Passer au player
Passer au contenu principal
Rechercher
Se connecter
Regarder en plein écran
Like
Favori
Partager
Plus
Ajouter à la playlist
Signaler
Rillieux-la-Pape : incendie d'un immeuble suite à un tir de mortier sur fond de clip de rap, 39 personnes relogées
Europe 1
Suivre
il y a 1 semaine
Catégorie
🗞
News
Transcription
Afficher la transcription complète de la vidéo
00:00
Toujours en compagnie de Jean-Michel Salvatore et Alexandre Malafaille,
00:04
on parlait de ces incidents urbains, de ces violences urbaines à Rieux,
00:09
la pape près de Lyon et Alexandre Malafaille qui voulait réagir,
00:13
donc on entendait ce mer-horizon qui s'insurgeait contre les voyous,
00:17
mais enfin bon, c'est vrai qu'il n'y a pas toujours eu beaucoup de fermeté à l'endroit de ces racailles
00:22
qui à chaque fois accueillent les forces de l'ordre de la sorte,
00:25
c'est très fréquent, on en parle ici même tout le temps.
00:28
Moi je voudrais d'abord avoir une vraie pensée pour les 40 personnes qui ce soir sont sans rien,
00:33
sont à la rue, parce que perdre son bien par le feu c'est assez terrifiant,
00:37
dans quelques minutes on perd tout ce que l'on a, c'est compliqué de se reconstruire après ça,
00:41
et même si la vie est préservée, il n'empêche que c'est quand même redoutable.
00:44
Et après c'est vrai qu'on est dans un phénomène de société, une tendance de fond qui se confirme,
00:49
avec pour une partie de la population toute forme de refus de l'ordre.
00:52
C'est-à-dire qu'en fait l'ordre est quelque chose que l'on conteste absolument,
00:56
on veut vivre avec ses propres règles, avec son propre mode de fonctionnement,
00:59
d'ailleurs avec ses propres, j'imagine pour certains d'entre eux,
01:02
qui étaient peut-être effectivement à Rieux-la-Pape en lien avec d'autres activités
01:05
qui ne sont pas toujours très licites,
01:07
et qui en plus développent une haine de la police qui est telle
01:10
que dès qu'ils voient arriver dans leur quartier un uniforme,
01:13
ça provoque tout de suite effectivement les fameuses étincelles dont parlait Jean-Michel Salvador.
01:16
Et moi je trouve qu'effectivement c'est...
01:18
Jean-Marc, pardon.
01:19
Jean-Michel, ça bat-t'or.
01:21
Ça bat-t'or.
01:21
Et je suis absolument effondré qu'on ne puisse pas combattre ça.
01:25
Alors il y a, je pense, une espèce de système qui s'est petit à petit installé
01:29
au niveau de la réponse policière,
01:31
qui ne peut pas être aussi ferme qu'elle le devrait,
01:32
parce qu'on ne soutient pas suffisamment les forces de police,
01:34
parce que derrière, quand vous faites preuve de fermeté,
01:36
et que vous allez vraiment engager la force à d'une proportion
01:41
pour pouvoir obtenir ce que vous voulez,
01:43
vous avez d'abord, un, le risque que les quartiers se rébellent contre vous
01:47
pour certains d'entre eux,
01:48
et puis vous avez une classe politique qui ne fait pas front commun.
01:50
Et qu'en fait, sur la défense de l'autorité, de l'État et de l'ordre dans ce pays,
01:54
il n'y a pas un bloc commun qui dit
01:55
non mais là on est tous d'accord, on est tous solidaires.
01:57
Donc ça laisse la porte ouverte à des débats dans tous les sens,
02:00
et notamment à gauche, des réactions qui vont être amplifiées à chaque fois
02:03
qu'on va faire preuve d'autorité, on l'a vu,
02:04
il y a plein d'affaires récentes, comme Naël ou autres,
02:07
qui nous montrent à quel point, dès qu'il se passe quelque chose,
02:09
on va de toute façon charger l'autorité en expliquant que
02:11
l'autorité est responsable de ce qui se passe.
02:13
Donc là-dessus, on a un gros, gros problème de réponse.
02:15
C'est sûr que l'affaire Naël, on en a davantage parlé
02:17
que l'affaire du jeune Matisse, 19 ans,
02:20
qui s'est fait percuter par un chauffard sous protoxyde d'azote,
02:22
ça on n'en parle déjà plus.
02:24
Mais Naël, bon, il y a eu des émeutes, il y a eu...
02:27
Mais les tirs de mortier, c'est quand même une atteinte
02:30
à l'autorité de l'État absolument incroyable.
02:32
Vous avez des jeunes qui les utilisent
02:37
contre les pompiers,
02:39
contre des policiers.
02:41
Et c'est vrai que là, on se dit que sur un incident
02:43
comme celui-là, que ça aille aussi vite et aussi loin,
02:46
et que la contestation de l'autorité de l'État
02:48
soit si forte, c'est vraiment très préoccupant.
02:51
Messieurs, je voulais vous faire réagir aussi à demain,
02:54
peut-être la liberté pour Nicolas Sarkozy,
02:57
presque trois semaines après son entrée à la prison de la santé.
03:00
La Cour d'appel examine demain,
03:01
donc la demande de l'ex-président,
03:03
dont l'incarcération dans le procès libyen
03:05
avait suscité de vifs débats ici même.
03:10
Est-ce qu'il a des raisons d'être optimiste, Nicolas Sarkozy ?
03:13
A priori, si on applique la loi,
03:15
bon, ça devrait être le cas,
03:16
puisque demain, on est dans le régime
03:18
de la détention provisoire.
03:19
C'est ça, c'est pas la même chose qu'en première instance,
03:23
Jean-Michel Savator.
03:24
Écoutez, moi, je ne prendrai pas de pari.
03:26
Moi, ce que je constate, si vous voulez,
03:28
c'est que lors du procès,
03:30
bon, ils sont trois à être allés en prison.
03:34
Il y a eu d'abord M. Nasser,
03:35
qui était un banquier franco-djiboutien
03:39
et qui a été libéré,
03:40
mais parce qu'il avait 81 ans.
03:42
Vous avez Alexandre Djouri,
03:43
qui, lui, est resté en prison.
03:45
Il reste, d'ailleurs.
03:45
Donc là, ça va être un test intéressant.
03:48
C'est vrai qu'évidemment,
03:49
on souhaite qu'il soit libéré.
03:50
S'il est libéré,
03:51
je trouve quand même
03:52
que c'est un désaveu incroyable
03:54
pour la présidente
03:55
qui l'a condamné
03:56
et qui lui a appliqué
03:57
l'exécution provisoire.
03:59
Parce que franchement,
04:00
on se dit que 21 jours de prison,
04:03
c'est 21 jours de vexation
04:05
totalement inutile.
04:06
Est-ce qu'il y a un risque ?
04:08
En tout cas, doit-on craindre
04:09
que cette nouvelle décision
04:11
puisse être politique,
04:13
selon vous, Alexandre Malafaille ?
04:15
Non, là, je pense que c'est une décision
04:17
qui va se fonder
04:18
sur la base du droit.
04:21
On l'espère,
04:21
mais c'est vrai qu'il y a
04:22
beaucoup, forcément,
04:24
d'attention sur le cas Sarkozy.
04:26
D'ailleurs, vous avez vu
04:27
le nombre de soutiens,
04:28
de lettres qu'il reçoit.
04:30
Non, mais là, en fait,
04:31
on n'est pas sur un jugement.
04:33
On est sur une application du droit
04:34
par rapport à un certain
04:35
de dispositions qui sont connues.
04:37
Normalement, il a l'âge requis
04:38
pour pouvoir bénéficier
04:39
de cette libération.
04:42
Après, si le procureur
04:44
verse au débat
04:45
suffisamment d'éléments
04:46
qui laissent penser
04:47
qu'une fois qu'il sera
04:49
à l'extérieur,
04:49
il pourra tenter d'interférer
04:51
dans le cadre de la préparation
04:52
du procès en appel,
04:53
de faire des pressions, etc.
04:54
Si c'est ça qui est considéré,
04:55
si c'est suffisamment étayé,
04:57
ça peut bien évidemment jouer.
04:58
Mais je ne crois pas.
04:59
Alors après,
05:00
est-ce que ce sera un camouflet
05:00
pour la présidente,
05:01
pour le juge de première instance ?
05:03
Ce sera en tout cas un revers.
05:05
Mais en même temps,
05:06
le juge aura obtenu
05:07
ce qu'il voulait,
05:07
c'est-à-dire qu'il voulait
05:08
une sanction lourde,
05:09
exemplaire.
05:10
Et puis à partir de là,
05:12
le juge d'application
05:13
des peines demain
05:13
va peut-être prendre une décision
05:14
qui sera de renvoyer
05:15
M. Sarkozy chez lui
05:16
avec un bracelet électronique.
05:17
Je pense qu'en tout cas,
05:18
il n'échappera pas totalement
05:19
à une forme de...
05:20
Il en avait déjà un.
05:21
Il va en retrouver un.
05:23
Voilà, il risque effectivement
05:24
de se retrouver dans cette configuration.
05:25
En tout cas,
05:26
sans faire de pronostic,
05:27
parce qu'effectivement,
05:27
il faut se méfier
05:28
avec les juges
05:29
et leur façon d'appliquer le droit.
05:32
Parce qu'à un moment donné,
05:32
ils ont tous les éléments,
05:33
ce qui n'est pas notre cas.
05:35
Ce sera intéressant en tout cas
05:36
de voir la décision,
05:36
mais la probabilité
05:37
qu'il rentre chez lui,
05:38
oui, et puis admite
05:39
à titre personnel,
05:39
je le souhaite,
05:39
parce que je pense
05:40
qu'il n'a rien à faire en prison,
05:41
surtout à ce stade de la procédure.
05:43
Et de manière générale,
05:44
la fonction présidentielle
05:45
qu'il a incarnée
05:46
mériterait un peu plus de respect.
05:47
On lui demandera
05:47
s'il a eu droit
05:48
à un ordinateur
05:49
avec des clés USB.
05:52
Et des téléphones portables ?
05:53
Oui, mais c'est incroyable
05:55
cette affaire aussi.
05:56
Enfin, il nous reste quelques minutes,
05:57
mais cette affaire Abdeslam,
06:00
au moment où on commémore
06:01
les attentats islamistes
06:03
du 13 novembre,
06:04
on en a beaucoup parlé,
06:06
mais c'est vrai
06:07
que ça paraît
06:08
hallucinant, quand même.
06:11
Qu'on lui ait transmis
06:13
ses clés USB,
06:13
qu'il ait pu les utiliser
06:14
avec un ordinateur,
06:17
surtout dans cette prison
06:18
qui est une prison
06:19
quand même
06:19
de haute sécurité.
06:20
Je peux vous dire,
06:21
je suis allée la visiter.
06:22
J'ai vu la cellule
06:23
de sa lab d'eslam.
06:25
Enfin, moi,
06:25
je discutais avec les surveillants,
06:26
on m'expliquait tout simplement
06:27
que c'était son ordinateur
06:28
qu'il y avait droit.
06:30
C'était la loi
06:30
pour prendre des cours.
06:32
Oui, bien sûr,
06:34
mais s'il utilise cet ordinateur
06:35
à d'autres fins,
06:36
ça pose un vrai problème.
06:38
Et c'est là où on voit,
06:39
en tout cas,
06:39
ce cas-là,
06:40
comme le cas Sarkozy,
06:41
a montré finalement
06:42
à quel point
06:43
les prisons
06:44
étaient véritablement
06:46
des zones
06:48
où il se passait des choses
06:49
qui ne devraient pas s'y passer.
06:51
On apprend quand même que,
06:52
enfin,
06:52
on imaginait
06:54
que c'était quand même
06:54
encore en prison
06:55
que Nicolas Sarkozy
06:56
pouvait être le mieux protégé.
06:58
et là,
06:59
on apprend
06:59
qu'il a fallu
06:59
que ces anciens gardes du corps
07:03
restent,
07:04
enfin,
07:04
que ces gardes du corps
07:05
restent dans les cellules d'à côté
07:06
parce qu'il y avait un vrai risque
07:07
pour son intégrité physique.
07:09
C'est absolument incroyable.
07:10
Et encore en France,
07:11
on semble mieux
07:11
parce que là,
07:12
j'ai vu dans l'actualité,
07:13
j'ai vu passer ça
07:14
au Royaume-Uni
07:15
deux fois de suite,
07:17
là,
07:17
des prisonniers,
07:19
d'ailleurs accusés
07:20
de meurtre
07:20
d'une petite fille
07:21
de deux ans
07:22
qui ont été tués
07:23
par les autres policiers.
07:24
Bon,
07:24
on n'en est pas là
07:25
en France,
07:25
mais c'est vrai
07:27
que les prisons
07:28
sont dangereuses aussi.
07:31
Non mais,
07:31
regardez Nicolas Sarkozy,
07:32
il a eu beaucoup de menaces.
07:34
Ce qui est redoutable aujourd'hui,
07:36
c'est que les prisons françaises
07:38
ne sont pas sûres
07:39
et en plus,
07:40
elles sont poreuses.
07:42
Et c'est assez fascinant
07:42
de se dire que finalement,
07:43
tous les gens
07:44
qui sont en prison aujourd'hui
07:44
peuvent assez facilement,
07:46
par le biais des parloirs,
07:47
par le biais des personnes
07:48
qui leur en visite
07:49
parce que les fouilles
07:50
ne sont plus du tout
07:50
aussi systématiques
07:51
et intégrales
07:51
qu'elles devraient l'être,
07:52
il y a une grande permissivité,
07:54
alors au nom de plein
07:54
de bonnes raisons,
07:55
à chaque fois,
07:56
les moyens d'un côté,
07:57
le respect de la personne humaine
07:58
de l'autre,
07:59
les contraintes physiques,
08:00
etc.
08:00
Il y a la loi européenne aussi,
08:01
m'expliquez le surveillant.
08:02
Donc finalement,
08:03
au bout du compte,
08:03
beaucoup de choses peuvent passer
08:04
par le biais des parloirs,
08:05
après il y a d'autres formes
08:05
de trafic évidemment
08:06
qui sont possibles
08:07
et pour en revenir
08:08
à Nicolas Sarkozy,
08:08
je pense qu'ils ont bien fait
08:09
en effet de lui assurer
08:10
une vraie protection
08:11
parce qu'en toute logique,
08:13
en effet,
08:13
il devrait être en totale sécurité
08:14
dans ses cellules
08:15
mais on peut imaginer
08:16
toujours beaucoup de pressions
08:18
diverses et variées
08:19
puis je pense qu'il y a
08:20
beaucoup de gens
08:20
qui ont envie
08:21
de régler des comptes
08:21
avec Nicolas Sarkozy
08:22
parce qu'il a quand même
08:23
une intervention relativement active
08:25
sur certaines zones du monde
08:26
et qui sont peut-être
08:27
pour certains d'entre eux
08:27
dans les prisons
08:28
où il y a toujours moyen
08:29
de chercher à nuire à quelqu'un
08:30
surtout dans ce genre de situation.
08:31
Mais bon,
08:32
vous imaginez pour les familles,
08:33
on n'a pas le temps d'écouter
08:34
une maman d'une victime
08:37
justement du Bataclan
08:39
qui a perdu son fils
08:40
qui voit que cet homme
08:41
qui est quand même responsable
08:43
totalement directement
08:45
de la mort de 130 personnes,
08:47
400 blessés,
08:48
qui aujourd'hui
08:49
éventuellement foment
08:51
un nouvel attentat
08:52
dans sa cellule.
08:54
Là, on en parle comme ça
08:55
dans un studio de radio
08:57
mais j'en perds les mots.
09:00
J'ai entendu cette femme ce matin,
09:01
ça m'a crevé le cœur,
09:03
franchement.
09:03
C'est-à-dire qu'on ne comprend pas
09:05
que même pour ce type
09:07
de condamnés,
09:08
il y ait encore un peu de laxisme.
09:10
On aurait pu imaginer
09:12
que vraiment,
09:13
pour ce type de condamnés,
09:15
là, il n'y a pas de quartier possible,
09:17
etc.
09:17
et même avec des condamnés
09:20
de ce genre,
09:20
on voit qu'il y a quand même
09:22
des trous dans la raquette.
09:23
Il a pu se marier,
09:24
cet homme.
09:25
Il a pu se marier.
09:27
C'est l'état de droit,
09:27
c'est formidable.
09:28
Et ce qui est redoutable
09:29
par rapport à ça,
09:29
c'est vrai que quelque part...
09:30
Mais les victimes,
09:31
les victimes dans tout ça.
09:32
Mais les victimes,
09:33
on les prend beaucoup moins
09:33
en considération
09:34
puisqu'elles ont leurs droits
09:36
mais lui aussi,
09:36
entre guillemets,
09:37
il a ses droits.
09:37
Les gens qui ne sont plus là,
09:39
ils n'ont plus de droits.
09:40
Le problème,
09:40
c'est qu'en fait,
09:40
ce n'est pas tellement
09:41
qu'il a un ordinateur
09:42
à la limite
09:42
qu'il ait la possibilité
09:43
de suivre une formation
09:44
et de s'occuper
09:45
pendant les 30 ou 50
09:46
prochaines années de sa vie.
09:47
À la limite,
09:47
on ne peut pas le condamner.
09:50
Par contre,
09:50
le problème,
09:50
c'est qu'il peut exporter
09:51
à l'extérieur des choses
09:52
et ça,
09:52
c'est extrêmement dangereux
09:53
parce que pour un certain nombre
09:54
de personnes,
09:55
ce type-là est une figure
09:56
et une espèce de héros.
09:57
Absolument.
09:58
Merci Jean-Michel Sator.
09:59
Merci également à vous,
10:01
Alexandre Malafa.
10:02
Merci.
Écris le tout premier commentaire
Ajoute ton commentaire
Recommandations
1:18
|
À suivre
Tirs de mortier à Rillieux-la-Pape : 39 personnes relogées après un incendie, la police prise à partie
Europe 1
il y a 1 semaine
1:17
Rillieux-la-Pape : un clip de rap illégal tourne à l'incendie
CNEWS
il y a 1 semaine
1:23
Rillieux-la-Pape: le tournage d'un clip de rap dégénère, des policiers visés et un immeuble incendié
BFMTV
il y a 1 semaine
1:13
Les habitants de Rillieux-la-Pape encore sous le choc après l'incendie d'un immeuble lors du tournage d'un clip de rap
BFMTV
il y a 1 semaine
1:13
Les habitants de Rillieux-la-Pape sous le choc, deux jours après l'incendie d'un immeuble en marge du tournage d'un clip de rap
BFMTV
il y a 1 semaine
0:28
Après l'émotion, la solidarité s'organise à la mairie de Rillieux-la-Pape après l'incendie en marge du tournage d'un clip de rap
BFMTV
il y a 1 semaine
2:24
Immeuble en feu en marge d'un tournage d'un clip de rap: "39 personnes ont perdu leur logement hier (...) elles ont été relogées", affirme Alexandre Vincendet, maire Horizons de Rillieux-la-Pape
BFMTV
il y a 1 semaine
1:20
Ce que l'on sait sur le clip de rap qui a dégénéré à Rillieux-la-Pape dans le Rhône
BFMTV
il y a 1 semaine
1:08
Immeuble incendié près de Lyon après un clip de rap : des dégâts considérables
Actu Auvergne-Rhône-Alpes
il y a 1 semaine
3:15
Heurts en marge d'un clip de rap dans le Rhône: "Toutes les limites ont été franchies, il y aurait pu y avoir des morts", estime Alexandre Vincendet, maire Horizons de Rillieux-la-Pape
BFMTV
il y a 1 semaine
1:21
Rillieux-la-Pape: Fabienne Buccio, préfète de la région Auvergne-Rhône-Alpes, affirme "que les tirs de mortier ont embrasé la façade" de l'immeuble
BFMTV
il y a 1 semaine
1:38
Rillieux-la-Pape: Fabienne Buccio, préfète de la région Auvergne-Rhône-Alpes, déclare "qu'ils retrouveront les auteurs"
BFMTV
il y a 1 semaine
0:56
Clip de rap illégal : «Ces jeunes veulent défier la République», dénonce Madi Seydi
CNEWS
il y a 1 semaine
1:42
Lyon : immeuble incendié, forces de l'ordre prises à partie... Le tournage illégal d'un clip de rap dégénère
CNEWS
il y a 1 semaine
1:45
Judith Waintraub : «Certaines élites politiques caressent les rappeurs dans le sens du poil»
CNEWS
il y a 1 semaine
2:47
Alexandre Vincendet : «Nous avons quelques Trumpistes locaux»
CNEWS
il y a 1 semaine
1:47
Incendie d'un immeuble Rillieux-la-Pape lors d'un tournage illégal : une semaine après, que sont devenus les habitants ?
Europe 1
il y a 4 jours
1:22:38
L'Heure des Pros (Émission du 19/11/2025)
CNEWS
il y a 3 heures
1:11
Natasha St-Pier : «J’ai demandé ma nationalité française»
CNEWS
il y a 3 heures
1:38
L'édito de Pascal Praud : «Islam/République : 60% priorisent la religion»
CNEWS
il y a 5 heures
1:00
"Non, je ne me tairai pas": Amine Kessaci promet de continuer sa lutte contre le narcotrafic après l'assassinat de son frère
BFMTV
il y a 6 heures
2:58
SIGNÉ BFM - Le ministre allemand de la Défense met en garde contre une "possible" nouvelle guerre d'agression de la Russie en 2028, voire avant
BFMTV
il y a 6 heures
1:10
Corse: trois entreprises sanctionnées d'une lourde amende pour entente sur la distribution des carburants
BFMTV
il y a 6 heures
0:53
L’ancien ministre LR de l’Intérieur Bruno Retailleau s’est dit persuadé « qu’on va gagner la guerre » contre le narcotrafic grâce notamment à la nouvelle loi sur la lutte contre la criminalité organisée - VIDEO
Jeanmarcmorandini.com
il y a 3 heures
0:59
Médicaments antiobésité : l'ANSM alerte sur la vente en ligne de produits frauduleux - VIDEO
Jeanmarcmorandini.com
il y a 4 heures
Écris le tout premier commentaire