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  • il y a 21 heures
Depuis plusieurs jours et la démission du Premier ministre Sébastien Lecornu, les déclarations contradictoires s’enchainent dans le bloc central. Pour le député PS Philippe Brun, «le mot bordel est le bon mot» pour qualifier la situation politique actuelle.

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Transcription
00:00Bien sûr, il faudrait être sourd, aveugle
00:01pour ne pas se rendre compte de l'immense
00:03le mot bordel et le bon mot.
00:06C'est vrai, il y a une cacophonie
00:08au plus haut niveau de l'État
00:09et y compris d'acteurs
00:11comme Bruno Rotaio, on ne s'attendait pas à ce que
00:13LR s'aborde Sébastien Lecornu. Ce que l'on oublie
00:15de dire, que ce n'est même pas nous,
00:17le RN ou la gauche qui avons censuré M. Lecornu.
00:19Il n'a même pas eu le temps de compter son gouvernement
00:21que le socle qui est très faible
00:23sur lequel il s'appuie, c'est lui-même
00:25auto-saborder de gens qui prétend
00:27être le parti de l'ordre, du respect
00:29des institutions, du sens de l'État.
00:32Tout ça est évidemment désespérant.
00:34Alors, bien sûr, moi je comprends
00:35ce sentiment
00:36qui donne vers des goûts que les gens
00:39très sincèrement.
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