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00:0618h42 de retour dans Punchline sur CNews et sur Europe 1.
00:09On est toujours avec Éric Nolot, Catherine et Louis de Reynel
00:11et on a le plaisir de recevoir le cardinal François Bistillot.
00:14Bonsoir à vous.
00:15Bonsoir.
00:15Merci de me recevoir.
00:16Vous êtes l'évêque d'Ajaccio évidemment
00:18et vous publiez ce livre que je trouve formidable
00:21qui s'appelle Réparation, une société fracturée peut-elle survivre ?
00:24Aux éditions Fayard, chose vue.
00:26Mon père, on est dans une société d'une violence débridée.
00:29Chaque jour, des attaques au couteau, des meurtres aux Etats-Unis, dans notre pays.
00:33Comment on peut réparer cette société fracturée ?
00:36Comment recréer du lien ?
00:38Comment faire en sorte que l'autre ne soit pas une menace,
00:41ne soit pas dans l'agressivité permanente ?
00:42Est-ce que vous avez la solution ?
00:44Je n'ai pas une solution pratique, mais j'ai une solution idéale.
00:48Il me semble que pendant longtemps,
00:50on l'a vu pendant toute la journée,
00:52toutes les nouvelles qu'on a reçues,
00:54et comme vous l'avez dit, des meurtres, des douleurs, des souffrances, des violences,
00:59et moi, je pense qu'on analyse trop la réalité.
01:02On dit trop la réalité, il faut le dire.
01:05Mais on oublie quand même l'idéal.
01:07On dit ce qui ne va pas, et c'est grave, c'est douloureux,
01:11mais on oublie que nous avons la capacité de vivre un idéal.
01:14Pourquoi on n'étend pas vers l'idéal ?
01:17La vie est belle, et pourtant, ce qu'on voit dans la réalité,
01:21ce sont des souffrances, des douleurs, des violences.
01:23Et qui montre, qui manifeste le fait que nous avons tous des talents,
01:27des capacités pour aller de l'avant, pour être meilleurs ?
01:31On dirait qu'on est des monstres.
01:32Quand on voit les nouvelles que nous avons écoutées dans la journée,
01:35on a des monstres autour de nous.
01:37Et en même temps, il y a des gens merveilleux autour de nous.
01:41Mais pourquoi on ne dit pas ce qui est bon, bien, positif, constructif ?
01:45Pourquoi on a trouvé des paroles dures, destructrices,
01:48et pas, comme dans la Bible, des paroles créatrices ?
01:51Vous dites aussi dans ce livre qu'exprimer une conviction,
01:54une conviction, il devient un exercice périlleux.
01:56C'est-à-dire qu'aujourd'hui, prendre la parole,
01:58exprimer une opinion, vous livre au jugement des autres,
02:03parfois à l'agressivité des autres.
02:04Et vous évoquez aussi, et c'est très contemporain,
02:07la problématique des réseaux sociaux pour nos jeunes.
02:10Là, pareil, il faut des solutions.
02:12J'ai l'impression que nous prêchons tous la tolérance, le respect.
02:17On les prêche.
02:18En fait, on est comme une religion,
02:20on est tous très croyants, mais pas pratiquants.
02:22Alors, on prêche la tolérance,
02:25mais en fait, on n'est pas très tolérants,
02:26on n'est pas très respectueux.
02:28Comme je dis dans le livre,
02:31souvent, une opinion, une pensée,
02:33si elle est différente,
02:36on a un tsunami de critiques,
02:38on démolit les personnes.
02:40Alors, si moi, j'ai un minimum,
02:43je dirais, de maturité humaine,
02:45intellectuelle et spirituelle,
02:47je conçois parfaitement
02:49que l'autre a une vision différente,
02:52et pour cela, il n'est pas mon ennemi.
02:54Il n'est pas un danger pour moi.
02:56Et je crois que nous n'avons pas cette maturité.
02:58On est beaucoup dans l'émotion.
03:00On réagit à beaucoup d'émotions,
03:03mais on réfléchit peu.
03:05Et peut-être qu'il faudrait retrouver
03:06la dimension monastique du recul,
03:11du silence, de la pause.
03:14Au lieu de réagir sans réfléchir,
03:16sous le coup de l'émotion,
03:18peut-être qu'il nous faudrait un peu plus de temps,
03:21soigner le temps,
03:23soigner la réflexion,
03:24et nourrir aussi la réflexion
03:26pour être moins émotif
03:27et moins juste dans nos...
03:28Vous parlez quand même des réseaux sociaux.
03:30Vous dites que c'est une espèce
03:31de tourbillon permanent pour notre jeunesse.
03:34Par exemple, là, est-ce qu'il faut, selon vous,
03:35interdire les réseaux sociaux à nos jeunes ?
03:38Pour qu'ils aient le temps de se construire
03:39cette intériorité, cette spiritualité ?
03:42C'est une question,
03:42parce que par les réseaux sociaux,
03:44on est dans l'immédiat.
03:46Et beaucoup de nos souffrances,
03:47me semble-t-il,
03:48elles viennent du fait qu'on réagit
03:49à tout, sur tout, partout et en tout.
03:52Alors, j'aime, j'aime pas,
03:55je suis pour, je suis contre,
03:57mais où est la réflexion ?
03:59Et dans les réseaux sociaux,
04:00il y a beaucoup de rapidité.
04:03C'est la réaction.
04:04Et moi, je pense qu'on a des temps
04:06durs, difficiles,
04:07comme le nôtre,
04:08où on voit beaucoup de violences,
04:10et on aurait besoin
04:10de plus de réflexion.
04:13Se poser, se reposer
04:15dans la vie autrement,
04:17réfléchir autrement,
04:18voir la vie autrement.
04:19Autrement, je pense qu'on a développé
04:21une mentalité de,
04:23je dirais un peu,
04:24de procédurier,
04:27et peut-être qu'il faudrait
04:28convertir notre mentalité
04:29pour qu'elle devine
04:30une mentalité plus de philosophe.
04:33C'est-à-dire,
04:34au lieu de juger et condamner,
04:36il faut se poser des questions
04:37et chercher des réponses.
04:39Et peut-être que nous serons
04:39plus pudiques,
04:41on aurait plus de recul,
04:43et nous serons un peu plus justes.
04:44C'est l'éloge du doute, en fait.
04:45Ce que vous nous doutez,
04:46c'est se questionner,
04:47c'est donc écouter l'autre.
04:49Et ça, c'est vrai qu'on a perdu
04:50de plus en plus cette capacité
04:52à l'altérité.
04:53Le doute permet d'évoluer.
04:55Le doute stimule
04:56et cherche aussi la solution
04:59et la vie.
05:00Eric Nelot, une question
05:01à Mgr Bustillo.
05:02Oui, vous avez évoqué
05:03la vie monastique,
05:04mais la vie monastique,
05:04c'est une vie en marge du monde.
05:06Mais quand vous êtes dans le monde,
05:08est-ce que la bienveillance,
05:09c'est la meilleure arme de l'idéal ?
05:11Est-ce qu'il ne faut pas
05:11une dimension de combat
05:12quand vous êtes face à des gens
05:15non seulement qui vous critiquent,
05:17mais qui veulent s'en prendre
05:18à vous physiquement,
05:19qui veulent vous éliminer physiquement ?
05:21L'actualité américaine
05:22est là pour nous le rappeler.
05:23L'idéal, c'est peut-être
05:24au terme...
05:26Pour l'éternité,
05:27c'est peut-être une très bonne arme,
05:28mais pour le temps présent,
05:29est-ce qu'il ne faut pas
05:30utiliser d'autres moyens ?
05:31Je pense que le propre de l'homme,
05:34c'est le dialogue,
05:35c'est la parole.
05:36Comme disait Platon,
05:38l'homme utilise le verbe,
05:40élèmètre la force.
05:42Si on passe systématiquement
05:43à la force,
05:44c'est qu'il y a un problème.
05:45Il y a l'échec du dialogue,
05:46l'échec de la parole.
05:47Je pense que,
05:48par les réseaux sociaux,
05:50par le système un peu
05:51de communication
05:52que nous avons actuellement,
05:53on est toujours
05:54dans une logique de force,
05:55de domination.
05:57Je dois dominer l'autre.
05:58J'ai raison,
05:59l'autre a tort.
05:59Et on a développé,
06:01malheureusement,
06:02une logique tribale.
06:04Je protège les miens,
06:05j'attaque les autres.
06:07Et donc,
06:07on a perdu la sérénité,
06:09on a perdu la confiance.
06:11Il y a des motions de confiance,
06:13des motions de défiance,
06:15et on le voit tous les jours.
06:16Moi, je me dis,
06:16mais pourquoi ?
06:17Je ne suis pas naïf,
06:19je ne prêche pas non plus
06:20un conte du genre
06:22Alice au Pays des Merveilles.
06:23Je me dis,
06:24pourquoi ne pas développer
06:25la bienveillance ?
06:27Si j'utilise la voie
06:28du dialogue,
06:30la voie de la rencontre,
06:33si je nourris ma vie intérieure,
06:35peut-être que l'autre
06:36ne va pas être une menace pour moi,
06:37il ne va pas être un fardeau,
06:39mais un cadeau.
06:39Mais là,
06:40on a du boulot,
06:41on a du travail.
06:42Je pense qu'il faut muscler,
06:43non pas la vie,
06:43le côté extérieur,
06:45mais il faut muscler
06:45la dimension intérieure,
06:48spirituelle et intellectuelle.
06:49Catherine Ney.
06:49Ça commence où ?
06:50Parce qu'avant l'école,
06:51déjà, on est en rivalité,
06:54c'est difficile.
06:55Est-ce que ça doit commencer
06:57dans la famille ?
06:58Est-ce que la culture
07:00de la bienveillance,
07:02le rôle des parents
07:03est essentiel,
07:04d'abord de bien s'entendre,
07:05d'aimer leurs enfants ?
07:06Mais au-delà de cela,
07:08est-ce qu'on doit demander
07:10aux enfants de ne pas être
07:11sur TikTok toute la journée,
07:13les aider,
07:14les convaincre,
07:15il va les faire de la lecture,
07:16des choses dans le calme,
07:19des promenades ensemble.
07:20Qu'est-ce qui amène
07:21ce repos,
07:23loin du tumulte ?
07:25Qu'est-ce qu'il faut ?
07:26Est-ce que la racine
07:28de la bienveillance,
07:29c'est dans une famille unie,
07:32si possible,
07:33mais avec une écoute
07:34des enfants et un dialogue ?
07:36C'est là le début.
07:38Au commencement,
07:38c'était la famille.
07:40Je pense que nous sommes nés
07:41au sein d'une famille,
07:43plus ou moins bien,
07:44plus ou moins unie,
07:45plus ou moins compliquée
07:47ou complexe,
07:48mais la famille est le cœur.
07:51On se nourrit de la famille
07:52et dans la famille.
07:53Et à la fin,
07:54ce qu'on sort de nous-mêmes,
07:55c'est le fruit d'un itinéraire,
07:57celui de la naissance,
07:59de la famille,
08:00de l'éducation,
08:01à l'école et ailleurs.
08:02Et si nous voyons des signes
08:04des violences aujourd'hui,
08:06si nous voyons des signes
08:08d'inquiétude aujourd'hui,
08:10c'est peut-être parce que nous,
08:12dans notre vie,
08:13depuis l'enfance,
08:14en passant par l'adolescence
08:15et la jeunesse,
08:16nous avons reçu,
08:18alors je vais vous raconter
08:19une histoire qui me semble belle
08:20et qu'on m'avait racontée
08:21quand j'étais à Lourdes.
08:23Et il y a une sœur
08:24qui m'avait dit
08:24« Chacun de nous porte une soupe en soi. »
08:28Je dis « C'est quoi une soupe en soi ? »
08:31Elle me dit,
08:31c'est une sœur brésilienne,
08:33beaucoup d'imagination.
08:36Elle me dit
08:36« Si tu es né dans une famille
08:38bien,
08:40aimante,
08:41on t'a donné une bonne éducation,
08:44tu reçois beaucoup d'amour,
08:46tu vas à l'université,
08:47tu as des diplômes, etc.
08:48Ce que tu vas sortir de toi
08:50va être très bon et bien.
08:53Si tu es né,
08:54elle parlait du Brésil,
08:56dans une famille
08:57que tu n'as pas connue,
08:59où tu t'es nourri de violences,
09:01ce qui va sortir de toi,
09:03c'est le mal
09:04qui est en toi
09:05ou le vide
09:05qui est en toi.
09:07Alors je pense effectivement
09:08que si aujourd'hui
09:09nous voyons beaucoup
09:10des signes d'inquiétude,
09:11des violences,
09:12c'est parce que peut-être
09:12nous n'avons pas reçu
09:13à partir de la cellule familiale
09:17peut-être l'amour,
09:18l'éducation,
09:19parce qu'on parle beaucoup
09:20d'épanouissement
09:21et on ne parle pas d'éducation.
09:23Je crois qu'au cœur
09:24de notre vie,
09:26il doit y avoir l'amour.
09:27La famille doit nous donner
09:29l'amour.
09:30L'éducation doit nous donner
09:31l'amour.
09:32L'école doit nous transmettre
09:33l'amour.
09:34Alors je suis conscient
09:35que quand on parle d'amour,
09:36comme en église,
09:37on va voir le côté sentimental,
09:39romantique,
09:40peace and love.
09:42Mais quand même,
09:43je suis convaincu
09:43que l'amour fait vivre.
09:45Les gestes d'amour
09:46donnent la vie.
09:48Les gestes de violence
09:49transmettent la mort.
09:51Donc c'est à nous
09:51d'être vigilants et attentifs.
09:53Louis Doragnel,
09:53une question à Monseigneur.
09:54Monseigneur,
09:54on est aussi dans une société
09:55qui a un besoin d'autorité.
09:57Et la question qu'on se pose
09:58quand même très souvent,
09:59c'est où placer le curseur
10:01justement entre l'autorité
10:03et Jésus qui chasse
10:03les marchands du temple,
10:04et la bienveillance.
10:07Alors l'autorité,
10:08je suis d'accord avec vous,
10:09on a besoin d'autorité.
10:10Mais souvent,
10:11on confond l'autorité
10:12et le pouvoir.
10:13Ou on confond l'autorité
10:14et l'autoritarisme
10:15liés à la force.
10:17Dans l'autorité,
10:18il a la capacité
10:18d'augmenter,
10:20au sens étymologique,
10:21d'augmenter
10:22le potentiel d'un peuple,
10:24la joie d'un peuple,
10:25la vie d'un peuple.
10:27Je pense qu'on a besoin
10:27d'une autorité responsable.
10:30Autrement,
10:31on n'est pas structuré.
10:32Mais l'autorité
10:33commence par l'enfance.
10:35L'autorité se transmet
10:37au tout début
10:38de la vie.
10:39Après,
10:39c'est comme un arbre.
10:40S'il part tordu,
10:41on l'a tordu.
10:43Après,
10:43il y a toujours un principe
10:44de réparation
10:45et de rédemption.
10:47Mais je pense
10:47qu'il est important
10:47de commencer par l'enfance
10:49pour transmettre
10:50à nos enfants
10:51une éducation
10:52et une autorité.
10:53Parce que finalement,
10:54d'un point de vue psychologique,
10:56on a besoin de tous,
10:57et depuis le début,
10:58qu'on nous dise
11:00ce qui est permis,
11:02ce qui est interdit
11:03et ce qui est possible.
11:06Donc c'est à nous
11:07de recevoir cette éducation.
11:08Mgr Bustuillot,
11:09justement,
11:09votre livre s'appelle
11:10« Réparation ».
11:11Comment on répare
11:12le tissu relationnel
11:14dans notre pays ?
11:15Comment est-ce qu'on recrée
11:16du lien ?
11:16Comment on habite
11:17le monde autrement ?
11:18C'est ce que vous dites
11:19dans ce livre.
11:19Je pense qu'il faut
11:20réparer la société
11:21où on voit
11:23beaucoup de signes
11:24mortifères
11:25par des attitudes
11:27un peu anticonformistes
11:29d'un point de vue social
11:30ou si vous voulez
11:31d'un point de vue biblique
11:32un peu prophétique.
11:34C'est-à-dire,
11:36à quoi bon suivre
11:36les courants ?
11:37Platon le disait,
11:38à quoi bon suivre
11:39les courants ?
11:39Une feuille sèche
11:40le suit.
11:42Alors quand il y a
11:42un moment des crises
11:43et des difficultés,
11:45je pense qu'il est important
11:46d'aller à contre-courant.
11:48Quand je parle
11:48de bienveillance,
11:50quand je parle
11:51de rédemption,
11:54quand je parle
11:55d'indulgence,
11:56de pardon,
11:57d'innocence,
11:58de bénédiction,
12:00alors aujourd'hui
12:00dans notre société,
12:01on utilise ces termes
12:02et on pourrait voir
12:03derrière
12:04des personnalités fragiles
12:05ou des attitudes
12:07inutiles
12:08ou stériles.
12:09Et moi, je pense
12:10que c'est à travers
12:11un comportement
12:12juste,
12:14ajusté
12:14dans la vie relationnelle
12:15qu'on va réparer.
12:17Quand on regarde
12:17la société,
12:18on voit le mal.
12:19OK, c'est vrai.
12:20Et on l'a dit.
12:21Et les médias le disent.
12:23Mais quand même,
12:24vous faites le tour
12:25de nos villes,
12:26de nos familles.
12:27Il y a du bon
12:28et du bien.
12:29Mais qui le dit ?
12:31Et moi,
12:31je pense qu'il y a
12:32un déficit
12:32de célébration
12:35de tout ce qui est bon,
12:36de tout ce qui est bien,
12:38du côté généreux
12:38des gens.
12:39et moi,
12:40je voyage beaucoup
12:42en France
12:43dans le monde
12:43et de plus en plus,
12:46je me permets
12:46de dire
12:48du bien des autres.
12:49Je vois un geste positif.
12:51L'autre jour,
12:52j'étais à l'aéroport
12:52de Montpellier.
12:53Quelqu'un,
12:54une dame enceinte
12:55était debout,
12:55une dame se levait
12:56pour lui donner la place.
12:58OK,
12:58ce n'est pas bouleversant,
13:00c'est pas...
13:01C'est l'éducation,
13:02c'est basique.
13:03Mais pour dire
13:04à cette dame
13:04merci pour ce que vous avez fait,
13:06c'est une manière
13:07de participer
13:08à créer peut-être
13:09une mentalité différente,
13:10plus bienveillante
13:11et plus juste.
13:12Merci beaucoup,
13:13Mgr Bustilleau.
13:13Réparation,
13:14une société fracturée,
13:15peut-elle survivre ?
13:16La réponse est dans ce livre
13:17aux éditions Fayard,
13:18Chose vue.
13:19Merci beaucoup
13:19d'être venu sur nos antennes
13:21pour en parler.
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