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  • il y a 2 mois
Retrouvez le replay de BFM Première - 4h30/6h sur BFMTV

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Transcription
00:00On savait que les sangliers étaient devenus par endroits un problème en dégradant jardins et potagers.
00:05Dans le Nord, les agriculteurs tirent à leur tour la sonnette d'alarme face aux dégâts causés justement par ces animaux.
00:10Oui, parce que la chasse ne suffit pas à réguler la population.
00:13Les agriculteurs demandent donc de meilleures indemnisations.
00:16Reportage BFM Grand Lille, Parissa Djavanchi.
00:21Regardez le carnage !
00:22Le passage d'une famille de sangliers dans la nuit se fait sentir sur la parcelle de cet agriculteur.
00:26Une partie des tiges sont terrassées et les épis déjà croqués.
00:30Tous les ans, on a entre 4 et 5 000 euros de dégâts.
00:33On ne cultive pas pour nourrir des sangliers.
00:37Rosalie accompagne les agriculteurs du Valencien, touchés par cette problématique.
00:41On estime 300 000 euros de dégâts agricoles l'an dernier dans le Nord.
00:45On voit que les dégâts s'étalent sur le territoire.
00:48Avant, c'était essentiellement autour des massifs forestiers.
00:51Maintenant, c'est parti.
00:52Saint-Amand, Mormal.
00:53Aujourd'hui, ça arrive au sud de l'île.
00:56Ça va sur le sud du Valenciennois.
00:58Pour les agriculteurs, cette prolifération est en partie due à la suppression de barrières autour des forêts et à la fin de l'égrinage.
01:05Les sangliers vont alors vers les plaines à la recherche de nourriture.
01:08Ce soir-là, ils sont quelques agriculteurs à s'être réunis pour rencontrer le sous-préfet et trouver des solutions.
01:12Des choses qui sont autorisées, mais qu'il faut mettre en place et activer sérieusement pour maîtriser la population.
01:23On a marre, on aimerait bien que ça bouge un peu plus et qu'on se sente un peu plus soutenus.
01:27Après une écoute active, le sous-préfet promet de revoir les statuts des zones non chassées.
01:31De son côté, l'ONF assure faire le nécessaire pour empêcher la prolifération de ces animaux avec des circuits d'égrinage et des plans de régulation.
01:38Focus sur le quotidien difficile d'un entrepreneur, c'est une réalité qui va sûrement parler à beaucoup d'entre vous.
01:46Près de Lyon, une maison de création inspirée du tatouage lutte pour sa survie.
01:51Le fondateur a décidé de céder justement son entreprise pour un euro symbolique afin d'éviter sa disparition.
01:57Maïva Comessi et les explications des équipes de BFM Lyon Métropole.
02:00Veste, casquette, bonnet, sac, ancrée, c'est une marque qui réconcilie broderie et prête à porter.
02:08Sur les réseaux sociaux, la semaine dernière, les abonnés ont découvert ce message du créateur de la marque.
02:13On est dans une situation délicate.
02:15Si dans quelques semaines ou quelques mois, il ne se passe rien, la marque ancrée, c'est chow bike.
02:19Et vu que je ne veux pas que la marque ancrée soit chow bike.
02:22J'ai décidé de sortir un dernier coup de poker.
02:24Je vends la majorité des parables de la société ancrée pour moins cher qu'une baguette, c'est-à-dire un euro.
02:28Un euro pour reprendre cet atelier à Caluire, d'où sortent chaque mois 10 000 pièces avec 4 salariés, tous très attachés à l'entreprise.
02:37On a quand même une très bonne entente tous ensemble.
02:41Et puis il y a eu pas mal d'engouements sur certains produits qui ont fait beaucoup parler.
02:46C'est compliqué de se projeter, mais ça aurait été une belle aventure si ça se termine là.
02:51Une aventure et une réussite, comme cette veste, un des best-sellers de la marque.
02:56Une broderie là-dessus, c'est 8 heures. Et après, on utilise des fils qui sont assez particuliers.
03:01Tout le blanc que là, vous allez voir, c'est du fil phosphorescentral.
03:05Malgré un million d'euros de chiffre d'affaires annuel et une centaine de revendeurs à travers le monde,
03:10la réalité économique a rattrapé les ambitions du jeune entrepreneur.
03:13La mode, ça a son nom et c'est pas pour rien, c'est que ça vient, ça repart.
03:17Et que quand on a des employés en fixe à un lieu, etc.,
03:21dès qu'il y a des moments un peu plus compliqués, ça demande une certaine trésorerie pour tenir ces moments-là.
03:26Et aujourd'hui, on n'a pas construit suffisamment de trésorerie pour pouvoir gérer ces moments de preuve.
03:30Depuis l'annonce de la vente il y a 4 jours, Ancré a déjà reçu 200 candidatures.
03:35Le directeur se laisse un mois pour trouver un repreneur.
03:38Merci d'avoir regardé cette vidéo !
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