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  • il y a 7 semaines
Indépendance de la Côte d'Ivoire, la population du Bouaké s'exprime au micro de Linfodrome

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Transcription
00:00Voici la célébration de la fête de l'indépendance, il y a l'ambiance, il y a l'affluence, qu'est-ce que vous en pensez ?
00:09Nous sommes très très émus pour la fête de l'indépendance.
00:12Nous, notre génération, c'est la première fois de célébrer cette fête.
00:15C'est mémorable et c'est historique pour nous.
00:18Franchement, nous allons fêter ça à 100%.
00:20Pour faire honneur au président de la République, il n'y aura plus d'élecs en 2025.
00:25Il y aura une reconnaissance pour le président.
00:27Si Dieu le veut, nous allons faire 100% pour lui.
00:31Voilà les élections.
00:33Bonjour, est-ce que tu peux te présenter ?
00:35Je me nomme Diabara Oum.
00:37Qu'est-ce que tu vends ?
00:38Je vends les drapeaux.
00:39Est-ce que ça marche ?
00:41Oui, ça marche, mais c'est l'indépendance.
00:44Donc forcément, ça marche.
00:46Tu as réussi à vendre combien de drapeaux au jour ?
00:49Bon, pour jeudi, il y a vendu 4.
00:514 paquets.
00:53Ça revient à combien ?
00:55Bon, on prend un paquet à 12 000, tu gagnes 25 000 dessus.
00:59Tu gagnes, hein.
01:01Qu'est-ce que c'est qu'on échec à mettre ?
01:04Oui, aujourd'hui, je suis très content.
01:06Je dis, c'est Ado seul qui me fait boire que c'est un pied.
01:10Eh, mon vieux, vous êtes un champion, mon vieux.
01:12Oui, Ado.
01:13Ami, quoi, le bain ?
01:14Il n'y a pas un moment, Ado.
01:16Eh, c'est un moron, hein.
01:18C'est lui seul.
01:18Aujourd'hui, on est dans la fête.
01:20On est dans la fête.
01:21Aujourd'hui, même, dis qu'en demain, on le suit.
01:23Et les autres de cette année, elles vont apprendre, elles vont valider 100%.
01:27Il faut Ado.
01:28Beaucoup de santé, beaucoup de gens, quoi.
01:30Les gens que tu nous donnes, là, ouais.
01:32Continues sur mon vie, on est toujours derrière toi.
01:34Eh, entier, mon vieux, ouais.
01:35C'est moi, encore.
01:37En bas, moi.
01:39Et t'es prête pour moi, là, il a causé dans le coup d'or, là, non ?
01:41Voilà, ça a tout compris, même.
01:43Ok.
01:43Ça va très bien, ça va chez vous.
01:53C'est DJ qui ?
01:54Moi, c'est DJ Bichakoff à Boaké.
01:55Je suis reconnu en tant que DJ Bichakoff, mais à l'état civil, c'est M. Kouadjo Roland.
02:01Là, tu as fait une ambiance ?
02:03Eh, oui.
02:03Depuis le long de la semaine, on a fait la promotion, promotion non seulement de nos articles,
02:09mais aussi la promotion de la fête de l'indépendance.
02:11Parce que l'indépendance ici à Boaké, on va dire que c'est la deuxième fois dans l'histoire.
02:16Après 1960, c'est célébré ici en 1964, et cette année, en 2025, ça fait la deuxième fois, on va dire.
02:23Donc, c'est une grande fête qu'on se doit de bien préparer et de bien vraiment célébrer.
02:28Pour cela, nous vendons beaucoup de choses, les t-shirts, les képis, même le drapeau de notre chère patrie, voilà.
02:35Et ça marche ?
02:35Ah, bon, ça marche franchement.
02:38La société ne m'appartient pas, mais ça marche.
02:39Mais, est-ce que tu penses, avec ta musique, tes ambiances et tout, ça attire du monde ?
02:46Ah, oui.
02:47Parce qu'on va dire que tout ce qui se passe, la musique joue un grand rôle.
02:52Ça stimule un peu.
02:53Donc, avec la musique, avec tout, avec les ataracos aussi, ouais, ils prennent le monde, voilà, tu connais.
02:58C'est l'infodrome.
03:09C'est l'infodrome.
03:10L'infodrome.
03:11L'infodrome.
03:12Ah, ok, il n'y a pas de souci.
03:14On est où ici ?
03:15On est à Boaké.
03:16Quel quartier ?
03:17Bon, ici, c'est le quartier qu'on met.
03:19Qu'est-ce que tu fais la particularité de ce quartier ?
03:21C'est quoi qu'il fait là ?
03:22Particularité de ce quartier.
03:23Il y a quoi ici dans le quartier, ça, là, qu'on n'a pas à donner notre quartier ?
03:26Il y a l'ambiance ici, pour aller, le quartier est trop, trop flex.
03:29Tu vois, raison pour laquelle.
03:31Ouais, non.
03:32Simplement ça.
03:33C'est tout.
03:34Quand tu fais quoi ?
03:35Bon, moi, je suis là, spéciale, moi.
03:37Pendant la canne, on en vendit beaucoup, mais jusqu'en présent, on est dedans.
03:42Ça marche ?
03:42Bon, il y a l'homme de l'île, ça bouge pas mal.
03:45C'est toi et ses chants ?
03:46Combien de clients par jour, comme ça ?
03:47Bon, il y en a plein de clients, on fait livraison partout à Boaké.
03:52Simplement ça.
03:55Bonjour, est-ce que tu peux te présenter ?
03:57Bonjour, je me nomme ton gafiak Obin.
04:00Boaké accueille la célébration de la fête de l'indépendance, l'ambiance, tout ça.
04:05Qu'est-ce que tu en penses ?
04:06Bon, à mon avis, pour la 65e indépendance qui va se faire à Boaké.
04:12En tout cas, ça, c'est du grand.
04:15Le président vient d'arriver aujourd'hui à Boaké.
04:18Puis l'accueil même, c'est quelque chose qui va être vraiment du grand.
04:24Donc, pour cela, on ne fait que se réjouir et pour dire que Boaké encore est toujours là.
04:29Moi, c'est Nivali Issa.
04:32D'accord.
04:32Tu habites à Boaké, on vient célébrer la fête de l'indépendance ici.
04:36Il y a l'ambiance, la fête.
04:38Qu'est-ce que tu en penses ?
04:39Ah, bon, en tout cas, nos présents, nos présents, en tout cas, il est fort, il est fort.
04:45Parce qu'il a passé les machines ici.
04:48Hein ?
04:49C'est un chef.
04:52Mais toi, tu penses quoi de tout ça là ? Les gens qui quittent partout pour venir fêter ici, Boaké en bruit, toi, tu penses quoi de tout ça ?
04:59Oui, c'est ça, c'est ça, c'est là, c'est la première fois.
05:06Un jeu, ils ont fait un, et c'est ça, voilà.
05:10En tout cas, moi, je suis content, je suis heureux, tout le monde est heureux, propre, propre même.
05:17Toi, tu fais quoi comme activité ici à Boaké ?
05:20Moi, je suis vendeur de viande.
05:22Vendeur de viande.
05:23Actuellement, il y a beaucoup de personnes ici dont ta viande, ça doit mâcher ou bien ?
05:27Oui, oui, oui, en tout cas, ça doit mâcher même. Il y a de viande ou mâcher même.
05:31Ça marche à l'heure là ?
05:32Non, on est là, à cause du déplacement, les gens, même matin, on était là-bas.
05:41Il y a beaucoup de clients là ?
05:42Oui, il n'y a pas beaucoup de clients.
05:45Voilà, on y va.
05:46Donc, je suis Damoué Dalila, je suis Burkinabé, mais je viens d'arriver en Côte d'Ivoire parce que j'ai de la famille ici pour les vacances.
05:54Je suis là avec mes soeurs et tout, on est venu passer les vacances et on est tombé en même temps dans l'ambiance de l'indépendance.
05:59Tout se passe bien, en tout cas, il y a les motos, il y a les voitures qui font des bruits.
06:04On adore, l'ambiance est au top et tout.
06:07En tout cas, on adore, on adore.
06:08Bonne fête de l'indépendance.
06:10Bonne soirée, monsieur, madame.
06:14Je m'appelle Doumiya Mamadou.
06:15D'accord.
06:16Wacké adore la célébration de la fête de l'indépendance.
06:19Qu'est-ce que ça vous fait ?
06:21Ça nous fait très, très, très plaisir, surtout la jeunesse.
06:24Après d'avoir, de ne pas vivre l'indépendance en 1960, cette année-ci, on a pu recevoir l'indépendance.
06:35Ça nous fait très, très plaisir.
06:37On est très, très content pour avoir cette indépendance avec le président Hadou.
06:42Ça nous fait très plaisir.
06:44Vous faites quoi comme activité ici à Wacké ?
06:46Moi, je suis coordonné.
06:46Avec tout le monde qui quitte Abidjan, toutes les villes de la Côte d'Ivoire pour venir à Wacké,
06:53est-ce que ça augmente votre clientèle, on va dire, en cette période-là ?
06:59Est-ce qu'il y a beaucoup de personnes qui viennent reparer leurs chaussures ?
07:02Bon, ceux qui sont quittés Abidjan, c'est-à-dire qu'ils ne sont pas ennépendance,
07:04sinon nous, ils ne sont pas venus.
07:06Ils disent, non, bon.
07:08Ils sont venus faire l'air, faire du vœu, vœu, se retourner.
07:10On fait avec les clients qui sont à Wacké,
07:12sinon on ne s'assoit pas pour attendre les clients d'Abidjan.
07:15Non, réellement pas, ils sont venus, ils sont retournés.
07:18Ils ne s'intéressent pas en nous aussi, bon, on ne s'intéresse pas.
07:21Il ne nous conserve pas.
07:23Président n'est qu'à penser à nous.
07:25Pour que la jeunesse de Wacké est là, on vote pour lui, on nous conserve,
07:28il ne peut nous conserve aussi.
07:30On n'est qu'à voir que la jeunesse de Wacké est là.
07:32On est là pour lui, il ne peut nous faire face aussi.
07:34C'est nous qui est pour lui.
07:36C'est notre papa, c'est notre, il est tout pour nous.
07:39On n'est qu'à penser que la jeunesse de Wacké est prête pour lui,
07:42il ne peut penser à nous.
07:43Tu vois, non, voilà, c'est tout ce qu'on peut lui dire.
07:46Il ne peut laisser s'éloigner aussi, il ne peut penser à la jeunesse de Wacké.
07:48Parce qu'on souffle, voilà, on souffle.
07:50Il ne peut savoir que la jeunesse de Wacké est derrière lui,
07:54avant qu'il devienne présent en l'intérieur de lui.
07:56Il est présent en l'intérieur de lui, demain aussi on sera derrière lui.
07:59Mais il ne peut faire face à la jeunesse de Wacké.
08:03Voilà, ça nous fait plaisir.
08:04Quand tu dis que vous souffrez, quelles sont les difficultés que vous rencontrez chaque jour ?
08:09Non, si je dis qu'on souffre, on s'est débrouillé un peu par rapport à l'activité qu'on fait.
08:17Mais on veut gagner mieux, tu vois, non ?
08:19Voilà, on veut gagner mieux.
08:21S'il nous fait face aux pays, les activités qu'on fait,
08:24nos ministres aussi n'ont qu'à penser, pour ne pas,
08:27ce qu'on sait qu'il reçoit, ce qu'on donne, ce n'est pas nous.
08:30Tu vois, non ?
08:31Voilà, presque, en fait, demandent pour beaucoup de ceux, mais on ne reçoit jamais.
08:36Tu vois, non ?
08:37Par contre, nous, on n'est pas allé à l'école.
08:39Tu vois, on n'a pas de diplôme.
08:40On n'a qu'à penser que nous qui n'a pas de diplôme,
08:43c'est nous qui sommes pour le président.
08:44C'est nous qui votons pour le président.
08:46Voilà, c'est nous qui sommes pour le président.
08:48Tu vois, non ?
08:49Voilà, ceux qui ont un diplôme, là, ils n'auront rien à faire le président.
08:52C'est nous qui pensons à présent.
08:53Enfin, nous, on n'a pas de diplôme, on n'a rien.
08:55On n'est pas allé à l'école même.
08:56Tu vois, non ?
08:56Voilà, c'est nous qui sommes pour le président.
08:58C'est nous qui votons pour le président.
08:59Voilà, c'est pour que si votre message, ça peut passer par le ministre.
09:03Tu vois, on a là, le ministre va passer à présent.
09:04Là, ça va nous faire plaisir.
09:05Là, il va penser que la jeunesse de Boaké passe à présent.
09:07On est peut-être pour lui hier, aujourd'hui, pour lui demain aussi, on sera pour lui.
09:11Mais il n'est qu'à faire face à nous, qui n'est pas allé à l'école aussi.
09:14Là, ça va nous faire plaisir.
09:16Mais voilà, c'est vrai. Applaudissez, applaudissez.
09:17Merci beaucoup.
09:18Applaudissez, il a accueilli.
09:20Applaudissez, il a accueilli.
09:20Applaudissez, il a accueilli.
09:25Monsieur Alain Ibrahim, ici Savané, là-bas.
09:28Donc, je suis délégué médical, ici à Boaké.
09:32Voilà.
09:33La ville de Boaké accueille l'article de l'indépendance 2015.
09:39C'est un honneur.
09:41C'est un grand honneur de savoir que Boaké accueille vraiment les 65 ans d'indépendance de la Côte d'Ivoire.
09:50Et aujourd'hui, vraiment, nous sommes très contents, très, très contents.
09:54Aujourd'hui, la ville de Boaké a une effervescence.
09:57On attendait vraiment ce moment de joie.
10:00Vraiment, et aujourd'hui, le président est arrivé.
10:04Et le président est en, je l'ai dit, en parfaite communion avec la population de Boaké.
10:10Nous l'avons senti aujourd'hui parce qu'il y a eu une marée humaine, vraiment, de population sortie aujourd'hui.
10:18Donc, c'est avec toute une grande joie que je suis très content, vraiment, de ces 65 ans d'indépendance fêtés ici à Boaké.
10:29Merci.
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