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Retrouvez "Champions !" du sport au business avec Frédéric Brindelle et Thomas Binet, tous les samedis à 20h sur Sud Radio.

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##LES_CHAMPIONS_BUSINESS-2025-07-05##

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News
Transcription
00:00Sud Radio, le magazine des champions, Frédéric Brindel, Thomas Binet.
00:07Bonsoir à tous, une émission spéciale pour le dernier champion du sport au business de la saison.
00:13Nous recevons une star, il incarne la passion, le patinage artistique, le charme à la française.
00:18Et vous allez le constater, la reconversion professionnelle sublimée.
00:22Philippe Candeloro.
00:30Philippe Candeloro de France, 3rd place après le technical, un autre fabuleux freeskater.
00:40Tu as fait un programme, le plus beau de ta vie.
00:43Confirmation des japonaises aussi, en extase.
00:47Comme nous, elles auraient voulu le voir en or, mais lui se contente bien volontiers de l'argent.
00:52Non, pas du tout, parce qu'Elvis Toyko était meilleur que moi ce soir,
00:55avec un quadruple boucle piqué, triple piqué en combinaison, deux triple accès,
00:59le programme parfaitement exécuté.
01:00Là, on ne peut rien faire, je veux dire, il est meilleur que moi ce soir.
01:04Je le laisse gagner sans regret, parce qu'il a vraiment patiné comme un dieu ce mec-là.
01:07Et puis c'est un exemple pour nous, tous les jeunes, et puis pour moi aussi.
01:11Imaginez le fair-play du monsieur.
01:12Bonsoir Philippe Candeloro.
01:14Bonsoir.
01:15Ça fait des beaux souvenirs, hein ?
01:16Bah ouais, ouais, j'entends ça.
01:17C'est vraiment parce que c'était il y a plus de 30 ans quand même.
01:20Ça nous rachonnie pas, mon bon monsieur.
01:22Bon, Philippe Candeloro, génie du patinage artistique, personnage de télévision,
01:26icône du sport français.
01:27a m'en rêvé de tant de femmes.
01:30Et businessman, confirmez que des domaines qui vous sont chers,
01:34notre expert entrepreneurial Thomas Binet.
01:36Absolument.
01:36Tous les domaines, on est d'accord.
01:38Absolument.
01:38Tous les domaines, bien sûr, évidemment.
01:40Bonsoir à vous.
01:41Bonsoir Philippe.
01:41Salut Thomas.
01:42Philippe Candeloro, comme champion de patinage artistique,
01:46ce sont deux médailles de bronze olympique,
01:48et des podiums dans toutes les compétitions internationales,
01:50mais surtout Napoléon, D'Artagnan,
01:52Lucky, Luc, le parrain, Rocky et des foules en liesse.
01:55Philippe Candeloro, vous êtes notre champion du sport au business.
01:59Sud Radio, le magazine des champions.
02:02Alors, c'est le premier rendez-vous de l'émission qu'on appelle le relais,
02:04une série de questions sur le lien entre votre carrière de sportif et votre reconversion.
02:08Philippe Candeloro, au bout du compte,
02:10le patinage artistique vous a passionné,
02:13plus pour l'aspect compétition ou l'aspect artistique ?
02:16Je dirais que c'était un peu les deux,
02:17parce qu'on est un sport artistique.
02:19Donc, il fallait séduire les juges par notre technicité.
02:22Et puis, moi, j'ai plutôt, effectivement,
02:24choisi la voie de séduire le public,
02:26parfois plus que le jury.
02:28On l'entend, là, dans le document sonore préparé par Anthony Hourvois,
02:31notre réalisateur.
02:32Finalement, vous êtes content qu'il ait gagné ?
02:35Enfin, c'est pas que vous soyez content.
02:37Quand t'as un gars qui est meilleur que toi et qui fait tout...
02:40Alors, en plus, on a un sport à notation.
02:41Donc, à l'époque, en plus, c'était pas des chiffres.
02:43C'était vraiment le jury qui méhantait les pancartes.
02:46Donc, on a subi parfois des injustices.
02:50Et puis, parfois, on a été aussi un petit peu aidé.
02:52Donc, ça fait partie du jeu.
02:53Mais moi, je dois dire que quand tu fais lever 15 000 personnes
02:56dans un stadium, t'es tout seul au milieu de l'arène
02:58et que t'as 15 000 personnes qui se lèvent
03:00parce qu'ils ont apprécié ton programme,
03:01t'as déjà gagné quelque chose,
03:03même si la place n'est pas peut-être celle
03:04que tu devais avoir comme récompense.
03:06Bon, Philippe, quand vous prépariez vos prestations olympiques
03:09ou mondiales, vous incarniez un personnage.
03:11J'en ai cité quelques-uns.
03:13Son choix répondait à quelle priorité ?
03:15Parce que ça allait avec votre personnalité ?
03:17Pour vos acrobaties ?
03:19L'histoire qu'il représentait ?
03:20Plus l'histoire qu'il représentait
03:22par rapport aux championnats d'Europe
03:23et aux championnats du monde
03:24qu'on allait avoir à faire.
03:25C'est-à-dire que si on est partés...
03:26Alors, c'est pour ça qu'au Canada,
03:27on était partis sur un cow-boy,
03:28mais j'avais un concurrent français,
03:30Eric Milot, pour ne pas le citer,
03:32avait eu la vente
03:33que je voulais faire un programme de western.
03:35Donc, il a fait un peu un copier,
03:37coller, pas coller,
03:38parce qu'il n'avait pas pu voir
03:39ce que j'avais choisi.
03:40Et puis, du coup, à la fin,
03:41c'est pour ça qu'on est partis sur Lucky Luke.
03:43Sauf que Lucky Luke, en Europe,
03:45plus ou moins bien connu,
03:47notamment en Belgique et en France.
03:49Par contre, au fond du Canada,
03:51Edmonton, il n'était pas connu.
03:54Et du coup, j'ai même eu des soucis
03:55avec licensing Lucky Luke,
03:57avec qui on a eu finalement une bonne...
03:58Ah oui, au fait !
03:58Parce qu'en fait, ils ont dit,
03:59vous appropriez le droit à l'image
04:02de Lucky Luke licensing,
04:03donc soit c'est payant.
04:05Et du coup, on a réussi
04:06à faire un deal avec eux.
04:07On a même édité un petit carnet
04:08de quatre pages
04:09anglais-français
04:11pour aller donner ça
04:12aux juges internationaux
04:15pour justement
04:15qu'ils connaissent
04:16l'histoire de Lucky Luke.
04:17Parce qu'un mec qui arrive
04:19avec une mèche de côté
04:20et qui fait les grimaces
04:21aux juges
04:21avant d'aller faire
04:22ses triple axelles,
04:23ce n'est pas donné à tout le monde.
04:24À Thomas Binet,
04:25vous auriez pu le conseiller
04:26sur les droits d'image.
04:27C'est votre truc.
04:27C'est un peu mon truc, oui.
04:29Effectivement.
04:29Bon, Philippe Candeloro,
04:30le patineur artistique
04:32véhicule un côté féminin.
04:34C'est pour ça
04:34que vous avez surjoué
04:35le séducteur de femmes
04:36dans chacune
04:37de vos sorties médiatiques ?
04:39Pour moi,
04:39c'était un combat
04:40très très jeune
04:41puisque dès que j'ai commencé
04:42à faire du patinage déjà,
04:43on disait que c'était
04:44un sport de gonzesse,
04:45comme il disait,
04:45même pas un sport de pédale.
04:47Pour aujourd'hui,
04:47je peux le dire
04:48parce que c'est mon expérience,
04:49c'est mon expérience de vie.
04:51Les hockeyeurs, d'ailleurs,
04:52me traitaient souvent comme ça
04:53parce qu'ils voulaient me récupérer.
04:55Parce qu'ils voyaient
04:56que je patinais vite,
04:56que je patinais bien
04:57et que j'allais certainement
04:58être un bon joueur.
04:59Mais moi,
05:00ce qui m'a plu
05:00dans le patinage artistique,
05:02c'est que c'était
05:02une discipline
05:04très très difficile en fait.
05:05Alors je leur disais,
05:06va faire un double axel
05:07et puis après,
05:07tu viendras me voir,
05:08toi le hockeyeur
05:09qui manipule sa crosse.
05:11Et puis voilà.
05:11Et du coup,
05:12c'est vrai qu'on avait
05:13beaucoup de gens
05:14de la communauté gay
05:14qui faisaient du patinage.
05:16Et moi,
05:17j'étais dans un milieu
05:18où il y avait
05:19beaucoup de filles
05:20qui étaient là
05:21et on s'est rendu
05:23un peu service.
05:25Et effectivement,
05:26comme c'était dans le combat,
05:28c'est à la suite
05:28de grâce au Duchenne,
05:30Isabelle et Paul Duchenne
05:31qui m'ont fait voir
05:32qu'il fallait faire
05:33des programmes à thème.
05:34Et c'est au moment
05:34où j'ai sorti
05:35ce premier programme
05:36de Conan le Barbare
05:37où la musique
05:38Baselou Nouris
05:39qui était super
05:41avec Arnold Schwarzenegger
05:42qui avait des gros bras.
05:44Ça montrait un peu
05:45le côté viril
05:46du personnage
05:47et c'est ce qui m'a
05:48un peu affirmé
05:49dans ce sport artistique.
05:51Alors que jusque-là,
05:52le côté artistique,
05:53j'en avais horreur,
05:53j'en avais honte,
05:54j'avais peur de lever
05:55un bras comme un danseur.
05:56Oui, parce qu'enlève
05:58un bras comme ça
05:59côté danseur,
06:00tout de suite,
06:01tu ne fais pas voir
06:02ta virilité.
06:03À l'époque,
06:04c'était...
06:04Je comprends maintenant.
06:05Aujourd'hui,
06:05la communauté gay disait
06:06que nous,
06:07on a eu vachement de mal
06:08à pouvoir s'imposer
06:09ou en tout cas
06:09à pouvoir vivre normalement
06:10parce qu'on avait
06:11ces envies-là
06:12et on était comme ça
06:14et qu'aujourd'hui,
06:15moi,
06:15j'ai dû contrer
06:16un petit peu tout ça.
06:17Donc,
06:17c'était effectivement
06:18un combat
06:18mais je ne m'en suis pas
06:19trop mal sorti
06:20parce qu'après,
06:20j'ai arrêté un peu
06:21ce côté viril
06:22mais ce côté viril
06:23a effectivement
06:23séduit pas mal
06:25de fans féminines.
06:26Bon.
06:27Vous nous donnerez
06:27des conseils.
06:28Maintenant,
06:28on peut vous en donner.
06:29Et pas que masculines aussi
06:30parce qu'il y a eu
06:32des prétendants
06:33qui ont essayé
06:34de me faire de la cour.
06:35Mais bon.
06:36Bon,
06:37Philippe Candeloro,
06:38notre invité
06:38de champion du sport
06:39au business.
06:40Alors justement,
06:41conseil aussi
06:42de l'autre côté,
06:43place à votre parcours
06:43entrepreneurial
06:44avec notre homme de gas,
06:46Thomas Binet.
06:48Philippe,
06:49vous aimez les challenges ?
06:50Bah oui.
06:51Bon,
06:51alors ça va être parti.
06:52On va vous donner une minute
06:53pour vous nous expliquer
06:54votre futur programme.
06:57C'est votre spectacle
06:58qui va bientôt arriver
06:59au mois de décembre.
07:00Est-ce que pendant une minute,
07:01vous pouvez nous présenter
07:02ce à quoi ça va correspondre ?
07:04On a un bip bip
07:04qui va partir.
07:06Je vais essayer.
07:07Une minute,
07:07c'est chaud.
07:08Allez,
07:08c'est parti.
07:09Alors,
07:10c'est la fille du marchand
07:11de sable sur glace
07:12qu'on a réalisée
07:13avec mon épouse
07:13qui est la directrice artistique,
07:15la chorégraphe de ce spectacle,
07:16la créatrice même.
07:17Moi,
07:17je ne suis que chef
07:18elle,
07:18c'est la patronne.
07:20Et en fait,
07:20ce programme,
07:21ce spectacle a tellement eu
07:23un beau succès depuis deux ans
07:24qu'on a décidé de revenir
07:25à Paris cette année
07:26parce qu'on avait fait
07:26Sergi Pontoise il y a deux ans
07:27à l'Arenais.
07:28On avait fait 12 000 spectateurs
07:30et là,
07:30on va faire ici
07:31les Moulinots
07:31au Palais d'Espoir.
07:32Donc,
07:33on met une patinoire
07:33artificielle à l'intérieur.
07:35On aura une jauge
07:35de 1200 places
07:37et ce spectacle
07:38est essentiellement dédié
07:39au comité d'entreprise
07:41à la base.
07:41Mais on va faire aussi
07:42trois séances publiques payantes
07:43pour satisfaire
07:44un public parisien
07:45proche de Paris
07:46qui aimerait pouvoir
07:47venir voir ce spectacle
07:48parce que c'est un très beau
07:49conte de Noël sur glace.
07:51À la base,
07:52il a été créé
07:52en le marchand de sable
07:54sur glace
07:54qui était mon rôle
07:55et aujourd'hui,
07:56on a filé le rôle
07:56à ma fille
07:57qui s'appelle
07:57la fille du marchand de sable
07:58qui s'appelle Maya
07:59et c'est elle qui fait
08:00le rôle principal
08:01de ce spectacle.
08:04Et voilà,
08:05challenge rempli.
08:06Bon,
08:06alors,
08:07Philippe Candeloro,
08:09vous savez ce qu'on fait
08:10dans ces cas-là ?
08:10On ouvre une feuille de match
08:11et on lance donc
08:13son nouveau spectacle
08:15à Philippe Candeloro
08:16sur Sud Radio
08:17avec vous,
08:19cher Thomas Binet,
08:20la fille du marchand de sable
08:22sur la glace.
08:24Vous travaillez avec votre épouse,
08:25on peut donner son prénom ?
08:27Bien sûr,
08:27c'est Olivia,
08:28Olivia Candeloro d'Armond,
08:29donc en fait,
08:30c'est elle,
08:30c'est son spectacle en fait,
08:31parce qu'à chaque fois,
08:32on dit que c'est le spectacle
08:33de Philippe Candeloro.
08:33Alors déjà,
08:34pour Olivia,
08:34ça n'a jamais été simple
08:35d'être la femme d'eux.
08:37Alors en plus,
08:37maintenant,
08:37il y a les filles d'eux.
08:39Bientôt,
08:39je vais être le mari d'eux.
08:41Ça, c'est bien.
08:41L'idée aujourd'hui
08:43dans ma carrière artistique
08:44ou professionnelle,
08:45c'est qu'en fait,
08:46ma femme,
08:46son métier,
08:47elle pourra le faire
08:47beaucoup plus longtemps
08:48que le mien.
08:48Moi,
08:48j'étais patineur,
08:50je commence aujourd'hui
08:50à 53 ans
08:51à devoir en fait,
08:53peut-être me dire
08:54que c'est peut-être,
08:55maintenant,
08:55il faut peut-être arrêter
08:56les sauts périeux,
08:57parce qu'en plus,
08:57récemment,
08:57je suis tombé sur le nez,
08:58il y a une dizaine de jours,
09:00lors d'un gala.
09:02Donc,
09:02ça veut dire,
09:03ça veut dire peut-être,
09:03c'est un signe.
09:04Ça veut dire qu'il faut peut-être
09:05que je fasse un petit peu
09:06plus attention,
09:07même si moi,
09:07je me sens jeune,
09:08je me sens encore avoir la frite
09:09pour pouvoir patiner,
09:10malgré mes deux prothèses de hanche
09:12et encore faire des sauts périeux arrière.
09:13Deux prothèses de hanche,
09:14quand même.
09:15Oui,
09:1544 ans de patinage,
09:16forcément,
09:17ça laisse des traces
09:17à un moment donné.
09:19On rappelle que vous avez
09:20une figure à votre nom,
09:21d'ailleurs,
09:22et que cette figure est interdite
09:24pour les plus jeunes,
09:24en plus.
09:26Alors,
09:26en fait,
09:26la seule figure
09:28qui est la mienne,
09:28en fait,
09:29c'est la pirouette candel,
09:30la pirouette sur les genoux.
09:31Alors,
09:31comme elle n'est pas pratiquée
09:32sur les lames,
09:33en fait,
09:33elle n'a jamais été homologuée
09:34dans le monde du patinage.
09:37Après,
09:37il y a eu les petits sauts de candel,
09:39mais qui n'étaient pas les miens.
09:39Ça venait d'un patineur urus
09:40qui s'appelait Bobrine.
09:42Après,
09:42moi,
09:42j'ai fait une variante
09:43avec une jambe devant,
09:43une jambe derrière,
09:44dans l'Ukilux,
09:45justement,
09:45pour faire un petit peu
09:46le saut de cheval.
09:47Et puis après,
09:48il y a le saut périeux arrière
09:49qui n'est pas...
09:49J'ai été le premier français
09:50à faire cette figure.
09:53Pas le premier,
09:53parce qu'il y avait des Américains
10:01du métier d'avant
10:02qui était tombler,
10:03tombleuse.
10:04Tombleuse,
10:05oui,
10:05on le féminise.
10:06Thomas Binet sur le spectacle.
10:08Oui,
10:08le spectacle,
10:09alors,
10:09on va parler un petit peu
10:10de l'environnement
10:11dans lequel vous allez évoluer
10:12sur ce spectacle,
10:13parce qu'il y a beaucoup
10:13de programmes qui sont proposés,
10:15surtout en fin d'année,
10:16d'une façon générale,
10:17aux comités d'entreprise,
10:18de manière à ce qu'effectivement,
10:20on puisse divertir
10:21l'ensemble des collaborateurs.
10:23Alors,
10:23c'est votre choix,
10:23effectivement,
10:24d'ouvrir des séances publiques,
10:25mais aussi d'ouvrir
10:26auprès des comités d'entreprise.
10:28Et on verra,
10:28dans la deuxième partie,
10:29d'ailleurs,
10:29de l'émission,
10:30comment aller chercher,
10:31parce que c'est ça,
10:31la problématique,
10:32ce qui n'est pas forcément
10:33un problème,
10:33mais votre souhait,
10:34c'est comment pré-remplir,
10:36justement,
10:36ces gradins de spectateurs
10:38dédiés aux comités d'entreprise.
10:41Alors,
10:42on sait que,
10:43on sait quoi ?
10:44On sait que ce genre de spectacle,
10:45puis vous avez un nom,
10:47on ne va pas se mentir.
10:48Oui,
10:48c'est-à-dire,
10:48on dit Candeloro,
10:49il y a quelque chose
10:50d'un peu magique.
10:50C'est un peu l'ambiguïté,
10:51c'est qu'aujourd'hui,
10:52ce n'est pas mon spectacle,
10:53c'est pour moi qui suis
10:54la vedette du spectacle.
10:56Moi,
10:56je suis un peu le commercial
10:58et un peu,
10:58évidemment,
10:59je fais un petit tour de patin
11:00au début,
11:00parce que je me dis que
11:01les gens qui vont acheter le spectacle,
11:03c'est sur les gens
11:03qui me connaissent en revanche,
11:04comme c'est un spectacle
11:05quand même dédié à la famille,
11:07qui va de 7 à 97 ans,
11:09puisqu'on va ouvrir
11:10des séances publiques aussi,
11:11des séances de scolaire
11:12et CCAS.
11:14On voit que le mélange
11:14de ces deux générations
11:15marche super bien,
11:16c'est un petit peu
11:17comme Oli Duna,
11:18ils se sont dit
11:18que c'est les grands-parents
11:19qui emmènent les petits-enfants
11:20voire le spectacle
11:20et pas spécialement les parents.
11:22Là,
11:22nous,
11:22on ouvre au plus large
11:23et ce qui nous intéresse,
11:25c'est qu'il y a un maximum
11:26de gens et de jeunes
11:27qui voient des spectacles
11:28sur glace,
11:28parce qu'en plus,
11:29notre monde de patinage
11:30aujourd'hui et les patinoires
11:31sont en danger.
11:32Donc,
11:32c'est aussi de faire voir
11:33que ça procure du rêve
11:34et surtout à l'approche de Noël.
11:36Mais vous le faites à l'Hitchcock,
11:37vous faites une apparition.
11:38Les plus anciens,
11:39ils sauront à quoi
11:39je fais référence,
11:41tout en étant
11:41dans l'organisation.
11:42Bon,
11:43exactement.
11:43Alors,
11:44le son du buzzer,
11:45celui qui annonce
11:46la mi-temps
11:46de champion du sport au business
11:48pour cette émission spéciale.
11:49Dans un instant,
11:50Thomas Binet conseillera
11:51notre invité,
11:52Philippe Candeloro,
11:53où quand la star
11:54de la glace
11:54des médias
11:55et du spectacle
11:56nous présente
11:56son nouveau projet professionnel
11:58qui est en fait,
12:00on l'adapte
12:00parce que c'est champion
12:01du sport au business,
12:02mais c'est le nouveau spectacle
12:03proposé par Philippe Candeloro.
12:06Vous comprendrez bien la nuance,
12:07c'est sur Sud Radio.
12:08On se retrouve dans un instant.
12:10A tout de suite.
12:12Sud Radio,
12:13le magazine des champions.
12:14Frédéric Brindel,
12:16Thomas Binet.
12:17C'est la dernière de la saison
12:19pour votre émission
12:20champion du sport au business,
12:22l'hebdo du début de soirée
12:24le samedi sur Sud Radio.
12:26A émission exceptionnelle,
12:27invité exceptionnelle,
12:28Philippe Candeloro,
12:29l'icône du patinage artistique
12:31et l'un des plus grands chouchous
12:33des Français,
12:33nous accompagne.
12:34Thomas Binet,
12:35notre expert entrepreneurial.
12:36Philippe nous présente
12:37son nouveau spectacle.
12:38Rappelons de quoi il s'agit.
12:40Du 10 au 14 décembre 2025,
12:45au Palais des Sports d'ici Les Moulineaux,
12:46un spectacle d'une heure trente
12:48avec une vingtaine d'artistes,
12:49200 costumes,
12:5020 tableaux sur glace.
12:52Eh bien,
12:52ça s'appelle
12:52la fille du marchand de sable sur glace.
12:55C'est Philippe et Olivia Candeloro
12:56qui proposent ce spectacle
12:58avec leur fille,
12:59d'ailleurs,
13:00dedans.
13:00et deux filles,
13:02deux des trois en fait.
13:03Deux des trois.
13:04La troisième est encore en études.
13:05La troisième a fait les études
13:06de commerce international.
13:07Donc peut-être qu'à L3,
13:09ils reprendront la relève
13:09de l'ensemble du dispositif.
13:12Ça nous fera une belle émission
13:13la prochaine fois.
13:14Philippe,
13:15votre objectif,
13:16c'est d'attirer les entreprises
13:17à venir,
13:18effectivement,
13:19voir votre spectacle
13:20et on va voir ensemble
13:21comment justement attirer
13:22les comités d'entreprises
13:24qu'on appelle aujourd'hui
13:25les CSE,
13:26de savoir comment on peut faire.
13:28Voilà.
13:28Bon,
13:28alors avant de faire
13:30le challenging
13:30façon champion du sport au business
13:33avec notre Tom Abinet.
13:35Philippe Candeloro,
13:36quand même,
13:36dans vos projets à venir,
13:38je crois savoir
13:38qu'il y a aussi
13:39une pièce de théâtre
13:40avec votre compère
13:42Nelson Montfort.
13:43C'est déjà un peu
13:43entre le passé,
13:44présent et futur
13:45puisque ça s'appelle
13:46sa patine à Tokyo,
13:47effectivement avec Nelson
13:48qui est parti à la retraite
13:49et parti de France Télévisions.
13:50Il m'a emmené dans son sillage,
13:52du coup,
13:52on est un peu à la retraite
13:53pour les commentaires sportifs
13:54mais on retrouve un petit peu
13:55ce duo un peu mythique
13:57dans une pièce,
13:58effectivement,
13:59intitulée
13:59sa patine à Tokyo
14:00où c'est une pièce
14:01plutôt sympa
14:02d'une heure quinze.
14:03On se marre bien,
14:04les gens qui viennent nous voir
14:04sont assez contents,
14:05un,
14:05de nous voir,
14:06deux,
14:06ils sont surpris
14:07par la qualité de la pièce
14:08qui a été écrite
14:09par Hugo Crématis
14:11et Julien Grange
14:11et du coup,
14:13on a une histoire.
14:14Ce n'est pas seulement
14:14les deux gars de la télé
14:16qui viennent faire les pits
14:17sur scène.
14:17Mais ça existe
14:19et en fait,
14:20dès que possible,
14:21vous rejouez la pièce
14:23en fonction de...
14:24En fait,
14:24on est plus,
14:24on est un peu comme
14:25avec la fille du marchand de sable
14:26et à travers la Candelro Show Company
14:28que ma femme a créée en 2006.
14:30En fait,
14:31on est plus dans la vente
14:32de sessions de spectacles
14:33que dans de la production même
14:35puisqu'on a un producteur
14:36qui s'appelle Philippe Delmas
14:37mais qui est plus organisateur
14:38que producteur en fait.
14:39Parce qu'aujourd'hui,
14:40tout est tellement cher
14:41sur une recette d'un théâtre.
14:43C'est 50% de la recette
14:44qui part en fait
14:45d'un côté
14:47que vous ne touchez plus
14:47et après,
14:48avec les 50%,
14:49il faut payer tous les frais de production
14:50et plus les cacher les artistes.
14:54Donc ça,
14:54c'est assez complexe
14:55et c'est ce qu'on retrouve aussi
14:56sur la Candelro Show Company
14:58que je gère en fait
14:58en tant que directeur exécutif
15:00de la production.
15:01Allez,
15:02rendez-vous du coach !
15:04Sud Radio,
15:05le magazine des champions.
15:06Thomas Binet,
15:07donc Philippe Candelro,
15:08chef d'entreprise
15:09à la tête d'un spectacle
15:10La fille du marchand de sable
15:11sur glace.
15:12Ça va être un carton
15:14ne serait-ce qu'avec ce titre déjà
15:15qui est super sympa.
15:17Joli titre, oui.
15:17Et puis le nom de son créateur.
15:19Absolument.
15:20Et maintenant,
15:20il faut le commercialiser
15:22ce programme,
15:22effectivement.
15:23Alors,
15:24on l'a évoqué,
15:25Philippe l'a dit tout à l'heure aussi,
15:26il y a des séances publiques
15:27mais nous,
15:28on va s'intéresser
15:28à ce qui s'oriente
15:30vers le comité social et économique.
15:33Le nouveau nom qu'on donnait
15:34fut une époque
15:35au comité d'entreprise.
15:36Alors,
15:36on va rappeler juste quand même
15:37pour nos auditeurs,
15:38un comité d'entreprise,
15:39ça concerne des entreprises
15:40de plus de 11 salariés
15:42pendant 12 mois consécutifs.
15:45Voilà.
15:45Sinon,
15:46ce n'est pas des comités d'entreprise.
15:47Alors,
15:47ces entreprises,
15:48il faut les trouver
15:49et ce n'est pas si simple
15:50parce qu'on l'a dit aussi
15:51en première partie,
15:52il y a une concurrence quand même
15:53de programmes de fin d'année
15:54puisque je rappelle
15:56que c'est du 10 au 14 décembre 2025.
15:58Donc,
15:58au moment où globalement,
16:00on se pose...
16:00C'est le week-end le plus prisé en fait.
16:01Voilà.
16:02Exactement.
16:03On n'a que trois week-ends
16:03au grand gros sommer d'eau
16:05quand on commence fin novembre.
16:06Quand on a la chance
16:07d'avoir un week-end
16:08sur le 28-29 novembre,
16:09on a après deux week-ends
16:10sur décembre
16:11parce qu'après,
16:11ce sont les vacances scolaires
16:12et donc les CSE
16:13ne vont pas mettre
16:15les clés sous la porte
16:16mais en tous les cas,
16:16ils mettent la clé
16:17pour partir en vacances.
16:18C'est vacances.
16:19C'est ça.
16:19Juste rappelons,
16:20parce que pour les Franciliens,
16:22d'accord,
16:22mais ici les Moulineaux,
16:23c'est aux portes de Paris.
16:24C'est-à-dire que
16:24si vous avez un week-end à Paris,
16:26vous prenez le métro
16:27et vous arrivez à ici les Moulineaux.
16:29C'est très pratique.
16:29Oui, et puis je voudrais remercier
16:31la ville d'ici les Moulineaux
16:32parce qu'on va dire
16:33mettre un peu à disposition
16:34le palais des sports
16:35pendant...
16:36Moi, il me faut sept jours
16:37le temps de monter la patinoire
16:38et faire quatre jours
16:39d'exploitation plein.
16:41Et d'ailleurs,
16:41on va cette année
16:42et ce qui les a séduits,
16:44c'est là où je vais dire
16:45c'est mon côté commercial
16:46après qui a fait le reste.
16:47C'est-à-dire qu'on leur a dit
16:49pour la fin de la corrida
16:50qui a lieu le dimanche 14.
16:51Je ne peux pas faire de séance
16:52le dimanche 14 le matin
16:54parce qu'avec le flux
16:55et le mélange
16:55entre la corrida
16:56et les rues
16:57qui vont être bloqués.
16:57On s'est dit
16:58qu'on élimine la séance
16:59du dimanche matin.
17:00La corrida, ce n'est pas le taureau,
17:01c'est la course à pied.
17:03Exactement.
17:04Et donc, du coup,
17:04on va faire une séance spéciale
17:06pour la ville d'ici les Moulineaux
17:07et récompenser
17:08les 300 premiers coureurs
17:09de la corrida
17:11qui vont être invités
17:12avec leur famille
17:12pour venir voir ce spectacle.
17:14Et c'est un choix aussi
17:15d'avoir une jauge
17:16de 1200 places
17:17et pas plus grande
17:17parce qu'en fait,
17:19aujourd'hui,
17:19si je trouve une entreprise
17:20qui peut faire venir
17:21800 personnes,
17:22ce qui va être le cas
17:23avec les eaux de Paris
17:24puisqu'ils nous ont privatisé
17:26une session,
17:27en fait,
17:27si tu te retrouves
17:28dans une jauge de 3000
17:29pour 800 personnes
17:30qui veulent privatiser,
17:31tu as l'impression
17:31que le spectacle est vide
17:32et il n'y a pas
17:33l'atmosphère et l'ambiance.
17:36Exactement.
17:36Thomas, les idées ?
17:38Alors, les idées,
17:38d'abord,
17:39on va s'intéresser au ciblage
17:40un peu plus précisément
17:41que de dire
17:42comité d'entreprise
17:43même si c'est important.
17:44Il y a tous les services RH,
17:45relations humaines,
17:47RSE, responsabilité,
17:48société des entreprises,
17:49la communication interne,
17:50les agences d'événementiel
17:51en B2B
17:52qui sont acheteurs
17:53et prescripteurs
17:54surtout pour leurs clients.
17:56Les grands comptes,
17:57les PME d'Île-de-France
17:58parce qu'il faut essayer
17:59de se concentrer
18:00sur Paris,
18:00ICI-les-Moulinots,
18:01Boulogne,
18:02La Défense,
18:02Montrouge,
18:03il y a des pôles
18:03d'activités très importants.
18:04La Défense,
18:05tout le monde connaît
18:05et tout le monde sait
18:06qu'effectivement,
18:07beaucoup d'entreprises
18:07sont là
18:08et il faut les attirer.
18:10ICI-les-Moulinots
18:10n'est pas un choix
18:11non plus anodin.
18:11C'est-à-dire qu'avec
18:12tous les sièges d'entreprise
18:13qui existent,
18:13d'ailleurs,
18:14c'est un petit peu
18:14la discussion
18:15avec les représentants
18:16de la ville
18:17d'ICI-les-Moulinots.
18:17Je remercie
18:18M. Encore Santini
18:19qui souhaite...
18:20Le maire historique
18:21et qui souhaite...
18:22Souvent primé
18:23pour son humour.
18:24Vous avez dû vous entendre.
18:26On s'est vu sur des plateaux de télé.
18:27Franchement,
18:28j'adore le personnage.
18:29Et je pense que
18:30c'est aussi pour ça
18:30qu'il y a cette opération
18:32qui se monte
18:32et effectivement,
18:33le choix n'est pas
18:34complètement anodin
18:35puisqu'on espère
18:36trouver des entreprises.
18:37Alors,
18:38l'année N0
18:39qu'on est en train de faire
18:40à Paris aujourd'hui,
18:41elle sera peut-être
18:42plus productive
18:42pour l'année N1
18:43parce que là,
18:44on va séduire des gens,
18:45on va inviter plein de gens
18:46à venir voir ce spectacle
18:47pour pouvoir peut-être
18:48attraper d'autres CSE
18:50pour 2026.
18:52Thomas,
18:52il faut amorcer la pompe,
18:53vous avez bien raison.
18:54Alors moi,
18:54je compléterai aussi
18:55parce qu'il y a des personnes
18:56auxquelles on ne pense pas
18:57qui peuvent être intéressantes
18:58aussi dans ce cadre-là.
18:59C'est tous les réseaux locaux,
19:00les chambres de commerce,
19:02le MEDEF,
19:02la CPME,
19:04les clubs d'entreprise.
19:05C'est des gens
19:05auxquels on ne pense pas
19:06parce qu'on pense directement
19:07taper dans les entreprises
19:08mais il y a un effet
19:09de démultiplication
19:10grâce à ces réseaux
19:12et je pense qu'il faut savoir
19:13aller auprès d'elles.
19:14C'est effectivement
19:15une préconisation importante.
19:16C'est un peu ce qu'on fait.
19:17Moi, je cherche aussi
19:18des entreprises
19:18qui parfois n'ont peut-être
19:19que 10-20 salariés
19:21mais parce que
19:22quand tu multiplies
19:23le conjoint ou la conjointe
19:24plus un enfant,
19:25voire deux,
19:25c'est tout de suite 80 places
19:26que tu peux vendre en direct.
19:28Moi, aujourd'hui,
19:28je suis plus dans la recherche
19:29de ventes de sessions
19:30ou avec des collectivités
19:31parce qu'on va être sûr
19:33de pouvoir payer tout le monde.
19:34Je vais avoir moins de frais
19:34de communication à sortir
19:36donc en fait,
19:37l'opération va être
19:37un petit peu plus rentable
19:39et une fois qu'on a fait
19:39notre amortissement,
19:41là, on peut s'amuser
19:42à tenter un coup de poker
19:44en renouvrant des séances
19:45publiques payantes
19:46pour le grand public
19:47qui n'aurait pas pu être invité
19:49ou pouvoir assister
19:50à ce spectacle.
19:51Alors, tout à l'heure,
19:52Thomas Binet,
19:52Philippe Candeloro
19:53a soulevé
19:54avec toujours son honnêteté
19:57qu'il le caractérise.
20:00Il fait ce spectacle
20:02mais ce n'est pas lui
20:03qui patine.
20:04Alors, on le voit
20:04un petit peu au début.
20:06Donc là, il faut bien communiquer
20:07aussi par rapport à ça.
20:09Oui, après, c'est son nom.
20:10C'est la famille Candeloro,
20:11on va le dire autrement.
20:12C'est la belle en fait
20:12qu'on doit protéger.
20:13Quand tu as un nom connu,
20:15il faut savoir le protéger
20:16et nous, c'est un petit peu
20:17notre difficulté,
20:18c'est qu'on ne peut pas
20:19se permettre de faire
20:19de la merde, entre guillemets.
20:21C'est que, bah oui,
20:22parce que derrière,
20:23on sera ciblé
20:23et du coup,
20:24si on fait quelque chose
20:25de pas bien,
20:26c'est toute la chaîne
20:27en fait qui va dégringoler.
20:29Donc, effectivement,
20:29ma femme a cette exigence-là
20:31dans sa réalisation,
20:32dans sa création.
20:33Donc là-dessus,
20:34je peux lui faire
20:343000% confiance
20:35et puis moi,
20:36je suis plus sur l'aspect
20:37commercial, communication,
20:39ce que je fais aujourd'hui
20:40et du coup,
20:42le petit tour de patin
20:42qui va bien,
20:43en fait,
20:44alimente un petit peu
20:45l'ensemble de ça
20:46et tout le monde
20:46a l'air assez ravi
20:47avec la manière
20:48dont on s'y prend.
20:49Et comme vous le dites,
20:50vous communiquez
20:51et il faut investir,
20:52je pense,
20:53aussi pour aider
20:53cette commercialisation,
20:55cette pré-commercialisation,
20:56eh bien,
20:56sur les réseaux sociaux,
20:58sur le digital.
20:59Eh bien, on le sait tous,
21:00on le dit souvent
21:00dans cette émission,
21:01il y a quand même
21:01un réseau social
21:02qui est privilégié
21:03parce que vous êtes
21:04en professionnel
21:05à professionnel,
21:06le fameux B2B,
21:07c'est LinkedIn
21:07et effectivement,
21:09là-dessus,
21:09vous pouvez faire
21:09des partenariats,
21:10propulser des informations
21:11pour toucher les entreprises
21:12selon des critères
21:13très précis.
21:14LinkedIn,
21:15j'ai un peu les boules
21:15parce que je me suis fait
21:16piquer mon compte
21:17l'année dernière.
21:19Comment c'est possible ?
21:20C'est même en étant
21:23en contact
21:23avec LinkedIn France,
21:24en fait,
21:25ils n'ont jamais réussi
21:25à me faire récupérer
21:26mes informations.
21:28Donc,
21:28je n'ai pas voulu
21:28en retrouver un deuxième
21:29parce qu'à force,
21:30tu fais un boulot
21:32qui finalement
21:32va servir à des pirates,
21:33ça m'emmerde un petit peu
21:35mais effectivement,
21:35aujourd'hui,
21:35je suis un petit peu bloqué
21:36pour communiquer
21:37sur ce réseau inter-entreprise
21:39parce que c'est
21:40effectivement
21:41un réseau business.
21:41Docteur,
21:42est-ce LinkedIn ?
21:43Thomas Binet,
21:44répondez !
21:44Répondez !
21:46Effectivement,
21:46si ça fait un an
21:47que vous êtes coincé,
21:48c'est problématique.
21:49Après,
21:49il faut peut-être
21:50quand même repartir
21:50malgré tout
21:51à l'attaque là-dessus
21:52au-delà du fait
21:52d'avoir les démarches
21:53auprès de LinkedIn
21:54et d'obtenir
21:55son rétablissement.
21:57Bon,
21:58ça c'est des problèmes
21:58hors antenne
21:59qu'on peut évoquer.
22:00Vous prenez le dossier en main.
22:02Oui,
22:03parce que j'ai déjà eu
22:04des cas similaires
22:05à voir.
22:06Mais,
22:06objectivement,
22:07vous n'avez pas forcément
22:08la page
22:09Philippe Candeloro
22:10mais au nom de l'entreprise,
22:12au nom du spectacle
22:13et là-dessus,
22:14il faut y aller.
22:14Il faut communiquer,
22:15il faut mettre des vidéos.
22:16En plus,
22:17vous avez de la matière.
22:18L'homme qui réunissait
22:191,2 million
22:20de téléspectateurs
22:21avec son confrère
22:22Nelson Monfort,
22:23ça fait des images
22:24à montrer.
22:241,2 million.
22:26Absolument.
22:26C'est vrai qu'aujourd'hui,
22:27on s'est attaché
22:28les services
22:29de la société Fiverr
22:30sortir à Paris
22:31qui va permettre
22:32de communiquer
22:33et qui va faire
22:34notre billetterie
22:34sur ici les Moulinots.
22:35Donc,
22:35la billetterie est ouverte
22:36aujourd'hui
22:37pour les séances publiques
22:39payantes.
22:39Les privatifs,
22:40pour l'instant,
22:41on les réserve
22:42parce qu'on essaie
22:42de les privatiser
22:43pour une entreprise
22:45ou une réunion
22:46de plusieurs entreprises
22:47ensemble
22:48avec possibilité en plus
22:50de faire des cocktails
22:50derrière
22:51ou du privatif
22:52ou du cocktail
22:53pour pouvoir donner
22:54aussi les cadeaux
22:55de Noël
22:55parce que souvent
22:55ce qui intéresse
22:56les comités d'entreprise
22:57c'est de pouvoir donner
22:58les cadeaux
22:59ou les bonbons
23:00ou les chocolats.
23:01C'est l'aspect
23:01sérénonial.
23:03Le spectacle,
23:03des fois,
23:04c'est prétexte.
23:06Sinon,
23:06derrière,
23:07il faut avoir
23:07des salles pour ça.
23:08Peut-être qu'à l'année
23:09prochaine,
23:09on en ira à Bercy
23:10ou à l'Adidas Arena
23:11parce qu'on a
23:12sur l'ATP
23:13ou la SNCF,
23:14par exemple,
23:14c'est tout de suite
23:1515 000 spectateurs,
23:1625 000.
23:17Le prix du billet
23:18est moins haut
23:19mais le nombre
23:20de personnes
23:20qui vont pouvoir
23:24mon objectif
23:24c'est de faire
23:25continuer à perdurer
23:26le plaisir
23:27que les gens
23:27vont avoir
23:28à voir du spectacle
23:29sur glace.
23:29Et partout en France,
23:30pas qu'à Paris
23:31parce qu'il y a
23:32une opportunité
23:32à Marseille.
23:33On va à Marseille,
23:34à Montpellier,
23:34cette année,
23:34on va faire Douai,
23:35on devait aller à Dreuil,
23:36on ira peut-être à Bourges
23:37et puis il y a surtout,
23:38il faut aussi penser
23:39à la Belgique,
23:40la Suisse,
23:41on l'essaye aussi
23:42parce qu'on s'attache
23:43toujours à la France
23:44alors que des fois
23:45on est un peu mieux reçu
23:46ou mieux accepté
23:47dans les pays francophones.
23:49À Douai,
23:50c'est bien
23:54Philippe Candeloro,
23:56le séducteur,
23:57goyeur,
23:58patineur,
23:58animateur,
23:59chef d'entreprise,
24:00acteur,
24:00créateur.
24:01Thomas Binet,
24:02Candeloro,
24:02c'est une reconversion
24:03parfaite.
24:04Ah bah c'est clair,
24:05qui dit mieux ?
24:06Qui dit mieux Frédéric ?
24:07Pas encore,
24:08pas encore,
24:08il y a encore plein de projets.
24:10Parce que la vie est devant vous.
24:11C'est ça.
24:12Merci et bravo
24:13Philippe Candeloro,
24:14envoyez-nous plein de poussières
24:15d'étoiles à chaque fois
24:16que c'est possible.
24:17Rappelons le titre
24:18de votre spectacle
24:19La fille du marchand de sable
24:20sur la glace,
24:21sur glace tout simplement.
24:23Sur glace évidemment.
24:24Vous êtes invités
24:24tous les deux
24:25avec vos femmes et enfants.
24:26Toi je sais que t'as eu
24:27plusieurs compagnes dans ta vie
24:28donc tu peux dire
24:29avec les neuf enfants
24:31si t'en as.
24:33Merci Philippe,
24:35merci beaucoup
24:35d'avoir été notre
24:38dernier invité de la saison.
24:39Thomas Binet,
24:40nous y sommes.
24:40La première saison
24:41de champion du sport
24:42au business
24:42s'achève.
24:43S'achève,
24:44enfantons-en une deuxième
24:47cher compère.
24:48Eh bah vivement demain.
24:48Parce qu'on parlait d'enfanté.
24:49Voilà.
24:50Merci pour votre talent Thomas
24:52en tout cas.
24:52Cette émission s'est appuyée
24:53sur deux grands espoirs
24:54de notre métier.
24:55Elvin de Fazio,
24:56journaliste,
24:56rédacteur pour notre
24:57diffusion digitale.
24:59Anthony Urvoix,
25:00notre réalisateur
25:00handballeur au grand cœur.
25:02A la saison prochaine,
25:03espérons-le.
25:04Merci encore Philippe Candelro.
25:05Bonne journée à tous.
25:06Merci à vous.

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