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Punchline - La mosquée de Bagneux mise en demeure suite aux prêches d'un éditeur proche de l'islam radical
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00:00
On a commencé notre émission en évoquant la mosquée de Bagneux, je vous le disais.
00:03
Elle vient d'être mise en demeure par le préfet des Hauts-de-Seine
00:06
après des prêches d'un éditeur proche de l'Hispane radical.
00:09
C'est donc une nouvelle mosquée qui est dans le viseur des autorités, je vous le disais.
00:13
On est justement avec Alexandre Brugère, préfet des Hauts-de-Seine.
00:17
Bonsoir, monsieur le préfet, et merci surtout d'avoir choisi CNews pour réagir à cette affaire.
00:22
Bonsoir.
00:23
Alors, première question d'ailleurs, on va commencer par le début.
00:25
Qui est ce fameux Mohamed Medaoui ?
00:30
Bien, monsieur Medaoui est un individu défavorablement connu
00:33
puisqu'il a été condamné par le tribunal correctionnel de Nanterre
00:37
dans le cadre du signalement de ses œuvres.
00:40
Il est à la fois éditeur, il est auteur.
00:44
Et les œuvres qui ont été les siennes, les héros de l'islam, incitaient au djihad armé.
00:49
Elles étaient destinées à des enfants qui, pour certains, n'avaient pas plus de trois ans.
00:54
Vous imaginez bien à quel point, lorsque j'ai appris que cet individu tenait des prêches
00:59
dans une mosquée de mon département, j'ai évidemment immédiatement réagi et mis en demeure cette mosquée
01:05
de ne plus accueillir cet individu.
01:08
Ce qu'il y a d'accord avec monsieur le préfet, c'est qu'il a été condamné tout récemment.
01:12
C'était le 1er juillet, si je m'abuse.
01:15
Il a été condamné au mois de mai, très exactement.
01:18
Au mois de mai.
01:18
Au mois de mai.
01:19
J'avais la date du 1er juillet.
01:21
Concrètement, ces publications, qu'est-ce qu'elles représentent ?
01:27
Décrivez-nous un petit peu les choses.
01:29
Et en quoi elles sont à le danger ?
01:31
Ce sont des publications qui portent tous les signes de publications salafistes.
01:37
Il y a des représentations d'enfants sans visage, ce qui est extrêmement caractéristique.
01:43
Mais ce qui pose encore plus question, c'est le fond de ces publications.
01:46
La raison pour laquelle la justice a condamné cet individu, c'est parce que ces publications
01:52
font l'exaltation de la torture, incitent au djihad armé.
01:56
Et évidemment, nous ne pouvons tolérer cela dans la République française.
02:00
Je mène à la demande du ministre d'État, ministre de l'Intérieur, un combat très offensif
02:06
dans mon département sur la lutte contre l'islamisme.
02:09
Et nous sommes là, vraisemblablement, face à un fait, ça ne laisse aucun doute, islamiste.
02:14
Et donc, mon devoir, c'était de réagir.
02:16
Mon devoir, c'était de mettre en demeure cette mosquée.
02:20
Monsieur le Préfet, vous soupçonnez très clairement, et vous nous le dites ce soir sur CNews et sur Europe 1,
02:25
cet homme de faire la promotion d'un islam radical.
02:32
Absolument, c'est un combat contre l'islamisme.
02:35
Il y a un combat de valeur derrière cette lutte contre l'islamisme.
02:39
Vous savez, j'ai publié un document qui s'appelle « Combattre l'islamisme sur le terrain ».
02:43
Et tous les jours, à la demande du ministre d'État, ministre de l'Intérieur,
02:47
nous menons, nous, Préfet de la République, une offensive républicaine extrêmement forte.
02:52
Évidemment, la République est attachée au respect de la liberté de culte.
02:56
Mais la limite de tout cela, c'est le respect de l'ordre public,
03:00
et c'est que les valeurs qui y soient prônées ne soient pas des valeurs anti-républicaines.
03:06
Et lorsqu'on laisse des individus de cette nature s'exprimer librement dans des mosquées,
03:12
porter un discours qui n'est pas compatible avec les valeurs de la République,
03:16
le rôle des préfets, c'est d'agir.
03:18
Pour ma part, je ne lâcherai rien.
03:20
Monsieur le Préfet, on connaît vos motivations et votre combat,
03:24
et vous dites que vous n'hésiterez pas à mobiliser l'éventail des sanctions qui sont à votre disposition.
03:29
Quelles sont ces mesures, ces sanctions qui sont à votre disposition très concrètement,
03:33
pour que nos auditeurs et nos téléspectateurs comprennent bien ?
03:37
Cette mise en demeure, c'est un coup de semence adressé à la mosquée Omar du Sud.
03:42
Évidemment, l'État dispose d'un certain nombre de moyens.
03:46
D'abord, la réalisation de contrôles nous permet de révéler des comportements de cette nature.
03:51
Évidemment, les services de l'État sont à pied d'œuvre pour débusquer des comportements islamistes comme celui-ci.
03:58
Mais au-delà, nous disposons évidemment de tout un éventail de sanctions.
04:03
C'est notamment l'État qui est à même de reconnaître la qualité cultuelle d'une association.
04:08
Et donc, je le dis très clairement et très calmement,
04:11
si jamais cette invitation devait perdurer,
04:15
si cet individu devait continuer à avoir table ouverte au sein de la mosquée,
04:21
je n'hésiterai pas à mobiliser l'ensemble des moyens qui sont à ma disposition.
04:25
Ce n'est pas le combat d'un préfet contre un individu amené à prêcher dans une mosquée,
04:32
c'est un combat pour la République.
04:34
Et dans un combat pour la République, si la République veut pouvoir se faire respecter,
04:39
elle doit être forte.
04:41
Et donc, face à des faits de cette nature,
04:43
évidemment, ne pas les laisser passer, c'est le sens de l'action que je mène.
04:48
Monsieur le préfet, Mathieu, à mes côtés, une question à vous poser.
04:50
Bonsoir, monsieur le préfet.
04:51
Merci pour ce que vous faites et votre combat contre l'islamisme
04:55
qui est évidemment salutaire pour les Hauts-de-Seine,
04:58
mais plus globalement pour le reste de la France,
05:00
puisque ce que vous proposez pourra être éventuellement répliqué
05:02
par d'autres préfets, par certains de vos collègues.
05:06
Ma question, elle est assez simple.
05:07
Est-ce que vous...
05:07
Là, vous parliez de la mosquée de Bagneux.
05:10
Est-ce que vous avez d'autres points dans les Hauts-de-Seine,
05:12
d'autres villes qui posent question sur ce sujet-là ?
05:17
Il me semble qu'à côté de Bagneux, il y a la ville de Châtillon
05:19
et que c'était Salah Abdel-Sam, je crois, le soir du 13 novembre,
05:23
qui avait dormi dans cette ville-là.
05:25
Est-ce que vous avez d'autres exemples et d'autres villes,
05:28
ceux que vous surveillez ou d'autres points liés à l'islamisme
05:30
que vous surveillez dans les Hauts-de-Seine ?
05:32
D'abord, je veux souligner que tous les jours,
05:37
tous les préfets de la République sont engagés dans ce combat.
05:40
Vous parlez aujourd'hui du combat que je mène dans les Hauts-de-Seine,
05:43
mais mes collègues, dans chaque département de France,
05:45
à la demande du Président de la République,
05:47
à la demande du ministre d'État, ministre de l'Intérieur,
05:50
mènent une offensive républicaine extrêmement forte.
05:53
Et donc, je l'applique évidemment dans le département.
05:56
Quand je suis arrivé dans les Hauts-de-Seine,
05:57
j'ai été nommé il y a quelques mois seulement,
06:00
j'ai constaté qu'un tiers de mes lieux de culte musulmans,
06:04
j'ai 35 lieux de culte, si je fais la somme,
06:07
des mosquées et des salles de prière,
06:09
un tiers de ces lieux, suscite la vigilance de la part des pouvoirs publics,
06:15
la vigilance de l'État.
06:17
Et donc, je suis amené très régulièrement
06:19
à signaler des comportements qui ne sont pas normales
06:22
du point de vue des valeurs de la République,
06:24
ou évidemment à engager des actions de cette nature.
06:28
Vous avez vu, il y a quelques semaines,
06:29
que j'ai notamment dénoncé des faits particulièrement graves
06:33
que j'avais constatés dans la ville de Colombes,
06:35
où le directeur de cabinet du maire était également secrétaire général
06:39
d'une association culturelle et culturelle
06:42
sous la vigilance de l'État,
06:44
sous la vigilance des pouvoirs publics,
06:46
mais également à la tête d'écoles coraniques
06:49
dans lesquelles nous avions découvert des affiches
06:52
présentant des individus sans visage,
06:54
ce qui est caractéristique d'un enseignement salafiste.
06:59
Eh bien, que cela soit au sein de la mosquée Omar du Sud à Bagneux,
07:04
que cela soit à Colombes,
07:05
je veux que le message soit reçu 5 sur 5
07:09
de la part des ennemis de la République.
07:11
Je ne lâcherai rien,
07:13
parce que c'est le mandat qui est le nôtre,
07:15
et quand on est préfet,
07:16
quand on est engagé pour cette très noble mission,
07:19
le cœur de ce que nous devons faire,
07:21
c'est défendre la République,
07:23
et c'est le sens de l'engagement qui est le mien sur le terrain.
07:25
Dernière question, M. le Préfet,
07:26
la mosquée de Bagneux était connue quand même de vos services ?
07:32
J'ai été amené à réunir il y a quelques semaines,
07:37
pour la première fois dans le département,
07:38
ça ne s'était jamais fait,
07:40
les assises territoriales de l'islam de France,
07:42
parce que je suis extrêmement attaché
07:44
à ce qu'au-delà de la dénonciation de l'islamisme,
07:47
nous puissions, avec des musulmans républicains,
07:50
c'est-à-dire l'écrasante majorité,
07:53
construire un islam de France.
07:55
C'est le sens de cette réunion,
07:57
et à l'occasion de cette réunion,
07:58
je n'avais pas convié la mosquée au Mar du Sud,
08:01
car nous avions déjà des suspicions
08:04
quant aux individus fréquentant cette mosquée.
08:08
Évidemment, ce qui vient de se passer
08:09
ne va pas dans le sens d'un chemin vers la République,
08:13
et me semble-t-il légitime le choix que j'ai fait
08:17
de ne pas inviter la mosquée au Mar du Sud
08:19
à ses assises territoriales de l'islam de France.
08:22
Encore une fois, le message, il est clair,
08:24
et j'espère qu'il sera reçu entièrement et totalement,
08:28
la République, elle, se respecte.
08:30
Le respect de la République passe d'abord par le fait
08:33
de ne pas offrir de tribune à des individus
08:35
auxquels il ne faut évidemment pas donner la parole,
08:38
car les valeurs qu'ils portent,
08:40
les messages qu'ils portent,
08:41
sont des messages et des valeurs antirépublicains.
08:44
Merci Alexandre Brugère, préfet des Hauts-de-Seine,
08:46
merci d'avoir choisi CNews pour nous expliquer
08:49
très concrètement cette décision.
08:51
Un mot, Ophélie, préfet est très actif.
08:55
Ce n'est pas la première fois que je reçois dans Punchline,
08:58
mais...
08:59
Il est actif, mais il faut dire aussi
09:00
qu'il a tellement de travail devant lui.
09:03
Un tiers, c'est vrai que c'est énorme,
09:05
un tiers des lieux de culte qui finalement
09:07
sont en contradiction avec les valeurs de la République.
09:09
Moi, ce que je voudrais aussi dire,
09:11
c'est que...
09:12
Moi, ce n'est pas normal, ce que je veux dire,
09:15
mais en tant que professeur,
09:17
on sait parfois quand il y a un nouvel imam,
09:18
par exemple, qui vient dans telle ou telle ville,
09:20
parce qu'on sent qu'il y a une forme de porosité,
09:22
que les enfants...
09:23
Ça transpire.
09:24
Ah oui.
09:25
Moi, ça m'est déjà arrivé d'avoir des exposés
09:27
où c'est marqué en dessous,
09:28
comme le dit mon imam,
09:29
ou des choses comme ça.
09:31
Oui, oui.
09:31
Alors on dit...
09:31
C'est incroyable.
09:32
Parce qu'en fait, ils sont...
09:33
Vous avez des textes.
09:35
On a des textes qui sont...
09:36
Parce qu'il y a des aides aux devoirs,
09:37
parce qu'il y a des choses comme ça.
09:38
Donc c'est vrai que c'est important
09:40
que la République, elle ne lâche pas là-dessus,
09:41
non pas pour essayer d'empêcher
09:44
la propagation d'idées religieuses,
09:48
mais pour empêcher la propagation
09:49
de certaines idées
09:50
qui ne sont pas du tout compatibles
09:52
avec la République.
09:53
Et en effet, on a des enfants
09:55
qui, avec certains changements d'imams,
09:59
se mettent parfois à mettre leur point
10:01
sur un manuel,
10:02
parce qu'ils ne veulent pas voir
10:03
une représentation de quelqu'un
10:05
en image ou en photographie.
10:06
C'est fou ce que vous nous racontez.
10:07
Donc en fait, on le sent,
10:08
et c'est vrai que parfois,
10:09
ça semble très, très abscond presque
10:12
quand on entend un peu la lutte
10:14
que mènent ces préfets.
10:15
On se dit, mais qu'est-ce que ça veut dire
10:16
une mosquée ?
10:17
Radicaliser, concrètement,
10:19
ça veut dire des enfants
10:21
qui vont se mettre à changer de comportement.
10:24
Et alors, pas de manière agressive,
10:25
c'est rarement dans l'agressivité,
10:27
mais c'est dans ces petits détails du quotidien
10:29
où on se rend compte en fait
10:31
qu'il y a quelque chose
10:32
qui est en train de prendre,
10:33
qui est en train de germer
10:34
et c'est compliqué après à l'école
10:36
de remettre ça un petit peu en perspective.
10:39
Donc il a tout à fait raison,
10:39
il faut absolument empêcher
10:41
que certains imams,
10:44
que certaines communautés
10:45
tiennent des discours
10:47
qui en plus s'adressent en priorité
10:49
aux très jeunes,
10:50
donc à des gens qui sont encore
10:51
très, très malléables en fait.
10:53
Patrick Bonin,
10:54
un dernier mot sur le sujet.
10:55
On voit la détermination
10:56
de ce point fait des hauts sains.
10:57
C'est important,
10:57
je pense qu'il est très important
10:58
que les auditeurs,
10:59
les téléspectateurs
11:00
entendent la voix d'un préfet.
11:01
C'est-à-dire qu'on entend souvent
11:03
la voix des politiques
11:04
mais qui du coup
11:04
sont parfois déconnectés
11:05
d'une réalité de terrain.
11:06
Là, ce qui est incroyable
11:08
et c'est tant mieux que...
11:08
C'est ce qu'il fait des hauts sains,
11:10
je le disais,
11:10
c'est pas la première fois
11:11
que je le reçois sur Europe 1
11:11
et sur CNews,
11:12
il dit les choses,
11:13
il fait les choses.
11:14
Oui, et du coup,
11:14
c'est important que les Français
11:16
entendent qu'il y a une action
11:18
faite par des représentants
11:19
de l'État,
11:20
que ce sont des gens
11:20
qui sont capables
11:21
de venir sur ce plateau,
11:22
de venir à cette antenne,
11:23
donner,
11:25
entendre la parole de l'État.
11:26
Or, la plupart du temps,
11:27
la parole de l'État,
11:27
elle est tellement politique
11:28
que beaucoup de nos concitoyens
11:30
se disent,
11:30
mais on entend ça,
11:31
mais en réalité,
11:32
à côté de chez moi,
11:32
ça ne se passe pas comme ça.
11:33
Eh bien voilà,
11:34
il est important
11:35
qu'ils prennent la parole.
11:36
C'est le cas des préfets,
11:37
c'est le cas des juges,
11:39
c'est le cas aussi
11:39
des directeurs de prison.
11:41
En réalité,
11:41
derrière,
11:42
il y a quand même parfois
11:42
une administration
11:43
qui fonctionne
11:44
et qui prend des décisions
11:45
et qui agit.
11:47
Il est important
11:47
de les entendre.
11:49
Allez, on marque une pause
11:50
dans ce Punchline
11:50
qui était sur Europe 1
11:51
et sur CNews.
11:52
On va se parler
11:53
de Gérald Darmanin,
11:54
très actif,
11:55
omniprésent.
11:56
Je pense qu'il ne va pas
11:57
prendre de vacances
11:57
cet été.
11:59
Il était en visite
12:00
ce matin
12:01
au tribunal de Nanterre
12:03
et il a parlé
12:03
de la justice,
12:04
évidemment.
12:05
Qu'est-ce qu'il a dit
12:05
en deux mots ?
12:06
On en parlera.
12:06
La justice,
12:07
manque de moyens
12:08
et un peu de bon sens aussi.
12:09
On écoutera Gérald Darmanin.
12:11
On revient au bon sens.
12:11
Le bon sens,
12:12
on en revient toujours.
12:14
Allez,
12:14
on se retrouve
12:14
dans quelques instants
12:15
sur Europe 1
12:16
et sur CNews.
12:16
A tout de suite.
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