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  • il y a 4 mois

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00:0016h39, nous déroulons l'actualité.
00:0416h18, Pascal Praud sur Europe 1.
00:07L'attaque au couteau à Marseille, la Tunisie a qualifié hier soir de meurtre injustifié,
00:12la mort de l'assaillant ressortissant tunicien.
00:15On est avec Reda Belac, porte-parole du syndicat de policiers Unité Île-de-France.
00:18Bonjour.
00:19On va féliciter d'abord les policiers.
00:21Ils ont été décorés, ce qui n'est pas si fréquent.
00:23Il n'y aura pas d'enquête.
00:24Il y a eu une enquête, mais elle a été rapidement faite.
00:27Exactement.
00:27Bon, ben ça c'est bien.
00:28Oui, c'est très bien.
00:30C'est quand même des policiers qui risquent leur vie.
00:32On ne met pas de soupçons sur leur intervention.
00:35Je disais ce matin sur l'antenne de ces news et d'Europe 1,
00:38là il y a la vidéo.
00:41Et s'il y avait la vidéo tout le temps,
00:43elle disculperait toujours les policiers.
00:46Parce qu'on voit le travail et comment ils le font.
00:49Là il n'y a pas de discussion.
00:50Mais s'il n'y avait pas eu cette vidéo,
00:52qu'est-ce qui se serait passé ?
00:54Passer, policiers, ils seraient peut-être mis en accusation.
00:57Et pourquoi vous avez tiré ?
00:58Comment vous avez tiré ?
00:58Ils auraient été peut-être automatiquement en garde à vue.
01:02Ce qui est une mauvaise habitude, en tout cas pour nous.
01:06Et on le vit très mal parce que quand vous êtes policier
01:08et que vous interpellez une personne,
01:11vous la mettez à disposition de l'officier de police judiciaire
01:12qui lui place en garde à vue.
01:14Donc là, à ce moment-là, vous procédez à la fouille de l'individu.
01:16C'est un moment normal pour un délinquant,
01:19mais c'est un moment très difficile, très très difficile pour un policier
01:22qui se retrouve à la place du délinquant.
01:24Alors que lui, il vient pour faire le bien, il vient pour se protéger.
01:27Alors que le délinquant, lui, quand il se lève le matin,
01:29s'il se lève le matin, bien sûr,
01:31il va pour commettre des crimes ou des délits.
01:33Reda Bellage, quand même, on a le sentiment
01:36que les choses changent un peu, quand même,
01:39qu'on voit que l'insécurité est tellement violente aujourd'hui
01:43que les gouvernants prennent conscience du travail des policiers.
01:47En tout cas, je vois cette décoration immédiate
01:50allant dans le bon sens.
01:52Oui, les deux derniers ministres de l'Intérieur
01:54sont des gens qui ont été, pour le second,
01:58et qui sont à l'écoute des forces de l'ordre,
02:01qui soutiennent de manière systématique les forces de l'ordre.
02:04Je sais que ça choque certaines personnes que je dis systématique,
02:07mais comme je l'ai dit tout à l'heure,
02:09comme dans le cadre de l'affaire Naël,
02:11le policier, quand il se lève le matin,
02:12il se lève, il met sa tenue, il abandonne sa famille,
02:15il ne sait pas ce qui va se passer dans sa journée,
02:16il ne sait pas s'il va rentrer le soir,
02:18mais il va pour faire le bien.
02:2099,99% des policiers se lèvent le matin
02:23pour aller faire leur travail et protéger les Français,
02:25contrairement aux délinquants.
02:26Et donc, oui, c'est important qu'on soit soutenus,
02:29parce que quand le policier tire sur Naël
02:32et malheureusement le touche mortellement,
02:35il pense au règlement.
02:37Il se dit, voilà, je rentre dans le cadre réglementaire,
02:42je décide de faire usage de mon arme,
02:44mais je représente l'État.
02:46Et c'est souvent, j'espère qu'un jour ça changera,
02:49mais c'est souvent une grosse problématique
02:50parce que l'État, il a la responsabilité de nous former.
02:53Aujourd'hui, vous pensez sincèrement
02:54que l'État forme tous les policiers régulièrement
02:56aux situations anxiogènes,
02:58malgré le nombre important de refus d'obtempérer.
03:02Moi, depuis l'affaire Naël,
03:03je n'ai pas vu de changement dans la police,
03:04à part des policiers qui ont peur de sortir leur arme.
03:07On va marquer une pause.
03:08Il est 16h42, il n'y avait pas de vidéo
03:10dans l'affaire Naël.
03:12Si, il y a une vidéo, bien sûr qu'il y a une vidéo
03:13dans l'affaire Naël.
03:14Mais elle est très courte.
03:15Oui, très courte.
03:16On ne peut pas...
03:17C'est 20 minutes de course poursuite
03:19et c'est les quelques secondes.
03:21Vous avez raison de préciser,
03:23effectivement,
03:23on n'a pas la course avant,
03:26la course poursuite.
03:27C'est ce que vous avez parfaitement raison.
03:29Il est 16h42,
03:30merci d'être avec nous.
03:31Et puis, on parlera effectivement
03:32de la Tunisie
03:34qui, a priori,
03:35on est amis avec la Tunisie.
03:36Vous savez que dans l'affaire Naël,
03:38l'Algérie avait communiqué
03:40en se disant choquée,
03:42consternée par la mort de Naël.
03:43Et là, le silence du Quai d'Orsay,
03:47le plus honteux.
03:47Silence du Quai d'Orsay.
03:48On est encore un paillasson.
03:49Ils sont en train de préparer
03:50le communiqué pour Enrico Macias, peut-être.
03:52On peut l'attendre aussi.
03:54On en parle dans une seconde,
03:55à tout de suite.
03:55Un participant,
03:56cegrandfraie.com
03:57Pour votre santé,
03:57limitez les aliments gras,
03:58salés et sucrés.
03:59Europe 1,
04:00Pascal Pro et vous.
04:01Prédabéla,
04:02j'étais avec nous,
04:02il est porte-parole du syndicat
04:03de police,
04:04unité Île-de-France
04:05pour évoquer l'attaque
04:06au couteau à Marseille.
04:07La Tunisie a qualifié hier soir
04:13« prendre toutes les mesures
04:16pour préserver les droits
04:17du défunt et ceux de sa famille ».
04:19On parle d'un homme
04:20qui s'est lancé dans une attaque
04:21au couteau,
04:21blessé à cinq personnes
04:23qui auraient pu tuer
04:23des habitants,
04:24des policiers.
04:25Il était connu,
04:26selon le procureur
04:27de la République de Marseille,
04:28pour sa violence,
04:29condamné à La Rochelle
04:30pour des violences
04:30avec armes commises en 2023
04:32sur un neveu.
04:34C'était en mai 2025.
04:35Je vous propose d'écouter
04:36Robert Ménard,
04:37maire d'hiver droite de Béziers.
04:39Il était l'invité ce matin
04:41de Sonia Mabrouk.
04:42Un mort injustifié.
04:43Un mort injustifié.
04:44Ils savent quoi ?
04:45Ils savent de quoi ?
04:47Les policiers n'ont pas bien fait
04:49de faire ça
04:49avec quelqu'un
04:50qui s'en était déjà pris
04:51à cinq personnes.
04:52Moi, j'en suis sidéré.
04:54En plus,
04:54attendez,
04:55je ne connais pas assez l'affaire,
04:57donc je fais attention
04:57à ce que je dis.
04:58On me dit,
04:59il est dérangé,
05:00en gros,
05:00il ne va pas bien dans sa tête.
05:01Je ne savais pas
05:02que tous les gens
05:03qui n'étaient pas bien
05:04dans leur tête
05:04criaient à la Akbar
05:05puisque c'est ce qu'il a dit
05:07avant de s'en prendre
05:08à un certain nombre de gens.
05:09Gauthier Le Brette.
05:10Le plus sidérant,
05:11comme à chaque fois,
05:12comme sur l'Algérie,
05:14comme pour l'affaire
05:14dont on vient d'évoquer
05:15Enrico Macias
05:17avec la Turquie,
05:18c'est le silence
05:19du Quai d'Orsay.
05:19Pire que ça,
05:20il y a un diplomate,
05:22donc ce n'est pas
05:22un communiqué officiel,
05:23qui a confié
05:23à Thomas Bonnet,
05:24du journaliste politique
05:25à CNews,
05:26la France est en contact étroit
05:28avec les autorités tunisiennes
05:29à ce sujet
05:30pour leur apporter
05:30toutes les informations
05:31visant à préciser
05:32les circonstances exactes
05:34de l'affaire.
05:34Une procédure judiciaire
05:35a évidemment été ouverte.
05:36On est ventre à terre,
05:37c'est-à-dire qu'il y a un pays
05:38qui attaque notre police,
05:40qui parle de meurtre injustifié.
05:42Il s'agissait d'un antisémite,
05:43d'un homophobe,
05:44d'un islamiste
05:45qui criait à la Ouagbar,
05:46qui s'en prenait
05:47à des passants
05:48avec une matraque
05:49et un couteau.
05:50On a un pays
05:50qui défie la France
05:51et notre réponse,
05:52la réponse de ce diplomate,
05:54c'est de dire
05:54on va les rassurer,
05:56on va les faire participer
05:57à l'enquête,
05:58mais de qui se moque-t-on ?
06:00De qui se moque-t-on ?
06:01Pour être dur
06:03avec Vladimir Poutine
06:03encore cet après-midi,
06:04il y a du monde.
06:05Mais dès qu'il s'agit du Maghreb,
06:06il n'y a plus personne.
06:07On est piétinés.
06:09Moi, je me demande
06:09s'il s'était passé
06:12la même chose
06:12aux Etats-Unis
06:13avec un ressortissant tunisien.
06:16Est-ce que la Tunisie
06:17aurait fait la même chose ?
06:20Est-ce qu'elle aurait dit
06:20la même chose ?
06:21Évidemment non.
06:22Évidemment non.
06:23Donc, ça veut dire
06:23que nous sommes faibles.
06:24Et par contre, Elisabeth,
06:25si les Américains
06:27avaient fait un pareil communiqué,
06:29on aurait convoqué
06:29l'ambassadeur des Etats-Unis
06:30comme on l'a fait
06:31il y a dix jours
06:32au Quai d'Orsay.
06:33Et vous savez qu'hier,
06:35la Tunisie a annoncé
06:36convoquer le chargé d'affaires
06:37présent en Tunisie
06:39dans leur ministère
06:40des Affaires étrangères.
06:41Nous, on a convoqué qui ?
06:43On n'a convoqué qui ?
06:44Personne.
06:44En fait, dans cette affaire,
06:46il y a une triple faillite.
06:48Faillite migratoire,
06:49bien évidemment,
06:49parce que cet homme
06:50n'avait rien à faire chez nous.
06:51Faillite judiciaire
06:52parce qu'on a découvert
06:54qu'il avait été condamné
06:55mais finalement
06:56qu'il n'y avait pas
06:56de mandat de dépôt,
06:57qu'il avait fait appel,
06:58qu'on n'aurait pas pu
06:58le mettre derrière les barreaux,
07:00c'est une histoire de dingue
07:01et faillite diplomatique
07:02parce que vous avez
07:03un pays étranger
07:04qui fait la leçon
07:05à la France
07:06et qui pour l'instant
07:07la France ne répond pas
07:08et la France se couche.
07:09Mais Jean-Noël Barraud,
07:10il est plus intéressé
07:11à l'idée d'attaquer la Russie,
07:12plus intéressé
07:13à l'idée de soutenir Harvard
07:16et de faire la leçon
07:17à Donald Trump
07:17que de répondre
07:18à la Tunisie,
07:20que d'appeler
07:20à la libération
07:21de Boilem Sansal
07:22ou Christophe Gleize.
07:24Le problème,
07:24ce n'est pas Jean-Noël Barraud.
07:25Le problème,
07:25c'est Emmanuel Macron.
07:26C'est le quai d'Orsay.
07:27Oui, mais Jean-Noël Barraud,
07:28il répond directement
07:29à Emmanuel Macron.
07:30Il n'a jamais voulu
07:31prendre une mesure de rétorsion.
07:33Patrick Stéphanini,
07:34il est le représentant spécial
07:36du ministère de l'Intérieur.
07:37Il était invité ce matin
07:38de Dimitri Pavlenko
07:39sur Europe 1.
07:40Ça n'est pas acceptable.
07:42Les mots sont,
07:43c'est le moins qu'on puisse dire,
07:45mal choisis.
07:46Alors après,
07:46on peut se demander
07:47si ce n'est pas une déclaration
07:48destinée à l'opinion publique
07:50intérieure de la Tunisie.
07:52Nous avons avec la Tunisie
07:54un accord migratoire
07:56qui, en matière d'immigration,
07:58privilégie l'immigration de travail
08:00et l'immigration des étudiants.
08:02C'est ce qu'on appelle
08:02l'immigration choisie.
08:04Et de façon très synthétique,
08:05je dirais que si nous avions
08:06avec l'Algérie
08:09les relations que nous avons
08:10avec la Tunisie
08:11en matière migratoire,
08:13ce serait un vrai bonheur.
08:14plus 52%
08:17le titre de séjour
08:18pour les Tunisiens
08:19entre 2006 et 2023.
08:21Voilà.
08:21Plus 52%.
08:23Ce qui est frappant,
08:25effectivement,
08:26c'est la réaction
08:27de la Tunisie
08:28qui a convoqué
08:29l'ambassadeur de France.
08:31C'est ce que je disais.
08:31Le chargé d'affaires.
08:32Voilà.
08:32Le chargé d'affaires.
08:33Qui est venu
08:34parce que l'ambassadrice
08:35n'était pas présente.
08:36Et nous, on n'a convoqué personne.
08:37Bien évidemment.
08:38Ils ne sont pas russes ou américains,
08:39donc on ne les convoque pas.
08:40En revanche,
08:41ça nous permet de revenir
08:42à cette attaque au couteau
08:44à Marseille
08:44et de poser la question
08:46que chacun se pose.
08:47Qu'est-ce que cet homme
08:48faisait sur le sol de France ?
08:49Rien.
08:49C'est aussi simple que ça.
08:51Il n'y a pas besoin de débattre.
08:52Il n'avait rien à faire chez nous.
08:53Vous avez eu le témoignage
08:54bouleversant
08:55de son ex-compagne
08:56qui disait
08:56qu'elle avait tellement peur
08:58de lui
08:58qu'elle refusait
08:59de porter plainte.
09:01Il avait été condamné.
09:01Elle avait peur d'être égorgée.
09:03Ce qui est le modus opérant
09:04des islamistes.
09:05C'est dingue.
09:05Il faut savoir
09:06que ce type d'individu
09:08avec ce type de profil,
09:09je ne veux pas vous faire peur
09:11mais il en existe
09:12des milliers en France.
09:13Je ne connais pas une ville
09:14d'un policier
09:15qui n'a pas croisé
09:16une centaine de gars
09:17juste sur sa circonscription
09:18qui sont comme ça.
09:19Il faut savoir qu'en France
09:20il n'y a pas de suivi psycho.
09:21Il est étranger.
09:23Pardonnez-moi.
09:23Ça c'est une vraie question
09:25que je pose depuis 48 heures.
09:27Est-ce qu'il y a
09:28plein d'Abdelkader
09:29des en France ?
09:30C'est-à-dire des gens
09:31qui sont étrangers,
09:32qui ont été condamnés
09:33par la justice française
09:35pour homicide,
09:37pour tentative d'homicide
09:38et qui sont en liberté ?
09:40J'espère qu'il n'y en a pas
09:41des millions comme vous dites.
09:42Non, il n'y en a pas
09:43des millions mais il y en a des...
09:44Parce que là on est
09:44sur un cas particulier.
09:45Il est étranger.
09:46Non, mais il y en a beaucoup
09:47en fait.
09:48Mais il n'y en a...
09:49Vous savez,
09:50alors moi je suis pour...
09:51Mais pourquoi les étrangers
09:52sont...
09:52Je suis pour le titre de séjour
09:53sinon je ne serais pas devant vous.
09:54Ici mes parents
09:54c'est des immigrés
09:55donc ils ont eu un titre de séjour.
09:57Maintenant ils ont respecté
09:58les us, ses coutumes
10:00et la culture française
10:01à la seule différence
10:01de cet individu
10:02qui a un profil hyper négatif.
10:04Il prenait de la cocaïne.
10:06C'était un délinquant.
10:06Il était violent.
10:07Il était violent avec sa femme.
10:09S'il faut se poser la question
10:10déjà comme vous l'avez dit tout à l'heure
10:11il a pris 4 ans
10:12dont un an ferme.
10:13Pourquoi 4 ans
10:14dont un an ferme ?
10:15Quand on s'attaque...
10:16Les faits
10:16mais les faits
10:17c'est une sauveragie.
10:17C'est une tentative d'homicide.
10:20Il fait appel...
10:21Voilà.
10:22L'affaire de Gare de l'Est
10:23alors je ne sais plus
10:24si c'était un étranger
10:25en situation régulière ou non
10:26mais en tout cas
10:27l'individu
10:27l'affaire de Gare de l'Est
10:28du 15 juillet 2023
10:29juste avant les JO
10:30j'étais invité sur votre plateau
10:31qui a poignardé
10:32un militaire
10:34qui avait été condamné
10:35pour homicide.
10:37Homicide.
10:37Donc une personne est morte
10:38en 2018
10:39et le gars...
10:40Il était encore...
10:41Mais ils ne sont pas suivis
10:42ces gens-là ?
10:42Non il n'y a aucun suivi en fait.
10:44Donc on les lâche dans la nature
10:45il y a un vide juridique
10:47il n'y a plus rien ?
10:47Ce n'est pas qu'il y a un vide juridique
10:48c'est que la France ne met pas
10:50je pense
10:50j'ai eu une fois un plateau
10:51avec un psychiatre
10:52il disait
10:53on faisait le même constat
10:54pour nous policiers
10:55et lui
10:56c'est que le suivi
10:57il est catastrophique en France.
10:58Oui mais alors moi le terrain psychiatrique
11:00me pose problème
11:00parce qu'il faut
11:02une certaine clairvoyance
11:03pour préparer un guet-apens
11:05pour aller chercher
11:06par exemple deux couteaux
11:07se dire que je vais aller attaquer
11:08celui qui me veut du mal
11:10C'est un pansement
11:10Donc le terrain de la psychiatrie
11:12c'est souvent le leur
11:14qu'on présente dans un premier temps
11:16pour éviter de parler
11:17des trois faillites
11:18des problèmes de fond
11:19faillites migratoires
11:19faillites judiciaires
11:20et faillites bien évidemment diplomatiques
11:22Pourquoi après l'effet
11:23de tentative de meurtre
11:24sur son neveu
11:25ce Tunisien
11:26a-t-il été placé
11:27sous contrôle judiciaire
11:28avant sa comparution
11:29devant le tribunal
11:31et pourquoi le tribunal
11:32n'a-t-il pas prononcé
11:33un mandat de dépôt
11:35pour la peine
11:35d'un an ferme
11:36ainsi même si le prévenu
11:39avait fait appel
11:39il serait allé en détention
11:40Voilà des questions
11:41qui sont posées
11:42depuis ce matin
11:43Ce n'est pas rien
11:45une tentative d'homicide
11:45Moi j'ai dans l'oreille
11:47ce que disait la semaine dernière
11:48Eric Dupond-Moretti
11:49que la justice n'est pas laxiste
11:51si en l'espèce
11:52une tentative d'homicide
11:55qui est condamné
11:57ou l'homme
11:58qui est simplement condamné
12:00à un an de prison ferme
12:01ça me paraît bien léger
12:02ça me paraît bien léger
12:03Avec un caractère homophobe
12:04en plus
12:05pas l'oublier
12:05Oui
12:06et là où je rejoins aussi
12:07Eliott Deval
12:08c'est que ce même personne
12:09on dit qu'il est dérangé
12:10sur le plan de la psychiatrie
12:12mais il prend la parole
12:13dans une mosquée
12:14pour dire que
12:15les juifs gouvernent le monde
12:16L'attentat de Birakheim
12:17on nous a expliqué
12:18dans un premier temps
12:19que c'était quelqu'un
12:20qui était dérangé
12:21pour retrouver
12:21ensuite il avait préparé
12:23orchestré
12:24pensé ce qu'il avait fait
12:25donc lorsqu'il passe à l'acte
12:28il retrouve une certaine
12:29C'est pareil
12:29pour un bien exaule
12:30L'individu qui avait un taquet
12:32qui était abattu
12:33par des policiers
12:33d'ailleurs un policier de la PAF
12:34aussi à Gare du Nord
12:35souvenez-vous
12:36où il avait blessé plusieurs personnes
12:37c'était pareil
12:38Merci Reda Bellage
12:39porte-parole du syndicat
12:40de police
12:41Unité Île-de-France
12:42vous venez régulièrement
12:43nous voir
12:44c'est vrai que cette actualité
12:45est rude
12:46cette semaine
12:47elle l'a été
12:47jusqu'à ce jour
12:50et que nous aimerions
12:51parfois
12:52faire preuve
12:53de davantage
12:53de légèreté
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