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[#Journal] Le 19H30 du 07 Octobre 2025

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00:00Mardi 7 octobre 2025, bonsoir à tous, ravis de vous retrouver sur GMT TV pour le 19h30.
00:21Au sommaire, Feature Ratings a exprimé des réserves quant aux ambitions budgétaires du gouvernement gabonais,
00:28indiquant que le budget 2026 est irréaliste.
00:32En ouverture, face à la décision du ministère de l'Intérieur de relancer le vote à l'Econi-Lekori,
00:38sans base juridictionnelle claire, le secrétaire général du PDG Ali Akbar Onanga
00:42accuse le ministère de l'Intérieur de court-circuité.
00:45La Cour constitutionnelle, explication.
00:48Face à la décision du ministère de l'Intérieur de relancer le vote à l'Econi-Lekori,
00:53sans base juridictionnelle claire,
00:55le Parti démocratique gabonais par la voix d'Ali Akbar Onanga-Yobégué hausse le ton.
01:00Il exige la publication intégrale de la saisine, des dates et des décisions de la Cour constitutionnelle,
01:05ou le retrait immédiat du communiqué du 5 octobre, qu'il juge illégal et abusif.
01:10Une confrontation directe entre l'égalité républicaine et pouvoir exécutif.
01:14Dans sa déclaration le lundi 6 octobre, le secrétaire général du PDG Ali Akbar Onanga-Yobégué
01:20a mis fin à toute ambiguïté.
01:22Le ministre de l'Intérieur doit publier la saisine de la Cour constitutionnelle
01:25avec toutes les dates, les auditions et la décision motivée.
01:29À défaut, il doit retirer son communiqué du 5 octobre, a-t-il précisé.
01:34Pour le parti, il s'agit d'un excès de pouvoir manifeste.
01:37Aucune disposition du code électoral ne permet au ministère d'annuler un scrutin
01:41ou d'en fixer la reprise sans décision préalable de la Cour.
01:44Ce communiqué est une violation flagrante de la séparation des pouvoirs,
01:48martèle le PDG, qui accuse Hermann Imongo d'avoir agi seul
01:52en consicuitant le juge constitutionnel.
01:54Le parti va plus loin, il met en doute l'existence même d'une saisine effective.
01:58Le ministre parle d'une saisine, mais n'évoque jamais de décision.
02:02S'il n'y a pas d'arrêt, il n'y a pas de légalité.
02:04A-t-il martelé ?
02:05Le Parti démocratique gabonais réclame des preuves précises.
02:08Quand la Cour constitutionnelle a-t-elle été saisie ?
02:11Quand a-t-elle statué ?
02:13Qui a été entendu ?
02:14Et sur quelle base la reprise du scrutin a-t-elle été décidée ?
02:17Avant la fin du délai contentieux de 10 jours.
02:19Le parti souligne par ailleurs une contradiction majeure.
02:22Le ministère avait annulé le scrutin communal du département de l'Éconi-Lécori,
02:27mais le communiqué du 5 octobre ne convoque que la reprise du siège législatif.
02:31De scrutin annulé, une seule reprise,
02:33voilà là la preuve d'une improvisation totale, dénonce le communiqué du PDG.
02:37Pour Ali Akbar Onanga-Yobégué, cette confusion administrative révèle soit une incompétence inquiétante,
02:43soit une malhonnêteté délibérée.
02:45Le PDG ne s'adresse plus seulement au gouvernement,
02:47il interpelle désormais la Cour constitutionnelle, la communauté internationale,
02:52les observateurs électoraux et la société civile gabonaise
02:55pour qu'ils exigent la transparence totale sur cette procédure opaque.
02:58Ce qui se passe à l'Éconi-Lécori n'est pas un simple contentieux local,
03:02c'est un test de l'État de droit, prévient Onanga-Yobégué.
03:04Si nous laissons un ministre effacer un vote régulier sans décision de justice,
03:08alors plus aucun suffrage au Gabon n'aura de valeur, a-t-il précisé.
03:12À deux ans du lancement de la transition,
03:14l'affaire l'Éconi-Lécori met à nu les contradictions du pouvoir.
03:18Discours sur la transparence d'un côté, décision unilatérale de l'autre.
03:21Loin d'un simple différent administratif,
03:23c'est la crédibilité du processus électoral
03:25et la séparation des pouvoirs qui se jouent.
03:27Ce qui arrive à l'Éconi-Lécori aujourd'hui
03:29peut arriver à n'importe quelle autre circonscription.
03:32Demain, avertit le PDG.
03:34Un avertissement qui sonde comme un rappel solennel
03:36au serment du 30 août 2023.
03:39Plus jamais d'élections truquées.
03:41Le projet de loi de finances pour l'année 2026 du Gabon
03:44s'élevant à 7 233,3 milliards de francs CFA
03:48et nécessitant un financement de 3 213,3 milliards de francs CFA
03:53suscitent des critiques virulentes
03:55de la part des analystes financiers internationaux,
03:59notamment l'agence de notation Fit Rating.
04:02Décryptage.
04:04Le projet de loi de finances 2026 du Gabon
04:06estimé à 7 233,3 milliards de francs CFA
04:10avec un besoin de financement de 3 213,3 milliards de francs CFA
04:16fait l'objet de vives critiques de la part de Fit Ratings.
04:19L'agence de notation citée par Direct Info Gabon
04:23estime que ce budget ambitieux risque de se heurter
04:26à des contraintes financières majeures
04:28en raison d'un déficit prévu de 15% du PIB
04:32et une hausse spectaculaire de 570% des dépenses d'investissement.
04:38Pour Fitch, ces chiffres traduisent une planification irréaliste
04:42compte tenu des capacités économiques actuelles du pays.
04:46Selon les projections de l'agence,
04:48le déficit réel devrait se situer plutôt autour de 2% du PIB
04:52avec une croissance économique de 2,6% en 2026,
04:58loin des 7,9% annoncés par le gouvernement.
05:01Fitch pointe notamment la difficulté pour le Gabon
05:04de mobiliser les financements nécessaires
05:07dans un contexte régional marqué
05:09par l'attention du marché obligataire de la CEMAC.
05:13Or, le gouvernement prévoit de lever 60% des fonds
05:16sur le marché intérieur de 40% à l'étranger.
05:20Un pari que l'agence juge risqué.
05:23Feature Rating estime également qu'il sera peu probable
05:26que le Gabon obtienne un nouvel accord avec le FMI,
05:30indispensable pour restaurer la confiance des investisseurs
05:33et stabiliser la monnaie.
05:34L'absence d'un tel programme pourrait accentuer
05:37la vulnérabilité financière du pays.
05:40Déjà noté, c'est cessé.
05:41Un niveau spéculatif jugé très risqué.
05:45Par ailleurs, la dette publique continue de croître,
05:47notamment après le rachat d'Assala Energy,
05:50financé par Emprunt,
05:51qui alourdit encore les engagements de l'État.
05:55Malgré une baisse de 3% de la production pétrolière,
05:58le gouvernement table sur une hausse de 36% des recettes pétrolières,
06:03un scénario que Fitch juge optimiste.
06:06L'agence conclut que le projet budgétaire de mai 26
06:08repose sur des hypothèses fragiles
06:11et appelle à une révision plus réaliste
06:13des objectifs macroéconomiques du pays.
06:16Toujours en économie,
06:17la Banque des États de l'Afrique centrale
06:19table sur un ralentissement de la croissance de 2,6% en 2025
06:24dans la zone CIMAC.
06:26Explication.
06:26La Banque des États de l'Afrique centrale
06:29revoit ses prévisions à la baisse.
06:31Selon la BEAC,
06:33la croissance économique de la CIMAC
06:34devrait ralentir à 2,6% en 2025
06:38contre 2,7% l'an dernier.
06:41Réunis le 29 septembre en visioconférence,
06:44les membres du comité de politique monétaire
06:46ont attribué ce ralentissement
06:47à la baisse des activités pétrolières et gazières
06:50prévues en recul de 1,5%.
06:53Une baisse qui freine les performances globales
06:56de la sous-région, malgré une bonne dynamique
06:59dans les secteurs non pétroliers comme l'agriculture,
07:02le bâtiment et les services.
07:04Bonne nouvelle toutefois,
07:06la pression sur les prix devrait s'atténuer.
07:08L'inflation estimée à 4,1% en 2024
07:11tomberait à 2,6% en 2025 sous la norme communautaire.
07:16Mais les comptes publics se dégradent.
07:18Déficit budgétaire attendu à 1,3% du PIB
07:22et réserve de change en léger recul.
07:25Face à ces signaux contrastés,
07:27la Banque centrale maintient ses taux directeurs,
07:294,5% pour les appels d'offres,
07:326% pour les prêts marginaux.
07:34Objectif, préserver la stabilité monétaire
07:37tout en soutenant la reprise.
07:39Une économie sous pression,
07:41mais encore en équilibre fragile
07:43à suivre de près en 2025.
07:45Le projet GAP-Pêche refait surface dans l'actualité,
07:48cette fois à travers un point de presse tenu
07:50ce mardi au Capal d'Oloumi.
07:53Face aux rumeurs de détournement
07:54et de mauvaise gestion,
07:56les coopératives bénéficiaires sont montées au créneau
07:59pour rétablir la vérité.
08:00Elles accusent l'ancienne direction du projet
08:03d'avoir instauré un modèle économique injuste
08:06et dénoncent une campagne de désinformation
08:08visant à fragiliser une initiative pourtant essentielle
08:12pour la souveraineté alimentaire du pays.
08:14On regarde.
08:17Accusations, rumeurs et désinformations.
08:20Depuis plusieurs jours,
08:21le projet GAP-Pêche est au cœur d'une vive polémique
08:24sur les réseaux sociaux.
08:27Pour mettre fin aux spéculations,
08:28les coopérations de pêche artisanales
08:30ont convoqué la presse ce mardi 5 octobre 2025
08:33au Capal d'Oloumi.
08:35Objectif, rétablir les faits
08:36et défendre un projet voulu par le président de la République.
08:39Certainement, il a reçu cet argent
08:41et il n'a pas communiqué aux autres qu'il a reçu cet argent.
08:44Pour Jens Koum, président de la coopération équatoriale
08:48des pêches du Gabon,
08:49le projet GAP-Pêche n'a pas été volé
08:51ni détourné.
08:53Il s'agit, selon lui,
08:54d'un programme national porté par l'État
08:56et les acteurs du secteur
08:58destinés à redonner aux pêcheurs gabonais
09:00leur place légitime dans l'économie bleue.
09:03Il ne s'agit pas ici des intérêts personnels,
09:07il s'agit ici de l'intérêt général.
09:11Il y a un certain nombre de reproches
09:12qui ont été faits à l'ADG sortant.
09:16Lorsqu'on fait des reproches
09:17et qu'on est suspendu provisoirement,
09:19on se rapproche de l'administration
09:21pour savoir ce qui ne va pas.
09:22On ne va pas dans les réseaux sociaux,
09:24insulter les gens sur la place publique
09:26lorsqu'on est un chef
09:28et lorsqu'on a des gens à responsabilité.
09:31Il n'a été nullement question de ça.
09:35Il s'est mis à insulter tout le monde,
09:36il est allé dans tous les sens
09:37et tout ce qui se passe aujourd'hui
09:38dans les réseaux sociaux,
09:40y compris les instrumentalisations
09:42des pêcheurs et des maréeuses,
09:43viennent d'eux
09:44parce qu'ils veulent que ce projet échoue,
09:46parce qu'ils veulent montrer
09:47à l'opinion nationale et internationale
09:50que ce projet sans eux
09:51ne se porte pas bien,
09:53mais ce projet se porte bien.
09:54Derrière les accusations,
09:56les coopératives dénoncent surtout
09:57la gestion passée du projet.
09:59Elle parle d'un modèle économique inéquitable
10:02imposé sans concertation
10:04où les pêcheurs ne percevaient
10:06que 40% de leurs revenus,
10:08le reste étant engloutis
10:09dans des frais de gestion jugés excessifs.
10:12Selon elle, c'est la fin de ce système opaque
10:15qui a poussé certains anciens responsables
10:17à répandre de fausses informations
10:20pour discréditer un projet pourtant conçu
10:22pour nourrir les Gabonais.
10:23Nous avons fermé un robinet.
10:27Les pêcheurs, le secteur de la pêche
10:29devait devenir la vache à lait
10:30de ceux qui nous ont accompagnés
10:32depuis le début de ce projet.
10:34C'est ça qu'ils ne veulent pas dire aux Gabonais.
10:36Donc, dès lors où Mme le ministre a dit
10:38qu'il faudrait revoir ce modèle économique,
10:41l'objectif n'est pas d'asphyxier les pêcheurs
10:42pour qu'ils travaillent pour vous,
10:44pour que vous ayez des salaires à hauteur
10:45de je ne sais trop quoi.
10:46Il faut alléger les pêcheurs
10:48pour que dans le temps, déjà,
10:49ils puissent rembourser la banque
10:51parce que la priorité, c'est la banque.
10:52On ne peut pas donner à des gens
10:5460 % de nos revenus
10:55avant même de penser à rembourser la banque
10:58qui a fait en sorte que ces pirogues,
11:00nous puissions les avoir.
11:01Donc, on allait venir dire
11:02que les Gabonais sont des incompétents,
11:03des incapables,
11:04les pêcheurs ne savent pas pêcher.
11:05Voilà, la banque a repris
11:06les embarcations de pêche
11:08qui ont pris le matériel
11:09alors que derrière,
11:11il y avait des personnes qui nous disaient
11:12c'est le chef de l'État
11:13qui a demandé de faire comme ça,
11:14vous devez accepter ça.
11:15Et lors du premier débarquement
11:17que tout le monde a vu
11:17dans les réseaux sociaux,
11:19après la vente,
11:21cet argent,
11:21ils n'ont jamais reversé à la BCEG.
11:23Depuis la suspension
11:24de l'ancien directeur général,
11:27les pêcheurs affirment
11:28que le projet a retrouvé sa boussole.
11:31Une assemblée générale est annoncée
11:32pour revoir la gouvernance
11:34et assurer la transparence.
11:36Gab Pêche, assure-t-on,
11:38continue de fonctionner normalement.
11:41Les remboursements à la BSEG
11:43sont désormais encadrés
11:44par le ministère de la Pêche.
11:46Entre réorganisation
11:48et volonté de transparence,
11:49les coopératives de Gab Pêche
11:51veulent désormais tourner
11:52la page des malentendus.
11:54Pour Jens Koumbe,
11:56le combat n'est pas politique,
11:58il est social et patriotique.
12:00Celui de restaurer
12:01la dignité du pêcheur gabonais.
12:05Direction Fougamou,
12:06située dans la province de Langounier,
12:08l'école des techniciens
12:09des travaux publics
12:10est fermée depuis plus de 20 ans.
12:11Une situation
12:12qui interroge plus d'un.
12:13Établissement public
12:16censé former des professionnels
12:18dans le domaine
12:18des travaux publics.
12:19L'école des techniciens
12:20de travaux publics
12:21de Fougamou,
12:22située dans la province
12:23de Langounier,
12:24demeure fermée
12:24depuis plus de 20 ans.
12:26Une situation incompréhensible
12:27aussi bien pour les responsables
12:28que pour l'opinion publique
12:29qui s'interroge
12:30sur les véritables raisons
12:31de ce blocage persistant.
12:33Malgré les nombreux dispositifs
12:35mis en place
12:35au fil des années,
12:36notamment l'acquisition
12:37d'équipements flambants neufs,
12:39la dotation en véhicules
12:40et la nomination récente
12:41de nouveaux directeurs,
12:42le TTPF reste désespérément close.
12:45Une situation
12:46qui suscite inquiétude
12:47et consternation
12:48parmi les habitants
12:49et les acteurs du secteur.
12:51Ce constat est d'autant plus alarmant
12:52que cet établissement
12:53représente un atout majeur
12:54pour un pays engagé
12:55dans la promotion
12:55de l'excellence
12:56et du développement
12:57des compétences locales.
12:59Selon une source proche
13:00du dossier,
13:01les raisons de cette fermeture
13:02prolongée demeurent floues.
13:04Depuis plus de deux décennies,
13:05le Gabon semble ainsi
13:06se priver de la possibilité
13:07de développer pleinement
13:08son potentiel
13:09dans le secteur
13:09des travaux publics
13:10alors même
13:11que les besoins
13:11d'infrastructure
13:12ne cessent de croître.
13:13Du côté de la direction,
13:14c'est le statu quo.
13:16Quand tu pars demander,
13:16ne serait-ce qu'un simple document,
13:18soit c'est fermé,
13:19soit on te répond
13:19qu'il n'y a rien
13:20à rapporter une source anonyme,
13:22déplorant l'impossibilité
13:23pour les futurs techniciens
13:24et ingénieurs gabonais
13:26de bénéficier
13:26d'une formation locale adaptée.
13:29Face à cette situation préoccupante,
13:30les parties prenantes
13:31appellent le ministère
13:32des travaux publics
13:32ainsi que celui
13:33de la formation professionnelle
13:34à prendre des mesures concrètes
13:36pour relancer
13:36les activités de l'école
13:39supérieures en génie civil au Gabon.
13:42Un appel d'autant plus pressant
13:43alors que le conseil
13:44d'administration
13:44de l'école des techniciens
13:45des travaux publics
13:46de Fougamou
13:47qui avait siégé
13:48le 29 mars 2024
13:49avait annoncé
13:50la mise en place
13:51de deux groupes de travail,
13:52l'un portant sur la révision
13:54et la mise à jour
13:54des textes législatifs
13:55et réglementaires
13:56régissant l'établissement
13:57et l'autre
13:58qui devait se pencher
13:59sur la refonte
13:59du cadre pédagogique
14:01visant à moderniser
14:02les programmes de formation
14:03et à répondre
14:03aux exigences contemporaines
14:04du secteur.
14:06Dans l'attente
14:06de réponses claires
14:07de pouvoir public
14:07sur l'état d'avancement
14:08de ce dossier,
14:10l'avenir de l'ETTPF
14:11et de ses futurs étudiants
14:13demeure incertain.
14:14Mais l'espoir
14:15d'une réouverture prochaine
14:16continue de nourrir
14:16les attentes
14:17avec l'ambition
14:18de redonner vie
14:19à un secteur stratégique
14:20qui en a tant besoin.
14:22Le chiffre du jour
14:23est 2 milliards.
14:23C'est le nombre
14:24de barils de réserve
14:25prouvés de pétrole
14:26dont disposerait
14:27le Gabon.
14:28La source est directe info.
14:30Et le verbatim
14:31est dire que ces gens
14:32prétendaient redresser
14:33le pays.
14:34Quel désastre !
14:35On peut se relever
14:36d'une défaite électorale
14:37jamais d'un effondrement moral.
14:38Or, par-delà
14:39les vicissitudes organisationnelles
14:41et les fraudes multiples,
14:42le 27 septembre
14:44est d'abord
14:44une débâcle morale.
14:45La source est X.
14:47L'auteur du verbatim
14:48est Alain Claude Bilabinze,
14:49président d'Ensemble
14:50pour le Gabon.
14:51Point final
14:51à ce 19h30.
14:52Merci pour votre fidélité.
14:53Excellente soirée à voix.
14:54Demain, au revoir.
14:55Retrouvez GMT TV
15:00sur vos différents réseaux sociaux.
15:03Sous-titrage Société Radio-Canada
15:04Sous-titrage Société Radio-Canada
15:06Sous-titrage Société Radio-Canada
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