- il y a 2 jours
Bonsoir DICI accompagne les téléspectateurs de BFM DICI dans leur soirée avec un focus sur l'actualité locale : infos, météo, sport, trafic.
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00:00Bonsoir, bonsoir, bonsoir, bonsoir, bonsoir, bonsoir, bonsoir, bonsoir d'ici.
00:13Vous êtes sur BFM d'ici, bienvenue dans Bonsoir d'ici, je suis ravie de vous retrouver.
00:19Au sommaire, son avocat s'est exprimé sur BFM d'ici après sa condamnation.
00:24Le maire de Sainte-Croix du Verdon écope de 4 mois de prison avec sursis pour avoir mordu son fils.
00:30L'avocate du garçon âgé de 11 ans prend la parole à son tour.
00:34Elle accuse la défense de Bruno Bourjac de minimiser les faits.
00:38Il cause parfois des dégâts monstres chez les particuliers et les agriculteurs assisteront.
00:43Les sangliers étaient chassés ce matin, une battue administrative qui avait pour but de réguler la population.
00:49Ils ne dévoilent jamais leur cachette, c'est une règle.
00:53Mais une fois n'est pas coutume, nous sommes partis à la cueillette des champignons avec Jacques, un spécialiste en la matière.
00:59Rendez-vous en fin d'édition, quelque part au cœur de la forêt de Boscodon.
01:04Vos prévisions météo pour demain matin.
01:0613 degrés du côté de Saint-Jean-Saint-Nicolas dans les Hautes-Alpes jusqu'à 16 degrés l'après-midi.
01:12Et il fera plus chaud dans les Alpes-de-Haute-Provence si vous habitez à Mirabeau par exemple.
01:16Comptez 15 degrés demain matin, 19 l'après-midi.
01:22C'était vendredi dernier sur BFM d'ici.
01:25Maître Pascal Antic, l'avocat de Bruno Bourjac, avait pris la parole dans l'affaire des violences sur son fils.
01:34L'avocate du fils justement du maire de Sainte-Croix du Verdon a tenu à réagir aux propos de son confrère.
01:40Selon elle, ce dernier a minimisé les 4 mois avec sursis dont a écopé Bruno Bourjac.
01:46Mais il avait aussi et surtout minimisé le traumatisme vécu par l'enfant atteint d'un trouble autistique
01:52et particulièrement perturbé par cet épisode de violences écoutées.
01:57On a exposé le fait qu'il n'y avait pas eu de marque, ce qui est faux.
02:02Il y a bien eu une marque sur la main de l'enfant.
02:07Et d'ailleurs, il y a une photographie qui a été produite dans le cadre de l'enquête.
02:13Il est bouleversé, il est bouleversé par ce qui s'est passé.
02:19Il est triste, c'est un enfant qui va mal.
02:21Ça ressort d'ailleurs des expertises qui ont été menées durant l'enquête pénale.
02:28Voilà, il va mal.
02:29C'est un enfant qui est en souffrance.
02:32Mais c'est vrai que suite à ces faits-là et suite à la révélation, l'enfant est mal.
02:39Et on ne sait toujours pas si Bruno Bourjac fait appel de la décision.
02:44Souvenez-vous, c'était il y a 3 mois.
02:46Une coulée de boue torrentielle avait envahi les maisons de Josiers
02:55charriant plusieurs mètres de cubes d'eau, de terre et de roches.
03:00Après 3 mois d'attente, l'État reconnaît l'état de catastrophe naturelle.
03:03Une décision attendue car elle va permettre aux sinistrés de Josiers
03:07d'accélérer leur démarche d'indemnisation.
03:10Et sur place, la commune a déjà commencé à se renforcer
03:13pour anticiper les prochaines intempéries.
03:16On retrouve Amélie Deschers.
03:18C'est ici le 30 juin dernier qu'une coulée de lave torrentielle
03:21envahissait des maisons à Josiers, de l'eau, de la terre, de la roche.
03:25Au total, c'est plus de 1500 mètres cubes
03:26qui ont dévalé les pentes montagneuses pour terminer leur course
03:29dans les maisons en contrebas.
03:31Et depuis quelques jours, le soulagement avec cette reconnaissance
03:34de catastrophe naturelle par l'État.
03:36Un soulagement qui commence par celui du maire de la commune.
03:38Mon rôle, c'est d'être facilitateur.
03:41Et bien évidemment, s'il y a des mesures ou des situations
03:44qui tendent à faciliter la prise en charge pour ces habitants,
03:49bien évidemment, je suis rassuré comme eux aussi.
03:52Ils en doutent peut-être, mais bien évidemment,
03:54ce problème me tient à cœur.
03:56Et alors, si je me trouve ici, c'est que depuis la commune
03:58tente d'anticiper les prochaines pluies.
04:00Vous le voyez, une zone de dépôt vient d'être construite ici cet été.
04:03Objectif, selon le maire, retenir les prochaines coulées.
04:06Mais pour les habitants, ce n'est pas assez.
04:08Et au vu de la disposition des gravats,
04:10la mairie vise surtout à protéger les pads en contrebas
04:13et moins leurs habitations.
04:15Ici, donc, l'état de catastrophe naturelle
04:17ne semble pas si important.
04:18Les habitants espèrent trouver une solution
04:20quant à l'arrivée d'eau de cette coulée
04:22qui se fait dans la cour de lune des habitations
04:24avec un vœu, celui de pouvoir dormir sereinement
04:27lors des prochaines pluies.
04:28Des sangliers de plus en plus envahissants assisteront.
04:34Ils détruisent des jardins et des espaces verts.
04:37Face à ce phénomène, une battue a été organisée
04:39sur les secteurs des plantiers et de Beaulieu,
04:41une chasse collective à proximité des habitations.
04:44Jade Buisson était assisteront.
04:45Dès 7h, les chasseurs étaient à la recherche de sangliers.
04:50Une dizaine de chasseurs étaient réunis
04:52sur ces deux quartiers, définis préalablement
04:55par la préfecture et la direction départementale
04:58des territoires.
05:00Ils venaient d'un peu partout aux alentours de cisteront.
05:03Et comme vous pouvez le voir juste derrière moi,
05:05les routes étaient barrées ce matin
05:07entre 7h et midi.
05:09Ils interviennent donc dans le cadre
05:11de cette battue administrative
05:12puisque plusieurs habitants ont été victimes
05:15de sangliers sur leurs propriétés privées
05:18dans leurs jardins ou encore dans des cultures.
05:21Écoutez-les.
05:22On est au plantier et il y a des gens
05:24qui ont été touchés mais qui sont touchés
05:26plusieurs fois dans l'année.
05:27Si on en arrive là, c'est qu'il y a trop de sangliers.
05:30À un moment donné, il va falloir réglementer un peu plus,
05:33peut-être en prélever plus.
05:35C'est l'enfer.
05:36La prolifération du sanglier, ça devient hyper compliqué.
05:38On ne peut plus faire ce qu'on veut.
05:40On ne peut plus faire de blé,
05:41on ne peut plus faire de céréales sur les parcelles.
05:42À peine c'est semé, c'est saccagé.
05:45Les parcelles, on ne cultive plus
05:46parce qu'on sait que dès qu'on les sème,
05:49ça sera tout saccagé par les sangliers.
05:50Au final, la battue s'est terminée
05:52aux alentours de 11h et aucun sanglier
05:54n'a été trouvé.
05:55D'après le lieutenant de Louvetry,
05:57c'était la dernière battue organisée ici.
06:00Un chiffre maintenant.
06:0320 000, c'est le nombre de patients
06:05qui ont déjà été pris en charge
06:06au centre médical de Fort-Cal qui est inauguré
06:09il y a un peu plus d'un an.
06:11Dans ce territoire rural,
06:12l'accès aux soins est un enjeu majeur.
06:14Et pour y répondre,
06:15une structure unique a vu le jour,
06:17ouverte 7 jours sur 7.
06:19Elle réunit sous un même toit
06:21médecins généralistes et infirmières.
06:23La communauté de communes
06:24a financé le bâtiment,
06:26tandis que les professionnels de santé
06:28exercent de manière libérale.
06:30Avec 8 médecins et 3 infirmières,
06:32le centre organise ses plannings
06:34pour assurer une continuité de soins,
06:36notamment pour les patients sans rendez-vous.
06:38Reportage signé à Amélie Deschers.
06:40En quelques clics,
06:42Geneviève signale sa présence
06:43en salle d'attente.
06:44Sans rendez-vous,
06:45elle vient chercher de l'aide
06:46pour son mari.
06:47Il est tombé plusieurs fois
06:49et moi, je le relevais.
06:52Puis là, aujourd'hui,
06:53il me disait,
06:53je vais mieux,
06:54mais c'est pas vrai.
06:54Il va pas mieux.
06:55Et il est en congé.
06:57Son médecin traitant.
06:59Il est en congé
07:00et il a...
07:02On lui a pas proposé
07:03un remplaçant.
07:04Ici, on soigne sans rendez-vous,
07:06point de suture,
07:07plâtre, radiologie
07:08ou encore échographie.
07:09Le docteur Tina Picardo
07:11fait partie des 8 praticiens
07:12à avoir rejoint le centre.
07:14Objectif,
07:15répondre aux manques criants
07:16de médecins
07:16dans le secteur.
07:18La radio,
07:18elle sert en général
07:19entre 4 et 5 fois par jour
07:20en moyenne.
07:21Et le premier centre
07:22de radiologie,
07:23c'est à Manosque.
07:24Donc, c'est entre 25 et 30 minutes
07:25au plus proche
07:26de Fort-Calquier.
07:27Mais pour les communes
07:28qui sont aux alentours
07:28et plus moins de Fort-Calquier,
07:29ça peut facilement être
07:3040, 45 minutes.
07:32Un peu plus d'un an
07:32après l'ouverture,
07:34l'heure est au premier bilan.
07:35Plus de 20 000 patients
07:36qui sont passés
07:37depuis l'inauguration
07:38le 21 juin
07:39d'il y a un peu plus d'un an.
07:43Des gens satisfaits.
07:44C'est l'un des seuls services
07:45pour lesquels
07:46on n'a pas de plaintes.
07:47Donc, c'est quand même
07:48assez rare pour être souligné.
07:49Un pari à plus de 2 millions d'euros
07:51qui garantit à Fort-Calquier
07:53une offre de soins
07:54sur le long terme.
07:56Et regardez ce QR code.
07:59C'est pour la 8e édition
08:00du Grand Prix des maires.
08:01Et vous pouvez inscrire
08:02par exemple Fort-Calquier
08:04pour son centre de soins.
08:05Le concours met à l'honneur
08:06des maires et des élus
08:07qui localement réalisent
08:09des projets ambitieux
08:10et innovants
08:10pour améliorer
08:11la vie de leurs concitoyens.
08:13Alors, si vous voulez participer,
08:14dépêchez-vous.
08:14Vous avez jusqu'au 10 octobre.
08:16Vous flashez ce QR code
08:18ou vous allez sur le site internet
08:19grandprixdesmaire-candidature.fr.
08:23La cérémonie de remise des prix
08:24a lieu le 18 novembre à Paris.
08:27Des cèpes, des chanterelles
08:28ou autres oranges,
08:30c'est la saison des champignons
08:32dans les Alpes du Sud.
08:33Et cette année
08:34est particulièrement prolifique.
08:36Alors, attention aux confusions
08:38qui peuvent conduire
08:39à des empoisonnements.
08:40Mais au-delà de leur qualité gustative,
08:42les champignons assurent surtout
08:43l'équilibre du milieu forestier
08:46dans la forêt de Boscodon.
08:47À Croc, le reportage d'Hugo Marseille.
08:49On a ainsi un beau champignon
08:53qui est une espèce assez commune
08:56mais qui est intéressante
08:58avec une belle couleur bleutée
09:00vert de gris
09:01et qui possède
09:03une odeur extraordinaire,
09:05une odeur suave
09:06qui est l'odeur de l'anis,
09:10de l'anis étoilé.
09:11À l'heure où les feuillages
09:12commencent à changer de couleur,
09:14s'ouvre la saison favorite
09:16des ramasseurs de champignons.
09:18Il y a 95% des espèces
09:20qui sont inoffensives,
09:23donc qui peuvent se consommer.
09:26Dans les très bons comestibles,
09:27ça ne représente même pas 1%.
09:29La pluie n'est pas un phénomène suffisant
09:32pour déclencher une pousse.
09:34Il faut un refroidissement
09:35simultané dans le sol,
09:38de l'ordre de 4 à 5 degrés
09:39dans le sol.
09:40Mais ces organismes
09:41sont loin d'être tous comestibles.
09:43Il y a 5 ou 10%
09:45d'espèces
09:47qu'il faut absolument connaître,
09:49qui sont dangereuses,
09:50toxiques,
09:50voire mortelles.
09:52Au-delà de l'assiette,
09:53ils remplissent dans nos forêts
09:54une mission essentielle.
09:56On a des champignons
09:57qui vivent en symbiose
09:58avec les arbres.
10:00Si on n'avait pas de champignons,
10:01on n'aurait pas nos forêts
10:02et on n'aurait sans doute pas
10:03les plantes à la surface terrestre.
10:05Et évidemment,
10:06quand on ne connaît pas un champignon,
10:07on ne le consomme pas.
10:09L'an dernier,
10:10le Centre Antipoison de Marseille
10:11a recensé 314 cas d'empoisonnement
10:13par des champignons
10:14dans toute la région
10:15Provence-Alpes-Côte d'Azur.
10:16Parmi eux,
10:1720 se sont produits
10:18dans les Hautes-Alpes.
10:20Les clubs de Ligue Magnus
10:21font leur entrée
10:22en Coupe de France.
10:24Le tirage au sort
10:25a eu lieu hier
10:25et les Diables Rouges
10:26de Briançon
10:27affronteront à domicile
10:28les aigles de Nice.
10:30Les rapaces de Gap
10:31se déplaceront en Haute-Savoie
10:32pour y affronter
10:33Morzy Navoria,
10:34pensionnaire de D1,
10:36la deuxième division
10:37du hockey français.
10:38Les rencontres auront lieu
10:39le mardi 21
10:41ou le mercredi
10:4322 octobre prochain.
10:45Les dates ne sont pas encore arrêtées.
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