00:00La priorité, bien sûr, c'est pour nous, pour les secours médicaux, de dénombrer le nombre de victimes et de les catégoriser pour les conditionner sur place et les orienter.
00:11Mais la situation particulière suite à cet éboulement, c'est tout d'abord de prioriser la sécurité des intervenants,
00:19des intervenants sapeurs-pompiers indispensables qui vont faire la reconnaissance de ce qu'on appelle, nous, le risque évolutif.
00:25Parce que, comme cela a été dit, on n'est pas du tout sûr qu'il n'y ait pas de nouveaux éboulements.
00:29Et il faut bien sûr protéger tous les intervenants tout en se donnant les moyens d'accéder avec les moyens de sautage-déploiement des sapeurs-pompiers aux victimes.
00:38Et les équipes médicales vont les conditionner, les évaluer, évaluer la gravité, les orienter vers les hôpitaux adaptés.
00:45Vous êtes habitué, évidemment, avec des exercices d'entraînement à ce type d'intervention ?
00:52Alors complètement, ça fait partie des missions d'ESMUR.
00:54Donc, c'est des missions qui nous sont attribuées dans le cadre de la loi de médicale urgente.
01:01Et nous travaillons, comme cela a été dit, en inter-service, en lien avec les autres services de secours.
01:07Ça n'a pas compris que gendarmerie police, autorité du préfet et du commandant des opérations de secours,
01:11qui est au niveau du PC opérationnel, donc commandant des opérations de secours,
01:15qui a mis en place un directeur des secours médicaux pour recenser ces victimes
01:22et les orienter vers les hôpitaux et les services adaptés.
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