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##LES_PERLES_DU_JOUR-2025-10-20##
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##LES_PERLES_DU_JOUR-2025-10-20##
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NewsTranscription
00:00Sud Radio, la France dans tous ses états, les perles du jour.
00:05C'est le plus grand des vols.
00:11Perico, que faisiez-vous hier dimanche entre 9h30 et 9h37 ?
00:17Vous voudriez que j'avoue que j'étais au château de Versailles en train d'essayer de décrocher un tableau sur lequel il y avait une très belle scène de chasse.
00:23Aucune suspicion bien sûr.
00:24Eh bien non, non ma chère Maud.
00:26C'est l'heure à laquelle le musée du Louvre a été cambriolé.
00:29Huit joyaux de la couronne dérobés en à peine sept minutes.
00:32Un scénario surréaliste puisque les auteurs de ce vol sont entrés à l'aide d'un monte-charge.
00:36Côté scène, en plein jour, une vitre brisée, le tour était joué, le musée reste fermé aujourd'hui.
00:42C'est pas seulement le sujet du jour, c'est le sujet de la semaine.
00:44Je pense qu'on va en parler longtemps.
00:46C'est vrai qu'on est sur une symbolique.
00:49Notre-Dame qui s'enflamme et qui brûle, la flèche qui s'effondre.
00:52Et là, on dit qu'ils sont rentrés dans le Louvre avec un camion et une nacelle.
00:56Je ne vois pas un camion et une nacelle s'approcher de l'Elysée.
01:00On passe dedans, on se caisse le Président de la République avec un alerte enlèvement.
01:06Le petit Emmanuel était vécu d'un jogging.
01:08Si vous le reconnaissez, vous ne prévenez personne.
01:09Voyez non, c'est impossible à penser.
01:11Je pense qu'à la Tour de Londres, au British Museum, au Prado, à Madrid, la chose est impensable.
01:17Et si elle se produit, il y a une réaction immédiate.
01:19En tout cas, il y a des têtes qui tombent, les responsables.
01:22Et là, on est aujourd'hui dans le décryptage.
01:23Alors, on a les syndicats qui disent, oui, il y a eu des baisses de budget efficacement.
01:27Et on est rentrés dans le Louvre.
01:29J'allais dire, peinards, avec des espèces de tronçonneuses, enfin, je ne sais pas s'ils avaient comme outil.
01:35Ils ont pu rentrer par la fenêtre, mais tranquillement.
01:39Des professionnels, c'est la chanson de Jean-Termain de Cabrioleur, chantée par Jacques Dutronc.
01:45C'était Georges Descrières qui jouait le rôle d'Arsène Lupin.
01:48Ils sont rentrés, ils ont pris les bijoux de la famille royale.
01:52Et puis, ils sont repartis en 7 minutes et on leur court derrière.
01:55C'est vrai que c'est surréaliste à une époque où tous les moyens de sécurité,
02:00toute l'électologie les plus pertinente, les systèmes d'alarme, de vidéosurveillance,
02:05et on peut aujourd'hui, en pleine matinée, aller au Louvre, se servir et repartir.
02:11Le vrai problème, Maud, ce sont des bijoux.
02:16Moi, je parle du trésor, qui est l'enseignement historique, l'enseignement de l'histoire.
02:19Qu'est-ce que ça représente ?
02:20Je vais vous dire, le plus grave, c'est que les gens disaient,
02:24le collier de qui ? De Joséphine, de la reine Marie-Amélie,
02:27la femme de la reine, la reine de France, épouse de Louvre.
02:30C'est qui ? C'est quoi ?
02:31Voyez, il y a une telle déperdition de valeurs,
02:34une telle déperdition de connaissances et de savoir sur l'enseignement de l'histoire
02:36qui est devenu quelque chose de monstrueux dans l'éducation nationale.
02:39On en a parlé souvent sur cette antenne.
02:41L'ignorance historique des jeunes, voilà.
02:44Et aujourd'hui, c'était des bijoux dans une vitrine.
02:47Et puis, on est venu les chercher.
02:48C'est à l'image de la France.
02:50Cette scène est à l'image de la France.
02:51Alors, maintenant, ça y est, c'est la panique générale.
02:54Je pense que les autorités compétentes sauront prendre les mesures
02:57pour que ça ne se reproduise pas.
02:58Mais je redis que dans d'autres démocraties aussi respectables que la nôtre,
03:02les gens qui ont été insouciants et peu responsables
03:06auraient évidemment payé de leur fonction ce manque à leur devoir.
03:13Alors, en tant qu'encore plus bas, Péricault,
03:15si vous vous sentez radiateur ascendant chèvre,
03:17c'est-à-dire ni homme, ni femme, ni membre de la communauté LGBTQI+,
03:20et bien, bonne nouvelle, la France Insoumise a déposé une proposition de loi
03:24pour lutter contre les inégalités.
03:27Alors, oui, c'est un député de la France Insoumise
03:30qui considère que le fait de mentionner le sexe,
03:32c'est, je crois, F et M, féminin et masculin.
03:36J'ai vérifié sur notre carte avant de venir.
03:39Il y avait quoi sur la vôtre, juste comme ça ?
03:41Enfin, j'espère, mais j'espère qu'il correspond à la réalité.
03:45C'est un reste, une anomalie du code civil napoléonien
03:48qui risque de créer une discrimination parce que si on est homme et si on est femme,
03:53eh bien, au moment de demander un emploi ou d'avoir, j'allais dire,
03:56une démarche administrative, on peut être discriminé en fonction de son sexe.
04:02Et je vous propose d'écouter peut-être ce que disait justement
04:04Jean-François Coulombe, député de la France Insoumise,
04:06ce matin sur Sud Radio, dans la matinale de Jean-François Guigny.
04:09Eh bien, la mention du sexe sur la carte nationale d'identité,
04:13c'est une sorte d'anomalie, c'est un héritage, en quelque sorte,
04:16du code civil napoléonien qui prévoyait qu'il y ait une distinction de droit
04:21entre les hommes et les femmes, étant donné que, déjà à l'époque
04:25et pendant ensuite de nombreuses décennies de siècles,
04:28eh bien, il a persisté une différence de droit entre les hommes et les femmes.
04:33Eh bien, oui, espérons.
04:36Et d'ailleurs, c'est curieux, moi je prends le contraire.
04:40C'est parce qu'on sait si c'est une femme ou si c'est un homme
04:43que peut-être on prendra conscience qu'il y a des mesures particulières
04:46à prendre, une considération à avoir envers cette citoyenne ou ce citoyen
04:49et qu'on a besoin de savoir exactement quelle est la réalité de l'État civil.
04:54C'est hallucinant.
04:55Je ne vois pas exactement où on veut en venir.
04:57Ça veut dire que le transgenre ou le non-binaire
05:00serait la référence d'État civil adoptée par la République.
05:05Quand on serait dans la neutralité, la neutralité de genre,
05:08on aurait un seul être humain sans aucune distinction.
05:11Or, c'est justement notre particularité d'homme et de femme
05:14qui fait que nous sommes des citoyens et qui agissons d'une certaine façon.
05:17Et notre responsabilité civile vis-à-vis de la citoyenneté,
05:21vis-à-vis de la République, vis-à-vis d'institution,
05:23elle est aussi parce que nous nous comportons en homme ou en femme,
05:26mais pas sur des critères de supériorité ou d'infériorité.
05:28C'est parce qu'il y a justement des attributions précises.
05:31Je ne vois pas comment on peut gommer tout ça.
05:34En fait, c'est le principe de la famille.
05:36C'est le principe de la famille.
05:37Alors, il y avait une formule épouvantable sous le régime de Vichy.
05:40Travail, famille, patrie.
05:41Alors là, on va zigouiller la famille, plus de famille.
05:43Sigouillons le travail qui est une source de discrimination.
05:46Il y a des boulots qui discriminent,
05:49une forme de travail qui pénalise des gens.
05:53Et puis, supprimons la patrie,
05:54parce que la patrie, c'est un concept nationaliste, finalement,
05:57qui, voilà, on est dans la conscience qu'on est différent des autres.
06:01Et la patrie, c'est la guerre.
06:02Donc, voilà, supprimons ça.
06:03C'est extraordinaire.
06:05Je ne vois pas où ils veulent en venir, franchement.
06:08Alors, il y a l'âge.
06:08Vous vous rendez compte ?
06:09Il y a l'âge sur la carte d'identité.
06:11Donc, à partir d'un certain âge,
06:12attention, ça peut être un vieux con.
06:14Ou alors, si c'est trop tôt, ça peut être un sale jeune.
06:17C'est très dangereux.
06:18Donc, alors, supprimons la carte d'identité.
06:19Supprimons l'identité.
06:20Et, en supprimant la République française,
06:22je suis sûr que si on creuse bien la République française,
06:25il y a des critères qui sont sujets à caution
06:26et qui justifieraient qu'on supprime la République française.
06:29La France, la France elle-même, si j'y pense bien,
06:32la France, elle n'a pas un passé toujours glorieux.
06:35Il y a eu la colonisation, il y a eu les guerres de religion.
06:39Moi, je ne sais pas, il faudrait supprimer tout ça.
06:41Allons au Groenland, avec une peau d'ours,
06:44vivons dans des igloos.
06:45Ne leur donnez pas des idées, Pélico.
06:46Voilà, non mais on va finir comme ça, assucer des glaçons.
06:49C'est pas mal.
06:49Moi, je veux bien.
06:51Alors, si c'est ça que veut la France insoumise,
06:52bon, ben, c'est leur droit.
06:53Et je donnerai ma vie en bon voltairien
06:55pour que ces gens puissent continuer à exprimer leur opinion politique.
06:58Alors, ma chère Maud, il y a eu un match, un match de foot.
07:04Vous allez me rappeler contre qui c'était ?
07:06C'était Olympique Lyonnais.
07:09Olympique Lyonnais, absolument.
07:11Et nos essénistes, voilà, ils ont voulu faire un rappel à la tragédie du 14 juillet 2016.
07:14Et le match a été interrompu à cause de ces chants, de ces cris.
07:20Ça s'est passé.
07:20C'est une certaine formule.
07:21Oui, alors, je vais vous la donner.
07:23Ça s'est passé à la 86e minute du match de football dont on parle ce samedi.
07:28Les supporters ont entonné un chant hostile envers l'État islamique.
07:31Je cite, Daesh, Daesh, on t'encule.
07:34Pourquoi ?
07:35Eh bien, oui, c'est chaud.
07:36Pardon pour les auditeurs, on était obligé de vous citer la citation dans sa version originale.
07:39Eh bien, pour rendre hommage aux 86 victimes de l'attentat du 14 juillet 2016,
07:44perpétrées sur la promenade des Anglais et revendiquées par l'organisation terroriste.
07:47Mais l'arbitre Jérôme Brizard, ne comprenant visiblement pas le message envoyé par les supporters des Aiglons,
07:53a décidé d'interrompre le match pour propos injurieux, pour homophobie plus précisément.
07:58Écoutez les réactions du public et des commentateurs.
08:01On va prendre ce ballon, mais qui est tombé.
08:03Ouais, la bouquence de...
08:0586e minute.
08:09C'est hommage aux victimes.
08:12Ah ouais, non mais là, il se trompe Jérôme Brizard.
08:15Non mais là, il ne sait pas.
08:16Ce n'est pas l'adresse du joueur.
08:18Oui, il y a des insultes qui tombent des tribunes,
08:21mais les insultes, elles sont pour ceux qui ont oublié un 14 juillet l'innommable.
08:28Donc là, il se trompe Jérôme Brizard.
08:30Il ne connaît pas ce qu'il soit.
08:32Il explique au cloche, il explique.
08:34Voilà, alors le speaker gêné a été obligé d'appeler à éviter ses chants en tribune.
08:42Après la rencontre, l'arbitre a quand même présenté ses excuses, nous raconte l'équipe,
08:46reconnaissant qu'il ignorait le contexte dans lequel s'inscrivait ce chant.
08:49Écoutez, ma chère Maud, je ne pense pas que les terrains de foot,
08:54où on peut s'exprimer, on peut exprimer sa ferveur éventuellement, sa colère, sa joie,
08:58je ne pense pas que ce soit le cadre aujourd'hui en République française
09:01où on doit exprimer des opinions aussi sensibles.
09:04Je me souviendrai, je n'oublierai jamais ce match de foot,
09:07France-Algérie, alors que Lionel Jospin était Premier ministre,
09:11où les supporters français sont descendus parce que l'Algérie était en train de perdre,
09:15ça a lancé, j'allais dire, une polémique qui n'est toujours pas close.
09:18Voilà, et aujourd'hui on récupère le terrain de foot pour manifester des sensibilités
09:23ou des opinions politiques de façon inappropriée.
09:28Je fais même allusion à ce match dans le Nord,
09:31vous souvenez, on avait traité des gens du Nord pédophiles, consanguins et alcooliques.
09:37Voilà, c'est dommage, ce sont des mœurs quelquefois de certains supporters,
09:42il faut absolument le prescrire.
09:43Ce qui s'est passé à Nice le 14 juillet 2016 est une tragédie
09:47vraiment épouvantable ce camion qui s'est lancé dans la foule
09:51et on ne réglera pas le problème,
09:53on ne résoudra pas les souffrances que cela suppose
09:58en lançant des objectifs de ce genre à connotation sexuelle
10:01dans un match de foot qui est un match où l'on vient se rassembler
10:04au nom du sport et non pas au nom de règlement de compte idéologique.
10:08Voilà ce que j'avais, ce qu'on avait à dire vous et moi sur ce fait divers
10:13qui est quand même révélateur d'une crispation.
10:15Il y a des gens qui n'en peuvent plus et qui profondent dès la moindre occasion
10:18pour manifester leur indignation, leur colère et leur souffrance.
10:21Eh bien, la forme est importante.
10:22Sur le fond, on peut s'exprimer.
10:25Sur la forme, ce n'est pas comme ça que l'on doit faire.
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