- il y a 3 mois
🔵 - ✨💙 Une Matinée d’Espoir & de Courage 💙✨ 🎙️ Thème : Le Cancer chez l’Enfant 👉 Ce lundi 22 septembre 2025 dès 10h00, Pamela Patten accueillira le Dr Kevin Teeroovengadum pour une discussion sincère, éclairante et porteuse de lumière. 🌸 Une rencontre profondément humaine et bouleversante, où la voix de l’espoir résonnera à travers les ondes. 📞 Participez, partagez vos émotions et vos questions en direct au 213 77 77. 🔴 Émission LIVE à vivre aussi sur notre appli TOPFM LIVE TV et via Parabole chaîne 10. 📲 Comment faire ? Téléchargez l’application “Top FM Mauritius” sur l’App Store ou le Google Play Store, puis cliquez sur TOPFM LIVE TV pour nous rejoindre. 💫 Parce que chaque histoire compte, chaque enfant mérite une voix et chaque instant de solidarité fait la différence
Catégorie
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ÉducationTranscription
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00:00Top FM
00:13Top FM, mid-morning show
00:16Comme à tous les moines, nous avons le plaisir de retrouver le Dr. Kevin Therouven-Gadam, chirurgien pédiatre. Bonjour docteur.
00:26Bonjour Pamela, bonjour à tous les auditeurs.
00:28Alors, nous avons choisi un thème, mon pensée, ça touche certaines familles et c'est une nouvelle terrible. Déjà quand nous connaissons nos enfants malades, ça affecte nous énormément. Maintenant, si nous apprenons les diagnostiquer avec un cancer, c'est vraiment, mon pensée, une étape très très très très dure, que ce soit pour l'enfant et les parents.
00:52Donc, notre thème, nous avons dit, ce sera le cancer chez l'enfant. Comment nous a défini sa maladie là, docteur ?
00:59Donc, c'est vrai que c'est un extrêmement gros choc pour l'enfant et toute la famille quand nous donnons le diagnostic.
01:08D'ailleurs, c'est un diagnostic qui n'est pas qu'à donner à la légère, nous faisons premièrement bien sûr du diagnostic et puis nous apprends nous les temps, nous annons au lit.
01:20Et les cancers chez l'enfant, c'est comme, la définition de cancer, c'est pareil, c'est une cellule qui est multipliée de façon incontrôlée.
01:31Et s'il n'est pas fait un ennier, c'est pour propager dans tout le corps et parce qu'on est là pour décéder.
01:37Le cancer de l'enfant, il y a assez différent parce que c'est pas différents cancers.
01:42C'est pas les mêmes cancers, c'est un cancer fréquent chez l'adulte, c'est le cancer du sein, par exemple, cancer poumon, cancer prostate.
01:50Et c'est pas ça, pas ça, c'est un cancer là qui nous trouvait chez l'enfant, c'est pas différents types de cancers.
01:55Mais qui est le cancer qui est le plus fréquent ?
01:57Le largement le plus fréquent, c'est le cancer du sang, ça veut dire les leucémies.
02:02Les leucémies et aussi les cancers des ganglions, les lymphomes.
02:08Ensuite, nous avons un cancer, une tumeur cérébrale, dans certaines parties cerveaux surtout,
02:14dans la partie cerveau qui part en arrière, on appelle ça le cerveau, ou le tronc cérébral, le plus fréquent là.
02:22Et puis, il y a un cancer dans le ventre aux enfants là, c'est quand, moi, mon plus concerné comme chirurgien pédiatre,
02:28quand on m'a opéré, un neuroblastome, on appelle ça, un néphroblastome, un tumeur qui développait au départ certaines cellules lérins aux enfants là.
02:38Et ça, c'est parfois, nous avons des enfants qui viennent avec un ventre qui devient gros,
02:42et sans trop de symptômes parfois, quand je devine, un gros état nous palpé, nous passons une lamelle au ventre, nous trouvons une grosseur.
02:51Ça, ensuite, il y a un cancer plus rare, un cancer les oeufs, le nord, et ensuite, il y a aussi possible qu'il se gagne un cancer type adulte,
03:03par exemple, cancer l'intestin et tous les autres cancers.
03:06Mais un cancer largement le plus fréquent, c'est les cancers du sang, les leucémies.
03:10Alors, mon pensée, une cause, symptômes, tout bain de cancer, là, c'est un symptôme pas pareil.
03:16Bien sûr.
03:16Et là, puisque vous pouvez dire leucémies, le cancer du sang, peut-être, est-ce qu'il y a un bain de signes qui est capable d'aller être bain de parents ?
03:21Bien sûr. Alors, sans qu'il y ait un bain de parents, il y ait peur, parce que ces bains de signes-là sont assez aspécifiques.
03:29Je veux dire, il y a assez difficile au début pour nous penser qu'il y a un cancer.
03:34Donc, un type leucémie qui fréquent chez l'enfant, c'est les leucémies aiguës lymphoblastiques.
03:42Donc, là, comme ça, c'est LAL, vous vous demandez.
03:45Et c'est ça, ce type cancer du sang, là, qui fréquent aux enfants.
03:50Et qu'il y a donné, c'est une multiplication de certaines cellules du sang dans la moelle osseuse.
03:57La moelle osseuse, c'est tous les oeufs, dans les oeufs, là.
04:01Donc, je multiplie jusqu'à ce qui empêche les autres cellules développées.
04:09Les cellules, par exemple, les globules blancs.
04:11Ce sont les globules blancs qui sont importants pour la défense immunitaire, ne pas développer.
04:15Mais les enfants, là, il faut gagner une infection plus rapidement.
04:18Ce qui empêche les plaquettes développées.
04:22Et plaquettes, c'est important dans la coagulation.
04:24Donc, si ça va une cellule anormale, elle prend toute place dans la moelle osseuse.
04:29Les enfants, ce plaquettes, baissées, mais il faut gagner une bande bleue.
04:32À chaque fois qu'il est tapé, il faut gagner une bande bleue.
04:36Ce n'est qu'à saigner, il faut saigner plus facilement.
04:39Donc, il faut gagner une infection à répétition.
04:44Il faut gagner une infection, par exemple, la gauche, la répétition, l'infection pulmonaire.
04:48Mais bon, ça ne veut dire parce qu'un enfant est malade, malade.
04:53Si un enfant est à l'école, il peut gagner une quantité de virus.
04:55Il est malade, malade.
04:56Ça ne veut pas dire qu'il peut gagner une leucémie.
05:00C'est pour ça qu'au début, il est assez difficile pour faire la part des choses entre un enfant
05:04qui a un système immunitaire un peu faible, qui peut gagner une quantité de virus à l'école
05:08et qu'un enfant peut débuter une leucémie.
05:11C'est pour ça qu'au début, les enfants sont malades à répétition.
05:16Ce n'est pas mal qu'ils ont un médecin et ce n'est pas mal qu'ils nous font une simple prise de sang
05:20qui est appelée un full blood count pour nous avoir un anémie, ce nombre de globules blancs dans le sang.
05:28Ce n'est pas mal.
05:29Au bout d'un certain temps, nous avons un anémie.
05:31Souvent, avec une simple prise de sang, le full blood count, nous n'avons pas l'idée.
05:37Il n'est pas pour faire le diagnostic de façon précise de leucémie.
05:40Nous n'avons l'idée de s'il y a quelque chose anormale quand nous devons faire un examen et puis avancer.
05:44Oui.
05:44Et vous pensez, une fois qu'ils ont détecté le diagnostic, ils font accompagnement à ces enfants-là,
05:50c'est très, très important, c'est primordial.
05:52C'est primordial.
05:54Au fait, aujourd'hui, nous rendons compte que pour le cancer de l'enfant, mais en général en médecine,
06:00en médecine, il y a toujours une maladie qui est grave, toute une maladie qui est compliquée
06:04et toute une maladie, en français, nous servis le terme « pas au cours de soins ».
06:09Ça veut dire, vous connaissez une maladie simple, elle m'a bien du lait à la tête,
06:13une médecin, elle m'a des panadoles, elle m'a bien du lait à la tête.
06:16Ça, c'est une affaire simple.
06:17Mais toute une affaire qui est compliquée, il y a un concept maintenant et ça, moi, je suis content,
06:23explique, il y a un petit peu à la radio, pour Andy Boon comprendre un peu.
06:26Le terme anglais, c'est « patient navigator ».
06:30Et le terme en français, c'est plutôt un accompagnateur dans le parcours des soins.
06:38L'extra-important, c'est souvent le pain de médecin.
06:41Le pain de médecin, c'est qu'il y a une infirmière, c'est qu'il y a un social worker,
06:45même Andy Boon qui comprend un peu la maladie, un ancien malade,
06:54comprend qui ça et qui aide sa famille-là dans tout sa parcours de soins du début-là,
07:04quand il y aura sa diagnostic-là, jusqu'à des années plus tôt que nous allons dire,
07:10normalement, nous dire, au bout de cinq ans, ces enfants-là, il est tumor-free,
07:14nous dire, normalement, il est en rémission, il est guéri, mais il y a un long parcours.
07:20Donc, souvent, aujourd'hui, nous rendons compte que le patient, le parent est perdu,
07:29parce qu'il y a, premièrement, il y a un diagnostic bien grave, il est bien stressant,
07:34il est parfois démuni, il est perdu, et il y a un rôle important, même l'OMS dit ça,
07:44et beaucoup, beaucoup d'études montrent aujourd'hui que le patient est un qui est un coordinateur de soins,
07:53qui est capable, il accompagne, c'est-à-dire, il y a un rôle dans la prise en charge psychologique,
07:59accompagne les parents-là, par exemple, on ne parle pas de l'école pendant longtemps,
08:04dans Maurice, surtout, beaucoup de cas quand c'est, il n'est pas bien dans l'Aisne,
08:08il n'est pas bien à l'étranger, donc, il y a un moment où il n'est quitté toute la vie,
08:14un ou deux parents, ce travail, il n'est quitté tous, il n'est quitté tous,
08:17il n'est quitté tous les enfants à l'étranger, là-bas, il y a un living code,
08:24il n'y a pas de problème qui n'est pas à arriver,
08:26il n'est pas, ces enfants-là, car il reste pour une petite période,
08:29ou pour une longue période à l'étranger, il est revenu,
08:33heureusement, dans la majorité des cas, il est guéri, mais parfois, il y a une rechute,
08:37donc, ce cas, il reste Maurice, il n'est une très bonne unité,
08:43la salle 14 à Candace, qu'il y a une appelée National Child Cancer Award,
08:46la moitié à l'hôpital publique, quand il a commencé, un petit peu après 2010,
08:50quand il y a une infirmière extraordinaire, qui est bien committée,
08:55quand les parents ont des mois,
08:57c'est-à-dire, une maman vient avec ces enfants,
09:03il n'a juste une chimiothérapie de jour, il y a allé,
09:06mais il n'a qui ont des semaines, ou plus longtemps,
09:08d'ailleurs, dans la salle-là, il y a une machine lavée,
09:12il y a un micro-ondes, il y a une télévision, il y a une salle de jeu,
09:16le traitement de la case, un petit peu.
09:17Oui, parce que c'est un enfant qui n'est pas plus qu'à l'école,
09:19qui est bien malade, qui n'est pas plus qu'à la case,
09:23qui est malade, qui a besoin de traitements bien poussés,
09:27donc, nous avons un traitement bien compliqué, bien contraignant,
09:32et il y a le côté médical qui est extrêmement important,
09:36et jusqu'à aujourd'hui, nous n'avons pas encore, malheureusement,
09:39un cancérologue spécialisé pour les enfants,
09:41et il y a quelqu'un qui peut former, qui prête pour finir en Afrique du Sud,
09:47qui me connaît, il est possible qu'il pourrait tourner l'année prochaine,
09:50mais ce n'est pas encore sûr,
09:53mais ce n'est pas juste un médecin qui peut faire la différence,
09:56c'est tout ça, l'environnement,
09:58le terme médical, nous avons de plus en plus maintenant,
10:01c'est l'écosystème autour,
10:02nous avons sa terre patient navigator,
10:05quelqu'un qui aide un dimanche,
10:07une famille passe à travers sa part au cours de soins-là,
10:10et il est important et qu'il n'y a qu'un système autour là,
10:15nous n'est plus qu'à dire...
10:16Mais nous avons déjà sa patient navigator là ?
10:20Il y a une association qui s'appelle un rêve, un sourire,
10:23qui s'est payé par le ministère,
10:28c'est-à-dire le ministère débourse l'argent,
10:31outsource sa service là,
10:34et qui fait un petit peu outsource sa service là,
10:36parce que, moi, mon travail à l'hôpital public,
10:39que l'hôpital public fait énormément de travail,
10:43avec toute sa population-là,
10:44mais il y a des affaires qui n'ont pas qu'à faire.
10:47Par exemple,
10:48un compagnement là,
10:52il y a des affaires qui travaillent bien,
10:58mais dans cette façon de travail,
11:02ils travaillent de 9h à 4h,
11:03comme les fonctionnaires,
11:06et pas le week-end, tout ça, pas le soir.
11:09Mais quand on a des enfants avec un cancer,
11:12le problème est arrivé n'importe quand.
11:15Il y a toujours une hotline,
11:18il y a ça.
11:19Et il est possible que le ministère
11:21qu'à mettre en place une structure comme ça,
11:25mais il vous prend les temps.
11:26Il vous prend les temps.
11:27Deuxièmement,
11:28ce pays n'a déjà,
11:29il est déjà formé,
11:31au sein du ministère
11:34pour faire sa travail-là.
11:36Et ce pays n'a,
11:37et on peut penser,
11:38si il peut y en a pour former,
11:39ou si il peut y en a pour participer les temps.
11:41Alors, peut-être,
11:41nous reviendrons ça tout à l'heure,
11:42nous faisons une pause,
11:43car déjà,
11:44commencez à téléphoner au 213-77-77.
11:47Top FM,
11:52mid-morning show.
12:17Madame,
12:44only beauty.
12:47Kili 4G,
13:095G au vib,
13:10plus qu'il y a un million mauritien,
13:12faire nous confiance.
13:13Allo,
13:14ce qui est un peu atteint,
13:14besoin d'un réseau plus grand,
13:16plus fiable,
13:16plus rapide,
13:17pour vivre l'experience,
13:18mighty CIE.
13:20Mighty,
13:20mighty CIE,
13:22ça.
13:22Presenting Girnar Detox Desi Kawa.
13:29Tea with a twist.
13:31Sip it along with the rising sun,
13:33or savor it after a long run.
13:35Your respite during a hectic day,
13:38or when you're in the mountains far away.
13:41Finest of green teas,
13:42herbs and spices.
13:44Gives a flavor that's twice as nice.
13:47Detoxing,
13:48now made easy.
13:49Just dip and sip.
13:50No wonder they say,
13:52no wonder they say,
13:52Girnar,
13:53my try,
13:54my time.
13:54No wonder they say,
13:55no wonder they say,
13:56as I've heard.
14:09human bite says,
14:09whatever omit says,
14:11we love the Kim's housebox.
14:12Sous-titrage Société Radio-Canada
14:42Sous-titrage Société Radio-Canada
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40:40le simple, disons,
40:42au moment de chirurgie pour les enfants,
40:44les enfants ont un néphroblastome,
40:46un gros cercle sur les reins,
40:48ça partit,
40:50je fais cette chirurgie, je tire les reins-là,
40:52il ne fait même pas 5%
40:54ou 10%
40:55du travail
40:56qui a besoin pour ça pour ces enfants-là.
41:01Maintenant,
41:01c'est bien, j'ai une équipe multidisciplinaire,
41:04il y a une quantité
41:06d'immunes involved
41:07et j'ai bien précisé
41:10ce qu'il nous peut faire
41:11et toute sa logistique,
41:14toute sa organisation-là
41:15qui nous a besoin d'améliorer,
41:17nous a besoin
41:18et il est peut-être
41:21driven par un oncologue pédiatre
41:23qui connaît sa maladie-là,
41:25sa maladie-là bien et qui
41:27est pour la guerre,
41:31pour gagner tout,
41:31pour gagner tout.
41:33Moi, j'espère
41:36le cancer pour les enfants
41:37mais aussi dans les autres
41:38branches de la pédiatrie,
41:43il y a un petit espoir
41:44qui nous est capable
41:46de faire mieux dans l'avenir
41:48parce qu'il y a beaucoup de jeunes médecins
41:49pleins de bonne volonté.
41:52Comment vous, comme ça?
41:53Moi, je suis plus jeune.
41:55Moi, je suis plus jeune.
41:55Je suis plus jeune,
41:56je suis plus jeune,
41:57je suis plus jeune,
41:58je suis plus jeune,
41:58je suis plus jeune,
41:59je suis plus jeune,
41:59je suis plus jeune,
41:59je suis plus jeune.
41:59mais sans tout,
42:01il y a un système,
42:02malheureusement,
42:03ce n'est pas l'eau,
42:03moi,
42:04c'est l'eau,
42:04les autres dimouines
42:04qui décidaient,
42:05pas moi.
42:06En tout cas,
42:06merci beaucoup
42:06de votre présence,
42:07docteur.
42:07Au plaisir de vous retrouver
42:09pour un autre thème.
42:10Merci.
42:10Merci.
42:14Top FM,
42:15Mid-Morning Show.
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