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Les Vraies Voix avec Dominique Trinquand, général Expert militaire en géostratégie.

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##LE_COUP_DE_PROJECTEUR_DES_VRAIES_VOIX-2025-09-24##

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Transcription
00:00Monsieur le Président, pensez-vous que les pays membres de l'OTAN devraient abattre les avions russes s'ils pénètrent dans leur espace aérien ?
00:08Oui, je le pense.
00:10Plus tard dans la journée, cette fois aux côtés du Président Macron, Donald Trump en remet une couche.
00:17La Russie est peut-être un tigre de papier. Je ne sais pas ce qu'ils sont, mais 3 ans et demi de combats et de tueries, 7000 personnes tuées chaque semaine pour rien, pour rien, c'est une situation très triste.
00:30Toujours aussi imprévisible, le Président américain est même allé jusqu'à affirmer sur son réseau social Truth qu'avec le soutien de l'Union Européenne et de l'OTAN, l'Ukraine est en mesure de reconquérir l'ensemble de son territoire dans sa forme initiale.
00:44Et peut-être même d'avancer encore plus loin sur le territoire russe.
00:48Et Philippe Bilger, comme le dit Trump, est-ce qu'il peut regagner l'ensemble de son territoire et même plus face à la Russie, possible ou impossible ? Que disent les auditeurs ?
01:02Alors un très large impossible à 90%.
01:05Oui, c'est ça.
01:05Mais immédiatement, j'éprouve un très grand sentiment de satisfaction à l'idée de voir Trump changer de casas psychologiques et intellectuels, soutenir à fond le Président Zelensky.
01:21Après, je suis beaucoup plus réservé sur la possible concrétisation de cette affirmation et à la suite de ces multiples fluctuations sur l'Ukraine.
01:34Mais là, ça me fait plaisir, il défend Zelensky, mais je ne crois pas que dans la situation actuelle et dans le futur, il pourra regagner complètement ce qu'il a perdu,
01:45même si évidemment, je suis à fond, très modestement, derrière l'Ukraine et contre le dictateur Poutine.
01:53Alors moi, je crois que vu la quantité de territoires à reprendre, c'est pas demain la veille que l'Ukraine va reprendre tous les territoires, notamment le Donbass, la Crimée, etc.
02:02Mais surtout, qu'est-ce que ça veut dire, et même plus ? Il envisage que l'Ukraine annexe un morceau de la Russie, c'est le et même plus qui pose question, et ça me semble totalement irréaliste.
02:12Je crois qu'il ne faut pas faire cas de ce que dit Trump au mot près, parce que vous avez remarqué qu'à chaque fois, il finit par...
02:17C'est pas bien, c'est pas gentil, hein ? Je hausse le ton et en même temps, je m'inorme.
02:22Ça me rappelle Coluche un peu, je ne suis ni pour ni contre, mais rien au contraire.
02:26Et donc, ce garçon-là, effectivement, il a peut-être un effet déstabilisant sur Poutine, parce qu'on ne sait pas comment on pourrait agir,
02:30parce qu'il peut très bien appuyer sur un bouton aussi, lui aussi, pour donner l'ordre de marche.
02:35Mais moi, je ne suis intimement pas persuadé.
02:38Très clairement, aujourd'hui, c'est un jeu de dupes, une bonne conscience, toujours pareil.
02:43Et il a bien dit, autant en Europe, débrouillez-vous.
02:45Et notre invité, le général Dominique Trinquant, est avec nous.
02:49Général, bonjour. Merci d'être avec nous sur Sud Radio.
02:53Vous êtes expert en militaire, en géostratégie.
02:55On est un peu abasourdis face à ce volte-face de Trump, qui est quand même à l'encontre de ce qui se passait il y a plusieurs mois.
03:05Comment expliquer cette attitude et cette situation ?
03:08Écoutez, je crois qu'on est face à une grande déception de M. Trump.
03:12J'avais presque envie de dire une déception amoureuse vis-à-vis de M. Trump, vis-à-vis de M. Poutine.
03:17Il pensait que grâce à ses relations, il arriverait à le convaincre.
03:23Il s'aperçoit que ce n'est pas vrai.
03:24Maintenant, dans sa citation, on oublie toujours de dire que c'est l'Ukraine avec l'Europe.
03:30Donc, ça veut dire, d'une certaine façon, que les États-Unis se désengagent.
03:34En gros, si l'Ukraine veut continuer, elle pourra continuer.
03:38L'Europe l'aidera.
03:39Mais ce n'est pas le problème des États-Unis.
03:41Mais mon général, quand on voit ce qui s'est passé...
03:43Excusez-moi, Philippe Bilger, ces dernières semaines, notamment avec des incursions de drones,
03:47des incursions d'avions au-dessus de l'Estonie, au-dessus de la Pologne,
03:51est-ce que, quelque part, il n'y a pas de quoi être inquiet ?
03:54Surtout que, désolé, l'OTAN sans les États-Unis, ça ne pèse pas énormément.
03:59Écoutez, je crois qu'il ne faut pas être inquiet, il faut être vigilant.
04:04Vous dites que l'Europe, ça ne pèse pas grand-chose vis-à-vis de la Russie.
04:06Je note que, dans les incidents qui sont passés sur le front de l'Est,
04:10donc dans ce qu'on appelle le bouclier oriental, il n'y avait pas un avion américain.
04:16Donc, c'était aux Européens de se débrouiller.
04:19Simplement, ils appliquaient les règles, ce qu'on appelle les règles d'engagement,
04:23qui étaient qu'il n'y avait pas d'agression,
04:25et qu'il y avait un empiétement sur l'espace aérien, mais pas une agression.
04:30Et donc, il n'allait plus qu'à la destruction.
04:33Donc, voilà où on en est aujourd'hui.
04:35Je pense simplement que, là où le président Trump a raison,
04:38c'est que c'est aux Européens de prendre en compte le sujet.
04:42Simplement, depuis 60 ans, voire plus de 80 ans,
04:46les Américains a assuré la sécurité de l'Europe.
04:50Eh bien, s'ils veulent laisser la sécurité de l'Europe aux Européens,
04:54il faut qu'ils y aillent progressivement.
04:57Mon général, malgré les multiples fluctuations psychologiques,
05:02voire intellectuelles, du président Trump,
05:05est-ce que vous pensez que ces dernières déclarations
05:09qui redonnent de l'espoir aux prisons Zelensky
05:13peuvent être prises un petit peu au sérieux ?
05:17Écoutez, je pense que pour prendre les déclarations de M. Trump au sérieux,
05:21il faut attendre 48 heures.
05:23C'est-à-dire que dans 48 heures,
05:25on verra s'il n'a pas dit le contraire de ce qu'il a dit hier soir.
05:29Mais une fois qu'on a dit ça,
05:32je pense qu'il y a vraiment une déception de M. Trump
05:36vis-à-vis de M. Poutine.
05:38Il se rend compte que depuis qu'il est en place,
05:41M. Poutine n'a pas changé d'un iota
05:43et que donc, d'une certaine façon,
05:45il doit changer de position,
05:47mais à condition que ce soit les Européens
05:49qui se chargent l'affaire.
05:51Comme ça, l'échec, ça n'est pas sondu.
05:54C'est le problème des Européens
05:56s'ils n'arrivent pas à obtenir quelque chose de M. Poutine.
05:59Ça veut dire, en général, qu'entre Poutine et Trump,
06:03en tout cas, c'est une rupture ferme ?
06:07Le téléphone rouge est coupé,
06:08comme on disait pendant la guerre froide.
06:10Non, pas du tout.
06:12Vous avez vu qu'il a posé un nouvel ultimatum d'un mois.
06:16Alors, il l'avait déjà posé à la fin du mois de juillet,
06:19puis il l'a réduit, puis il l'a annulé,
06:22et maintenant, il repose.
06:23Donc, encore une fois, attendons 48 heures.
06:26Voyons ce qui se passe, calmement.
06:27Il faut être calme
06:29et observer ceci
06:31avec le recul nécessaire.
06:34Mais ça veut dire, en clair,
06:36que les Européens doivent se préparer.
06:39Oui, moi, je crois quand même
06:40que Donald Trump, effectivement,
06:42même dans ses négociations commerciales,
06:43avait mis la barre très très haut
06:44et puis a reculé.
06:45Trump, finalement, a eu une forme de courage
06:48et de la force déployée.
06:51Aujourd'hui, les Européens,
06:52même dans ses négociations,
06:53n'ont pas été dignes du niveau
06:55qu'on attendait d'eux.
06:57Trump, tant que les Européens et l'OTAN
06:59ne bougera pas pour défendre nos frontières,
07:02Trump ne bougera pas.
07:03Ça, j'en suis intimement persuadé.
07:05Il est courageux,
07:06mais il préfère être en deuxième rideau.
07:09Général Tringant ?
07:10Oui, écoutez,
07:11je pense que Trump, surtout,
07:13se dégonfle beaucoup.
07:15Et attention de ne pas mélanger
07:16Europe et OTAN.
07:17Je rappelle que dans l'OTAN,
07:19il y a les Américains.
07:20Donc, quand on parle de l'OTAN,
07:21on doit forcément parler des Américains.
07:23Si on veut parler de l'Europe,
07:25on parle de l'Europe
07:26et ça n'est pas l'OTAN.
07:28Les Européens apportent
07:29une part importante de l'OTAN,
07:32mais le bouclier américain
07:33est extrêmement important dans l'OTAN.
07:35Donc, aujourd'hui,
07:36ce sont les Européens
07:37qui se retrouvent face à la Russie.
07:40Pour l'OTAN,
07:41j'attends de voir un avion américain
07:43dans le ciel
07:44en mesure d'affronter un avion russe.
07:47Et pour l'instant,
07:47je ne le vois pas.
07:48Ceux qui les fabriquent, quand même.
07:49Mon général,
07:51comment voyez-vous
07:52les conséquences possibles
07:54sur le plan psychologique
07:56de la part d'un Donald Trump
07:58du fait qu'il avait promis
08:01de régler le problème ukrainien
08:03très rapidement
08:04et qu'à l'évidence,
08:06il commence parfois
08:08à être lassé
08:09devant l'absence de solution.
08:11Est-ce qu'on ne peut pas craindre
08:13le pire de sa part
08:14sur ce plan-là ?
08:16Non, je pense que simplement,
08:18M. Trump va dire
08:19écoutez, ce n'est pas de ma faute.
08:21C'est de la faute
08:21d'abord de M. Poutine
08:22qui doit pas écouter ce que je dis
08:24et ensuite des Européens
08:25qui ne sont pas capables
08:26de régler un problème européen.
08:29Et donc, je pense très honnêtement
08:31que le président Trump
08:31va se dégager de tout ça.
08:34Il va bien laisser
08:35les Européens
08:37acheter de l'armement américain.
08:40Ça, oui.
08:41Mais continuer à aider
08:43l'Utrain gratuitement,
08:44je pense qu'il va abandonner.
08:45Mais justement, mon général,
08:46il y a une question qui se pose
08:48pour récupérer son territoire
08:49et même plus pour citer
08:51Donald Trump,
08:53il faut beaucoup d'armes.
08:54Le complexe militaro-industriel européen
08:56n'a jamais la capacité de production
08:58du complexe militaro-industriel américain.
09:01Et deuxièmement,
09:02les Américains,
09:03c'est pas moi qui le dis,
09:03c'est Trump,
09:04ne veulent plus payer d'armes
09:05à l'Ukraine.
09:06Ou alors, en quantité
09:07beaucoup bien moindre
09:08qu'avant.
09:10Comment est-ce qu'on peut faire ?
09:11Parce qu'on n'a pas la capacité
09:12de production en armes
09:13pour l'Ukraine.
09:14Et, en particulier en France,
09:17on n'a plus un sentiment
09:17qu'est-ce qu'on va faire.
09:19Alors, premier point,
09:21les Ukrainiens,
09:22aujourd'hui,
09:23fournissent 60%
09:25de l'armement
09:25fabriqué en Ukraine.
09:27Le deuxième point,
09:29c'est que les Américains
09:29continueront à fournir
09:31de l'armement
09:32s'il est payé
09:33par les Européens.
09:34Les dernières factures payées
09:35n'ont pas été par la France,
09:37mais par l'Allemagne,
09:38le Danemark
09:38et par d'autres pays.
09:39Donc, c'est comme ça
09:40que ça va se passer.
09:41Ensuite,
09:42le complexe militaro-industriel
09:45européen
09:46monte en puissance.
09:47Pas assez vite,
09:48certainement,
09:49mais il monte en puissance.
09:51Et c'est là où je dis
09:51que les Américains
09:52peuvent laisser tomber
09:54les Européens,
09:55mais progressivement
09:56et pas d'un seul coup.
09:58Pardon.
09:59Quand Donald Trump
10:00appelle les Européens
10:01à arrêter d'acheter,
10:03en tout cas,
10:03du gaz et du pétrole russe,
10:05c'est une tentative,
10:07quand même,
10:07de déstabilisation,
10:08d'affléblissement
10:10de la Russie ?
10:12Oui, mais c'est aussi
10:14une tentative
10:15de déstabilisation de l'Europe.
10:17Il faut rappeler
10:18que les deux pays
10:18qui achètent essentiellement
10:20du pétrole,
10:21ce sont la Hongrie
10:22et la Slovaquie.
10:24Or, ce sont des pays
10:25qui sont très proches
10:25de M. Trump.
10:27Donc,
10:28c'est plus une déstabilisation
10:29de l'Europe,
10:31demandant à l'Europe,
10:32en clair,
10:32d'acheter son pétrole,
10:33son GNL
10:35et son gaz
10:36aux Etats-Unis,
10:37de façon à ce qu'il n'achète plus
10:39à la Russie.
10:39Allez, 0-826-300-300,
10:42pardon, Philippe.
10:43Richard est avec nous.
10:44Richard, vous voulez réagir au débat ?
10:45Bonsoir, Richard de Toulouse.
10:47Oui, bonsoir, monsieur.
10:49En fait,
10:50j'avais une vision autre,
10:51la réflexion de M. Trump,
10:53là,
10:53est-ce que ce n'est pas le signe
10:55qu'on va avoir,
10:56finalement,
10:56des grosses difficultés
10:57en Ukraine
10:58pour recruter du personnel ?
11:00Et est-ce que Trump
11:01ne veut pas,
11:02tout simplement,
11:02gagner du temps,
11:04juste en aidant
11:04psychologiquement l'Ukraine,
11:06mais sans plus ?
11:07Et il gagne du temps
11:08sur ce dossier
11:09parce qu'en fait,
11:10les choses ne vont pas bien
11:11au niveau du recrutement
11:13des soldats
11:16pour aller au front
11:16et parce qu'il y a
11:17un grignotage qui se fait
11:19et je pense qu'on est,
11:20pour moi,
11:21on est à la veille
11:22de quelque chose de difficile
11:23pour l'Ukraine.
11:24Général Trinquant,
11:25qu'est-ce que vous pensez
11:25de l'approche de Richard ?
11:27Je pense qu'évidemment
11:29que l'Ukraine
11:30est dans une situation difficile.
11:32Maintenant,
11:32je pense qu'il faut revenir
11:33à des schémas
11:34beaucoup plus simples.
11:36Vous vous souvenez
11:37qu'en février 2022,
11:38la Russie a attaqué l'Ukraine,
11:40a envahi une partie de l'Ukraine,
11:42était aux abords de Kiev
11:43et puis une contre-attaque ukrainienne
11:45a rejeté l'armée russe
11:47vers la Russie
11:48et vers le Donbass.
11:50Depuis cet été 2022,
11:53la Russie n'a gagné
11:54que 1% du territoire ukrainien.
11:58Je répète, 1%,
11:59avec des pertes
12:00absolument considérables.
12:02C'est-à-dire que la Russie
12:03progresse peu,
12:05mais l'Ukraine
12:06se défend bien
12:07et quand vous êtes
12:08en défensive,
12:09vous perdez beaucoup
12:10moins d'hommes
12:11qu'en offensive.
12:12C'est pour ça
12:13que les Russes
12:14ont beaucoup plus d'hommes.
12:15Mais justement,
12:16mon général,
12:17quand Trump dit
12:17que l'Ukraine
12:18peut récupérer le territoire,
12:20vous le dites vous-même,
12:20si vous faites une guerre offensive,
12:22on revient à la stratégie
12:23de la guerre de 14,
12:24guerre de mouvement,
12:24guerre de position,
12:25les pertes ukrainiennes
12:26vont être énormes.
12:27Et est-ce qu'ils ont
12:28les ressources ?
12:29Elles y sont déjà.
12:29Elles y sont déjà.
12:30Mais alors là,
12:31encore plus là.
12:32Non, mais je pense
12:33que ce que dit
12:34le président Trump
12:35sur une offensive ukrainienne,
12:37c'est n'importe quoi.
12:38Les Ukrainiens
12:39sont capables
12:40de se défendre
12:41là où ils sont.
12:42Ils ne sont pas
12:42dans la capacité
12:43de reconquérir
12:44le terrain
12:45aujourd'hui.
12:47Et c'est une façon
12:48un peu d'inverser
12:49et donner
12:49pour la Russie
12:51pour faire craindre,
12:52pour que la Russie
12:53craigne
12:54le lâchage américain.
12:56Mais c'est tout.
12:57C'est une image.
12:58Mon général,
12:59pour Rompre
13:00avec un anti-macronisme
13:02un peu compulsif,
13:05est-ce qu'on peut dire
13:07que le président
13:08de la République
13:09a redonné
13:10de la vigueur
13:11à l'action européenne
13:13dans le domaine
13:14de l'Ukraine ?
13:16Alors ça,
13:17c'est certain.
13:18C'est certain,
13:18d'abord,
13:19en soutien à l'Ukraine,
13:20bien sûr,
13:21mais aussi,
13:22en étant capable
13:23de mettre
13:23ce qu'on appelle
13:24la coalition des volontaires,
13:25alors qu'il reste flou,
13:26je suis d'accord avec vous,
13:28mais ça permet
13:29de faire partie
13:30de la négociation.
13:31Vous savez,
13:32quand on met
13:32sur la table
13:33quelque chose,
13:34on vous laisse la parole
13:35et c'est ce qui se passe
13:36avec l'Europe.
13:38Et lorsque les Européens
13:39sont venus
13:39en soutien
13:40de M. Zerensky
13:42à Washington
13:43alors qu'ils n'étaient pas
13:44invités,
13:45ça a été une preuve
13:46de courage
13:46de la part des Européens
13:47et je pense que M. Trump
13:49en a tenu compte.
13:50Merci beaucoup,
13:51Général Dominique Trinquant,
13:54expert militaire
13:54en géostratégie.
13:56Merci d'avoir accepté
13:56notre invitation.
13:58Merci beaucoup Jean-Marc Dumoulin.
13:59On vous garde
14:00justement jusqu'à 20h.
14:02Merci beaucoup Philippe
14:03Bligère.
14:05Et à partir de 20h,
14:07vous l'attendez Magali Berda.
14:09Bonsoir Magali.
14:10Bonsoir, ça va.
14:11On ne vit pas
14:12dans la même France.
14:12On vous le dit
14:13tous les soirs
14:14à partir de 20h
14:15et ça se confirme.
14:16C'est vrai,
14:16on ne vit pas dans la même
14:17France du tout.
14:18On l'a vu cette semaine
14:19et ce soir,
14:20on reçoit une influenceuse
14:22Alison Legoy,
14:23qui est une maman influenceuse
14:24qui a plus d'un million
14:24d'abonnés sur TikTok
14:25et qui va débattre
14:27avec Anne Genneté,
14:28députée ensemble
14:29des Français de l'étranger
14:30et ancienne ministre
14:31de l'éducation nationale
14:32sur un sujet
14:33qui est très important.
14:35Est-ce que nos professeurs
14:36sont en danger ?
14:37Est-ce que l'école
14:37est devenue
14:38une zone de non-droit ?
14:39Allez, on en parle
14:40avec Magali
14:42à partir de 20h
14:420 826 300 300
14:44si vous voulez bien entendu
14:45poser des questions.
14:46Vous serez les bienvenus
14:47jusqu'à 21h.
14:49A tout à l'heure Magali
14:50et dans un instant
14:51on va revenir sur les mairies
14:52et le climat
14:53qui impacte les mairies.
14:55Oui, comment est-ce que
14:56les villes s'adaptent
14:57aux changements climatiques ?
14:59Et on va en parler
14:59avec Trois-Mères
15:00qui est déjà avec nous.
15:01On va aller vraiment
15:02dans trois points cardinaux
15:03de la France.
15:04Jean-Marc Dumoulin,
15:04maire de Villemur-sur-Tarne,
15:05on ira à Vesoul et à Fougères.
15:07Allez, à tout de suite.
15:08Sud Radio,
15:09votre avis fait la différence.
15:11Oui, bonjour Sud Radio,
15:13merci de votre émission
15:14de donner la parole
15:15au territoire
15:16sur les campagnes.
15:17Sud Radio,
15:18parlons vrai.
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