:59de pouvoir travailler en famille
20:00puisqu'il y a une vraie appartenance
20:02à ce territoire
20:02et de pouvoir apporter
20:03notre contribution.
20:04C'est la fierté
20:05Beach Island.
20:07Merci pour ces premiers
20:08éléments de réponse.
20:09Filière vertueuse
20:10du verre et du bois,
20:11on l'a dit.
20:12Transmission des savoir-faire,
20:13il y aurait encore
20:13beaucoup à dire
20:14sur le pays de Beach
20:15et ses atouts
20:16et c'est d'ailleurs
20:17ce que nous allons faire
20:18dans un instant.
20:19Avant cela,
20:20sortez vos achandas.
20:21Marie Chapaz
20:22vous propose
20:23une nouvelle sélection
20:24à ne surtout pas manquer
20:25pour le week-end prochain.
20:26Oui, Uranier,
20:30puisque vous êtes tous
20:31à Maïsenthal,
20:32on va commencer
20:33par un événement
20:34sur place
20:34dans la Halle Verrière.
20:36Samedi 22 novembre
20:37à 20h,
20:38le chanteur Paul Damour
20:39continue sa tournée
20:40du pays de Beach
20:41pour la sortie
20:41de son album.
20:43Cela fait un an
20:44qu'il sionne le territoire
20:45à la rencontre
20:45des habitants
20:46et c'est de là
20:47qu'est né cet album
20:48en passant
20:49par le pays de Beach.
20:50Un hommage poétique
20:51à sa région de cœur
20:52que vous pourrez écouter
20:53sur scène.
20:54L'artiste sera entouré
20:55d'un quatuor
20:56de musiciens talentueux
20:57parmi lesquels
20:58Clarisse Catarino,
21:00l'accordéoniste de Renaud
21:01ou encore Nicolas Quéré,
21:03le réalisateur
21:04du prochain album
21:05de Feu Chatterton.
21:07Ce spectacle interactif
21:08vous réserve aussi
21:09quelques surprises
21:10avec notamment
21:11des chorales d'enfants
21:12et des shows de danse.
21:13Et il reste des places.
21:15Pour ceux qui ne connaissent
21:16pas Paul Damour
21:17et qui veulent apprendre
21:17à le découvrir,
21:19retrouvez son entretien
21:20dans la boîte à malice
21:21sur Moselle.tv.
21:22Encore de la musique,
21:25cette fois du hard rock.
21:26Vous connaissez peut-être
21:27le groupe Anté Chaos.
21:29Eh bien,
21:29ils viennent de créer
21:30leur propre festival.
21:32Ça s'appelle
21:32la Chaos Fest
21:33et c'est ce samedi
21:3422 novembre
21:35dès 19h
21:36au LED à Thionville.
21:38Après avoir enchaîné
21:39les concerts et événements
21:40dans la région,
21:41le groupe a décidé
21:42de créer son propre événement.
21:44Rencontre avec des artistes
21:46qui ne se laissent pas faire.
21:47Au niveau des festivals
21:50de la région
21:51et même nationaux
21:53ou internationaux,
21:55on a de cesse
21:57de les solliciter
21:58pour jouer.
22:00Et même si on en a fait
22:02quand même
22:02un certain nombre
22:03cette année,
22:04au niveau local,
22:06on n'a pas eu l'occasion
22:07de faire un gros festival.
22:09Et donc,
22:09on s'est dit
22:10comme on va faire,
22:11on va le faire nous-mêmes.
22:12Et donc,
22:12voilà pourquoi est-ce
22:13qu'on fait le Chaos Fest
22:14cette année.
22:15Sur scène,
22:16bien sûr,
22:16il y aura Ante Chaos
22:18mais pas que.
22:19Le groupe mythique
22:19My Only Scénery
22:21remontera sur scène
22:22pour partager
22:23leur univers émotionnel
22:24et musical.
22:25Puis ce sera autour
22:26d'Initium,
22:28un groupe encore méconnu
22:29qui présente
22:29un rock addictif
22:31et sensuel.
22:32Et en plus,
22:32Initium a une chanteuse
22:34et non un chanteur.
22:35Donc le festival
22:36mélange les générations
22:38d'artistes
22:38et les talents.
22:39Une mixité importante
22:40pour Ante Chaos.
22:42Nous,
22:42on est d'ici.
22:43On essaye
22:44d'entretenir
22:46la scène
22:46de la région.
22:48Il y en a une
22:48au Luxembourg,
22:49il y en a tout de suite
22:50près de Paris
22:51et tout ça.
22:52Donc nous,
22:53ici,
22:53on veut la promouvoir aussi.
22:54Il y a plein de groupes,
22:55il y a plein de styles,
22:56il y a plein de gens
22:57avec du talent
22:57et qui n'ont pas leur chance
22:59à part jouer
22:59dans des caves
23:00et dans des cafés.
23:01Donc il faut bouger
23:02un peu tout ça.
23:04Du rock,
23:04de la bonne musique
23:05et une ambiance conviviale
23:07et familiale,
23:08ne ratez pas
23:08cet événement
23:09OLED à Thionville.
23:10Les groupes espèrent
23:11bien remplir la salle
23:12et les pré-ventes
23:13sont toujours en ligne.
23:15On continue cette rubrique
23:17avec un événement
23:18un peu plus calme,
23:19un marathon de lecture.
23:21Le grand public
23:21est invité
23:22à lire les textes
23:23sélectionnés
23:24pour le prix
23:24Bernard-Marie Coltes.
23:26C'est vendredi
23:27et samedi
23:28et c'est à vous
23:29de choisir l'écrit
23:30qui recevra
23:31le prix du public.
23:32Les textes
23:33de Béatrice Bienville,
23:34Daphné Bigan-Oanac,
23:36Jérémy Duval
23:37et Jean-Marc Streicher
23:39ont été retenus
23:40pour une mise en voix
23:41quasi théâtrale
23:42lors de ce marathon
23:43à travers
23:44la ville de Metz.
23:45Six autres textes
23:46ont eux aussi
23:47été retenus
23:47pour le concours
23:48et seront à lire
23:49sur place.
23:50Tous sont des fictions
23:51dramatiques.
23:53Le rendez-vous
23:53est donné
23:53à la médiathèque
23:54Verlaine
23:55à Metz
23:55vendredi
23:56dès 14h
23:57et samedi
23:58dès 10h
23:59à l'espace
23:59Bernard-Marie Coltes.
24:00Alors, à vos bouquins !
24:03On part en direction
24:04de Sarguemines
24:05maintenant
24:05pour une expo originale.
24:07Le Moulin de la Blisse
24:09présente les œuvres
24:10de quatre artistes
24:11céramistes
24:11fraîchement diplômés
24:12de l'Institut Européen
24:14des Arts Céramiques
24:15de Gepp-Villers.
24:17Des pièces imposantes
24:18et colorées
24:18sont à découvrir
24:19pour cette neuvième édition
24:21de l'événement
24:22Made in IEAC.
24:24Fruit de la collaboration
24:25entre l'Institut
24:26et le musée,
24:27cette exposition
24:27a pour vocation
24:28à mettre en lumière
24:29les jeunes artistes.
24:30C'est donc un début
24:32de carrière
24:32haut en couleur
24:33pour Salomé,
24:34Sophie,
24:35Justine
24:35et Milena.
24:37Et chacune présente
24:38un type d'œuvre spécifique
24:39de la porcelaine
24:40avec de la cellulose
24:41jusqu'à la sculpture
24:43autour de la mythologie
24:44en passant
24:45par la décoration végétale.
24:47L'expo est à retrouver
24:48dans l'espace
24:48art contemporain
24:49du musée
24:50jusqu'au mois d'avril
24:512026.
24:52Comme toujours,
24:54on finit avec du sport.
24:55Les courses de la FNC
24:57ce dimanche,
24:57l'occasion parfaite
24:58pour faire du sport
25:00tout en découvrant
25:00les forêts
25:01mozélanes
25:02et la vallée.
25:03Deux trails,
25:04un de 9
25:04et un de 14,6 km
25:07seront proposés
25:08ainsi qu'un canicross
25:09de 9 km
25:10pour partager ce moment
25:11avec votre animal
25:12de compagnie.
25:14Il y aura aussi
25:14une course pour les enfants
25:15et des parcours
25:16qui vous emmèneront
25:17de Hayange
25:18jusqu'à Algrange,
25:19Nilvange
25:20et Thionville.
25:21Le départ est prévu
25:22depuis le complexe sportif
25:24du collège Jacques Monod
25:25à Hayange
25:26dès 8h.
25:27Vous pouvez encore
25:28vous inscrire en ligne
25:29jusqu'au 21 novembre
25:30sur le site
25:31qui s'affiche
25:32ou sinon sur place
25:33le samedi
25:34de 14h à 17h.
25:36Alors enfilez vos baskets
25:37et préparez-vous
25:38à découvrir
25:38la vallée de la FNC
25:39comme vous ne l'avez
25:40jamais vu.
25:43Voilà pour les sorties
25:44de ce week-end.
25:45On va marquer
25:45une courte pause
25:46et on se retrouve
25:47dans quelques instants
25:48toujours à Maïsental.
25:50Sous-titrage Société Radio-Canada
25:52Sous-titrage Société Radio-Canada
25:54Sous-titrage Société Radio-Canada
25:56...
Recommandations
25:54
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À suivre
9:37
10:33
30:44
13:10
43:53
11:08
43:23
42:51
44:49
44:03
36:39
39:45
22:56
29:55
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22:05
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