RULLI 5,5/10 Le portier argentin a eu quelques sueurs froides avec les sorties de balle, mais il a su s'interposer quand il le fallait pour protéger son but (17, 42, 61) ou sortir de sa surface pour couper un ballon en profondeur (20).Il a cédé sur la fin sur le tir victorieux de Blas (90+1). EGAN RILEY 6,5/10 L'ex de Burnley a commencé la partie dans un rôle de latéral droit en perdant ses premiers ballons. Mais il s'est très bien repris par la suite, à l'image de ses interventions devant Merlin (27), Al-Tamari (42, 48, 61, 77), Fofana (76) et Salah (87). Replacé dans l'axe après la sortie de Kondogbia. BALERDI 5/10 Le capitaine de l'OM a été sérieux et appliqué. Il a aussi donné de la voix pour calmer ses partenaires ou les encourager, à l'instar d'Egan-Riley. Vigilant et longtemps précis dans l'alignement, il a craqué à la fin en couvrant Blas sur le but du Stade Rennais (90+1). KONDOGBIA 3,5/10 Positionné dans l'axe gauche de la défense olympienne pour pallier la suspension de Facundo Medina, "Kondo" n'a pas régné en maître pour son retour dans le onze. Une ouverture dans les bras de Samba, un contact limite avec Al-Tamari. De Zerbi l'a remplacé à la pause par Timothy Weah (46). MURILLO 5,5/10 Placé en latéral gauche hybride, le Panaméen a appliqué les consignes. Des interceptions bien senties et des appels restés sans réponse à son actif, et même une tête sur le poteau breton (58). Mais il a surtout permis à Aït-Boudlal d'être expulsé après une vilaine faute (28). Sorti au profit de Garcia (78). WEAH 5/10 Le fils de "Mister George" a fait ses grands débuts sous les couleurs de l'OM. Lancé au retour des vestiaires, il a arpenté le couloir droit, centré pour Murillo (58), a commis quelques fautes sur les phases défensives et s'est souvent retrouvé aux avant-postes. ANGEL GOMES 5/10 Avec plus d'une centaine de ballons touchés, l'Anglais de poche s'est imposé (sans surprise) comme la plaque tournante de cet OM. S'il a habilement donné le tempo et orienté le jeu marseillais, l'on peut regretter (parfois) son manque d'audace. Une frappe lointaine sans saveur (80). HOJBJERG 4/10 Fidèle à lui, le Danois a allié de grands gestes à la parole pour recadrer et conseiller ses équipiers. Moins à son aise lorsqu'il a fallu manier le cuir, l'ex-Spur a caviardé quelques relances en début de partie, qui ont failli coûter cher (4, 17). Du mieux quand Rennes a été réduit à dix.
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