Volodymyr Zelensky est attendu à Paris demain, il sera reçu par Emmanuel Macron. C'est la 9ème visite du président ukrainien en France depuis le début de la guerre
00:00Alors je pense qu'il faut voir les choses en séquence. Je pense que dans un premier temps, ce que l'on peut faire, c'est de fournir des armements anti-aériens qui seraient basés en Ukraine et qui tireraient sur les avions ou les missiles qui viendraient en Ukraine sans qu'il y ait du personnel français.
00:17Les rafales, c'est quelque chose qui plutôt fait partie d'un deuxième temps qui sont les garanties de sécurité que l'on apporterait ou que l'on apportera à l'Ukraine après qu'il y ait eu une suspension, cesser le feu, traiter de paix, des hostilités.
00:32Ce que vous évoquez là, d'ailleurs, c'est au programme de demain. C'est important de le rappeler aussi. On va parler radar pour détecter les missiles et les drones. On va parler batterie de missiles anti-aériens. On va parler de drones et de dispositifs anti-drones.
00:48Donc au-delà du rafale, tout ce qui est moyen donné à beaucoup plus court terme pour l'Ukraine pour défendre son ciel, ça fera partie du sujet de demain également, bien sûr.
00:59Et les rafales, c'est vraiment dans un deuxième temps, puisque d'abord, il faut le temps de les fabriquer. Et c'est au moment où on discutera des garanties de sécurité que nos amis américains ne veulent pas vraiment donner et que nous sommes amenés à donner à leur place.
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