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Budget 2026 : François Bayrou a-t-il «les capacités pour tenir le gouvernement» jusqu’en 2027 comme l'affirme Emmanuel Macron ?
Europe 1
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00:00
Europe 1 soir, 19h, 21h, Michael Dorian.
00:04
Toujours en compagnie d'Eliott Maman et de Régis Le Sommier, on va réessayer de contacter,
00:09
on a perdu Arthur Delaporte, un député PS du Calvados qui était avec nous juste avant la pause.
00:13
On va revenir à présent sur les propos d'Emmanuel Macron qui a affirmé que le Premier Ministre,
00:19
son Premier Ministre, François Bayrou, dispose des capacités nécessaires pour maintenir le gouvernement
00:24
jusqu'à la fin de son mandat en 2026.
00:27
C'est ce qu'il a affirmé dans une interview à Paris Match.
00:30
Eliott Maman, le Président de la République, insiste aussi sur l'importance de la collaboration
00:34
entre les responsables politiques.
00:36
Mais est-ce réellement réaliste dans le contexte actuel de notre Parlement ?
00:41
Par ailleurs, c'est une espèce de cadeau d'empoisonné à son Premier Ministre
00:44
puisqu'il lui signifie ainsi qu'il n'a aucune marge de manœuvre.
00:47
Et que quelle que soit l'issue des choses, il va devoir faire voter un budget
00:50
qui ne sera en aucun cas concerné par une motion de censure.
00:54
Et donc en réalité, Emmanuel Macron confine encore plus l'espace sur lequel peut essayer
01:00
d'avoir une marge de manœuvre son Premier Ministre.
01:03
Donc ce n'est pas totalement un cadeau non plus.
01:05
Parce qu'en effet, il dit que François Bayrou est son ami
01:08
et donc qu'il est certain qu'il parviendra à rester jusqu'à la fin du quinquennat.
01:13
Mais dans le même temps, il renvoie à François Bayrou l'intégralité des responsabilités budgétaires.
01:19
Tandis qu'Emmanuel Macron, lui, prend régulièrement la parole pour évoquer des plans
01:24
qui semblent aussi avoir besoin d'un certain soutien financier de la part de l'État.
01:30
Par exemple, en amont du 14 juillet, lorsqu'il avait dit, c'était assez amusant cette séquence,
01:34
il avait dit la veille du 14 juillet, Emmanuel Macron, qu'il fallait de manière considérable
01:39
augmenter les crédits à l'armée, ce qui est d'ailleurs conforme à l'intégralité des projets de planification
01:44
qui ont été votés sur la question de la défense par l'Assemblée Nationale.
01:48
Et le surlendemain, son Premier Ministre prenait la parole pour nous expliquer
01:51
qu'il fallait impérativement faire 40 milliards d'euros d'économie sur le prochain budget.
01:55
Donc on voit qu'on est dans cette espèce de tenaille où l'Élysée est très content
01:59
de pouvoir se décharger de toute la responsabilité et de tout le fardeau budgétaire
02:04
auprès du Premier Ministre, qu'en plus il insiste, qu'en plus il instaure à Matignon
02:08
pour encore deux ans.
02:10
Donc oui, c'est certes une garantie donnée à François Bayrou,
02:13
mais dans le même temps, c'est aussi expliqué à François Bayrou
02:15
qu'il sera absolument le seul à devoir composer avec les oppositions
02:19
et à devoir gérer la crise sociale qui s'annonce
02:22
au vu des efforts budgétaires qui sont demandés aux Français.
02:24
Arthur Delaporte, on vous a retrouvé, merci d'être avec nous sur Europe 1.
02:28
Emmanuel Macron qui assure que François Bayrou dispose des capacités
02:32
pour maintenir le gouvernement jusqu'à la fin de son mandat en 2027.
02:36
Êtes-vous d'accord avec le Président de la République ?
02:38
Non mais c'est une tartufferie.
02:40
Je veux dire, je ne vois pas comment aujourd'hui François Bayrou
02:42
est en capacité de survivre à l'automne budgétaire.
02:46
Il sera censuré avec son entêtement à faire un budget impossible à accepter
02:51
pour l'ensemble des Françaises et des Français
02:52
et dangereux pour notre pays et son économie.
02:54
François Bayrou ne passera pas le mois d'octobre.
02:57
C'est impossible.
02:57
Merci beaucoup Arthur Delaporte d'avoir été avec nous, député PS du Calvados,
03:03
président de la commission d'enquête sur les effets psychologiques de TikTok.
03:06
On va continuer à parler d'Emmanuel Macron.
03:09
Emmanuel Macron qui a répondu à la lettre adressée par Benjamin Netanyahou.
03:16
Nouvelle tension diplomatique entre Israël et la France
03:19
dans une lettre adressée par le Premier ministre israélien au Président français.
03:24
Benjamin Netanyahou accuse Emmanuel Macron d'alimenter le feu antisémite
03:28
en soutenant la reconnaissance de l'État palestinien.
03:30
Il appelle la France à agir et à agir vite avant le nouvel en juif.
03:35
On en parle avec Frédéric Ancel qui est avec nous,
03:40
docteur en géopolitique, maître de conférences à Sciences Po Paris,
03:43
auteur de l'ouvrage « La guerre mondiale n'aura pas lieu ».
03:46
Bonjour, merci d'être en direct avec nous sur Europe 1.
03:49
Alors d'abord, un mot sur la réaction du Président de la République,
03:53
la réaction de l'Élysée qui juge cette accusation de totalement infondée.
04:01
Oui, bien sûr, c'est absolument infondé pour deux raisons.
04:04
D'abord parce que l'antisémitisme qui sévit de plus en plus souvent
04:08
et de plus en plus violemment ces dernières années,
04:10
ça pour le coup c'est absolument incontestable,
04:12
n'a rien à voir avec une reconnaissance éventuelle d'un État palestinien.
04:16
La preuve, cette annonce a été faite il y a quelques mois
04:19
et encore, officialisée il y a seulement quelques jours par l'Élysée.
04:24
Ça c'est le premier point.
04:25
Le deuxième point est le suivant et c'est le plus important.
04:29
L'antisémitisme, il est multiséculaire.
04:33
Une partie en tout cas de l'Église, de l'enseignement du mépris,
04:36
donc avant Vatican II, pendant pratiquement 1500 ans,
04:40
mais également une partie de l'islam et bien évidemment sa version islamiste ces dernières années,
04:46
sans compter l'extrême gauche contemporaine et une grande partie de l'extrême droite,
04:49
n'ont pas attendu une reconnaissance diplomatique pour s'avérer antisémite
04:56
et pour exprimer un antisémitisme dont je rappelle qu'en France,
04:59
ce n'est pas une opinion mais c'est heureusement un délit.
05:02
Donc je ne le crois pas et je le crois d'autant moins qu'Emmanuel Macron lui-même
05:07
avait donné des gages très importants dès après le massacre perpétré par le Hamas le 7 octobre,
05:15
d'abord en proposant immédiatement, en s'envolant dès les premiers jours en Israël
05:21
et en assurant le même Netanyahou de sa solidarité,
05:25
en proposant même une coalition contre le Hamas.
05:27
Et puis il faut se souvenir d'une part de l'événement très important
05:34
organisé par l'Elysée et S-Qualité de Président de la République par Emmanuel Macron.
05:39
Depuis on en est très loin Frédéric Ancel, de cette proposition de coalition contre le Hamas.
05:44
Alors vous avez totalement raison, d'ailleurs je pense qu'elle était très difficile à mettre en place,
05:48
n'empêche qu'en Occident, c'est le seul chef d'État ou de gouvernement qui l'a proposé,
05:53
c'est-à-dire qu'il n'a pas été suivi.
05:54
Par ailleurs, la France, et Emmanuel Macron lui-même, est le seul pays,
06:00
est le seul chef d'État à avoir organisé un événement aussi important,
06:03
en l'occurrence pas n'importe où, aux Invalides,
06:05
en hommage à la fois aux victimes du pogrom du Hamas
06:08
et en hommage vivant aux captifs du groupe terroriste.
06:14
Et enfin et surtout, enfin et surtout,
06:16
Netanyahou ne peut pas ne pas savoir qu'à trois reprises,
06:20
en 2024 et 2025, dans l'espace aérien jordanien,
06:25
lors des affrontements entre Israël et l'Iran,
06:29
à trois reprises donc, des personnels et des matériels militaires français
06:33
sur ordre du chef de l'État, c'est-à-dire, aux yeux de la Constitution de 1958,
06:37
du chef des armées,
06:38
donc là on parle bien du même Emmanuel Macron,
06:40
donc ces personnels et ces matériels ont abattu des missiles iraniens
06:44
qui allaient s'écraser sur Israël.
06:47
Donc pour toutes ces raisons, je pense que l'accusation est très largement infondée.
06:52
Alors, erroné et abject, ce sont les mots exacts prononcés par le chef de l'État
06:56
en réponse donc à cette lettre de Benyamin Netanyahou,
07:00
le chef de l'État qui répondra également, comme le veut,
07:04
le protocole par courrier.
07:07
Vous avez cité, effectivement, plein de choses, Frédéric Ancel.
07:12
Vous n'avez pas cité, en revanche, l'absence d'Emmanuel Macron
07:14
lors de la manifestation contre l'antisémitisme
07:16
qui a profondément marqué les Français de confession juive.
07:21
Oui, c'était une erreur.
07:22
Je ne sais pas d'ailleurs si l'Élysée l'a reconnu comme telle,
07:26
peut-être à demi-mot, mais il faudrait vérifier.
07:29
Je pense que c'était une erreur.
07:30
Alors après, il y avait eu un précédent,
07:35
c'était celui de François Mitterrand
07:36
qui avait pris la tête d'une manifestation,
07:38
c'était en 90, si ma mémoire est bonne,
07:40
après la profanation d'un cimetière juif
07:43
et notamment d'une dépouille dans un cimetière juif,
07:48
celui de Carpentras.
07:50
Par conséquent, du fait de ce précédent,
07:53
Emmanuel Macron aurait pu, et à mon avis,
07:55
aurait dû prendre la tête de cette manifestation,
07:57
justement parce que l'antisémitisme
07:59
est en train d'atteindre des niveaux
08:01
extraordinairement préoccupants dans notre démocratie.
08:04
Est-ce pour cela que sa politique peut être qualifiée
08:09
de près ou de loin comme une politique alimentant
08:12
l'antisémitisme ?
08:13
Je le crois d'autant moins que dans sa lettre,
08:15
Emmanuel Macron n'évoque pas cette absence à la manifestation.
08:19
Et donc, vous voyez, je pense qu'on doit en rester,
08:22
me semble-t-il, à un niveau diplomatique
08:24
et en diplomatie, à peu près tout est permis
08:28
par le galvaudage des concepts.
08:31
Vous êtes de l'avis finalement du CRIF,
08:34
le conseil représentatif des institutions juives de France
08:36
qui juge que les relations entre la France et Israël
08:40
ne méritent pas une telle polémique.
08:43
Alors, je suis d'accord avec son président,
08:45
dont j'ai vu la réaction, Yonatan Arfi,
08:48
avec une nuance tout de même.
08:50
Je pense réellement que l'accusation du Premier ministre israélien
08:55
est effectivement, non seulement d'une très grande injustice,
08:59
je l'ai écrit d'ailleurs sur X,
09:00
d'une très grande injustice,
09:02
mais moralement tout à fait déplacée,
09:05
pour les raisons que j'ai dites tout à l'heure.
09:07
Par ailleurs, là où je serai d'accord avec lui,
09:09
c'est que sur le fond, au-delà de cet aléa,
09:12
qui d'ailleurs liait aussi en partie, ne l'oublions pas,
09:14
à la politique intérieure israélienne.
09:16
Puisque, et on le dit à juste titre,
09:19
depuis maintenant des mois,
09:20
et même d'ailleurs des années,
09:22
Netanyahou ne tient que grâce
09:24
à l'extrême droite de sa coalition,
09:28
avec notamment ces deux ministres fanatiques
09:30
qui menacent systématiquement,
09:32
l'un des deux l'a déjà fait d'ailleurs provisoirement,
09:34
qui menacent systématiquement de démissionner
09:36
si le Premier ministre ne va pas jusqu'au bout
09:40
de leurs exigences idéologiques,
09:41
et pas seulement d'ailleurs à Gaza.
09:42
Donc, je pense que ça relève aussi
09:45
de la politique intérieure israélienne,
09:47
mais ce n'est pas pour ça.
09:48
Donc ça, ça se comprend, j'allais dire, diplomatiquement,
09:51
mais ce n'est pas pour ça que l'Élysée doit accepter
09:53
ce type d'outrance.
09:55
Régis Le Sommier, la lettre de Benyamin Netanyahou
09:57
est-elle une tentative de pression sur la France
09:59
après effectivement les déclarations d'Emmanuel Macron
10:02
sur la reconnaissance de l'État palestinien,
10:04
ou est-ce que c'est une réaction légitime
10:07
à une décision perçue comme hostile
10:09
par le gouvernement israélien ?
10:11
Non, moi je pense que c'est ce que vous avez dit en premier.
10:14
Je pense qu'Emmanuel Macron a réussi, on va dire,
10:18
à entraîner un certain nombre d'autres pays
10:21
dans son projet de reconnaissance.
10:23
Ce n'est pas le premier à reconnaître,
10:25
la France ne sera pas le premier État
10:27
à reconnaître l'État palestinien.
10:29
Oui, mais dans un timing qui interroge,
10:31
et qui semble poser problème.
10:32
Nous sommes d'accord, mais je pense que c'est surtout ça
10:34
qui indispose Benjamin Netanyahou,
10:38
de voir que le projet d'Emmanuel Macron
10:41
a quelque part fait boule de neige,
10:42
et qu'un certain nombre d'autres pays,
10:45
notamment le Canada, l'Australie,
10:47
le Portugal, la Finlande,
10:50
la Grande-Bretagne,
10:51
qui conditionne sa reconnaissance
10:55
à la suite des événements à Gaza
10:57
et à l'opération militaire.
10:58
Donc là, on est quand même dans une situation
11:00
où, même au niveau international,
11:04
vous avez, si la France reconnaît la Palestine
11:07
et l'Angleterre reconnaît la Palestine,
11:08
vous allez avoir 4 membres du Conseil de sécurité sur 5.
11:13
Il ne restera que les États-Unis
11:14
qui ne reconnaîtront pas l'État palestinien.
11:17
Donc ça commence à...
11:18
Et je pense que ce succès, on va dire,
11:21
d'Emmanuel Macron dans cette démarche,
11:23
eh bien, indispose Benjamin Netanyahou grandement.
11:27
En plus, on sait que les deux hommes
11:29
n'ont pas les meilleurs sentiments l'un pour l'autre.
11:33
Et il est exact qu'Emmanuel,
11:35
même s'il est exact qu'Emmanuel Macron,
11:37
au départ, a eu une position très en faveur d'Israël,
11:40
proposant d'ailleurs de mettre,
11:41
de retourner la coalition contre Daesh
11:44
en une coalition contre le Hamas,
11:47
ce qui aurait impliqué
11:49
de mettre les moyens militaires français,
11:51
et notamment ceux de l'opération Chamal,
11:53
contre le Hamas à Gaza.
11:55
Donc ça ne s'est pas fait.
11:57
Mais en tout cas, Emmanuel Macron, au début,
11:58
a été très du côté d'Israël.
12:00
Ensuite, il a louvoyé.
12:02
Croyant recréer une sorte de médiation,
12:06
en fait, rapidement,
12:08
c'est devenu incompréhensible,
12:09
la position de la France.
12:10
Frédéric Ancel, un dernier mot sur ce sujet.
12:13
Oui, je pense que la diplomatie,
12:18
encore une fois, ne permet pas tout.
12:20
C'est-à-dire qu'on comprend très bien
12:22
que Netanyahou, dont l'axiome idéologique
12:24
depuis toujours, depuis bien avant
12:26
qu'il n'arrive au pouvoir, en 1996 déjà,
12:30
a toujours été le rejet d'un État palestinien.
12:32
Bon, et il était à la tête d'un gouvernement
12:33
démocratiquement placé au pouvoir.
12:35
Là-dessus, il n'y a pas de problème,
12:37
même si d'ailleurs, l'opinion publique israélienne
12:38
sur l'État palestinien, effectivement,
12:39
depuis le 7 octobre, est hostile,
12:41
et on peut très bien le comprendre.
12:42
Mais enfin, ce n'a pas toujours été le cas.
12:43
Il y a eu les accords d'Oslo.
12:44
On pourrait y revenir.
12:45
En tout cas, je suis d'accord
12:48
avec ce qui a été dit.
12:49
Évidemment, Netanyahou est très hostile
12:51
à cette reconnaissance,
12:52
et le fait que ça vienne de la France
12:54
avec son succès d'entraînement diplomatique
12:56
lui pose problème.
12:58
De là à agiter le chiffon rouge
13:00
de l'antisémitisme, c'est ça, si vous voulez,
13:02
qui pose problème aujourd'hui.
13:03
Il peut développer tous les arguments
13:06
qu'il veut, y compris celui du timing,
13:08
qui n'est pas mauvais.
13:09
L'argument du timing, consistant à dire
13:10
que ce n'est franchement pas maintenant
13:12
qu'il fallait le faire.
13:13
Mais ça, on peut le comprendre, encore une fois,
13:15
parce que c'est un gouvernement
13:16
qui entretient cette position.
13:19
Le fait d'affirmer que cette reconnaissance
13:23
alimente l'antisémitisme,
13:24
je pense que c'est historiquement faux,
13:26
que c'est moralement proche de l'indécence,
13:29
et que ça n'engagera de toute façon pas
13:33
un recul diplomatique d'Emmanuel Macron.
13:36
C'est le moins qu'on puisse dire.
13:36
Par conséquent, il ne fallait pas le faire.
13:38
Merci beaucoup, Frédéric Ancel,
13:40
d'avoir été avec nous, docteur en géopolitique,
13:41
maître de conférences à Sciences Po,
13:43
Paris, et auteur, je le rappelle,
13:44
de l'ouvrage « La guerre mondiale n'aura pas lieu »,
13:47
publié aux éditions Odile Jacob.
13:49
Merci à vous.
13:50
Dans un instant, la suite d'Europe 1 Soir
13:51
et le journal permanent d'Adrien Spiteri
13:53
sur Europe 1.
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