00:00On a l'impression quand même qu'Édouard Philippe, on se rappelle lorsqu'il a annoncé qu'il était candidat à la présidentielle, c'était quand même le 3 septembre 2024, on attendait d'avoir un Premier ministre, on se disait que c'était un mauvais timing, on a l'impression qu'il est obsédé, si vous permettez l'expression, obsédé plus par la présidentielle que par le pays lui-même.
00:16Mais ce n'est pas une obsession, c'est une préparation, ça prend du temps, c'est une rencontre que vous faites avec les Français et c'est ce qu'il fait aujourd'hui, il va à la rencontre des Français dans les sous-préfectures, dans les villes moyennes, partout sur le territoire, il était à Narbonne il y a quelques jours, il sillonne un petit peu le pays et il faut un temps de rencontre.
00:34C'est pour ça qu'il appelle justement à cette présidentielle anticipée, mais pas dans le désordre, dans une manière qui permette à tous les candidats, quels qu'ils soient, ceux qui sont déjà connus, c'est le cas de Marine Le Pen par exemple, ceux qui voudraient se faire connaître et qui ont envie de l'être, d'aller à ce temps d'encontre et de préparer eux-mêmes ce temps présidentiel.
00:53Donc je ne crois pas que l'action politique d'Édouard Philippe et du Parti Horizon soit dictée par les sondages, elle est dictée par un engagement que nous portons.
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