- il y a 3 semaines
MID MORNING SHOW [ Top santé ]
Thème : Accidents Vasculaires Cérébraux
Pamela Patten reçoit Dr. Mohamed Afzal Curimbacus, Neurologue ce mercredi 15 octobre 2025 à partir de 10 heures
📞Vos appels au 213 77 77
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Thème : Accidents Vasculaires Cérébraux
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Catégorie
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ÉducationTranscription
00:00C'est-à-dire que si vous avez un mal de tête, vous avez un vertige, vous avez une épilepsie,
00:04vous pouvez faire une congestion sur la tête qui nous a proposé tout à l'heure, un AVC, par exemple.
00:08C'est ça, c'est-à-dire qu'en général, un neurologue le traite.
00:11Oui. Alors, justement, on dit AVC, c'est quoi exactement? Comment on peut définir ça?
00:16Un AVC, comment on dit, c'est un événement vasculaire au niveau du cerveau qui est aiguë, il y a une urgence médicale.
00:24Et soit c'est un artère dans la tête, une bouchée par un caillou, c'est-à-dire une trombeuse, comment on dit, sa congestion.
00:33Ça, c'est 80% de mon AVC, c'est pourquoi tout le temps, un neurologue est impliqué dedans.
00:37Après, il y a un autre pourcentage, c'est un artère, c'est-à-dire qu'il est capable d'éclater dans la tête.
00:42Et là, on a un saignement. Ça, c'est un AVC hémorragique.
00:46La majorité AVC, c'est-à-dire 80%, c'est un AVC ischémique, c'est un artère, une bouchée dans la tête.
00:52Et là, il y a un symptôme neurologique.
00:55Alors, justement, ce sont ces symptômes-là.
00:58Oui, c'est-à-dire ces symptômes-là, pour détecter ça, nous avons un acronyme, nous servons ça depuis longtemps.
01:05Un acronyme en français, c'est VIT, en anglais, c'est FORCE.
01:08FORCE, F, c'est la FACE.
01:10C'est-à-dire qu'il n'y a pas de temps, il n'y a pas de temps, il n'y a pas de temps, il n'y a pas de temps, il n'y a pas de temps.
01:21C'est-à-dire que l'autre journée, il n'y a pas de temps.
01:24C'est-à-dire qu'il n'y a pas de temps de temps en temps.
01:43mettons, c'est une urgence.
01:44Tout de suite, immédiatement, on a besoin de contacter
01:46comme si un centre, que tout le monde est capable
01:48de mettre sa passion, un centre équipé
01:50pour dire avec un AVC.
01:52Dans le privé, il y a plusieurs hotlines.
01:56Par exemple, un hotline, c'est 193.
01:58Et dans le public, il n'y a pas le numéro de 5.
02:02Alors, qui est un facteur de risque
02:04et une personne à risque qui fait gagner ça?
02:06C'est ça.
02:07AVC, en général, c'est un facteur de risque.
02:10Des trois affaires que j'ai trouvées récemment
02:13beaucoup, le ministère même de la Santé
02:16peut mentionner, qui est un monsieur,
02:19être un monsieur même, c'est-à-dire
02:20male sexe, c'est un de même facteur
02:23qui est capable de gagner un AVC.
02:25C'est-à-dire récemment, je peux dire,
02:27il n'y a plus beaucoup maintenant, un monsieur
02:28assez jeune qui fait un AVC.
02:30L'autre affaire aussi, c'est l'âge, c'est-à-dire
02:32plus ou moins de l'âge qui a gagné.
02:34Ou bien parfois, il y a de la famille même
02:37qui a trouvé un risque pour faire un AVC
02:39congéchant. Ça, c'est le même facteur
02:41qui n'est pas capable de changer.
02:42Mais il y a des autres facteurs qui nous
02:43peuvent changer. Et si nous contrôlons
02:45les autres facteurs, il y a de 80%
02:47du AVC. Le plus important, c'est
02:49l'hypertension. Et moi, je connais
02:51à Maurice, après l'âge de 30 ans,
02:53apparemment quasiment un tiers de la population
02:55qui a pu souffrir de l'hypertension.
02:57Et beaucoup, là-dedans, je ne le connais.
02:59Ou bien je ne le traite assez convenablement.
03:01Ça, c'est le plus grand facteur, à mon
03:02pensée, pour faire un AVC ischémique.
03:05Là, il y a un diabète, il y a une affaire
03:07de la cholestérol, il y a une hygiène de vie.
03:09Il y a une personne, parfois,
03:10je consomme beaucoup l'alcool,
03:11je suis à risque. Il y a une personne,
03:13je ne peux pas faire assez sport,
03:14je suis obèse, bien la vie sédentaire.
03:16Ça, c'est appelé l'hygiène de vie.
03:19Ça, tout ça, c'est le même facteur du risque.
03:20Maintenant, il y a aussi beaucoup
03:21de personnes qui souffrent de la maladie
03:23du cœur cardiaque. Et là,
03:26si on a une arrhythmie cardiaque,
03:28ou bien il y a une insuffisance,
03:29on a un risque aussi qui est capable
03:30de développer un AVC ischémique.
03:37Alors, comment vous êtes détecté un AVC?
03:41Tout d'abord, nous détectons un AVC
03:42pour deux affaires.
03:43Un, comment on va dire,
03:44à travers le FOST,
03:46c'est-à-dire à travers cet acronyme-là,
03:47c'est-à-dire parce qu'on a pu venir
03:48avec ceci clinique.
03:50Deuxième, c'est à travers l'imagerie
03:52qu'ils nous font.
03:52L'imagerie ici, souvent,
03:54c'est un scanner ou bien un IRM.
03:56Le patient, comment ils viennent
03:57dans la clinique qui,
03:59OK, il y a une assez bonne facilité là,
04:01nous pouvons faire cet scanner,
04:02nous pouvons faire cet MRI.
04:04Nous finissons de confirmer
04:04que, oui, c'est un AVC ischémique
04:06ou bien c'est un AVC hémorragique
04:08et là, nous décider
04:09comment nous poursuivre le traitement.
04:13Oui, donc il y a plusieurs types
04:14quand même AVC.
04:15Le 2, AVC plus commun à Maurice,
04:17comment on peut dire,
04:19c'est-à-dire à peu près 15 à 18 %
04:21c'est hémorragique.
04:23Mais l'AVC plus commun
04:24qui va le neurologue tout le temps
04:25nous nous guetter,
04:26majoritairement,
04:27plus que 80 %, disons.
04:28C'est AVC ischémique.
04:29C'est un AVC,
04:31qu'il y a une thrombose,
04:33un caillot,
04:34une bouche,
04:34un artère dans le cerveau.
04:36Oui, et là, justement,
04:38lundi, c'était la journée mondiale
04:40de la thrombose,
04:42le 6, paralysie cérébrale,
04:44et le 29,
04:46justement,
04:48sensibilise l'AVC.
04:50Donc, ce mois d'octobre,
04:51nous cause pink octobre,
04:53mais aussi,
04:54il y a trois aspects là,
04:56et un mot pensé,
04:58il y a une différence
04:58entre tous les trois.
04:59Évidemment,
05:01quand nous causons thrombose,
05:02comme on peut dire,
05:03le 13 octobre,
05:04c'était la journée de thrombose.
05:05Thrombose, ça veut dire,
05:06majoritairement,
05:07on carregait l'île,
05:07par exemple,
05:08ou la veine de l'olipier,
05:09on l'appellera divité,
05:11ou bien une thrombose veineuse de l'olipier,
05:12ou bien nous carregait
05:13dans le cerveau
05:13qui est un peu plus rare
05:15devant l'AVC,
05:15moins 6,5%,
05:17quand nous faisons
05:18la thrombose veineuse
05:19au cerveau, cérébraux.
05:20Mais majoritairement,
05:21la thrombose,
05:22c'est au niveau de cœur
05:23et au niveau du cerveau.
05:24Ça devient l'AVC,
05:29thrombose.
05:30Trois affaires,
05:31l'équipe,
05:31le cerveau,
05:32et l'antère périphérique,
05:33ou bien la veine périphérique,
05:35ou bien la veine périphérique,
05:35ou bien la thrombose.
05:36Ça, c'est thrombose.
05:37Maintenant,
05:38quand nous causons
05:38un niveau de paralysie cérébrale,
05:41ça, c'est une condition
05:42qui est commencée
05:43dans l'enfance,
05:43c'est-à-dire,
05:44un qui est un enfant,
05:45peut-être dans ce moment,
05:46souvent,
05:47ou bien pendant sa naissance,
05:48le cerveau,
05:49il n'a quitté un sucre,
05:50il n'a pas d'origine vasculaire,
05:51il n'a pas d'origine trauma,
05:53ou bien l'inflammation.
05:54L'enfant-là,
05:55maintenant,
05:55il développe une séquelle
05:56qui, par exemple,
05:57pour progresser en général,
05:58c'est une séquelle
05:59des cas physiques,
06:00des cas émiparésies,
06:03espastiques,
06:04ou bien des troubles
06:05de la morge,
06:06ou bien des carréhénées,
06:07épilepsies,
06:07ça a des enfants,
06:08ou bien des états
06:08qui ont des troubles
06:10de mémoire.
06:11Mais ça,
06:11souvent,
06:12c'est entre l'âge 3 à 5,
06:13comme une fille,
06:13comme si ça a diagnosticé
06:14pour ça,
06:15ces enfants,
06:16à l'enfance.
06:17Évidemment,
06:18ça a des symptômes,
06:19il reste à vie.
06:20Et dans plusieurs,
06:20ça a des enfants,
06:21en général,
06:22avec un petit déficit
06:24moteur,
06:25souvent,
06:26comment dire.
06:27Maintenant,
06:28un AVC,
06:29lui-même,
06:29comment dire,
06:30ça,
06:30c'est un affaire
06:30que vous avez acquis
06:31quand vous êtes grand,
06:32par exemple,
06:33ou out of ça,
06:35large,
06:35et souvent,
06:36un AVC,
06:37très, très classique,
06:38qui est territoire
06:38du cerveau perfecté.
06:40Et un de bannes
06:41de symptômes,
06:41c'est qu'il vous gagne
06:42avec bannes AVC,
06:43par exemple,
06:43c'est un diminué,
06:44par exemple,
06:45un gouté légaux,
06:46une paralysée,
06:47les vignes dures après,
06:48ou bien les nances
06:49de bannes de séquelles
06:49qui sont développées,
06:50ou bien l'impression
06:51qu'il y a une personne
06:52qui est un symptôme
06:53un peu comme
06:53un enfant
06:54qui est en paralysie cérébrale.
06:56Un peu parce que
06:57tous les décès
06:57ont un effet
06:59le cerveau.
07:01Alors,
07:02quand un dimanche
07:03est pratiquement
07:04assez jeune,
07:05comme un réjouissement,
07:08il croit bien,
07:09il ne peut travailler,
07:10il ne coûte pas
07:11son style bien,
07:12il gagne sa AVC.
07:14Donc,
07:15il n'y a pas
07:15de facteur de risque
07:16qu'il y a,
07:17sans qu'il y connaît.
07:18C'est ça.
07:19Beaucoup de patients
07:20qui ont fait
07:21un AVC,
07:22surtout les jeunes,
07:23ont trouvé une partie
07:24des autres.
07:24Peut-être,
07:25ils ne connaissent pas
07:25par exemple,
07:26c'est hyper tension.
07:28Ou bien,
07:28ils ont fait
07:28des conditions
07:30des autres 10 ans
07:30qui ont même fait
07:31cailloux.
07:32Par exemple,
07:32une thrombophilie,
07:33par exemple.
07:34Ou bien,
07:35parfois,
07:35si une personne,
07:36une madame,
07:37par exemple,
07:37il y a votre famille,
07:38qui nous connaît,
07:39une madame,
07:40c'est un risque
07:41pour faire un AVC
07:42à travers ça.
07:43Et puis,
07:44il y a aussi
07:44des jeunes
07:45qui peuvent consommer
07:46certaines substances,
07:48la drogue,
07:50qui sont capables
07:51de faire un espasme.
07:52Et quand ça,
07:53un espasme,
07:54ils sont capables
07:54de créer
07:54une mort d'irrigation
07:57d'irrigation
07:57au cerveau.
07:58Et là,
07:58si ça n'est pas
07:59d'irrigation,
08:01il n'est pas
08:01rétiment dilaté,
08:02ils sont capables
08:03de faire un AVC.
08:04Ou bien,
08:04des jeunes
08:04qui peuvent migrer
08:05avec l'Aura,
08:06ils peuvent trouver
08:07un risque.
08:08concernant une madame,
08:10une jeune,
08:11peut-être,
08:11ils peuvent servir
08:12une pilule,
08:12l'estrogène,
08:13par exemple.
08:14Ça aussi,
08:14il faut être capables
08:15d'augmenter
08:15ce risque
08:17ou de faire un AVC.
08:19Alors,
08:19un AVC est capable
08:19d'entrer
08:20des complications,
08:20par exemple,
08:21de faire du
08:21narant de coma?
08:23Oui,
08:23c'est-à-dire,
08:24quand nous avons
08:24des patients,
08:25souvent,
08:25nous avons des scores
08:26qui nous avons.
08:27Les patients qui ont
08:28un coma,
08:28c'est les patients
08:29qui sont plus sérieux.
08:31Mais heureusement,
08:32c'est un AVC
08:32qui fait un patient
08:33narant de coma.
08:34C'est ce qui l'a
08:34postérieur.
08:36Il n'est pas autant
08:36fréquent,
08:37mais nous gagnez.
08:38Mais l'autre souci
08:39qui est arrivé,
08:39c'est qu'après un AVC,
08:40quand une patient
08:41a lité,
08:42il a risque
08:43pour gagner
08:43une complication
08:44cardio-respiratoire.
08:46Si le temps
08:46est aussi pas instable.
08:48Et là,
08:48ça va être patient.
08:48Évidemment,
08:49il commence
08:50qu'il y a un problème
08:50pour respirer.
08:52Le cerveau,
08:52maintenant,
08:53il ne peut plus
08:53un risque
08:53pour endommager
08:54parce que là,
08:55c'est une insulte
08:56secondaire.
08:56Par exemple,
08:57si on a développé
08:58une pneumonie
08:59ou bien
08:59après un AVC
09:00n'a pas pu fonctionner
09:01bien,
09:01au cerveau,
09:02puis il n'a pas
09:02guère d'ici,
09:03puis il n'a pas
09:03guère d'oxygène.
09:04Ou bien,
09:05si après un AVC,
09:05il n'a pas trop baissé,
09:07ça aussi dit qu'il n'a pas
09:07plus affecté au cerveau.
09:09Et quand l'état
09:10est empiré,
09:11ou bien parfois
09:11il n'a pas été
09:12des personnes
09:12qui ont développé
09:13un édème,
09:14un enfoir du cerveau
09:15après un AVC
09:16qui n'est pas
09:17un récit
09:17traité bien
09:18à la phase aiguë,
09:19ça va être personnellement
09:20qui a trouvé
09:20qu'ils ont
09:21pu rentrer dans
09:22un coma
09:22puis rentrer dans
09:23un sommeil.
09:24Et ça va être
09:24parce qu'on a évidemment
09:25ce risque de mortalité
09:26libière élevée.
09:27Mais il n'a quand même
09:28traitement,
09:29qui va être prise en charge
09:30de cette pratique?
09:30Nous,
09:31bien pourtant,
09:32en ce moment,
09:32Amoris,
09:33dernier au caparage
09:34depuis 2019,
09:35nous ne récifions
09:36et nous ne récifions
09:37encore.
09:38C'est en plus
09:39de traitement
09:40contenu des bousscaillots
09:41qui est un traitement
09:42très déterminé.
09:45C'est-à-dire
09:45qu'une personne
09:46détecte ce problème,
09:48ce syndrome
09:49qui a commencé,
09:50alors elle a commencé
09:51et elle a un time
09:52qui a commencé.
09:53entre ça à un moment-là,
09:55pour venir depuis
09:55nos traitements
09:56qui nous cadrent
09:56de nous autres,
09:57nous en a à peu près
09:574,5 ans.
09:59Et à un moment-là,
10:00ces patients-là
10:00viennent vers nous,
10:02nous sélectons bien,
10:03nous finissons
10:03d'autres scans,
10:04nous donnons un médicament
10:05de nos autres laveines
10:06qui est capable
10:06d'aller les boussacadula,
10:08les boussacadula,
10:10et bien les patients-là
10:10sont capables d'améliorer.
10:12Ce traitement-là,
10:13ce success rate,
10:13c'est 50%.
10:14Il n'est pas 100%.
10:15Pas tous les patients,
10:16malheureusement,
10:17nous récifions.
10:18Mais beaucoup de patients
10:19qui m'ont traité
10:20et j'ai réussi à improve.
10:21Maintenant,
10:22il y a une autre catégorie
10:22de patients
10:23qui nous dit
10:24qu'ils sont hors-terre,
10:25ils sont un gros hors-terre
10:26qui est bouché,
10:27médicament,
10:27on travaille ou bien
10:28on vient d'aller
10:29à 4,5 ans.
10:31Ça va marcher,
10:31nous sommes jusqu'à
10:32à peu près
10:32encore à 11 ans
10:33jusqu'à 16 ans
10:35après avoir commencé,
10:36qui nous commençait.
10:38Donc là,
10:38nous sommes capables
10:38d'aller dans 4 lab
10:40pour qu'ils débouchent
10:40d'hors-terre.
10:41Et ça va nous proposer,
10:42nous faisons plusieurs cliniques
10:43et nous avons des médecins
10:44qui travaillent ensemble
10:45pour nous.
10:46Donc nous sommes capables
10:47et nous sommes capables
10:49d'améliorer.
10:50Mais même s'il n'arrive
10:52à une phase aiguë?
10:53C'est ça,
10:53c'est une phase aiguë,
10:54pour moi personnellement,
10:55c'est ça,
10:56c'est la phase aiguë,
10:56c'est la phase aiguë,
10:56c'est la phase aiguë,
10:57évidemment,
10:58mais c'est moi,
10:58moi je suis tout passion
10:59le plus vite possible.
11:00C'est-à-dire,
11:01si vous pouvez faire un AVC,
11:02vous pouvez aller à une place
11:02que, par exemple,
11:03vous pouvez aller à la facilité,
11:04vous pouvez aller à un neurologue,
11:06vous pouvez aller au moins
11:06un scanner,
11:08mais évidemment,
11:08moi je suis conseillé.
11:09Moi je suis conseillé,
11:10vous pouvez aller à une place
11:10que vous avez à toute sa facilité-là
11:12et on ne laisse pas
11:13que vous avez un docteur
11:14qui est formé,
11:15vous avez une junior docteur
11:16et vous avez un neurologue
11:17qui est là,
11:18et là nous n'allons pas
11:18que vous avez à la phase aiguë.
11:19Oui,
11:20et moi je pense,
11:20le public,
11:21vous connaissez,
11:21parce que vous avez souvent
11:22affolé,
11:24vous n'allez pas que
11:24pour aller s'aller à la.
11:26Oui,
11:26vous connaissez dans le contexte
11:27maurice,
11:28malheureusement,
11:28moi je me demandais,
11:30il y a beaucoup de la neurologie,
11:31c'est quoi,
11:31RBC, c'est quoi,
11:32tout en tout cas,
11:33il y a confusion.
11:34Par exemple,
11:34beaucoup de la passion
11:35me explique,
11:35je n'ai pas une personne
11:36qui fait une congestion
11:37sur la tête,
11:38je vais penser,
11:38je vais cause une crise cardiaque.
11:40C'est ça,
11:40un souci qui nous gagne.
11:42Mais petit à petit,
11:42je vais penser,
11:4325 ans,
11:43à 10 ans,
11:44tout mon riche,
11:44je vais penser,
11:45pour essayer,
11:45un RBC,
11:47je vais gagner un RBC
11:47quand je vais aller.
11:48C'est ça qui est plus important
11:49pour nous comme neurologues.
11:51Nous encourageons
11:51ces la passion,
11:52parce que beaucoup
11:52de la passion
11:53qui viennent nous,
11:54souvent,
11:54ils viennent ce lendemain.
11:56Donc là,
11:56malheureusement,
11:57nous n'allons pas
11:58un traitement
11:58qui nous sont proposés.
11:59Nous devons seulement
12:00faire un suivi,
12:01après,
12:02nous avons un peu
12:02de complications
12:03qui peuvent aller
12:04avec une personne
12:04qui fait un RBC.
12:05Là,
12:06nous pouvons faire
12:06plus de prévention
12:07secondaire,
12:08nous avons un médicament
12:10pour empêcher
12:10tout le monde
12:11et faire un futur RBC.
12:13Oui,
12:13alors,
12:14quand le traitement finit,
12:15vous pensez,
12:16partir dans la case,
12:17et là,
12:18là aussi,
12:19c'est-à-dire,
12:20si le traitement marche,
12:2150% de nos patients
12:22nous espèrent
12:23que ça improve,
12:24et nous aussi,
12:25si le traitement ne marche,
12:26ou bien,
12:26il ne reste pas
12:26de ce traitement,
12:28là,
12:28c'est dépendant,
12:29qui déficit de ce ténat,
12:30souvent,
12:30nous avons un déficit moteur,
12:32balance,
12:33et là,
12:33nous commençons
12:33à faire réhabilitation.
12:35Et à Maurice aussi,
12:35nous avons bien amélioré
12:36réhabilitation,
12:37dans les privés,
12:38surtout,
12:39parce que dans tous
12:39nos cliniques privées,
12:40nous avons un bon physio
12:41qu'il a,
12:42et même nous avons un nouveau centre
12:43qui nous fait couvert
12:44ici même à Pau-Lui,
12:46je ne vais pas mentionner ce nom,
12:47mais un centre qui nous fait
12:47qui nous a pris
12:48beaucoup d'équipements.
12:49Je pense que nous avons
12:50un centre équipé
12:50dans l'échéan indien,
12:51peut-être après
12:52l'échéan indien aussi,
12:54on a évidemment
12:54pour un pays développé
12:56comme la France.
12:57Mais à Maurice,
12:57maintenant,
12:58nous,
12:58nous avons beaucoup
12:58de facilités
12:59pour être nous
13:00de notre passion.
13:00Nous avons une neuroréhabilitation
13:02qui nous peut faire beaucoup.
13:03Il est bien important.
13:04Moi,
13:04moi,
13:04pensez à la neuroréhabilitation,
13:06c'est très, très important.
13:07Et la majorité,
13:07moi,
13:07je me suis de la passion.
13:09Après le premier 24 heures,
13:10je commence à être stabilisé,
13:11moi,
13:12comme si je me commence
13:13à,
13:14on s'amène
13:14que je me suis de la physiothérapeute,
13:15je me commence
13:15un programme
13:16pour nous de notre passion.
13:17D'accord.
13:18Nous fais une pause,
13:18on a déjà
13:19comment se téléphone nous
13:19le 213-77-77.
13:51This Navaratri
13:53brings purity
13:54and devotion
13:55to your plate.
13:58Advigantra
13:59Every dish
14:00is made
14:01with love,
14:02sattvic,
14:03wholesome
14:03and clean.
14:05Food
14:06that nourishes
14:06the body
14:07and uplift
14:08the soul.
14:09The Navaratri
14:22special
14:23Celebrate purity,
14:25celebrate tradition,
14:27celebrate love.
14:28Nietzsche
14:29iqué
14:30Nothing
14:33There
14:34is
14:35as
14:40as
14:41as
14:41as
14:43as
33:24que tu pourras réguler sa mobilité et sa vertige pour améliorer.
33:28Et là, il y a une aide en physio ?
33:30Oui, évidemment, il y a une aide en physio qui va faire une thérapie pour une bonne passion.
33:35Oui. Alors, nous connaissons le 29, Mdjadithalela,
33:38nous observe une journée mondiale de sensibilisation
33:42contre ce qui nous peut causer AVC, accident vasculaire cérébral.
33:47Et le thème choisi par l'Organisation mondiale de la santé, l'OMS, cette année,
33:51c'est l'importance de la prévention.
33:53Donc, nous connaissons, prévenir, c'est guérir, prévenir, c'est bien important,
33:59dans n'importe qui maladie.
34:00Oui, c'est ça, comme ça, malgré la science étant évoluée,
34:04toute maladie d'origine vasculaire, qui l'est corps, qui l'est cérébral,
34:08comment on peut dire, si une personne fait un AVC,
34:10il n'y a pas un récit de donner un bon traitement,
34:12comment on peut dire, il peut améliorer seulement 30%,
34:17si une donnée ce traitement, un bon traitement,
34:20dit « one is to one », c'est-à-dire les 50%.
34:22Mais la prévention, vous pouvez dire, si vous faites une bonne prévention,
34:25avec tout mal de facteurs de risque,
34:28il a un sens qui est 80% de la personne, par exemple, vous gagnez un AVC.
34:31C'est-à-dire, la prévention, finalement, l'il a,
34:33de toute mal de maladies vasculaires,
34:35il commencez par une hygiène de vie,
34:37notre mode de vie,
34:39il vient aussi pour contrôle de mal de facteurs de risque,
34:41comme un maurice, on a beaucoup de diabétiques,
34:44beaucoup de mal de hypertension,
34:45nous vous a trait tout ça.
34:46Évidemment, même si nous connaissons le mail,
34:50le monsieur, ou bien l'âge,
34:52ou bien parfois une prédisposition familiale,
34:54il y a un cas comme ça,
34:55que génétiquement, il y a une condition,
34:57que je ne fais pas un AVC,
34:58mais souvent, nous faisons beaucoup de mal de efforts
35:00pour venir, pour pouvoir supporter cette personne-là aussi,
35:03mais là aussi, nous ne pouvons pas faire beaucoup d'efforts,
35:04comme si, pour diminuer nos risques.
35:06Et comme on peut dire,
35:08la majorité des facteurs de risque pour un AVC,
35:10nous ne pouvons pas contrôler.
35:11Dans le sud, la rivière des Anguilles,
35:13Yvette, bonjour.
35:15Bonjour.
35:16Oui, bonjour, monsieur.
35:18Oui, allez-y.
35:18Bonjour, docteur, bonjour, tout le monde.
35:21Oui, moi, moi, je fais un témoignage,
35:23où le docteur, il fait un témoignage comme ça,
35:25il fait que je disais là,
35:27comment il paraît que le malade,
35:30il a besoin d'amener le docteur plus vite qu'il est capable.
35:33D'accord?
35:34Oui.
35:35Vous pouvez écouter moi là?
35:36Oui, bien sûr.
35:38Oui, moi, qui n'arrive, moi.
35:39Moi, tu peux prendre mon maman,
35:41tu peux voyager ensemble avec moi,
35:43dans le tour, ok?
35:44Je vais faire un témoignage, là, ok?
35:46Je vais arrêter une petite patisserie,
35:48suisse qui a pip, là.
35:49En place, là, moi, moi, je n'ai pas comme ça,
35:51je ne vais pas trop bien, ok?
35:53Tout de suite,
35:55moi, je vais le tour,
35:57un signe,
35:57je vais, là,
35:58que je libéris,
36:00c'est français,
36:00on va en place,
36:01moi, tout le docteur privé, ici, là.
36:03Tout de suite,
36:04moi, même dans une minute,
36:05je vais finir,
36:06parce que ça docteur, là.
36:08Ça docteur, là,
36:09donne-moi un papier,
36:10légèrement comme ça,
36:10et je vais prendre le lit
36:11dans l'hôpital
36:12plus vite qu'il est capable.
36:13Ok?
36:14Je vais prendre le lit
36:14dans l'hôpital Rosbile.
36:16L'hôpital Rosbile,
36:18là-bas,
36:18je vais transformer.
36:19Ok?
36:20Si ça vous fait,
36:21ce n'est qu'un jour,
36:22ok?
36:23Il a remettre ça,
36:24là-bas,
36:25trois,
36:25premier jour,
36:26je n'ai pas fait rien,
36:27moi, le docteur,
36:28il n'est arrivé,
36:29par qu'on est un deuxième jour, par qu'on est un troisième jour, mon maman attaqué dans l'hôpital.
36:33Elle me dit, moi, tu peux m'encher, il y a un hôpital, il y a attaqué.
36:36Maintenant, le temps que je suis à un temps dans l'hôpital,
36:40je me dis, mon docteur, il n'y a pas de dire qu'il n'y a rien,
36:42c'est un coup d'amour de mon maman qui m'a dit, il n'y a même pas de l'hôpital.
36:45L'an demain, il donne moi des choses finies depuis aujourd'hui.
36:48Mon maman attaqué même.
36:50Mais non, il n'y a pas de faire.
36:52C'est ça, c'est ça, vous pouvez dire, nous, vous amène plus vite.
36:55Mais qui visez, vous pouvez dire, moi, une malade, une minute, je vais aller passer au docteur, tout de suite.
37:01Et depuis aujourd'hui, mon maman attaqué, il n'y a fini.
37:05Oui, c'est-à-dire, comme on peut expliquer, au début, une gare d'un docteur du privé,
37:10et le docteur-là, en bonne forme, il dirige vous, il y a une institution de santé.
37:14Moi, pensez, les mauriciens, dans les années à venir, pour éviter des cas comme ça,
37:18c'est, vous avez assuré, vous avez une place que vous avez une facilité pour un AVC.
37:21Moi, pensez, vous avez une place que vous avez une facilité pour un AVC.
37:25Peut-être pas, c'est-à-dire une neurologue aussi.
37:27Mais ça, il y a beaucoup d'années, des années, moi, je travaille là, là.
37:30Parce que, moi, on peut dire, à côté, par la Syrie Suisse, à côté même, il y a des cliniques,
37:34quand nous avons une facilité, là, par exemple.
37:36Moi, moi, dans le privé, moi, je vous ai dit, pour le privé.
37:38Oui, pour faire l'argent, faire l'effort.
37:40Mais, comme moi, on peut expliquer, récemment, moi, je vous ai dit qu'un quelqu'un,
37:43qui, le traitement pour l'AVC, même, après tout ça, l'année des efforts,
37:47nous n'aurait si jamais de médicaments qu'il nous peut servir,
37:49qu'il y ait encore le prix qu'il y était avant, dans le privé même.
37:53Nous faisons beaucoup de travail, Lola, que nous bring down the cost for the patient.
37:57Mais ça, c'est le privé.
37:59C'est le privé.
38:00Mais juste pour vous connaître, est-ce que vous pensez une une l'espoir pour ça, madame-là?
38:03Moi, mon pensez, dans un cas-là, il y a un avc ischémique qui progressait graduellement,
38:08peut-être quelques heures, quelques jours.
38:09Peut-être, ça, quand-là, c'était comme ça.
38:11Peut-être, au début, parce qu'on a disparu, il y a une rentrée, l'hôpital,
38:14souvent, nous tendons à, moi, rentrer, moi, c'est, moi, c'est aussi le civier.
38:18Mais parfois, mon avc, il y a comme ça, il y a un peu tricky parfois,
38:20parce que, après, il y a un cas, il y a un peu plus de boucher, il y a un peu plus de tiguit, tiguit, tiguit, tiguit.
38:24Mais sans aucun, je ne vais pas parler d'aucun commentaire controversé,
38:30parce que là, c'était ni un traitement privé et public.
38:33Mais, malheureusement, parfois, beaucoup, madame-pachant, malgré nous faire beaucoup d'efforts,
38:37malheureusement, j'ai fini qu'on peut être un avc et qu'on peut trouver,
38:40parfois, dépendant de qui qu'il y a un théâtre, les séquelles sont là, oui, c'est ça.
38:44Pour terminer, vous, ça compte un jour de quelque chose?
38:46Pour nous, un peu autant, c'est tout d'abord,
38:49il n'y a pas de qui personne pensait qu'il peut faire un avc.
38:53C'est un avc aigu.
38:55Il y a un traitement, parce qu'avant, vraiment, au cas de dire,
38:58avant l'année 2000, là, on ne s'est capable de ne pas tenir aucun traitement,
39:02mais les dernières 15 ans, on a un traitement.
39:04Il doit être pour tout, c'est tout dans le privé.
39:05Moi, on réfléchit un peu au service privé.
39:08Quand on a mal facilité, on a l'imagerie pour tout.
39:11Et le patient vinile, il vient attendre dans ce wind-deux-periodes.
39:14On a aussi beaucoup de neurologues aussi qui est maintenant exercé dans le privé.
39:18Quand on est capable de donner ça à ce soin-là,
39:19et dans le futur, on pense, on peut aussi attirer sa target,
39:22comme si on gagne le maximum de patients pour nous donner un traitement d'avc
39:26et nous diminuer les séquelles de l'avc, comme on peut dire.
39:29Parce que quand on a une personne qui peut venir, jeune, jeune,
39:33et puis une personne qui dit bien avant, elle peut venir,
39:35elle ne peut pas aller au wheelchair,
39:37elle ne peut pas aller au pied, elle ne peut pas aller au pied,
39:40mais c'est beaucoup, beaucoup de souffrance.
39:42Et cette personne-là, je ne peux pas rester retourner dans le travail aussi.
39:45Il y a une grande fordée sociale,
39:47et même au niveau de la sécurité sociale aussi.
39:51Moi, on pense, il y a une grosse pression.
39:52En tout cas, merci beaucoup.
39:55On lui cause un petit peu plus l'avc.
39:59Et moi, je pense, avec tout un conseil que vous donnez là,
40:01il y a un cas pour diminuer.
40:03Merci.
40:04Oui, merci.
40:05Au même pas mal.
40:05Dopp FM, mid-morning show.
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