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Les Vraies Voix avec Philippe Bilger, Abel Boyi et Madi Seydi


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##LE_COUP_DE_PROJECTEUR_DES_VRAIES_VOIX-2025-05-30##

Catégorie

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News
Transcription
00:007h19, Frédéric Bradel.
00:02Les Vrais Voix ce soir, Philippe Bilger, Abel Boyy, Madi Saidi,
00:06il devise avec vous dans ce long pont, mais ce long pont festif avec du football.
00:11C'est l'objet du coup de projecteur.
00:13Les Vrais Voix Sud Radio, le coup de projecteur des Vrais Voix.
00:1732 ans après l'Olympique de Marseille, le Paris Saint-Germain va tenter de ramener à la France
00:21une deuxième ligue des champions de football demain face à l'Inter Milan.
00:24Pour l'occasion, le quartier des Champs-Elysées sera hyper sécurisé
00:28au détriment des commerçants, notamment.
00:30La raison, la peur des débordements de supporters, un fléau en France,
00:34décuplé depuis le retour des stades, il faut le dire, après le Covid.
00:37Nous vous posons la question, appelez-nous au 0800 26 300 300
00:41et vous nous donnez votre avis sur le compte X de Sud Radio.
00:44Violence et débordement des supporters, le football est-il victime ou responsable ?
00:49Vous dites pour l'instant responsable à 64%.
00:52Notre grand témoin est Karl Olive, député des Yvelines,
00:55membre du conseil d'administration de la Ligue de football professionnelle.
00:58On vous retrouve dans un instant.
00:59Karl, j'aimerais, Philippe Bilger, que vous nous disiez finalement
01:02si le football a des responsabilités.
01:05Sûrement, mais d'abord, bonheur de savoir que Karl Olive nous écoute.
01:11Deuxième élément, j'élimine les saccageurs et briseurs idéologues
01:18qui vont probablement peut-être venir dimanche
01:22apporter plus que du trouble et de la violence, les Black Blocs.
01:27Au niveau des supporters, je suis frappé de voir,
01:31et au-delà du football,
01:33à quel point il n'y a plus une manifestation
01:36de fait ou de chagrin
01:39qui ne soit accompagnée par des violences,
01:42des dégradations et des saccages.
01:44Comme si, en réalité,
01:47il n'y avait plus rien
01:48qui empêche
01:50les supporters
01:51ou ceux qui y ressemblent
01:54de s'abandonner au pire d'eux-mêmes.
01:57C'est comme si on ne savait pas,
01:59parce que le football induit
02:00une atmosphère de frénésie,
02:03d'intensité,
02:04d'enthousiasme après,
02:05comme si cette atmosphère était contagieuse
02:09pour aboutir au pire.
02:11Et ça, c'est dramatique.
02:13Alors, je fais confiance
02:14à ce formidable préfet qu'est Nunez
02:17pour mettre en place,
02:18et puis bien sûr à Bruno Retailleau,
02:21pour mettre en place un énorme appareil
02:23pour maintenir l'ordre.
02:25Mais c'est très triste de devoir en arriver là.
02:285400 policiers mobilisés à Paris,
02:31Carl Olive,
02:31ça fait cher.
02:32Et à chaque fois,
02:33combien de fois on empêche les supporters
02:34d'aller sur des déplacements,
02:36parce que ça va drainer
02:37trop de forces de police ?
02:39Il y a quand même un point rouge
02:40sur le football, Carl Olive.
02:42Je ne suis absolument pas d'accord, Frédéric.
02:44Rebonsoir.
02:45Je vais reprendre les propos
02:46de Philippe Bilger.
02:47Il n'y a pas une manifestation
02:48aujourd'hui en France
02:49depuis maintenant 4-5 ans
02:51qui finalement se déroule bien,
02:52quand bien même on parle
02:53de manifestations pacifistes
02:55ou par exemple des manifestations
02:57pour des grèves.
02:58On l'a vu sur les gilets jaunes.
03:00Les gilets jaunes,
03:00on a 90% de manifestants
03:02qui se comportent parfaitement bien,
03:03qui sont valoir leurs droits.
03:05Et vous avez 10% de pourris
03:06qui viennent polluer
03:07volontairement les cortèges.
03:10Je pense qu'il y a au black bloc
03:11comme l'a rappelé Philippe Bilger.
03:14Mais de la même manière,
03:15on a vu aussi pour les manifs
03:16des retraites.
03:17Donc aujourd'hui, encore une fois,
03:18pour moi, le football est victime.
03:20C'est une caisse de résonance
03:21à nul autre pareil de la société.
03:23Et encore une fois,
03:24les incivilités ne s'arrêtent pas
03:25aux portes des stades.
03:26En revanche,
03:27moi je ne dis pas
03:28que les forces de sécurité
03:30que notre pays a peur des représailles.
03:31Au contraire,
03:32il se prémunit.
03:33On est dans une sorte de prévention
03:34et il faut rendre hommage
03:36aux forces de police.
03:37Vous l'avez rappelé, Frédéric,
03:39mais également au travail
03:40du préfet Nunez
03:41en termes de prévention.
03:43Alors, ce qu'il dit, Carl,
03:45juste pour agrémenter
03:47ce que vous êtes en train de dire,
03:48nous sanctuarisons l'étoile,
03:49elle sera gelée,
03:50personne ne rentre,
03:51même les piétons,
03:52dès samedi 18h.
03:53Et des commerces
03:54qui sont fermés
03:55jusqu'au dimanche soir minuit.
03:57Ça fait beaucoup quand même, non ?
03:59Oui, mais là, on est sur,
04:01vous l'avez rappelé tout à l'heure,
04:02Frédéric,
04:02on est sur quelque chose
04:03qui vient une fois
04:04presque tous les 50 ans
04:05ou presque,
04:06puisque la dernière...
04:07Il y a 32 ans.
04:08Ça fait 32 ans
04:10et on était présents en 96,
04:12le mai 96,
04:13pour la victoire du PSG,
04:14c'était en Coupe des Coupes.
04:16Mais, encore une fois,
04:17c'est des immenses
04:18rassemblements de la jeunesse.
04:20Et de fait, aujourd'hui,
04:21force est de constater
04:22que nous sommes incapables
04:24parce que la société est fracturée
04:26et qu'il y a des incivilités.
04:27Ces incivilités,
04:28elles ne sont pas
04:29la responsabilité
04:31d'un ministre de l'intérieur,
04:33quel qu'il soit.
04:33Elles sont la responsabilité
04:35de ceux qui veulent,
04:36encore une fois,
04:37foutre le bordel.
04:37Et cela, il faut les traiter
04:38comme des ennemis de la République.
04:40Bon, alors,
04:40Karl-Olivre,
04:41les vrais voix échangent avec vous.
04:43Madi Saidi,
04:44quand même,
04:45les autres sports
04:46ne causent pas
04:47autant de problématiques.
04:48Est-ce qu'il y a un moment
04:49où le football
04:50doit être montré du doigt,
04:51Madi ?
04:52Moi, je suis d'accord
04:53avec ce qui vient d'être dit
04:54par Karl-Olivre.
04:55Pour moi,
04:55le football,
04:56il est victime
04:56parce que pendant longtemps,
04:57on a eu le problème
04:58des hooligans
04:58et honnêtement,
04:59la plupart des clubs
04:59ont fait le nécessaire,
05:01le PSG a fait le nécessaire,
05:02ils ont mis des moyens,
05:03ils ont viré
05:03ce qu'ils devaient virer.
05:05Et donc,
05:05potentiellement,
05:06ça se passe mieux.
05:07Je crois qu'on a aussi
05:07une espèce d'amalgame.
05:08Ceux qui viennent foutre
05:09le bordel dans le football,
05:10ce n'est pas des amateurs
05:11de football,
05:12ce n'est pas des gens
05:12qui aiment le foot,
05:13ce n'est pas des gens
05:14qui viennent se mélanger
05:15à la liesse
05:15pour faire la fête.
05:17C'est des casseurs,
05:18c'est des casseurs,
05:18c'est des racailles,
05:20aux ondes mondes,
05:20c'est ça,
05:20ce sont des racailles
05:21et qui viennent,
05:22de toute manière,
05:22il y a très longtemps,
05:23même plus que cinq ans,
05:25qu'à Paris,
05:26on ne peut plus rien faire.
05:27On ne peut pas célébrer,
05:28on ne peut plus faire deux fêtes.
05:29Il y a toujours,
05:31quelque part,
05:31cette épée d'Amoclès,
05:33de la délinquance,
05:34de l'insécurité,
05:35on ne peut plus rien faire à Paris.
05:37Et moi,
05:37je pense effectivement,
05:38le football,
05:39là aussi,
05:39un public assez particulier.
05:44où il n'y a jamais,
05:45quasiment jamais,
05:46ce genre d'échauffouré.
05:47Et je crois que c'est aussi
05:48la nature du football
05:49qui fait que malheureusement,
05:50on a des publics qu'on a
05:51et qui rend la question
05:52de la sécurité compliquée.
05:54Vous êtes pour l'instant
05:54tous d'accord.
05:55J'essaye de me faire
05:56l'avocat du diable,
05:56même si,
05:57et Carl le sait,
05:58on a travaillé longtemps ensemble
05:59à Canal+,
06:00je suis passionné de football,
06:01mais quand même,
06:02on a un rôle aussi,
06:03nous les médias, Carl.
06:05Quand on monte
06:05le supporter de Saint-Étienne
06:07contre le supporter de Lyon,
06:09quand on attise,
06:10quand à l'époque,
06:11le président Tapie
06:12était fin,
06:14à monter le classico.
06:15Le football a joué aussi
06:17avec ses rivalités.
06:18Il le paye aussi un peu,
06:19Carl, non ?
06:20Alors, vous avez raison
06:21sur deux points, Frédéric.
06:23La première, rappelez-vous,
06:24la direction des sports de Canal
06:27avait une éditorialisation
06:28qui faisait que
06:29lorsqu'il y avait
06:30quelqu'un qui rentrait,
06:32par exemple,
06:32sur le terrain,
06:33et lorsqu'il y avait
06:33des échauffourés
06:34dans les tribunes,
06:35volontairement,
06:36nous ne les montrions pas.
06:37On ne les montrait pas
06:38pour pas que ça fasse
06:38caisse de résonance.
06:39C'est la théorie
06:39de la vitre brisée
06:40de l'ancien mère
06:43de Giuliani,
06:44l'ancien mère
06:44de New York.
06:45Et de la même manière,
06:47il faut aussi,
06:47là pour le coup,
06:48aussi parfois dire
06:50qu'on a un certain nombre
06:51aussi de clubs
06:51et de présidents
06:52qui sont responsables
06:53parce que le travail
06:54en interne,
06:54et Maïdi vient de le rappeler,
06:56n'est pas toujours fait.
06:57Ce qu'a fait
06:57Robin Leproux
06:58au Paris Saint-Germain,
07:00on aurait pu faire
07:01peut-être un peu plus école
07:02ou parfois quand il y a
07:03des débordements
07:04qui sont des débordements
07:06inacceptables.
07:07Je vous donne un exemple.
07:08Il y avait eu un sujet
07:09avec des supporters
07:10qui balançaient des canettes
07:11sur Dimitri Payet
07:12lors d'un match
07:13entre l'équipe de Marseille
07:15et l'équipe de Lyon.
07:16De Lyon, exactement.
07:18J'avais voulu faire
07:19une proposition
07:20pour qu'on puisse
07:21à la fois sanctuariser
07:23et démultiplier
07:23le montant des amendes
07:25pour les supporters.
07:26On m'a rayonné
07:26parce que j'étais
07:27soi-disant
07:27en conflit d'intérêts
07:28parce que je fais partie,
07:29vous l'avez dit,
07:30de l'administration
07:31de la Ligue de football
07:31professionnelle.
07:32Voilà, on en est
07:33dans le pays.
07:34Donc ça veut dire
07:34que les spécialistes
07:34n'ont pas voix
07:35au chapitre.
07:36Qu'est-ce qui se passe
07:36aujourd'hui ?
07:37Ça n'a rien passé.
07:37Bon, alors l'avis
07:38d'Abel Boyy
07:39qui est très important
07:40parce qu'Abel Boyy
07:41avec Tous Unis,
07:42Tous Uniques,
07:43vous faites aussi
07:44de la prévention
07:46auprès des jeunes footballeurs.
07:48Le football génère
07:49de la violence ou pas ?
07:50Je vais être taquin
07:51avec vous Frédéric,
07:52je trouve votre question
07:53très vicieuse.
07:54C'est pour ça,
07:55ça m'amusait.
07:56Oui, parce qu'il y a
07:57deux sujets dans la question
07:58comme l'a dit
07:58M.Olive m'a dit aussi.
08:01La société est violente,
08:03n'oublions pas
08:03la menace terroriste
08:04aussi qui est toujours présente.
08:06Donc le foot
08:07ne peut pas être responsable.
08:08Mais quand je dis
08:08il y a deux sujets,
08:09il y a le football
08:10du quotidien,
08:11c'est-à-dire la vie
08:12du championnat,
08:13que ce soit le championnat
08:13de France,
08:14la Liga,
08:15la Première Ligue
08:15ou autre,
08:16et des événements
08:17particuliers comme demain
08:18où en cas de victoire,
08:20la foule peut remplir
08:22les rues de Paris.
08:23Mais ça,
08:23ce n'est pas le foot
08:23qui organise ça.
08:25Ça, ce n'est pas le foot
08:26parce que vous avez
08:27des supporters
08:27et vous avez des gens,
08:29des supporters,
08:29on va dire,
08:30occasionnels
08:31et des supporters
08:32plus récurrents
08:32qui vont venir.
08:34Vous avez des gens
08:34qui n'aiment pas le foot
08:35qui vont venir aussi.
08:36Et pour moi,
08:37c'est deux sujets
08:38totalement différents.
08:39La seule chose
08:40que je peux dire,
08:40sachant que ce n'est pas
08:41évident à gérer
08:42et que je peux regretter,
08:43c'est que malheureusement,
08:44on l'avait en Angleterre,
08:45le cas de M. Leprou
08:47a été mis en exergue
08:48par rapport au PSG,
08:49c'est que peut-être
08:50au niveau de la violence
08:50dans les stades,
08:51il a fallu attendre
08:52qu'il y ait des drames
08:53voire des morts
08:53pour que ça puisse bouger.
08:55Je répète,
08:55c'est des choses
08:56qui ne sont pas faciles
08:57à gérer,
08:58bien entendu.
08:59Mais pour moi,
08:59il y a deux sujets.
09:00Ce qui va se passer
09:01demain soir,
09:01ce n'est pas la responsabilité
09:02du PSG,
09:03ce n'est pas la responsabilité
09:04de la LFP
09:05ni de la FFF.
09:06Vous avez une Champions League
09:08qui est une compétition
09:09de l'UFA en plus
09:10qui fait que,
09:11comme ça a été dit,
09:12la dernière finale,
09:13il y avait 96 le PSG,
09:1593 Marseille.
09:16Contre le Rapide de Vienne
09:17et le PSG.
09:18C'est un mouvement historique
09:19et en plus,
09:20il y a un petit clin d'œil
09:20de l'histoire
09:21où ça se passe à Munich
09:22comme Marseille
09:23comme 93.
09:24Donc au niveau
09:25de ce qui va se passer demain,
09:26le PSG n'est pas du tout
09:27responsable.
09:27Pour la conclusion,
09:27on se fait plaisir
09:28tous les quatre
09:29avec Karl Olive.
09:30Karl, ça va passer
09:31pour le PSG ?
09:33D'abord, je veux dire merci
09:34parce que c'est très intéressant
09:35d'ouvrir ces chapitres,
09:37Frédéric.
09:37Ça ne m'étonne pas de vous.
09:39La deuxième chose,
09:39c'est qu'il y a Paris
09:41mais il n'y a pas que Paris.
09:41Vous voyez,
09:42là je suis à Saint-Germain-en-Laye
09:43à Poissy.
09:43Il y aura de belles fêtes
09:44aussi qui seront faites
09:45et je rejoins ce que dit Abel.
09:46C'est d'abord
09:46une fête citoyenne
09:47avant d'être une fête
09:48de supporters.
09:49Et je vous annonce
09:501-0,
09:50j'y serai.
09:511-0,
09:51Vitignac,
09:5287e.
09:53Et votre ville,
09:54Poissy,
09:55qui accueille désormais
09:56le stade d'entraînement,
09:57vous êtes au cœur,
09:59Karl Olive.
10:00Philippe Bilger,
10:00rapidement,
10:01le PSG ?
10:01Vous n'êtes pas fan
10:02du PSG ?
10:03Oui, mais il va gagner.
10:04Il va gagner Madi ?
10:05Ici, c'est Paris,
10:06il va gagner, c'est sûr.
10:07Ah oui, oui,
10:08on va l'avoir,
10:08notre première étoile,
10:09ça y est.
10:11On va l'avoir.
10:11Allez, Karl Olive,
10:12bon voyage à Munich
10:13et merci,
10:14cher Karl Olive,
10:16de nous avoir éclairé,
10:18vous en tant que député,
10:19mais aussi passionné
10:21de foot et membre
10:22du conseil d'administration
10:23de la Ligue de football
10:23professionnel.
10:25Merci à vous,
10:26Philippe Bilger,
10:26Abel Boyi,
10:27Madi Saidi.
10:28Merci à toute l'équipe
10:29autour de Julien Delmas,
10:31le réalisateur,
10:32Aude au standard
10:33et toute l'équipe
10:34pour ces deux jours
10:35qu'on a passés ensemble.
10:37Place au rugby
10:37dans un instant,
10:38il y a l'info,
10:39il y a le rugby
10:40et on a Alexandre Priam.
10:43Ah, on me fait signe.
10:44Oui, on est là,
10:44bien sûr.
10:45Bon, hey,
10:46il n'y a pas que le foot,
10:47Alexandre.
10:47Alors, j'en profite
10:48pour dire qu'il y a aussi
10:49le hand,
10:49parce que les filles de Met,
10:50elles font leur Final Four
10:51en finale de Ligue des Champions.
10:53Mais vous, au rugby,
10:54c'est quoi, Alexandre,
10:55le programme ?
10:56Déjà, moi,
10:56je dis 2-1,
10:57but de Vitinha,
11:00où je suis d'accord
11:00avec sa pénalty
11:01à la 50e
11:02et on terminera
11:03avec une tête de Marquinhos
11:06pour celer la victoire
11:07du Paris Saint-Germain.
11:08Non, plus sérieusement...
11:09Et pour Milan, qui marque ?
11:11Pour Milan,
11:12allez, là, au tarot,
11:12comme ça,
11:12on ne va pas prendre de récits.
11:13Oh non, et Pavard,
11:14ce serait marrant,
11:15Benjamin Pavard, non ?
11:16Ce serait marrant,
11:17c'est vrai que ce serait marrant.
11:17Allez, vite,
11:18le programme, Alexandre.
11:18Alors, on va parler de rugby,
11:19oui, parce que ce soir,
11:20on a une deuxième demi-finale
11:22de Pro D2
11:23qui va rejoindre Grenoble
11:24en finale.
11:25Ça va se jouer
11:25entre Brive et Montauban
11:26ce soir
11:27avec ce très grand rendez-vous
11:29de la saison de Pro D2.
11:31Soyez au rendez-vous,
11:31on est là jusqu'à 23h.
11:32Merci, à tout de suite,
11:33Alexandre Priam.
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