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  • il y a 21 heures
Emission TV : Quelle Epoque Thierry Ardisson sa derniere télé (France,10 mai 2025)

Quelle Epoque Site officiel : https://www.francetelevisions.fr/et-vous/participer-a-une-emission/quelle-epoque-13501

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Transcription
00:00L'article, on va vous faire l'article à l'heure du jugement dernier.
00:03Thierry Gardisson, qu'est-ce que vous n'avez jamais osé dire à Dieu ?
00:08Eh bien, merci de m'avoir donné la foi.
00:10Enfin, ce n'est pas de moi, c'est Ophélie Winter.
00:16On reste dans les forces de l'esprit.
00:20Qu'est-ce que vous n'avez jamais osé dire à Jésus ?
00:24Qu'est-ce que j'ai jamais osé dire à Jésus ?
00:27Où t'en es avec Marie-Madeleine ?
00:30Au pape Léon XIV, le nouveau, celui d'il y a deux jours.
00:33Oui, oui, formidable.
00:36J'adore, moi, je suis très...
00:38Vous avez pleuré ?
00:39Quand il a été élu, quand il est arrivé, quand on l'a vu à la télé...
00:42Vous avez eu les larmes ?
00:43J'étais obligé de quitter le discours d'Emmanuel Macron, vous vous rendez compte ?
00:46Qui était bien écrit, d'ailleurs.
00:49C'est pas...
00:51Oui, c'est dommage.
00:52Je suis allé voir le pape.
00:55Non, ce que je lui dirais, je dirais, que tu sois contre l'avortement,
00:58c'est normal, t'es pape.
01:00Maintenant, sur le mariage des prêtres, là, tu fais une connerie.
01:05Laurent Baffi, qu'est-ce que vous lui diriez ?
01:07Tu es con, tu es machiste, mais je t'aime.
01:12Bon, on revient sur la séquence d'il y a deux semaines, quand même.
01:15Baffi qui s'excuse, ça n'a pas plu à Ardisson.
01:16C'est Lara Fabian qui a dit, dans une interview, qu'elle avait été blessée.
01:21Elle a dit, quand j'allais chez Ardisson, il faisait un bon numéro de duétiste.
01:24Ardisson et Baffi, elle avait raison.
01:26On avait un numéro de duétiste, tous les deux, et on n'était pas très fins.
01:30Moi, je pense qu'il faut s'excuser.
01:32Et quand on fait des erreurs...
01:33L'autre jour, je voyais une compil de vannes qu'on faisait,
01:35des petites chanteuses, pardon, Louane, ou ce qu'on appelait des proies faibles.
01:39Il y a des fois où...
01:40Vous appeliez ça des proies faibles.
01:43Oui, oui, du grand amour, les chanteuses avec Thierry,
01:46on n'était pas tendre, et il y a des choses qui me font honte, oui.
01:50Je vous jure, sur la tête de mes enfants,
01:53que je n'ai jamais employé le mot de proies faibles.
01:55Ce n'est pas du tout ma mentalité.
01:57Ça fait le violeur qu'attend la joggeuse au coin du bois.
02:00J'attends ma proie faible.
02:02Moi, quand il y avait Brett Estonis, j'entendais Brett Estonis.
02:04Quand j'avais Mélanie Thierry, j'entendais Mélanie Thierry.
02:07Je veux dire, il n'y avait pas...
02:08Mais vous le savez, il y a toutes ces actrices, ces chanteuses...
02:10Je leur réponds dans le livre.
02:11Oui, vous leur répondez dans le livre.
02:13Mélanie Thierry fait partie.
02:14Il y en a eu plein d'autres, Christine Angot, Emmanuel Béhame,
02:17Raina Géocorpe, qui disent qu'elles ont l'impression
02:19d'avoir été sexualisées, d'avoir été invitées uniquement
02:21pour être un meuble, parce qu'elles étaient belles.
02:22Peut-être que vous pouvez répondre, vous,
02:24vous n'avez pas ressenti ça quand vous avez...
02:26Absolument pas.
02:27Mais qu'est-ce que vous entendez aussi, qu'a posteriori...
02:30Il y avait, non, alors prenons les choses dans l'ordre,
02:32il y avait, quand les gens venaient chez moi,
02:34il y avait l'interview bio, d'où les gens venaient,
02:37ensuite l'interview promo, parce qu'ils étaient là
02:39pour vendre quelque chose, et ensuite il y avait une interview
02:41qui durait trois minutes, qui était l'interview formatée.
02:44Donc, mais je ne l'ai pas fait qu'à ces filles-là.
02:46Sucé s'est trompé, je l'ai fait à Rocard.
02:48Donc, je veux dire, on ne peut pas dire que ce soit une jeune actrice.
02:52Non, mais je trouve ça dingue.
02:53Alors, en plus, elle venait, elle savait où elle mettait les pieds,
02:55entre nous, hein, c'était pas un...
02:56C'était pas un traquenard,
02:58et non pas un trapenard.
03:00Et donc, elle venait, elle savait où elle mettait les pieds,
03:03et puis, il faut dire aussi une chose,
03:05c'est qu'on n'était pas dans l'emprise amoureuse,
03:07ça n'avait rien à voir avec tout ça.
03:09Elle venait pour faire de la promotion des morts.
03:10Mais convenez que ça a changé, tant mieux.
03:12Je veux dire, tant mieux que les femmes, aujourd'hui,
03:14vous seriez à ma place, ce serait un peu différent.
03:17Même vous.
03:19Je ne vous dis pas...
03:19La preuve, c'est que dans Paris dernière,
03:21au lieu d'aller aux chandelles, je vais à Saint-Eustache à la fin.
03:23Donc, si vous voulez...
03:24Oui, parce que vous avez fêté les 30 ans de Paris dernière.
03:27C'était l'émission hyper sulfureuse, ça aussi.
03:29Enfin, je ne sais pas si vous...
03:30C'était extraordinaire.
03:31C'était extraordinaire dans les rues de Paris.
03:34Dans les rues de Paris, vous alliez dans les bois.
03:35Non, mais c'est là, la créativité.
03:36Ce qu'on se disait, pardon,
03:37mais c'était des inventions d'émissions,
03:39parce qu'il ne faisait pas que les présenter.
03:41Il les avait inventées.
03:42Moi, de ce point de vue-là,
03:43je trouve que c'est vrai qu'il faut étudier le artiste.
03:44Il faut étudier le artiste.
03:47Vous avez bien fait de venir avec Apolline de Mollet.
03:48Moi, l'herbe, quand même.
03:49Là, désormais, je ne t'accompagne pas tout.
03:54Sérieusement, sérieusement.
03:58Elle savait où elle mettait les pieds.
03:59Elle venait vendre des bouquins.
04:01Et puis, ce qu'il faut dire aussi,
04:03c'est que ça, ça se passait sur Antenne 2,
04:05dont la patronne était Michel Cotta.
04:07Et Michel Cotta, qui avait tout pouvoir sur moi,
04:09parce qu'elle était ma patronne...
04:11Laissait passer.
04:11Laissait passer.
04:12Donc, à partir du moment où Michel Cotta laissait passer...
04:15Je vais vous dire, vous savez pourquoi elle laissait passer ?
04:17Parce qu'il n'y avait pas les réseaux sociaux.
04:19C'est ça la grande différence.
04:20Oui, peut-être, oui.
04:20Et puis aussi parce qu'elle était libérale.
04:23Alors, à l'heure du jugement dernier,
04:24qu'est-ce que vous n'avez jamais osé dire à Christine Angot ?
04:27Si tu étais aussi mal traité en 1999,
04:32pourquoi est-ce que tu es revenu en l'an 2000 ?
04:34Parce qu'en général, quand on va quelque part
04:35et qu'on mange mal, on n'y retourna pas.
04:37À l'heure du jugement dernier,
04:38qu'est-ce que vous n'avez jamais osé dire
04:39à votre idole John Lennon ?
04:41Dont vous parlez aussi d'un livre qui a invité.
04:43Mais pourquoi tu as quitté les Beatles pour Yoko Ono ?
04:48C'est une question de Baby Boomer.
04:51C'est bien de le préciser.
04:52Vous n'avez toujours pas compris.
04:53Je n'ai toujours pas avalé.
04:54Et les Beatles vous racontiez
04:55que vous faisiez tout pareil comme eux.
04:56Quand ils divorçaient, vous divorciez.
04:58Quand ils se mariaient...
05:00Quand ils partaient en Inde, je partais en Inde.
05:02J'ai toujours été très fan des Beatles.
05:04Et quand ils se sont séparés,
05:05c'était vraiment un drame pour moi.
05:07Qu'est-ce que vous n'avez jamais osé dire
05:09à Karl Lagerfeld ?
05:10Comment tu as fait pour rentrer dans un petit 34 ?
05:12Karl Lagerfeld, à l'époque du palace,
05:16il était joufflu, il était gros.
05:18Puis après, il est arrivé comme ça,
05:19il était slim, quoi.
05:21Qu'est-ce que vous n'avez jamais osé dire
05:22à Johnny Hallyday ?
05:24À quel âge on t'a dit que ton père était collabo ?
05:26Alors ça, c'est incroyable.
05:27Vous racontez ça dans le livre,
05:29que Johnny, quand il était môme à l'école,
05:31on lui disait fils de collabo, fils de collabo.
05:32C'est vrai, ça ?
05:33Oui, ça explique son attitude.
05:35Johnny était très renfermé, très bunkerisé.
05:38Et en fait, son père s'occupait
05:39de la télé allemande à Paris pendant la guerre.
05:41Et donc, après la guerre,
05:44il n'est pas du tout parti à l'étranger pour une femme.
05:46Il est parti pour échapper à l'épuration, en fait.
05:48Et Johnny le savait, évidemment,
05:50puisque son oncle a passé 3 ou 4 ans à Drancy,
05:53après la guerre.
05:54Et Johnny le savait.
05:55Et à l'école, on le traitait de fils de boche.
05:57Donc c'est sûr, ça ne vous met pas dans un bon état, quoi.
05:59À l'heure du jugement dernier, Thierry Hardisson,
06:01qu'est-ce que vous n'avez jamais osé dire
06:02à Cyril Hanouna ?
06:03Qui est aussi dans le livre.
06:04Cyril Hanouna, oui.
06:06Maintenant que tu ne fais plus la promotion de Marine Le Pen,
06:08tu vas faire quoi à la télé ?
06:10Il va aimer.
06:13J'espère.
06:13C'est pour lui.
06:14C'est une dédicace spéciale, Thierry.
06:15Qu'est-ce que vous n'avez jamais osé dire à Dieudonné ?
06:18À mon cher Dieudonné,
06:20pendant la guerre,
06:20la police française a envoyé des enfants de 6 ans
06:24et des héros de la guerre de 14-18
06:25dans des camps d'extermination.
06:26Pourquoi tu l'as oublié ?
06:29Parce que c'est lui qui a ouvert la porte à l'antisémitisme,
06:31il faut savoir.
06:31En 2004, je l'ai viré en direct de mon plateau.
06:34Ça, vous dites,
06:34j'ai toujours mis un point d'honneur
06:35à inviter des infréquentables,
06:37mais Dieudon et Soral,
06:38c'était plus possible.
06:38Ah ben non, on ne peut pas.
06:39La France, moi,
06:41mes parents n'ont jamais vendu du bar aux Allemands.
06:43Mais je veux dire,
06:44moi, l'attitude de la France
06:45pendant la guerre de 40,
06:47mais moi, j'en ai honte.
06:48Ça, voilà un truc dont j'ai honte.
06:50Là, il dit,
06:50vous imaginez,
06:51c'est les pages préférées du producteur
06:53qui a adoré votre livre,
06:54Régis,
06:56et il dit,
06:56l'interview avec Lady Di,
06:57elle est incroyable.
06:58Oui, il m'a dit ça, oui.
06:59Et c'est vrai qu'elle est jolie.
07:01Vous imaginez,
07:02vous ne l'avez jamais interviewée,
07:03mais vous imaginez que vous l'intervieviez
07:04le jour de ce jugement dernier.
07:06Vous lui dites,
07:07vous n'avez jamais regretté
07:08de ne pas être resté sagement marié,
07:11quitte à ce que votre mari est une maîtresse
07:12et vous des amants.
07:14Elle vous répond,
07:14je suis morte avant de le regretter.
07:17Dites-moi, Thierry,
07:18est-ce que Charles a épousé Camilla ?
07:20Oui, et elle est reine.
07:23Un an, je passe.
07:25C'est vrai que moi,
07:26au début,
07:26j'étais un peu ridicule.
07:28Je disais,
07:28elle n'est pas capable
07:29d'être princesse de Galles.
07:30Elle ne sait pas que c'est...
07:31Ce n'est pas une cinécure d'être roi.
07:33Donc,
07:34elle ne supporte pas.
07:36Puis j'ai compris qu'en fait,
07:37pas du tout.
07:37Ils l'ont choisi
07:38pour faire des enfants.
07:39Ils savaient dès le début
07:40qu'il allait rester avec Camilla.
07:42Et ils l'ont amené à l'abattoir.
07:44Je veux dire,
07:44c'est vraiment...
07:45C'est tragique.
07:46C'est une tragédie incroyable.
07:48Moi, la question que je lui poserai,
07:49en fait,
07:49c'est de savoir aussi
07:49si Harry est bien
07:51le fils de Charles.
07:53Vous n'y croyez pas ?
07:54Je n'y crois pas une seconde.
07:55Il ne ressemble pas du tout à Charles.
07:56Vous lui posez.
07:57Vous pensez...
07:57Qu'est-ce qu'elle répond ?
07:58Elle ne répond pas.
07:59Mais vous pensez
08:00que c'est le fils de qui ?
08:01De Ewitt,
08:02l'écuyer, là.
08:04C'est comme une évidence.
08:05J'adore,
08:06il le dit comme ça.
08:06De Ewitt,
08:07l'écuyer, évidemment.
08:08Vous êtes toujours royaliste ?
08:10Vous savez,
08:11quand on est royaliste,
08:12on est royaliste.
08:13Oui,
08:13moi,
08:13je suis royaliste.
08:14Non,
08:15on peut changer.
08:15Quand je vois ce qui se passe...
08:17Plus que jamais.
08:18Plus que voilà.
08:19Le jour du jugement dernier,
08:20qu'est-ce que vous diriez ?
08:21Qu'est-ce que vous n'avez jamais osé dire
08:23à Catherine Barma ?
08:25Moi,
08:26Catherine,
08:27que j'aime,
08:28elle a fait la moitié de ma carrière.
08:29Je veux dire,
08:31c'est...
08:33Je ne sais pas,
08:33on s'est disputé,
08:34on s'est rabiboché.
08:35Mais qu'est-ce que vous vous êtes disputé ?
08:36Ben oui,
08:37mais avec elle,
08:37c'est difficile de ne pas se disputer.
08:39Moi,
08:39je ne me suis jamais disputé avec elle.
08:41Merci.
08:41Ah,
08:42Laurent Ruquier,
08:43lui aussi,
08:43vous vous êtes disputé,
08:44rabiboché.
08:45Laurent,
08:45il a oublié que j'ai inventé,
08:46on a tout essayé,
08:48qu'il s'est acheté deux maisons
08:49et il ne s'en souvient pas,
08:51apparemment.
08:54Vincent Bolloré.
08:55Bon,
08:55la phrase,
08:56je l'ai déjà dite,
08:57mais bon,
08:57je n'ai rien trouvé.
08:58C'est vrai que,
08:59à quoi ça sert d'être milliardaire
09:00si on ne peut pas se payer
09:01Thierry Ardisson,
09:02quoi ?
09:02C'est...
09:03Audrey Frescomara,
09:09une question,
09:10le jour du jugement dernier.
09:11Ben,
09:12en fait,
09:13Audrey,
09:13bon,
09:13on s'aime ça,
09:14mais au-delà de ça,
09:16que ce soit les journaux télévisés,
09:18les portraits de 7 à 8
09:19ou le documentaire
09:20qu'elle a fait sur moi
09:21qui paraît-il est formidable
09:22que je n'ai toujours pas vu.
09:23Oui,
09:23parce qu'elle a fait un doc sur vous
09:24qui va sortir à la rentrée.
09:25Je sais que chez TF1,
09:26ils l'ont beaucoup apprécié,
09:27moi,
09:28je ne l'ai pas vu.
09:28Le deal entre nous,
09:29c'était que je ne le vois pas.
09:31Mais alors,
09:31elle est terrible,
09:31parce que quand on a fait
09:32ce documentaire,
09:33alors on faisait le documentaire,
09:34elle m'interviewait,
09:35et puis quand je répondais,
09:36elle me disait,
09:36non,
09:36non,
09:36ça,
09:36c'est ce que tu dis
09:37aux journalistes.
09:39Ça,
09:39c'est pour nous,
09:39Apéline.
09:40Ça,
09:41c'est ce qu'il nous laisse.
09:41Voilà.
09:42Ouais,
09:43bon,
09:43elle me connaît suffisamment,
09:44évidemment.
09:44Non,
09:45je suis très fier d'elle,
09:45en fait.
09:46En dehors de l'amour,
09:47je suis fier de sa carrière,
09:48oui.
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