00:00Quelle est la réalité aujourd'hui ? François Bayrou va tomber, je dis c'est une certitude, nous l'avons dit, nous les socialistes, notre décision, elle est ferme et irrévocable.
00:09A partir de là, quelles sont les options qui s'offrent au président de la République, qui est le seul à décider de la suite des scénarios ?
00:16Soit renommer le frère, le cousin, le jumeau, le saucy, que sais-je, de François Bayrou ou Michel Barnier.
00:22Évidemment, tout le monde le sait, les mêmes causes vont reproduire les mêmes effets.
00:27Et alors, c'est l'instabilité qui guette le pays. Soit respecter, je le rappelle, la démocratie, appeler la gauche aux responsabilités, et ensuite, à nous, de faire preuve de suffisamment d'intelligence collective.
00:40On pourrait re-voter.
00:41Je ne crois pas que la dissolution aujourd'hui est la solution pour le pays. Pourquoi ? Vous le voyez bien, les projections amènent à nouveau une assemblée très morcelée.
00:49Nous avons à trouver un chemin de justice sociale et fiscale, donc notre méthode est claire, un gouvernement de gauche qui s'engage à aller chercher des compromis en donnant une preuve de ça.
00:59Parce qu'en politique, les mots, c'est bien, mais les actes, c'est mieux.
01:02Donc dire pas de 49.3, c'est la garantie pour tout le monde que nous allons chercher des compromis pour les Français, et je le redis, pour les classes moyennes et pour les plus modestes.
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