Lors de la reconstitution numérique du meurtre de Thomas, tué à Crépol en novembre 2023, certains mis en examen ont adopté une attitude jugée provocatrice et choquante par les familles. Rires, gestes déplacés, regards insistants, une posture qui a indigné les parties civiles. Pour Éric Naulleau, essayiste et journaliste, les auteurs du drame de Crépol sont «complétement décérébrés».
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