- il y a 1 jour
Retrouvez "Champions !" du sport au business avec Frédéric Brindelle et Thomas Binet, tous les samedis à 20h sur Sud Radio.
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Catégorie
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SportTranscription
00:01Sud Radio, le magazine des champions, Frédéric Brindel, Thomas Binet.
00:07Bonsoir à tous, c'est champion du sport au business.
00:10L'invité de ce samedi incarne les belles histoires françaises du cyclisme.
00:14Sa médaille mondiale reste inoubliable.
00:17Désormais, il dirige son entreprise avec là encore la volonté de marquer l'histoire des gens.
00:21Anthony Gélin.
00:24Une tentative qui tourne court.
00:26Km 35, cette fois, ils sont deux pour se faire la velle.
00:28Anthony Gélin, 23 ans, un pur produit de la filière Bernodeau,
00:32et le coureur d'Adelaide, un Australiste, Stuart O'Grady.
00:35Entre eux, l'harmonie est parfaite, leur avance s'accroît, jusqu'à 18 minutes 05 sur le peloton.
00:39Mais c'est bien connu, la vie à deux a serré.
00:51On lit la déception sur le visage d'Anthony Gélin et d'Anthony Roux.
00:55Et pourtant, les deux garçons n'ont pas grand chose à se reprocher.
00:57Ils ont pris des belles courses.
00:59Anthony Gélin, c'est un homme de championnat du monde.
01:03C'est un homme de circuit.
01:04Troisième à Madrid, c'est vrai.
01:05Troisième à Madrid, il est bon.
01:07Il a remporté une très belle course cette année.
01:09Coup de chapeau également à deux baroudeurs que voici.
01:12Anthony Gélin et Stuart O'Grady.
01:14Jusqu'au bout du suspense, ils n'ont été repris qu'à 500 mètres seulement de la ligne.
01:18Bonsoir Anthony Gélin.
01:21Bonsoir.
01:21Quelle carrière.
01:22Aux nombreux rebondissements du Tour de France au championnat du monde, au championnat de France aussi.
01:27Un puncher à la française.
01:29Notre expert entrepreneurial, lui aussi, brille sur les circuits, mais économiques.
01:34Bonsoir Thomas Binet.
01:34Bonsoir Frédéric.
01:35Bonsoir Anthony.
01:36Et bonsoir à toutes et à tous.
01:37Anthony Gélin, cette médaille de bronze au championnat du monde en 2005.
01:41Derrière les deux légendes, Tom Bonen et Alejandro Valverde.
01:45Fait de vous un inoubliable du peloton international.
01:49A votre actif, cinq belles victoires et des podiums et des performances iconiques.
01:54Retraité des pelotons depuis dix ans.
01:56Désormais chef d'entreprise.
01:57Vous êtes notre champion du sport au business.
02:01Sud Radio, le magazine des champions.
02:03Anthony, c'est le premier rendez-vous de l'émission Le Relais.
02:06Une série de questions sur le lien entre votre carrière de sportif et votre parcours entrepreneurial.
02:12Vous êtes prêt Anthony ?
02:13Je suis prêt.
02:14Pas de troisième ou de deuxième place cette fois-ci.
02:17Non, on va essayer de mettre dans le mille.
02:19Très bien.
02:20Vous êtes de cette génération dite propre du cyclisme français.
02:24Sacrifié, incapable de rivaliser avec la mafia dopée de l'américain Armstrong.
02:27Vous êtes arrivé à la pire des époques du cyclisme.
02:31La pire, je ne sais pas.
02:32Mais une période compliquée, certainement.
02:35Sous les Armstrongs, on parlait souvent, même si je n'aime pas cette expression de cyclisme à deux vitesses.
02:42Mais effectivement, c'était compliqué parce que la domination était relativement outrancière.
02:48On arrivait les étapes de montagne à peu près 45 minutes après les premiers.
02:52même si je ne suis pas un montagnard en soi.
02:55Mais effectivement, c'était compliqué pour le cyclisme français de percer à cette époque-là.
03:00Pour les Sandy Casar, Sylvain Chavanel, toute votre génération, Pierrick Fédrigo.
03:04C'est terrible parce que c'était la double peine.
03:06On vous disait doper alors que vous ne l'étiez pas.
03:08Et on vous disait fainéant alors que vous ne l'étiez pas.
03:11Parce que voilà, c'est ça.
03:11Oui, exactement.
03:12Alors, c'était compliqué, effectivement.
03:14Donc, il fallait continuer à travailler consciencieusement.
03:17Et malgré ça, de temps en temps, on arrivait quand même à faire de belles performances
03:20qui nous permettaient de sortir un peu du lot.
03:23Justement, en 2005, vous accompagnez sur le podium des championnats du monde.
03:26Les meilleurs mondiaux.
03:27Une telle performance surprise d'un sportif de haut niveau se provoque-t-elle d'une manière particulière en amont ?
03:33Une préparation toujours méticuleuse avec un objectif, un objectif final, la performance réussir.
03:41Mais vous étiez surpris par votre troisième place ?
03:43Alors, ce jour-là, effectivement, je ne m'attendais pas à terminer sur le podium.
03:47Moi, je m'étais dit si la course est favorable pour moi, un top 10 serait envisageable.
03:52Mais j'allais d'abord à Madrid pour aider les sprinters du moment.
03:56Jean-Patrick Nazon, Jimmy Casper, qui avait gagné sur le Tour de France.
03:59parce que c'était un championnat qui était normalement voué à une arrivée au sprint.
04:06C'était Alexandro Petacki, l'italien, qui dominait le sprint mondial à cette période-là.
04:13Les circonstances de course se sont déroulées.
04:16Oui, le peloton s'est un peu réduit avec des gars qui, justement, étaient un peu endurants.
04:21C'était votre cas.
04:21Finalement, la course a été plus difficile que prévue et ça ne s'est terminé pas du tout au sprint.
04:26Anthony Gélin, vous avez marqué l'histoire des équipes de deux grands managers,
04:31Marc Madiot et Jean-René Bernodeau, eux aussi chefs d'entreprise à leur manière.
04:35Vous ont-ils inspiré pour votre carrière d'entrepreneur ?
04:37Oui, parce que trouver un partenaire financier qui va accompagner une aventure sportive sur la durée,
04:45c'est pas évident, sauf aussi aller chercher des arguments, une éthique, vraiment des éléments à mettre en avant.
04:57Et c'était dans une époque qui n'était pas facile non plus.
05:01Donc, oui, bien évidemment, ils m'ont inspiré.
05:03Anthony Gélin, place à votre parcours entrepreneurial dans la gestion de patrimoine
05:20avec notre expert entrepreneurial, meilleur grimpeur dans la courbe des bénéfices comptables, Thomas Binet.
05:26Oui, Anthony, vous allez disposer d'une minute pour nous présenter votre activité professionnelle
05:34et puis la question que vous vous posez sur son développement à venir.
05:37Est-ce que vous êtes prêt ?
05:38Je suis prêt.
05:39On va demander à notre réalisateur de vous faire partir un chronomètre, ça vous rappellera quelques souvenirs.
05:42Allez, contre la montre !
05:43Absolument, c'est parti pour vous et pour une minute.
05:46Merci.
05:47Alors, le métier de conseiller en gestion de patrimoine consiste à guider, à conseiller, à assister celles et ceux
05:53qui souhaitent soit un éclairage sur leur environnement patrimonial, sur leur construction du patrimoine
05:58ou alors qui souhaitent investir.
06:01La problématique aujourd'hui que je peux rencontrer, c'est que cela nécessite un climat de confiance.
06:08En fait, quand on rentre en relation d'affaires avec un sportif professionnel,
06:12le climat de confiance s'instaure aussi par le fait de connaissances, de terrain.
06:17Et donc, je suis sur la partie cyclisme relativement connu du fait de ma crédibilité, de ma carrière d'avant.
06:24Mais voilà, peut-être que sur d'autres sports, j'aurais cette problématique en fait de rentrer
06:28dans cette petite corporation en fonction du sport que je lise.
06:32Eh bien, voilà !
06:34Bon, ce n'était pas la spécialité d'Anthony, le contre la montre, mais bon, il a été...
06:38Mais comme quoi !
06:39Ok, très bien, on est prêts, ça vous va ? On ouvre la feuille de match, Thomas Binet ?
06:45C'est parti, la feuille de match.
06:47Alors, Anthony Gélin, coureur marquant de l'histoire du cyclisme français,
06:51développe son entreprise de gestion de patrimoine auprès des sportifs de haut niveau.
06:55Thomas, pour les cyclistes, ça devrait marcher, on l'a vu.
06:57Anthony est connu pour ces derniers.
07:01En revanche, dans les autres disciplines, là, il faut lancer le sprint.
07:04Oui, mais en soi, ce n'est pas vraiment un sujet très difficile à résoudre.
07:08Dans le sens où, d'abord, il y a un savoir-faire.
07:10Anthony vient de nous expliquer ce qu'était, globalement, le métier de CGP.
07:14C'est l'acronyme qu'on utilise dans le métier.
07:16Donc, conseil en gestion de patrimoine.
07:18Bon, le principe, c'est quoi d'un CGP, pour faire court ?
07:21C'est d'être un peu un mélange entre piques sous et flares sous.
07:23C'est-à-dire, on doit prendre l'argent des gens pour bien...
07:27Et donc, flairer les bonnes opportunités pour bien leur faire placer cet argent-là,
07:31de manière à leur faire fructifier.
07:33C'est ça, un conseil en gestion de patrimoine.
07:34Alors, évidemment, on sait tous qu'il faut, et vous l'avez dit d'ailleurs très précisément,
07:38inspirer confiance.
07:40Et la meilleure façon d'inspirer confiance, c'est les résultats qu'on a obtenus.
07:43La chance que vous avez, c'est que vous avez une centaine de clients.
07:45La chance que vous avez, c'est que sur ces 100 clients, vous en avez 70 dans le monde du sport.
07:50Et la chance que vous avez, c'est que ça fait plus d'une dizaine d'années, globalement,
07:52que vous faites ce métier.
07:53Oui, il a arrêté sa carrière en 2015.
07:55Alors, vous, vous êtes EE, expert entrepreneuriat.
07:58C'est ça.
07:58Alors, vous, le CGP, Anthony Gélin.
08:02Oui, c'est parti de cela.
08:05C'est-à-dire, vous avez d'abord conseillé vos amis cyclistes.
08:08La fibre de gestion de patrimoine est partie de ça ?
08:12Alors, le constat, c'est que pendant ma carrière,
08:15je n'ai jamais réussi à trouver un interlocuteur conseil
08:19qui soit en capacité de parler le même langage que moi.
08:23Le langage du sportif.
08:25Parce que quand on est cycliste et qu'on fait 5 ou 6 ans de vélo par jour,
08:29il faut que ce soit synthétique, pédagogique, efficace, en fait, le retour commercial.
08:34Et tous les interlocuteurs que j'ai eus,
08:37mon qui est privé, les gens passent,
08:40n'ont jamais su, en fait, se mettre à mon niveau.
08:42Donc, je n'ai jamais travaillé avec eux.
08:44Ils arrivaient avec des acronymes à la Toma Binet, par exemple.
08:47CGP, PRPP.
08:48Enfin, voilà, il est beau mon tac, le Toma.
08:51Oui, oui, oui, oui.
08:52Enfin, je ne le développe quand même, si je peux me permettre.
08:55Donc, vous vous êtes dit, je vais le faire moi-même.
08:57Alors, fort de ce constat,
08:58et puis d'échange avec d'autres cyclistes pendant ma carrière,
09:02qui étaient un peu dépourvus de conseils,
09:05qui ont certaines fois fait de mauvais investissements.
09:09Mon souhait principal, je pars toujours d'un objectif de vie,
09:13c'est je voulais rester dans le sport de haut niveau.
09:15Parce que c'est ma vie aussi, mais je voulais aussi consacrer ma vie à ma famille.
09:19Et donc, j'avais cette appétence pour la matière,
09:22mais il fallait que je mette un nom là-dessus pour trouver une reconversion.
09:27J'ai trouvé ce nom de conseiller en gestion de patrimoine.
09:31Alors, j'ai découpé, j'ai regardé ce que ça voulait dire.
09:34Et j'ai dit, bingo, c'est ça que je veux faire,
09:38parce que je vais rester un pied dans le sport
09:40et je vais faire le métier que j'ai envie de faire,
09:45c'est-à-dire conseiller sur les investissements,
09:48développer son patrimoine,
09:49avec, en plus, cette expertise
09:52que très peu de banquiers privés ont,
09:54c'est que moi, j'ai été sportif professionnel.
09:56Et Thomas Binet, il y a des bases, on va dire, passionnelles.
09:59Ça, ça change tout, ça se transmet aussi.
10:01Pas comme le patrimoine, mais...
10:03Oui, alors surtout par les temps qui courent.
10:05Oui, mais clairement, vous avez raison, Frédéric.
10:08C'est-à-dire qu'effectivement,
10:09je l'ai dit aussi tout à l'heure,
10:11il faut inspirer confiance.
10:13On joue quand même avec l'argent des gens.
10:15Donc, il faut faire attention.
10:17On le sait, Anthony le sait mieux que quiconque,
10:19il y a aussi d'anciens sportifs
10:20qui ont été très très mal conseillés.
10:22Pour certains, ils ont tout perdu, accessoirement,
10:24ce qui n'est pas accessoire pour eux.
10:26Bon, donc c'est-à-dire qu'il faut installer cette confiance.
10:28Donc, évidemment, il faut avoir des fondamentaux soi-même,
10:31de compétences.
10:32Ce que je disais tout à l'heure,
10:33on n'a jamais deux fois l'occasion de faire bonne impression.
10:36On le sait dans la vie de tous les jours.
10:37Il n'y a aucune raison que dans les métiers
10:38de la gestion de patrimoine, il en soit différent.
10:41Vous avez donc mis en place cette entreprise.
10:45Vous êtes indépendant, vous travaillez avec votre épouse.
10:48Tout à fait.
10:49Alors, j'ai commencé tout seul il y a dix ans.
10:50J'ai créé Geste Conseil il y a dix ans
10:52avec le souhait d'accompagner les sportifs.
10:55Et c'est toujours la cible.
10:59Depuis deux ans, ma femme m'a rejoint
11:00dans le cadre d'une reconversion professionnelle.
11:02On peut la citer, son prénom.
11:04Émilie Gélin.
11:06Du coup, oui, vous êtes mariée, ça tombe bien.
11:07Tout à fait.
11:09Et elle a toutes les accréditations
11:11parce que c'est un métier très réglementé.
11:13CIF, courtier en assurance, carte immobilier.
11:16Voilà, donc tous les agréments
11:18qui font qu'on est en capacité
11:19d'exercer notre activité dans les règles.
11:24On avait reçu comme invité Thomas Binet
11:26dans Champion du sport au business
11:27le footballeur Renal Lemaitre
11:29qui lui aussi fait de la...
11:30Mais lui, il était dans un conglomérat,
11:32dans un groupe.
11:33C'est quoi le mieux ?
11:36Je ne suis pas sûr qu'on puisse répondre
11:38à la question de cette manière-là.
11:40Je ne suis pas sûr qu'il y ait quelque chose de mieux.
11:42Il y a des choix de vie aussi personnels
11:43qui font qu'on a envie de rentrer dans une structure
11:45parce qu'on veut bénéficier aussi
11:47des services dédiés dans cette infrastructure.
11:50Et dans d'autres circonstances,
11:51on a envie de rester indépendant.
11:53Bon, quoi qu'il en soit,
11:54il y a aussi des organismes professionnels
11:57auxquels vous êtes adhérents et vous appartenez.
12:00Je ne vais pas rentrer dans les acronymes,
12:02donc je vais vous les éviter cette fois-ci.
12:04Mais ils apportent aussi conseils
12:06et accompagnement à tous ces organismes.
12:08Donc, ils ne sont pas seuls malgré tout.
12:11Ça ne vous dit pas, Anthony Gélin,
12:13de vous associer ?
12:16Le plan de carrière,
12:18c'est le développement par votre structure.
12:20C'est bien clair.
12:20Exactement, c'est ça.
12:21On n'a pas vocation à s'associer
12:25ou faire part à un groupement
12:26parce qu'en fait,
12:27on veut maîtriser
12:28toute notre chaîne de production,
12:32notre chaîne de distribution.
12:34C'est-à-dire qu'on va sélectionner les fournisseurs
12:36comme si on les faisait pour nous.
12:37Les fournisseurs financiers sont nombreux.
12:40On les screen beaucoup à l'entrée.
12:42On regarde tout ce qu'ils ont fait avant.
12:45Comme un sportif.
12:46Moi, je regarde le palmarès
12:47avant de regarder les promesses.
12:48Vous recrutez quoi, vous recrutez.
12:49C'est ça.
12:50Et à partir du moment où j'ai un partenaire
12:52qui a fait preuve de performance
12:54dans les années précédentes,
12:57entre guillemets,
12:57les performances passées
12:58ne préjugent pas à des performances futures.
13:00Évidemment, les formules.
13:02C'est nos autorités de tutelle
13:03qui nous conditionnent un petit peu.
13:06Non, mais au-delà de ça,
13:06c'est hyper important
13:08de fonctionner de la sorte.
13:10Donc, non, totalement indépendant.
13:11Mais l'idée,
13:11ce n'est pas de faire de développement externe.
13:13C'est de, dans le cadre
13:15d'une structure assez familiale,
13:18de continuer à développer cette expertise.
13:20Voici le son du buzzer.
13:23Il annonce la mi-temps
13:24de champions du sport au business.
13:26Dans un instant,
13:27Thomas Binet,
13:28un expert entrepreneurial,
13:30conseillera notre invité CGP,
13:32conseiller en gestion de patrimoine,
13:34Anthony Gélin,
13:35ou quand l'homme des championnats
13:36gestionnaire de patrimoine
13:37veut sortir du circuit
13:38pour aller séduire les autres sportifs.
13:41C'est sur Sud Radio.
13:42A tout de suite.
13:43Sud Radio,
13:44le magazine des champions.
13:47Frédéric Brindel,
13:48Thomas Binet.
13:50Champion du sport au business
13:52comme chaque samedi
13:53sur Sud Radio.
13:54Notre invité,
13:55le médaillé des championnats du monde
13:56de cyclisme 2005.
13:58Coureur marquant
13:58de l'histoire du Tour de France.
14:00Anthony Gélin,
14:01retiré des pelotons depuis 2015
14:03à la tête d'une entreprise
14:05de gestion de patrimoine.
14:07Rappelons les contours
14:08de ses objectifs entrepreneuriaux,
14:10cher Thomas Binet.
14:11Eh bien Frédéric,
14:12Anthony Gélin,
14:13effectivement,
14:14à la tête de son cabinet
14:15qu'il a créé
14:15il y a une dizaine d'années,
14:17donc un cabinet
14:17de gestion de patrimoine.
14:19Sa clientèle est composée,
14:20comme je le disais
14:21dans la première partie,
14:22à 70% d'une clientèle sportive
14:24et son ambition aujourd'hui
14:25c'est de donner
14:26un autre souffle
14:27à son cabinet
14:27en développant cette activité
14:29autour de cette clientèle.
14:31Donc,
14:32accueillir encore plus
14:33de sportifs
14:33parmi ses clients.
14:34Parmi ces 70%,
14:35Anthony Gélin,
14:36ce sont essentiellement
14:37des cyclistes donc.
14:38Oui, en gros sportive.
14:39Oui.
14:41Vous nous le disiez tout à l'heure,
14:42c'est passionnel,
14:43mais vous êtes pris au jeu.
14:45vous allez le matin au travail
14:47avec la même intensité
14:50que lorsque vous alliez
14:51vous entraîner.
14:52Enfin, vous me direz,
14:52des fois se lever à 8h
14:54et partir avec la pluie,
14:55ce n'était pas facile non plus.
14:56Oui, c'est un petit peu différent.
14:57Disons que là,
14:57suivre les marchés financiers,
14:59par exemple,
14:59au jour le jour,
15:00c'est un peu moins frais
15:01qu'à s'entraîner au mois de décembre
15:03ou au mois de novembre.
15:04Mais effectivement,
15:04c'est différent.
15:05C'est frais,
15:06mais alors,
15:06de manière imagée,
15:08ça vous passionne ?
15:10Ah oui, ça me passionne.
15:11Alors,
15:13quand j'échange souvent
15:14sur les reconversions
15:15des sportifs,
15:16parce que quand on suit un sportif,
15:18le moment de la reconversion
15:19arrive quelquefois-ci.
15:21Et voilà,
15:22c'est ultra important
15:23d'être acteur de sa reconversion.
15:26Et c'est moi qui l'ai construite.
15:29Et je l'ai construite
15:30avec un cahier des charges
15:31que j'avais identifié.
15:33Et j'ai coché toutes les cases.
15:34Donc évidemment,
15:35je suis heureux de le faire.
15:36Je ne compte même pas mon temps
15:37quand je le fais.
15:38Allez, place au coach !
15:39Thomas Binet,
15:44Anthony Gélin
15:44vous invite à répondre
15:45à cette question.
15:46Comment développer
15:47son activité de gestionnaire
15:48de patrimoine
15:49auprès des autres sportifs ?
15:50Les rugbymen,
15:51les footballeurs,
15:52les volleyeurs,
15:54les pongistes,
15:56maintenant,
15:56ils deviennent riches aussi.
15:58Ça passe par la communication.
16:00On a bien compris, Thomas.
16:01Alors, principalement,
16:02effectivement,
16:02c'est vrai qu'aujourd'hui,
16:04son activité est principalement
16:06développée par le bouche-à-oreille.
16:08Bon, c'est vrai
16:09que c'est une activité
16:10d'abord réglementée.
16:11Vous l'avez expliqué tout à l'heure.
16:12On ne fait pas n'importe quoi
16:13pour communiquer.
16:14On ne peut pas dire n'importe quoi.
16:15Il faut faire très attention.
16:17Ça, c'est la première chose.
16:17La deuxième chose,
16:18c'est qu'effectivement,
16:19comme c'est un métier
16:21où on prend l'argent des gens
16:23pour le placer,
16:24je le disais,
16:25le principe de confiance
16:26est important.
16:27Donc, le bouche-à-oreille,
16:27effectivement,
16:28est un argument
16:29de développement majeur.
16:31Mais on ne peut pas
16:32en rester là
16:32parce qu'à un moment donné,
16:33aussi, on est limité
16:34par le système.
16:34Donc, c'est là
16:35où vous avez raison, Frédéric,
16:36la communication,
16:37une fois que j'ai dit ça,
16:38arrive.
16:38Je rappelle que vous travaillez
16:39avec votre épouse,
16:41Émilie.
16:42Vous allez tous les deux,
16:43finalement,
16:44à la rencontre
16:45d'éventuels clients.
16:48Vous faites ce travail
16:50par vous-même.
16:51Pardonnez-moi,
16:51mais c'est vrai,
16:52c'est un travail de commercial.
16:53Vous le faites.
16:54Oui, oui.
16:54Alors, c'est plutôt
16:55un volet de prospection
16:56qui s'initie
16:58généralement
17:00chez les jeunes coureurs
17:01parce que ce besoin
17:02commence à arriver.
17:03En fait, l'idée,
17:04c'est un petit peu
17:04de l'anticiper aussi
17:05et de leur apporter
17:06un service
17:07qui soit
17:09packagé,
17:11compris
17:11dans cette thématique
17:13de la gestion
17:13de patrimoine
17:14qui a plein de pans
17:16qui sont assez connexes.
17:18On va aussi intervenir
17:20quand même
17:20sur du droit civil,
17:21du droit fiscal
17:22parce que
17:23si notre client
17:25souhaite formaliser
17:26son union,
17:27il va nous poser
17:27des questions
17:28sur les différents
17:29modes d'union,
17:30que ce soit le pax,
17:31le mariage,
17:32les subtilités
17:33des différents
17:33régimes matrimoniaux,
17:34les avantages matrimoniaux,
17:35est-ce qu'il faut faire
17:36un contrat ou pas.
17:38Il y a aussi
17:38du droit fiscal,
17:39il y a aussi
17:39du conseil financier.
17:41Donc voilà,
17:41l'idée,
17:41c'est de lui apporter
17:42un éclairage
17:43sur toutes ces thématiques-là
17:44pour qu'il puisse
17:45faire performance
17:46sur le reste.
17:46Dans le monde du cyclisme,
17:47vous avez vos relations,
17:49alors on pense
17:49à notre consultant
17:50du Tour de France,
17:51Pascal Chanteur,
17:52qui est le président
17:52du syndicat des coureurs,
17:53qui doit sans doute
17:54vous mettre en relation.
17:55Il y a une action
17:57de formation aussi
17:58avec les jeunes
17:58tous les ans
17:59dans le cadre
18:00de la formation
18:01des néopros.
18:02L'UNCP,
18:03le syndicat
18:04des cyclistes professionnels,
18:06a mis en place
18:06une formation
18:08sur deux jours
18:08pour les néoprofessionnels
18:09et donc on a développé
18:10une petite formation
18:11sur la gestion
18:12de patrimoine,
18:13quels sont
18:14les grands axes
18:15à suivre,
18:15quelles sont
18:16les erreurs
18:16à ne pas faire.
18:17Ça reste très pédagogique
18:18mais l'idée,
18:19c'est d'avoir déjà
18:19quelques outils.
18:20Thomas Binet,
18:21une fois qu'on a dit ça,
18:22pour le cyclisme,
18:23c'est bon,
18:23c'est calé.
18:24La suite.
18:25Il faut attaquer
18:25les autres sports,
18:26évidemment,
18:27mais il faut peut-être
18:28aussi travailler
18:28ces outils de communication
18:29aujourd'hui.
18:30C'est très difficile
18:32d'avancer vers
18:32de nouvelles cibles
18:33sans être bien identifié
18:35sur ce que l'on fait.
18:36Donc concrètement,
18:37les terrains de jeu,
18:38on les connaît.
18:39Moi, je suis allé
18:40voir votre site internet.
18:41À mon sens,
18:42il faudrait le repenser
18:43un peu d'une certaine manière
18:44pour axer beaucoup plus
18:45sa présentation
18:45sur le monde du sport.
18:47Il est très orienté
18:48gestion de patrimoine,
18:50c'est logique,
18:51mais à partir du moment
18:52où vous voulez orienter
18:53vers une cible
18:53très particulière,
18:55il va falloir
18:55qu'il s'y retrouve
18:56dans le discours
18:57et dans la forme aussi.
18:58Ce qui a fait la force
18:59d'Anthony au début,
19:00il nous l'a expliqué.
19:01En fait, lui,
19:02il aurait aimé
19:03qu'on lui parle
19:03avec les mots
19:04qu'il connaît
19:04de sportif.
19:05C'est ça ?
19:06C'est ça,
19:06et je pense qu'on peut
19:07le faire là-dessus.
19:08On peut le faire également
19:08sur l'ensemble
19:09des réseaux sociaux
19:09qui sont à notre disposition.
19:11Évidemment,
19:11on pense toujours tous
19:12dans ce genre de démarche
19:13qui est du business
19:14to business
19:15au réseau social LinkedIn.
19:17Donc,
19:18créez un contenu spécifique.
19:19Vous pouvez aussi investir,
19:20parce que c'est pas mal aussi
19:22de le faire
19:22avec un mélange sport,
19:23gestion de patrimoine.
19:24Il y a des passerelles
19:25évidentes sur les messages
19:26apportés,
19:27sur tout ce qui relève
19:27d'Instagram,
19:28tout ce qui relève
19:29de TikTok.
19:30C'est vrai que c'est
19:31un peu de budget,
19:32c'est aussi beaucoup de temps
19:33si on peut le faire différemment,
19:34mais il faut prendre ce temps
19:35pour faire monter
19:37votre communauté.
19:38Quand vous dites
19:38que c'est un peu de budget,
19:39c'est-à-dire qu'il faut embaucher
19:40pour que, par exemple,
19:41il y ait un community manager ?
19:42Oui, mais ce n'est pas forcément
19:43traduit par de l'embauche.
19:44Ça peut être de la sous-traitance,
19:46ça peut être des freelancers,
19:47ça peut être des stagiaires,
19:48ça peut être des étudiants
19:49en école de communication
19:50qui ont envie de vous donner
19:51un coup de main là-dessus
19:51parce qu'ils trouvent
19:52votre projet intéressant,
19:53ils trouvent votre personnalité
19:54attachante,
19:55donc ils vont avoir envie
19:56d'aller là-dessus.
19:57Donc, ce n'est pas forcément
19:58du budget au sens
19:58où on l'entend,
19:59mais c'est sûr que ça aide
20:01un peu quand même,
20:02il ne faut pas se mentir.
20:02Anthony Gélin,
20:03votre site,
20:04alors Thomas Binet en parlait,
20:06vous l'avez pensé
20:07vous-même, ce site ?
20:08Est-ce que vous avez...
20:10Non, on a été accompagné
20:11justement sur la création
20:13du site,
20:13il a été repensé
20:14par des gens
20:16qui fabriquent des sites
20:17et qui sont experts
20:18dans ce domaine-là.
20:19Après, peut-être
20:20qu'on n'avait pas forcément...
20:21Alors, c'est ma femme
20:22qui est en charge
20:22du site internet,
20:23donc on va se faire gronder.
20:25Non, non, non.
20:25Je vais dire que ce n'est pas moi.
20:27En plus, Emily,
20:28elle a du caractère.
20:29Oui, oui, non, non,
20:29mais franchement,
20:31c'était...
20:31On n'a peut-être pas
20:32effectivement communiqué
20:33assez sur ce volet,
20:35sur notre souhait
20:36de développer un peu plus
20:37cet accès-là.
20:38Sur ce que vous êtes, Anthony,
20:39je pense à cette fabuleuse photo
20:41où il y a Tom Bonen,
20:42la légende belge,
20:44Alejandro Valverde,
20:45espagnol,
20:45et puis vous,
20:46les trois sur le podium,
20:48enfin, tout ça,
20:48ça parle, quoi.
20:49Effectivement.
20:50Oui, oui, donc peut-être
20:50effectivement développer
20:51plus ce pan, en fait,
20:54enfin, plus le faire ressortir.
20:56Bon, sur la spécificité
20:57de ce travail,
20:58Tommy Binet,
20:59Tommy Binet,
21:00je ne sais pas comment
21:01je vous appelle aujourd'hui,
21:02Thomas Binet, voilà.
21:03C'est ça, Frédéric Bramel.
21:04Moi, j'y arrive.
21:05Il faut le repenser,
21:06vous savez,
21:06la communication aussi, c'est ça.
21:08Donc, il faut quoi,
21:10par exemple,
21:11sur le site internet ?
21:12Sur le site internet,
21:13de deux choses.
21:14Une, soit on le remplace
21:14totalement en se disant
21:16on va axer sur les 70%
21:17de votre clientèle.
21:18Mais du coup,
21:19les 30% vont se sentir
21:20un peu exclus.
21:20Donc, ce n'est pas forcément
21:21la bonne stratégie.
21:22La bonne stratégie,
21:23c'est d'en donner
21:24pour tout le monde.
21:24Donc, ça peut être aussi
21:25une partie qui est dédiée,
21:27évidemment,
21:27une partie pour les sportifs.
21:28Après, il faut packager,
21:29à mon sens,
21:30des offres.
21:31Ça ne change pas
21:31le contenu de l'offre.
21:32Ça change juste
21:33le packaging.
21:34Présenter de manière
21:35à ce qu'un sportif,
21:36pardon,
21:37se sente beaucoup plus concerné.
21:38Et puis,
21:39mettre en place,
21:40très probablement,
21:41un contenu
21:41un peu plus dédié
21:42sur les réseaux sociaux.
21:43Je l'ai dit,
21:43créer peut-être
21:44une lettre trimestrielle
21:45de manière à,
21:46justement,
21:47axer sur cette partie sportive.
21:49Et puis,
21:49après,
21:50il faut prospecter.
21:51En l'occurrence,
21:51je suis allé voir votre site,
21:52enfin,
21:52votre profil,
21:54pardon,
21:54sur LinkedIn.
21:55Vous avez un peu moins
21:56de 2000 abonnés
21:57sur votre profil.
21:59Si vous voulez faire
21:59de la prospection,
22:00il va falloir aller
22:01beaucoup plus fort là-dessus.
22:02Et c'est surtout pas cher.
22:04C'est ça que je me relève
22:05dans l'histoire.
22:05Comment on fait
22:06de la prospection,
22:07justement,
22:07pour avoir plus d'abonnés ?
22:08Déjà,
22:09il faudrait peut-être
22:09passer en premium.
22:10Ça,
22:11c'est la première chose.
22:11La deuxième chose,
22:12c'est que toutes les semaines,
22:13il faut aller attirer
22:14des profils.
22:14Donc,
22:15vous envoyez des demandes,
22:17effectivement,
22:17à des personnes
22:17que vous avez identifiées.
22:19Donc,
22:19là-dessus,
22:19ce n'est pas difficile.
22:20C'est juste du temps.
22:21Mais il faut le prendre,
22:22effectivement.
22:23Vous connaissez
22:24d'autres domaines sportifs,
22:26Anthony,
22:26parce que vous êtes
22:27le cycliste qu'on connaît.
22:29Mais au-delà de ça,
22:30les sportifs
22:31se rencontrent quand même
22:32entre eux.
22:33Oui,
22:36chaque sport
22:37est une petite corporation
22:38où, finalement,
22:39il n'y a pas forcément
22:41beaucoup d'échanges
22:41avec d'autres sportifs.
22:42Moi,
22:43dans ma carrière,
22:43j'ai croisé
22:44des pilotes automobiles,
22:47choses comme ça.
22:47Mais j'ai finalement...
22:48En termes de patrimoine,
22:49c'est pas mal non plus,
22:49on ne me dirait.
22:50Oui, c'est pas mal aussi.
22:51C'est plus que les champions
22:52d'haltérophilie.
22:52J'ai rien d'ailleurs,
22:53il faudra qu'on en reçoive.
22:54Ou les gens de fléchettes
22:55qui sont aussi très performants
22:56sur le triple 20.
22:57Mais non,
22:58effectivement,
22:59mais le problème du sportif,
23:01c'est qu'il a très peu de temps
23:03à consacrer au reste...
23:05Enfin,
23:06à part son entraînement
23:07et sa compétition,
23:08il a peu de temps
23:08à consacrer,
23:09mais il consacre du temps
23:10à sa famille.
23:11Et puis après,
23:11les compètes sont vite revenus.
23:13Donc,
23:13effectivement,
23:14on a des contacts.
23:15Mais de là à faire la bascule
23:17et briser un peu cette glace
23:19comparé à le climat de confiance.
23:20Moi,
23:20le climat de confiance
23:21était vite installé
23:22parce que j'ai fait 15 ans
23:24de cyclisme à haut niveau.
23:26J'avais une réputation
23:28qui, selon moi,
23:29était relativement clean
23:30en termes de...
23:31Voilà,
23:31j'ai toujours roulé,
23:33pour mes leaders.
23:34J'ai toujours été correct.
23:36Un mec bien,
23:36j'ai l'un.
23:37C'est ce qu'il se disait.
23:38Dans la façon de courir
23:39toutes les équipes
23:40que j'ai traversées.
23:41Donc,
23:42ça m'a fortement aidé au départ.
23:44Après,
23:44j'ai déjà essayé de rentrer...
23:46Ce n'est pas péjoratif
23:47quand je dis ça,
23:48mais contacter des footballeurs,
23:49choses comme ça.
23:50Il y a beaucoup de barrières.
23:51Moi,
23:51je ne connais pas les codes
23:52de certains sports.
23:53Avec le temps,
23:54on va,
23:54tout s'en va.
23:55En plus,
23:55c'est vrai qu'on est un peu
23:56moins connus.
23:57Des idées,
23:58autres encore,
23:59Thomas Binet.
24:00Il faut aller se présenter
24:01aussi dans les endroits,
24:02les étoiles du sport,
24:04des choses comme ça.
24:04Oui,
24:05on peut.
24:05Évidemment,
24:05c'est la mise en place
24:07de démarches un peu événementielles.
24:09Faire des conférences,
24:11aller dans des réunions
24:12avec des chefs d'entreprise.
24:14Parce que,
24:14même si c'est sur les 30%,
24:16l'air de rien,
24:17la cooptation,
24:18les réseaux,
24:18tout le monde connaît tout le monde.
24:19Donc,
24:20ça va aider.
24:21C'est un système
24:21un peu de toile d'araignée
24:22qu'il faut installer.
24:23Vous parlez des entreprises
24:24parce qu'il y a des entreprises
24:25aussi qui sont très proches
24:26dans le partenariat
24:27du sportif.
24:28Ça peut être des relais,
24:29c'est ça ?
24:29Ça peut être des relais
24:30d'informations
24:31et des relais de prescriptions,
24:32effectivement.
24:33Après,
24:33je pense que vous pourriez
24:35également investir
24:36sur la mise en place
24:37de contenu
24:38sur les réseaux sociaux.
24:40Allez,
24:40je vous donne une idée
24:40comme ça en passant.
24:42Moi,
24:42je ferais bien des petites vidéos,
24:43vous voyez,
24:43sur le patrimoine des sportifs.
24:46Quelque chose
24:46qui permette
24:46de bien axer
24:48sur chacun des sportifs
24:49qui a fait carrière
24:50depuis 10 ans,
24:5115 ans,
24:5120 ans
24:51et même beaucoup plus loin.
24:53Ça marche très,
24:54très bien sur Instagram.
24:55Ça marche très bien
24:56sur TikTok
24:57quand on fait
24:58des petites séries
24:59comme ça
25:00et ça va être
25:01tout à fait dédié
25:02à votre secteur d'activité
25:03qui est la gestion
25:04de patrimoine
25:05parce qu'à travers ça,
25:06vous allez pouvoir
25:06passer des messages
25:07sur la performance,
25:08sur le résultat,
25:09sur l'effort,
25:09sur la résilience,
25:11sur la comparaison.
25:11c'est ça qu'il faut
25:12pour justement attirer
25:14par un contenu.
25:15Bon,
25:16Anthony Gélin,
25:17vous gérez
25:18votre patrimoine
25:20et celui des autres.
25:23C'est ça.
25:23Votre patrimoine,
25:24il est bien géré.
25:25Vous nous avez donné
25:25une bien belle image
25:27de votre activité.
25:29Maintenant,
25:29Thomas Binet,
25:30effectivement,
25:31il y a ses conseils
25:33pour développer son activité.
25:35Les deux,
25:36trois derniers conseils ?
25:39Non, mais pour se résumer
25:40rapidement,
25:40c'est effectivement
25:41maintenir le cap
25:42qu'il a déterminé
25:43parce que je crois
25:43qu'il a totalement raison
25:44sur le fait de vouloir
25:45développer ses 70%
25:47quelque part d'activités
25:48dédiées aux sportifs,
25:50investir plus
25:51les réseaux sociaux,
25:52revoir peut-être
25:53pour packager un peu différemment
25:54son site internet,
25:55créer du brain content,
25:57ce fameux contenu de marque
25:58qui est nécessaire
25:58de manière à créer
25:59la différence
26:00encore un peu plus marquée
26:01dans son domaine.
26:02Je disais qu'il gérait tout bien,
26:03notamment ces six fois
26:0421 étapes du Tour de France.
26:05Vous avez fini
26:06tous vos tours de France.
26:07Exactement.
26:08Anthony Géla,
26:08merci beaucoup
26:09d'être venu vous voir.
26:11Je vous aurais bien confié
26:12mon patrimoine
26:12mais je dois encore
26:13pérenniser la marque
26:14champion du sport au business.
26:15Donc à bientôt.
26:16C'est le numéro 46
26:17comme émission.
26:19Merci à Elvin de Fazio
26:20pour l'information
26:22sur le numérique.
26:24Quentin Cabanis,
26:25notre réalisateur
26:26avec Anthony Urvois.
26:27Tout de suite,
26:28il faut que ça change.
26:29Présenté par Anthony Martin-Smith.
26:31À la semaine prochaine,
26:32même heure Thomas Binet.
26:33Avec plaisir.
26:34Allez, à bientôt.
26:35Alors,
26:35à bientôt.
26:35Sous-titrage Société Radio-Canada
Recommandations
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