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00:00Europe 1, 16h, 18h, on marche sur la tête, Cyril Hanouna.
00:05Il va se dire, je ne les verrai plus tellement jusqu'à fin 2025, c'est une autre année qui démarre.
00:11Merci d'être avec nous sur Europe 1, merci à tous les auditeurs, 0181 2039 21, on aimerait que vous réagissiez.
00:16Bruno Retailleau qui s'envole dans les sondages et qui devient, après un sondage paru hier, la personnalité politique préférée des français.
00:2339% d'opinion favorable, c'est incroyable.
00:27Vous le soutenez 20%, vous l'appréciez 19%, c'est beaucoup, c'est un bon incroyable.
00:35Fabien Lecove, merci d'avoir été avec nous, vous pouvez rester bien entendu pour réagir à l'émission, c'est toujours un plaisir de vous côtoyer.
00:43Ça va ?
00:43Très bien.
00:45Vous êtes là demain ?
00:46Je viens demain, absolument.
00:47Très bien, ça tombe bien par moi.
00:49Si Sabrina Agresti Roubache est avec nous...
00:51Il est délicieux, il est vraiment délicieux.
00:53Là tout de suite, c'est pas l'adjectif qui me venait à l'idée, mais on prend.
00:58Un bonbon, un bonbon.
00:59Un bonbon.
01:01Sabrina, est-ce que vous pensez que Bruno Retailleau, dans la dynamique dans laquelle il est...
01:06Alors on est loin de 2027, mais est-ce qu'aujourd'hui, est-ce qu'on va devoir compter avec lui ?
01:14Comter avec lui, je le pense.
01:16Comter avec lui, je le pense.
01:17Après, les élections présidentielles, notamment les dernières, et les avant-dernières, si on parle de 2017,
01:23et si on parle même en 2012, quand Nicolas Sarkozy perd,
01:27les élections présidentielles, je pense que si la vie politique, peut-être, nous a appris quelque chose, c'est les surprises.
01:33Il n'y a pas eu énormément de surprises.
01:36Ah, 2017, si ?
01:37Non, il y a eu des...
01:382017, en fait, oui, mais parce qu'il y a eu l'affaire Fillon.
01:41Sans l'affaire Fillon, Fillon est certainement président.
01:43Oui, mais personne n'avait prédit que le président de la République, 8 mois avant, ou 6 mois avant, allait...
01:48Moi, je pensais qu'il voulait être maire de Marseille quand je le rencontre, voilà.
01:51Alors, moi, je croyais qu'il voulait être joueur de l'Olympique de Marseille.
01:53C'est... voilà.
01:54Et donc, il est devenu président de la République.
01:55Et 2022, il n'y a pas eu de surprise.
01:57Non, non, comptez avec Bruno Retailleau, ça me semble assez...
02:01Enfin, je veux dire, celui qui viendra à votre micro, ou n'importe quel micro,
02:03expliquer que Bruno Retailleau ne comptera pas, ce n'est pas vrai.
02:06Mais j'ai une question à vous poser.
02:07Il est crédité aujourd'hui de sa présence à Beauvau.
02:10Beaucoup de personnes se disant, il vaut mieux que ce soit lui qu'une autre personne,
02:14quand bien même, il ne peut pas faire tout ce qu'il veut.
02:17Donc, cette séquence, depuis septembre dernier, lui, est très positive.
02:20Mais il ne peut pas rester à Beauvau, très certainement, dans les deux ans qui viennent.
02:23Est-ce que ce n'est pas trop haut, trop tôt ?
02:26Alors, c'est pour ça que je dis, il y a une dynamique, on le voit dans les chiffres.
02:32Comptez avec lui, parce que c'est le président DLR,
02:35parce que moi, je parlais surtout de ça.
02:37Je ne parlais pas uniquement de sa présence au gouvernement.
02:39Donc, ça veut dire qu'en tant que président des Républicains, il va compter.
02:43C'est normal, c'est le patron des DLR.
02:46C'est peut-être un peu trop tôt, mais par contre, pareil,
02:48il y a un enseignement sur la participation de LR au gouvernement,
02:53c'est que le PS devrait peut-être aussi se poser la question.
02:56Parce que regardez le Congrès, ça n'a à peu près intéressé personne.
02:59Alors que vous avez des personnalités fortes, de l'hémicycle,
03:04je ne parle pas juste...
03:05Non, mais quand je dis fort, des socialistes...
03:07Oui, vous avez Olivier Confort, mais bon...
03:08Oui, fort, mais bon, Valot, non, oui, Boris Valot,
03:12et puis vous avez Arthur Delaporte, vous avez Philippe Brun,
03:14non, il n'y a pas non plus personne.
03:16Non, mais ce que je veux dire, c'est que leur arrivée au gouvernement a une...
03:22Il y a une explication, évidemment, dans le fait que Bruno Retailleau
03:26soit maintenant là, dans les sondages.
03:28Donc, voilà, je pense que l'enseignement, c'est quand tu es aux responsabilités,
03:32que tu sois d'accord ou pas avec tous les membres du gouvernement,
03:35ou avec toutes les lignes que ce gouvernement pourrait rassembler,
03:41ça compte.
03:42En tout cas, ça compte pour les Français, visiblement.
03:44Merci, Sabrina.
03:45Léo est avec nous sur Europe 1, Léo de Toulouse.
03:48Bonjour, Léo.
03:50Bonjour, Cyril, bonjour à tous.
03:51Merci d'être avec nous, Léo.
03:52Comment ça va ?
03:54Très en forme, et vous, comment allez-vous ?
03:56Ça va, magnifique.
03:57Voilà, là, on est en roue libre, comme on dit, là.
04:01Je vois ça, je vois ça.
04:02Non, on est bien, on est bien, on dit ce qu'on pense,
04:03on dira toujours ce qu'on pense.
04:05Voilà.
04:06Léo, vous faites quoi dans la vie ?
04:08Moi, j'étais étudiant en sciences de l'éducation,
04:11j'ai quitté un petit peu cette branche-là,
04:13je vais monter ma société.
04:15De quoi ?
04:15De production audiovisuelle.
04:18Non, comme ça, mais...
04:19Si vous avez besoin d'un nouvel habillage...
04:22Très bien, je vais le voir, parce que là, je suis en train de voir,
04:25parce que moi, au niveau de l'argent, je suis un petit peu, il craque, là.
04:27Donc là, je vais le voir, mais avec plaisir, elle est où ?
04:29Il faut lui rappeler que Netflix investit 250 millions,
04:32enfin, chaque année,
04:34que les plateformes ont besoin de contenu et de jeunes producteurs.
04:37Et je lui conseillerais, si je peux me permettre,
04:39de vraiment se syndiquer au syndicat des producteurs indépendants,
04:44parce que c'est bien quand on est un petit producteur indépendant.
04:46Parce que Sabrina connaît bien.
04:48Merci, Sabrina, c'est très important.
04:50Léo, vous voulez réagir sur Bruno Retailleau ?
04:53Vous allez le faire dans un instant, sur Europe 1.
04:55Vous continuez à nous appeler, on ne va prendre que des auditeurs.
04:5701, 80, 20, 39, 21, on ne va prendre que des auditeurs.
05:00D'ailleurs, les intervenants peuvent rentrer tranquillement chez eux.
05:03On marche sur la tête, sur Europe 1.
05:13On est heureux d'être avec vous, en tout cas.
05:16Et merci à tous d'être aussi nombreux à nous écouter.
05:19Et on aura une petite surprise, dans un instant.
05:21Parce que je ne suis pas là demain.
05:22Vous verrez.
05:23Et puis, alors là, on est en train de voir pour lundi,
05:24parce que comme c'est férié, c'est Pentecôte.
05:28Tu sais quoi ?
05:28Alors là, moi, je peux vous dire, le calendrier, les gars.
05:30Là, moi, les gars, je peux vous dire, c'est carré, carré, carré, carré.
05:34Je ne rigole pas.
05:35Il y a des trucs avec lesquels je rigole, je peux vous dire.
05:38Je peux te dire, la Saint-Philippeère, je ne suis pas là.
05:41Oui, il y a des trucs...
05:42C'est important.
05:44Je le dis, alors, mais moi, je suis...
05:45Non, mais normalement, non, je suis là.
05:46On va voir, on est en train de voir.
05:48Je suis en train de voir.
05:48Tiens, là, le patron qui me dit que je suis là lundi, apparemment.
05:50J'étais pas là les jours fériés.
05:52Donc, apparemment, ce n'est pas un jour férié.
05:53Non, ce n'est plus un jour férié.
05:54Je vais vous dire la vérité, parce que normalement, ils me payent triple les jours fériés.
05:59Donc, je leur dis, c'est mieux que je ne vienne pas garder votre argent.
06:01Je vais aller au...
06:01Non, mais sans lui, je vais aller...
06:02Et donc, là, apparemment, ce n'est pas considéré comme un jour férié.
06:05Donc, je serai là, et vous aussi, d'ailleurs.
06:07Je vous dis, vous serez là lundi, vous ?
06:08Lundi, je ne suis pas là, non.
06:09D'accord, vous faites quoi lundi ?
06:10Je tourne pour ses stars un documentaire.
06:12Ah oui ?
06:12Sur quoi ?
06:13Sur...
06:14Alors, c'est long, j'ai commencé déjà.
06:16C'est Johnny et les femmes.
06:17Johnny et les femmes ?
06:18Qui a rapport avec vous, alors ?
06:19Qui a rapport avec vous ?
06:21J'en ai connu beaucoup de ces femmes.
06:22Ah, mais d'accord, si je croyais qu'elles n'êtes pas...
06:23Voilà, d'accord, très bien.
06:24Merci.
06:25Non, mais très bien, j'ai écouté.
06:27On verra avec la semaine prochaine.
06:28Fin de semaine prochaine.
06:29Bon, très bien, écoutez, on vous rappellera, en tout cas.
06:31Allez, Léo est avec nous de Toulouse, il veut réagir sur Bruno Rotaillot,
06:35qui est dans la première, dans le baromètre des personnalités politiques, et de loin.
06:39Il passe largement en tête, et il a 39%.
06:42Léo, vous vouliez dire quoi ?
06:43Léo qui a 27 ans, donc c'est important de savoir ce qu'il va dire, 27 ans.
06:48Là, je voulais dire qu'effectivement, Bruno Rotaillot, selon moi, est premier de ce baromètre.
06:53Ce n'est pas pour rien, je pense qu'il a fait une campagne pour la présidence des LR,
06:57où il a appliqué ce qu'il a appelé le parler vrai,
07:00et ça a parlé à beaucoup de Français, c'est-à-dire dire les choses,
07:04sans langue de bois, sans tabou, sans pour autant se rapprocher des extrêmes.
07:10Et je pense que c'est ce qui est aujourd'hui important pour les Français, de parler vrai.
07:16Vous êtes militant LR ou pas du tout ?
07:18Non, pas du tout, je ne suis pas militant LR, je suis en quartier ailleurs.
07:22Mais je me rapproche des idées de M. Rotaillot,
07:27parce que pour moi, c'est quelqu'un qui, sans rentrer dans les extrêmes,
07:32parle vrai, parle aux Français, et les chiffres le montrent, parle à beaucoup de Français.
07:38Oui, et de plus en plus d'ailleurs.
07:41Merci Léo d'avoir été avec nous, et puis vous nous tenez au courant pour la boîte de prod.
07:45Oui, c'est bon courage.
07:46Pas de problème.
07:46Bon courage, merci.
07:47Si vous avez besoin de quoi que ce soit.
07:49Exactement, merci.
07:51Si ça ne nous coûte pas cher, on sera là bien entendu.
07:53Merci.
07:53Il y a Claire qui est avec nous de Grenoble.
07:56Oui.
07:56Bonjour Claire, comment allez-vous ?
07:58Comment ça va Claire ?
07:58Bonjour.
07:59Bonjour à tous.
08:00Merci Claire.
08:01Claire, comment ça va Grenoble ?
08:03Oh, vous savez Grenoble.
08:05C'est catastrophique.
08:07Je ne ferai pas de commentaire.
08:08Ah bah oui.
08:09Non mais, Eric Piolle, il est toujours maire de Grenoble.
08:13Oui.
08:13Bonjour à mon petit Gautier Lebray.
08:16Bonjour Madame.
08:17Ah oui, il est très gentil, il est tout mignon.
08:20Et que je ne manque aucun prétexte.
08:21Puis là, il attend un enfant, là.
08:23Oui.
08:24Il attend un enfant.
08:25Bien sûr qu'il attend un enfant.
08:25Ils ont parlé à la pub avec Fabien, parce que Fabien va certainement lui prêter des affaires.
08:30Il va déjà filer un lit.
08:32Ça y est, ça y est, ça y change des affaires, c'est gentil, c'est tranquille.
08:36Il va filer des soquettes, là.
08:37C'est vertueux.
08:39Claire, vous vouliez parler de Bruno Retailleau ?
08:41Oui, alors moi, je trouve...
08:43Moi, je le connaissais, enfin, je savais, il était sénateur, il est sénateur.
08:47Donc, depuis longtemps, je me disais tout le temps, mais comment cet homme n'est pas davantage,
08:52vous voyez, au-devant de...
08:54Bon, et là, enfin, c'est arrivé.
08:56Donc, moi, vraiment, c'est la seule personnalité politique en qui je crois, en qui j'ai confiance,
09:04qui est sincère, parce qu'aujourd'hui, il est sincère, il n'y en a plus.
09:08Il y a énormément de personnes lâches, de caméléons, donc c'est extrêmement difficile.
09:13Moi, alors, vraiment, je suis entièrement d'accord avec vous, Cyril.
09:17C'est vrai qu'il est formidable, cet homme.
09:19Il est...
09:21C'est surtout ce qui ressort de sa personnalité, c'est sa sincérité.
09:27Il n'y a pas de blabla, il n'y a pas de...
09:30C'est rare, c'est quand même très rare.
09:33Il n'a jamais changé d'idée depuis longtemps.
09:37Il n'a jamais changé d'idée.
09:39En tout cas, c'est vrai que vous l'avez suivi depuis longtemps, et c'est vrai que ça fait longtemps qu'il est dans le paysage politique.
09:45Et alors, est-ce que, Cyril, je peux faire une petite parenthèse ?
09:51Avec grand plaisir.
09:54C'est pas méchant du tout, c'est pas méchant, au contraire, c'est bon.
09:57Sur vos deux petites gauchistes...
09:59J'aimerais qu'on laisse parler, Claire, s'il vous plaît.
10:05Merci, Claire. Allez-y, faites-vous plaisir.
10:07Ça va clore l'émission à côté de moi.
10:08Et si vous pouvez les secouer, n'hésitez pas, ça ne me dérange pas.
10:11Vos deux petites gauchos, vous savez ce que je ne comprends pas ?
10:15Ce sont quand même des filles intelligentes.
10:17Comment ne voit-elle pas...
10:19Il y en a une qui est extrêmement macroniste, peut-être l'autre aussi, mais je ne sais pas.
10:22Mais comment ne voit-elle pas ce qu'il se passe en France aujourd'hui ?
10:27La violence qu'il y a chaque jour, chaque jour...
10:31Claire, ça tient en un mot.
10:32La déconnexion de ces gens.
10:34C'est vrai !
10:36La déconnexion de ces gens.
10:37Non, non, mais c'est vrai.
10:38Eh oui, bah oui.
10:40Vraiment, je n'arrive pas à comprendre ça.
10:43Mais je comprends.
10:44Comment ne le voit-elle pas ?
10:47C'est ça qui est quand même énorme.
10:49Vous voyez ?
10:50Alors, Valérie Bédaïm, elle peut peut-être vous répondre, Valérie Bédaïm.
10:53Oui, oui, bien sûr qu'elle peut-être, bien sûr, bien sûr.
10:55Après, je vais vous dire, Claire,
10:57Valérie Bédaïm, elle est moins fan d'Emmanuel Macron que Gérard Dine Maillet.
11:02Parce que Gérard Dine Maillet, elle a des posters de lui partout.
11:04Mais elle a voulu la statue au Mégicréma, etc.
11:08Oui, mais elle est Philippe.
11:10Elle est Philippe, oui, c'est pire.
11:12Alors que Philippe...
11:14Oui, mais justement, c'est ça que je me pose aussi la question.
11:17Philippe, un ventre mou comme ça, un jupéiste,
11:21qui n'a absolument rien fait.
11:23Mais c'est terrible.
11:24Mais je vais vous dire quelque chose, Claire, Claire, je vais vous dire.
11:26C'est de la guimauve, comme vous dites.
11:28Claire, c'est à cause de gens...
11:29Claire, je vais aller plus loin que vous.
11:31Je vais aller plus loin que vous, je vais vous poser une question.
11:33Est-ce que vous trouvez que c'est à cause de personnes comme Valérie Bédaïm et Gérard Dine Maillet
11:36que la France est dans l'état dans lequel elle est aujourd'hui ?
11:38Moi, pour moi, oui.
11:39Voilà, pour vous.
11:39C'est pas une bonne émission.
11:41Il y a quand même une part de...
11:43Voilà, il n'y a pas de responsabilité, allez-y, dites-le, Claire.
11:44Ah bah, bien évidemment, hein, bien sûr.
11:46C'est la gauche qui nous a proposé.
11:48Mais il me semble pas que sa famille politique soit la gauche.
11:51Non, mais c'est pas vraiment la gauche, elle parle de la guimauve.
11:54Oui, c'est vrai, c'est vrai.
11:55Ce qu'on appelle la guimauve, c'est-à-dire que c'est des gens qui ne servent à rien.
11:57Vous avez le pompon, quand même, vous.
11:59Ah, voilà, le pompon.
12:01Donc, voilà, merci.
12:02Non, mais Claire, moi, ça me fait plaisir de discuter avec vous.
12:05Non, mais elle est très sympathique.
12:06Elle est très sympathique, Claire.
12:07Mais c'est normal.
12:07Qu'est-ce que vous avez répondu à Claire ?
12:09Non, mais qu'il y ait un constat...
12:11Moi, je ne sais pas dans quelle prise de parole vous avez entendu dire que...
12:15Non, vous êtes le droit, Philippe.
12:16Je disais qu'il n'y avait pas un constat d'une violence et d'une société qui était fracturée, etc.
12:20Après, sur les solutions à apporter, je ne suis...
12:24C'est vrai que j'ai plus de difficultés avec certaines solutions qui me semblent trop radicales
12:29et qui, à mon avis, arrivent après et qui ne sont pas en train d'essayer de résoudre le problème à la racine.
12:35C'est-à-dire que si on met des pansements sur des jambes de bois,
12:37très bien, mais on ne mettra que des pansements sur des jambes de bois.
12:40Je pense qu'il faut faire les deux.
12:42Et que, oui, effectivement...
12:42Alors, attendez, attendez, Claire, voilà, voilà, voilà ce qu'elle vient de dire.
12:45Merci, c'est bon, on a compris.
12:47Non, mais Claire, elle vient de dire les deux.
12:49Les deux, c'est tout ce qu'on a vécu depuis...
12:51C'est ce qu'on a vécu depuis huit ans, les deux.
12:53Il me semble quand même que ça...
12:53Il faut quand même résoudre les problèmes à la racine si on ne veut pas qu'ils se reproduisent.
12:56Mais Valérie Benahim, vous n'avez jamais résolu aucun problème.
12:59Non, mais je ne suis pas aux affaires.
13:00Oui, mais vos amis n'ont jamais résolu aucun problème.
13:03Écoutez-moi bien, ça fait huit ans qu'on est dans le 1 en même temps, il ne se passe rien.
13:05Donc, Claire, quand j'entends Valérie Benahim dire qu'il faut faire les deux,
13:08il ne faut pas faire les deux.
13:09Il faut faire...
13:09Voilà, je vous le dis.
13:10C'est catastrophique.
13:11Je veux dire, si on en est dans ce moment...
13:15Allez-y, Claire.
13:17Comment ce président, je ne comprends pas, mais lui aussi ne voit-il pas ?
13:22Il le voit, il le voit très bien.
13:23Je pense qu'il le voit, mais qu'il ne peut rien faire.
13:25Il n'intervient jamais.
13:27Il ne peut rien faire.
13:28Jamais il n'intervient sur la violence.
13:31Je vais vous dire, quand vous n'avez pas d'autorité...
13:33C'est inadmissible, c'est intolérable.
13:36Claire, quand vous n'avez pas d'autorité,
13:38à un moment, quand vous avez trop laissé les choses glisser,
13:42vous avez laissé trop de mou,
13:43à un moment, c'est impossible de revenir en arrière.
13:44C'est comme avec les enfants.
13:46Non, mais les mecs, arrêtez, ça s'est dégradé de façon incroyable.
13:50Arrêtez de dire des bêtises, c'est catastrophique.
13:52Le trou au niveau économique, ça n'a jamais été aussi catastrophique.
13:56Au niveau sécuritaire, c'était aussi catastrophique.
13:58Non, mais partout, surtout dans tous les domaines,
14:00ça n'a jamais été aussi catastrophique.
14:01Donc, à un moment, quand tu laisses trop de mou,
14:04à un moment, c'est fini, tu ne peux plus revenir en arrière.
14:06Et Claire, il y a un manque, il y a un laxisme incroyable.
14:10Comme je dis que la France n'est pas tenue.
14:13Ça, j'adore, Johan Uzaï et tout.
14:15Ah ben ça, c'est formidable.
14:17Je ne les loupe jamais.
14:18Le matin, le soir, ah ouais, ouais, non mais...
14:21Claire, est-ce que vous avez le sentiment que la France n'est pas tenue
14:24et que Valérie Bédé et Géraldine Maillet sont responsables également ?
14:27En quelque sorte.
14:32Cyril, je ne veux pas les accabler.
14:34Je ne veux pas les accabler.
14:35Accablez-moi, Claire, de toute façon, ce n'est pas grave.
14:37Non, mais d'après leurs propos, c'est incompréhensible.
14:40C'est ça, surtout.
14:42On a vraiment l'impression qu'elles ne vivent pas dans le même monde.
14:45Ah oui, mais...
14:46Parce que vous savez qu'il y en a de la violence.
14:47Enfin, chez nous aussi, ici, il y en a à Grenoble.
14:49Mais alors à Paris, c'est terrible.
14:50Gauthier Lebré.
14:51C'est incouvantable.
14:52Il y a juste quelque chose que je ne comprends pas,
14:54c'est pourquoi vous épargnez Olivier d'Artigol ?
14:57Ah ben tiens.
14:57Le bon camarade, le bon pote.
14:59Le bon pote est de retour.
15:01Non, non, mais Olivier d'Artigol, parce que là, c'est fini.
15:02Olivier d'Artigol, ça y est, il est sorti de tout ça.
15:04Olivier est plus à gauche que Valéry et Gérardine.
15:06Non, non, non, il est sorti de tout ça.
15:08On lui a coupé le civil, Claire, ça va ?
15:10Il essaye d'être un peu plus...
15:12Il est apolitique.
15:13Il est apolitique.
15:14Il se fait aussi tacler par Pascal.
15:16Mais comme moi, il est apolitique.
15:17C'est quand même l'ancien porte-parole du PC, quand même.
15:19Moi, je n'ai pas eu de responsabilité politique.
15:20Mais c'est l'ancien porte-parole du PC.
15:23Il faut arrêter avec le PC, maintenant.
15:25Il faut arrêter avec le PC.
15:26Il a arrêté avec beaucoup de choses.
15:28Vous savez que vous avez une carte du Parti communiste français dans votre portefeuille ?
15:32Oui, c'est la carte de la Sécurité sociale.
15:33Elle n'est pas rouge, mais elle est verte.
15:35Oh là là !
15:36Allez, merci, Claire.
15:37Merci d'avoir été avec nous.
15:38Ça sera le dernier mot de d'Artigol aujourd'hui.
15:40Ça a été pas mal.
15:41Merci, Claire, d'avoir été avec nous.
15:42Merci, Claire, en tout cas.
15:43Merci, Claire, oui.
15:44Merci, Claire.

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