00:00Alors Paul Amard est avec nous, c'est la première fois qu'il est avec nous dans ce studio et je lui ai demandé de venir d'abord parce que Paul Amard a une carrière très longue dans le service public, pas que dans le service public d'ailleurs parce que vous faisiez une émission sur Paris 1ère qui était formidable, une émission de portrait où on pouvait arrêter en bezant sur le portrait d'un invité, cette émission a duré 4 ans, 5 ans, 10 ans, vous voyez avec je ne sais combien de numéros,
00:25d'ailleurs on pourrait les revoir ces numéros parce que c'était émouvant, c'était intéressant et puis vous avez une longue carrière d'abord d'éditorialiste politique dans une rédaction d'Antenne 2 entre 75 et 80 qui était une des meilleures à l'époque de France, très nouvelle d'ailleurs, il y avait un ton autour de Marcel Julien qui était à ce moment-là sans doute le PDG, je me souviens de gens comme Philippe Sassier, Georges Bortoli, des grands anciens, PPDA présenté à cette époque-là, Christine Ocraine,
00:53et puis après vous-même vous avez présenté le 20h, mais il y a cette longue carrière dans le service public. Tout ça pour dire que le service public a sans doute toujours penché un peu à gauche.
01:03Mais j'ai le sentiment aujourd'hui qu'on est au-delà, c'est-à-dire qu'on est dans un système de bien-pensance, de politiquement correct, où surtout les avis extérieurs ne rentrent plus,
01:15ce qui n'était pas le cas dans le service public que j'évoque à l'instant, c'est-à-dire qu'autour de Pivot, autour de Chancel et dans les 20h, il y avait des voix discordantes.
01:25Et j'ai l'impression qu'aujourd'hui ces voix discordantes ne sont plus entendues.
01:29Et j'ai l'impression qu'aujourd'hui ces voix, c'est-à-dire qu'aujourd'hui ces voix, c'est-à-dire qu'aujourd'hui ces voix,
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