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  • il y a 3 jours
Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement, était l'invitée de BFM Politique ce dimanche 16 novembre.

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Transcription
00:00– Mais vous, vous êtes favorable à une primaire ?
00:02– Je n'y suis pas par principe opposé, tout simplement.
00:05– Une primaire qui va de qui à qui pour vous ?
00:07– Non mais c'est important qu'on sache, ça va de Gabriel Attal à Bruno Retailleau ?
00:12– Vous anticipez sur ce que je viens de vous dire,
00:14je ne suis pas fervent de partisans d'une primaire,
00:18mais je n'exclus pas cette hypothèse par principe,
00:21parce que je dis encore une fois qu'il faudra un candidat unique
00:25et un candidat commun, sans quoi nous ne serons pas au second tour.
00:27Alors, si la meilleure façon d'arriver à le départager, c'est une primaire, pourquoi pas ?
00:31Si c'est autre chose, faisons autre chose.
00:33– Est-ce qu'il y a aujourd'hui à vos yeux un candidat naturel dans ce bloc central ou pas ?
00:36– Je suis porte-parole d'un gouvernement qui a pour mission de faire passer un budget,
00:39ce n'est pas de mon ressort de dire aujourd'hui s'il faut une primaire ou s'il ne faut pas de primaire.
00:43Ce que je souhaite, c'est que ces différents partis politiques
00:45et ces différents candidats déclarés au potentiel arrivent à se parler
00:50et le fassent rapidement, parce qu'à force de dire la présidentielle c'est dans longtemps, ça se rapproche.
00:55– Est-ce qu'il y a un candidat naturel dans ce bloc central pour l'instant ?
00:58– C'est à eux d'en discuter.
00:59– Non mais vous, est-ce qu'il y a un candidat naturel ou pas ?
01:02– Je ne me prononcerai pas sur ce sujet-là, étant encore une fois porte-parole du gouvernement.
01:05– Vous pourriez dire qu'il n'y a pas de candidat naturel aujourd'hui ?
01:07– Vous savez que Sébastien Lecornu a très clairement explicité
01:12que ce gouvernement devait être détaché des présidentielles.
01:15Je fais déjà une forme d'écart en en parlant chez vous ce matin
01:18et je le fais parce qu'encore une fois, je pense qu'au-delà de nos responsabilités respectives,
01:23dire qu'on doit refuser le second tour Mélenchon-Bardella, c'est d'intérêt national.
01:29Mais je ne me prononcerai pas ce matin pour un candidat ou un autre.
01:31Je leur dis en revanche, entendez-vous, et malheur aux diviseurs.
01:34– Sous-titrage ST' 501
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