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  • il y a 3 jours
Jules Torres revient sur les confessions de Bruno Retailleau au JDNews et affirme : «L'ensauvagement qu'il a vu était pire que ce qu'il imaginait».

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Transcription
00:00La première chose que Bruno Rotaillot a faite quand il est arrivé au ministère de l'Intérieur,
00:04c'est que Gérald Darmanin lui a expliqué, vous savez, le petit brief qu'on a tous les matins autour de 7h.
00:09On reçoit sur notre téléphone le ministre de l'Intérieur,
00:11on reçoit la liste de tout ce qui s'est passé d'horrible dans la nuit.
00:15Donc évidemment, les viols, les cambriolages, les violences avec armes, les refus d'obtempérer,
00:20la mort par exemple de la petite Philippine.
00:22La première chose que Bruno Rotaillot apprend quand il arrive au ministère de l'Intérieur,
00:25c'est la mort de la petite Philippine.
00:26Et donc ce qu'il nous raconte, c'est que pendant un an et demi, c'est son lot d'horreur,
00:30cette litanie de crimes qu'on a pu voir en France.
00:33Tous les jours que Dieu fait, à 7h, le ministre de l'Intérieur reçoit la liste de ce qui s'est passé.
00:38Il reçoit une grande synthèse le matin, il en reçoit plusieurs fois par jour.
00:42Et après plusieurs fois par jour.
00:43Toutes les 3h évidemment, avec son directeur de cabinet qui l'informe évidemment.
00:48Mais ce qu'il nous dit, c'est que l'ensauvagement qu'il a vu était pire ce qu'il imaginait.
00:52Et je crois qu'ici, sur ce plateau, on commande beaucoup de refus d'obtempérer,
00:55de rodeo urbain qui amène à des morts, de crimes et d'élits.
01:00Eh bien imaginez ce que voit Bruno Rotaillot, ce que voit le ministre de l'Intérieur aujourd'hui,
01:03Laurent Nunes, tous les matins, tous les midis et tous les soins.
01:05Sous-titrage Société Radio-Canada
01:10Sous-titrage Société Radio
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