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00:00Europe 1, 16h, 18h, on marche sur la tête, Cyril Hanouna.
00:05Il va se dire, je les verrai plus tellement jusqu'au fin 2025.
00:09C'est une autre année qui démarre.
00:11Merci d'être avec nous sur Europe 1, merci à tous les auditeurs.
00:1401, 81, 20, 39, 21, on aimerait que vous réagissiez.
00:16Bruno Retailleau qui s'envole dans les sondages et qui devient, après un sondage paru hier,
00:20la personnalité politique préférée des français.
00:2339% d'opinion favorable.
00:26C'est incroyable.
00:27Vous le soutenez 20%.
00:29Vous l'appréciez 19%.
00:30C'est beaucoup.
00:32C'est un bon incroyable.
00:35Fabien Lecoeuf, merci d'avoir été avec nous.
00:37Vous pouvez rester bien entendu pour réagir à l'émission.
00:40C'est toujours un plaisir de vous côtoyer.
00:43Ça va ?
00:43Très bien.
00:45Vous êtes là demain ?
00:46Je reviens demain, absolument.
00:47Ça tombe bien, pas moi.
00:49Si Sabrina Agresti Roubache est avec nous...
00:51Il est délicieux.
00:53Il est vraiment délicieux.
00:55Là, tout de suite, ce n'est pas l'adjectif qui nous venait à l'idée.
00:57On prend.
00:58Un bonbon.
00:59Un bonbon.
01:01Sabrina, est-ce que vous pensez que Bruno Retailleau,
01:04dans la dynamique dans laquelle il est...
01:06Alors, on est loin de 2027.
01:08Mais est-ce qu'aujourd'hui, il...
01:11Voilà.
01:12Est-ce qu'on va devoir compter avec lui ?
01:14Comter avec lui, je le pense.
01:16Comter avec lui, je le pense.
01:18Après les élections présidentielles, notamment les dernières,
01:21les avant-dernières, si on part de 2017,
01:23et si on parle même de...
01:25En 2012, quand Nicolas Sarkozy perd,
01:27les élections présidentielles,
01:29je pense que si la vie politique, peut-être,
01:30nous a appris quelque chose,
01:31c'est les surprises.
01:33Il n'y a pas eu énormément de surprises.
01:36Ah, 2017, si ?
01:37Non, il y a eu des...
01:38En 2017, en fait, oui,
01:39mais parce qu'il y a eu l'affaire Fillon.
01:41Sans l'affaire Fillon,
01:42Fillon est certainement président.
01:43Oui, mais personne n'avait prédit
01:44que le président de la République,
01:458 mois avant ou 6 mois avant,
01:47allait...
01:48Moi, je pensais qu'il voulait être maire de Marseille
01:49quand je le rencontre, voilà.
01:50Alors, moi, je croyais qu'il voulait être joueur
01:52de l'Olympique de Marseille.
01:53C'est...
01:53Voilà.
01:54Et donc, il est devenu président de la République.
01:55Et 2022, il n'y a pas eu de surprise.
01:57Non, non, comptez avec Bruno Retailleau,
01:59ça me semble assez...
02:01Enfin, je veux dire,
02:01celui qui viendra à votre micro
02:02ou n'importe quel micro
02:03expliquer que Bruno Retailleau ne comptera pas,
02:05ce n'est pas vrai.
02:06Mais j'ai une question à vous poser.
02:07Il est crédité aujourd'hui
02:08de sa présence à Beauvau.
02:10Beaucoup de personnes se disant
02:12il vaut mieux que ce soit lui
02:13qu'une autre personne
02:14quand bien même,
02:15il ne peut pas faire tout ce qu'il veut.
02:17Donc, cette séquence
02:18depuis septembre dernier,
02:19lui, est très positive.
02:20Mais il ne peut pas rester à Beauvau
02:21très certainement
02:22dans les deux ans qui viennent.
02:23Est-ce que ce n'est pas trop haut, trop tôt ?
02:26Alors, c'est pour ça que je dis
02:28qu'il y a une dynamique,
02:29on le voit dans les chiffres.
02:32Comptez avec lui,
02:33parce que c'est le président DLR,
02:35parce que moi, je parlais surtout de ça.
02:36Je parlais pas uniquement
02:37de sa présence au gouvernement.
02:39Donc, ça veut dire
02:39qu'en tant que président des Républicains,
02:42il va compter.
02:43C'est normal,
02:44c'est le patron des DLR.
02:46C'est peut-être un peu trop tôt,
02:48mais par contre, pareil,
02:48il y a un enseignement
02:49sur la participation de LR au gouvernement,
02:53c'est que le PS devrait peut-être
02:55aussi se poser la question.
02:56Parce que regardez le Congrès,
02:58ça n'a à peu près intéressé personne.
03:00Alors que vous avez des personnalités
03:02fortes de l'hémicycle,
03:04je ne parle pas juste...
03:05Non, mais quand j'y fasse
03:06des socialistes...
03:07Oui, vous avez Olivier Confort,
03:08mais bon,
03:08c'est simplement son famille.
03:10Non, mais Boris Vallot...
03:11Boris Vallot,
03:12et puis vous avez Arthur Delaporte,
03:14vous avez Philippe Brun,
03:14non, il n'y a pas non plus personne.
03:17Non, mais ce que je veux dire,
03:18c'est que leur arrivée au gouvernement
03:20a une...
03:22Il y a une explication, évidemment,
03:24dans le fait que Bruno Retailleau
03:26soit maintenant là dans les sondages.
03:28Donc voilà,
03:29je pense que l'enseignement,
03:30c'est quand tu es aux responsabilités,
03:32que tu sois d'accord ou pas
03:33avec tous les membres du gouvernement
03:35ou avec toutes les lignes
03:36que ce gouvernement pourrait rassembler,
03:41ça compte.
03:42En tout cas,
03:42ça compte pour les Français,
03:43visiblement.
03:44Merci, Sabrina.
03:46Léo est avec nous sur Europe 1.
03:47Léo de Toulouse.
03:48Bonjour, Léo.
03:49Bonjour, Cyril.
03:50Bonjour à tous.
03:51Merci d'être avec nous, Léo.
03:52Comment ça va ?
03:54Très en forme,
03:55et vous, comment allez-vous ?
03:56Ça va, magnifique.
03:57Voilà, là,
03:58on est en roue libre,
03:59comme on dit là.
04:01Je vois ça, je vois ça.
04:02Non, on est bien,
04:02on est bien,
04:03on dit ce qu'on pense,
04:03on dira toujours ce qu'on pense.
04:05Voilà.
04:06Léo, vous faites quoi dans la vie ?
04:08Moi, j'étais étudiant
04:09en sciences de l'éducation,
04:11j'ai quitté un petit peu
04:12cette branche-là,
04:13je vais monter ma société.
04:15De quoi ?
04:16De production audiovisuelle.
04:19Vous avez besoin
04:20d'un nouvel habillage ?
04:22Très bien,
04:23je vais voir,
04:24parce que là,
04:24je suis en train de voir,
04:25au niveau de l'argent,
04:26je suis un petit peu en écraque.
04:27Donc là, je vais voir,
04:28mais avec plaisir,
04:29elle est où ?
04:29Il faut lui rappeler
04:30que Netflix investit 250 millions,
04:32enfin, chaque année,
04:34que les plateformes
04:35ont besoin de contenu
04:36et de jeunes producteurs.
04:37Et je lui conseillerais,
04:38si je peux me permettre,
04:40de vraiment se syndiquer
04:41au syndicat des producteurs indépendants,
04:44parce que c'est bien
04:44quand on est
04:45un petit producteur indépendant,
04:46parce que Sabrina connaît bien.
04:48Merci Sabrina,
04:49c'est très important.
04:50Bien sûr.
04:51Alors, Léo,
04:51vous voulez réagir sur Bruno Retailleau,
04:53vous allez le faire dans un instant
04:54sur Europe 1,
04:55vous continuez à nous appeler,
04:56on ne va prendre que des auditeurs
04:5601, 80, 20, 30, 9, 21,
04:58on ne va prendre que des auditeurs,
05:00d'ailleurs,
05:00les intervenants
05:01peuvent rentrer tranquillement
05:02chez eux.
05:04Allez,
05:04à tout de suite.
05:07Europe 1,
05:0716h, 18h,
05:09on marche sur la tête,
05:10Cyril Hanouna.
05:11On marche sur la tête,
05:12sur Europe 1,
05:13on est heureux
05:14d'être avec vous,
05:15en tout cas,
05:15et merci à tous
05:17d'être aussi nombreux
05:17à nous écouter
05:18et on aura une petite surprise,
05:20dans un instant,
05:21parce que je ne suis pas là demain.
05:22Vous verrez.
05:23Et puis,
05:23alors là,
05:23on est en train de voir,
05:24pour lundi,
05:24parce que comme c'est
05:25férié,
05:27c'est Pentecôte,
05:28tu sais quoi ?
05:28Alors là,
05:29moi,
05:29je peux vous dire,
05:29le calendrier,
05:30les gars,
05:31moi,
05:32je peux vous dire,
05:33c'est carré,
05:33carré,
05:33carré,
05:33carré,
05:34je ne rigole pas.
05:35Il y a des trucs
05:35avec lesquels je rigole,
05:36je peux vous dire,
05:38je peux te dire,
05:38la Saint-Philippère,
05:39je ne suis pas là.
05:41Oui,
05:42il y a des trucs...
05:43C'est important.
05:44Alors,
05:44je le dis,
05:44alors,
05:44mais moi,
05:45je suis là,
05:45non,
05:45mais normalement,
05:46on va voir,
05:46on est en train de voir,
05:47je suis en train de voir.
05:48Il y a le patron qui me dit
05:49que je suis là lundi,
05:50apparemment,
05:50j'étais pas là les jours fériés,
05:52donc apparemment,
05:53c'est pas un jour férié.
05:53Non,
05:54c'est plus un jour férié.
05:55Non,
05:55c'est plus une journée de solidarité.
05:57Normalement,
05:57ils me payent triple
05:58les jours fériés,
05:59donc je leur dis,
05:59c'est mieux que je ne vienne pas
06:00garder votre argent,
06:09je ne suis pas là,
06:09non.
06:09D'accord,
06:10vous faites quoi de lundi ?
06:10Je tourne pour ces stars
06:11un documentaire.
06:12Ah oui ?
06:12D'accord.
06:13Sur quoi ?
06:13Alors,
06:15c'est long,
06:15j'ai commencé déjà,
06:16c'est Johnny et les femmes.
06:17Johnny et les femmes ?
06:18Oui,
06:18qui a rapport avec vous,
06:19alors ?
06:19Qui a rapport avec vous ?
06:21J'en ai connu beaucoup
06:21de ces femmes.
06:22D'accord,
06:22si je croyais que vous n'êtes pas...
06:23D'accord,
06:24très bien.
06:24Merci.
06:26Très bien,
06:26écoutez,
06:27j'en retourne.
06:27On verra avec la semaine prochaine.
06:28Fin de semaine prochaine.
06:29On va très bien,
06:30écoutez,
06:30mais on vous rappellera en tout cas.
06:31Allez,
06:32Léo est avec nous de Toulouse,
06:33il veut réagir sur Bruno Rotaillot,
06:35qui est dans la première,
06:37dans le baromètre des personnalités politiques
06:38et de loin.
06:39Il passe largement en tête
06:40et il a 39%.
06:42Léo,
06:42vous vouliez dire quoi ?
06:43Léo qui a 27 ans,
06:44donc c'est important de savoir
06:44ce qu'il va dire.
06:4527 ans.
06:46Oui, Léo ?
06:47Voilà,
06:47c'est ça.
06:47Moi,
06:48je voulais dire que,
06:49effectivement,
06:49Bruno Rotaillot,
06:50selon moi,
06:51est premier de ce baromètre.
06:53Ce n'est pas pour rien,
06:54je pense,
06:54qu'il a fait une campagne
06:55pour la présidence LR
06:56où il a appliqué
06:58ce qu'il a appelé
06:59le parler vrai
07:00et ça a parlé
07:01à beaucoup de Français,
07:03c'est-à-dire
07:03dire les choses
07:04sans langue de bois,
07:06sans tabou,
07:08sans pour autant
07:08se rapprocher des extrêmes
07:10et je pense que c'est
07:11ce qui est aujourd'hui
07:12important pour les Français
07:13de parler vrai.
07:15Alors,
07:16vous êtes militant LR
07:17ou pas du tout ?
07:18Non,
07:19pas du tout,
07:19je ne suis pas militant LR,
07:20je suis en quartier ailleurs,
07:22mais je me rapproche
07:25des idées
07:26de M. Rotaillot
07:27parce que pour moi,
07:28c'est quelqu'un
07:29qui,
07:30sans rentrer
07:30dans les extrêmes,
07:32parle le vrai,
07:33parle au Français
07:34et les chiffres le montrent,
07:37parle à beaucoup de Français.
07:38Oui,
07:38et de plus en plus d'ailleurs.
07:41Merci Léo d'avoir été avec nous
07:42et puis vous nous tenez au courant
07:43pour la boîte de prod.
07:45Oui,
07:45c'est bon courage.
07:46Pas de problème.
07:46Bon courage,
07:47merci.
07:47Si vous avez besoin
07:48de quoi que ce soit.
07:49Exactement,
07:50merci,
07:50si ça ne nous coûte pas cher
07:52on sera là bien entendu.
07:53Merci,
07:53il y a Claire
07:54qui est avec nous
07:54de Grenoble.
07:55Oui.
07:56Bonjour Claire,
07:57comment allez-vous ?
07:57Comment ça va Claire ?
07:58Bonjour,
07:59bonjour à tous.
08:00Merci Claire.
08:01Claire,
08:02comment ça va à Grenoble ?
08:03C'est catastrophique.
08:07Je ne ferai pas de commentaire.
08:08Ah bah oui,
08:09non mais,
08:10Éric Piolle,
08:11il est toujours
08:12maire de Grenoble.
08:12Oui.
08:14Bonjour à mon petit
08:15Gautier Lebray.
08:16Bonjour Madame.
08:17Il est très gentil,
08:19il est tout mignon.
08:20Et que je ne manque
08:21aucun prétail.
08:21Il attend un enfant là.
08:23Oui.
08:24Il attend un enfant.
08:25Bien sûr qu'il attend un enfant.
08:25Ils ont parlé à la pub
08:26avec Fabien
08:27parce que Fabien
08:27va certainement lui prêter
08:28des affaires.
08:30Il va déjà filer un lit.
08:32Ça y est,
08:33ça échange des affaires,
08:34c'est gentil,
08:35c'est tranquille.
08:36Il va filer des soquettes.
08:37C'est vertueux.
08:39Claire,
08:39vous vouliez parler
08:40de Bruno Retailleau ?
08:41Oui,
08:41alors moi je le connaissais,
08:44enfin je savais,
08:45il était sénateur,
08:46il est sénateur.
08:47Donc depuis longtemps,
08:48je me disais tout le temps
08:48mais comment cet homme
08:49n'est pas davantage,
08:52vous voyez,
08:52au-devant de...
08:54Bon,
08:54et là,
08:54enfin c'est arrivé.
08:56Donc moi,
08:57vraiment,
08:57c'est la saine personnalité politique
09:00en qui je crois,
09:02en qui j'ai confiance,
09:04qui est sincère,
09:05parce qu'alors aujourd'hui
09:06il est sincère,
09:07il n'y en a plus.
09:08Il y a énormément
09:08de personnes lâches,
09:10de caméléons,
09:11donc c'est extrêmement difficile.
09:13Moi,
09:13alors vraiment,
09:14je suis entièrement d'accord
09:15avec vous,
09:16Cyril,
09:17c'est vrai qu'il est formidable
09:18cet homme.
09:19Il est...
09:21C'est surtout
09:22ce qui ressort
09:23de sa personnalité,
09:25c'est sa sincérité.
09:27Il n'y a pas de blabla,
09:28il n'y a pas de...
09:30Attendez ça,
09:31Béné.
09:31C'est rare,
09:32c'est quand même très rare.
09:33Il n'a jamais changé d'idée
09:35depuis longtemps,
09:37il n'a jamais changé d'idée.
09:39En tout cas,
09:40c'est vrai que vous l'avez suivi
09:41depuis longtemps
09:41et c'est vrai que ça fait longtemps
09:43qu'il est dans le paysage
09:44politique.
09:45On oublie de le dire.
09:46Mais c'est vrai.
09:47Est-ce que, Cyril,
09:50je peux faire une petite parenthèse ?
09:51Avec grand plaisir.
09:52C'est pas méchant du tout.
09:55C'est pas méchant,
09:56au contraire,
09:56c'est bon.
09:57Sur vos deux petites gauchistes...
09:59Oui, Gérardine Maillet
10:01et Valérie Benaïm.
10:01Ah, les gauchistes.
10:03N'hésitez pas.
10:03Alors, j'aimerais qu'on laisse parler
10:04Claire, s'il vous plaît.
10:05Merci Claire.
10:06Allez-y, faites-vous plaisir.
10:07Ça va clore l'émission.
10:08Et si vous pouvez les secouer,
10:10n'hésitez pas,
10:10ça ne me dérange pas.
10:11Vos deux petites gauchos,
10:13vous savez ce que je ne comprends pas ?
10:15Ce sont quand même
10:15des filles intelligentes.
10:17Comment ne voit-elle pas ?
10:19Il y en a une qui est
10:19extrêmement macroniste,
10:20peut-être l'autre aussi,
10:21mais je ne sais pas.
10:22Mais comment ne voit-elle pas
10:24ce qu'il se passe en France aujourd'hui ?
10:27La violence qu'il y a
10:29chaque jour, chaque jour...
10:31Claire, ça tient en un mot.
10:32La déconnexion de ces gens.
10:34Ah, mais ouais.
10:36La déconnexion de ces gens.
10:37Non, non, mais c'est vrai.
10:38Ah, non, non, mais ça c'est...
10:40Vraiment, je n'arrive pas
10:41à comprendre ça.
10:43Mais je comprends.
10:44Comment ne le voit-elle pas ?
10:47C'est ça qui est quand même
10:48énorme, vous voyez ?
10:50Alors, Valérie Bénaïm,
10:51elle peut peut-être vous répondre,
10:52Valérie Bénaïm ?
10:53Oui, oui, bien sûr.
10:53Mais bon, après,
10:55je vais vous dire,
10:56Claire,
10:57Valérie Bénaïm,
10:58elle est moins fan
11:00d'Emmanuel Macron
11:01que Gérard Dinmaier.
11:02Parce que Gérard Dinmaier,
11:02elle a des posters
11:04de lui partout.
11:04Mais elle a voulu la statue
11:05au Mise-Créma, etc.
11:08Oui, mais elle est Philippe.
11:09Elle est Philippe.
11:10Elle est Philippe,
11:11oui, c'est pire.
11:12Alors que Philippe,
11:14oui, mais justement,
11:14c'est ça que je me pose
11:16aussi la question.
11:17Philippe,
11:17un ventre mou comme ça,
11:19un chupéiste
11:20qui n'a absolument rien fait.
11:23Mais c'est terrible.
11:24Je vais vous dire quelque chose,
11:25Claire.
11:26C'est de la guimauve,
11:27comme vous dites.
11:28Claire, c'est à cause de gens.
11:29Donc, on va se retrouver
11:30avec les mêmes personnes.
11:31Claire, je vais aller plus loin que vous.
11:32Je vais vous poser une question.
11:33Est-ce que vous trouvez
11:34que c'est à cause de personnes
11:35comme Valérie Bénaïm
11:35et Gérard Dinmaier
11:36que la France est dans l'état
11:37dans lequel elle est aujourd'hui ?
11:38Moi, pour moi, oui.
11:39Voilà, pour vous.
11:39C'est pas une même émission.
11:41Il y a quand même une part
11:42de...
11:42Voilà, il y a un part
11:43de la France Habitat.
11:44Allez-y, dites-le.
11:44Ah bah bien évidemment.
11:46C'est la gauche
11:46qui nous a proposé.
11:48Mais il me semble pas
11:50que sa famille politique
11:50soit la gauche.
11:52Non, mais c'est pas vraiment la gauche.
11:53Elle parle de la guimauve.
11:54Oui, c'est vrai.
11:55Ce qu'on appelle la guimauve.
11:56C'est-à-dire,
11:56c'est des gens qui ne servent à rien.
11:57Vous avez une pompon quand même, vous.
11:59Voilà, la pompon.
12:00Donc, voilà.
12:02Merci.
12:02Non mais, Claire,
12:03moi ça me fait plaisir
12:04de discuter avec vous.
12:05Non, mais elle est très sympathique.
12:06Elle est très sympathique, Claire.
12:07Mais c'est normal.
12:08Alors, Vénaï,
12:08qu'est-ce que vous avez à répondre à Claire ?
12:09Non, mais qu'il y ait un constat...
12:11Moi, je ne sais pas
12:12dans quelle prise de parole
12:14vous avez entendu dire
12:14que je disais
12:16qu'il n'y avait pas un constat
12:17d'une violence
12:18et d'une société
12:18qui était fracturée, etc.
12:20Après, sur les solutions
12:22à apporter,
12:23je ne suis...
12:24C'est vrai que j'ai plus
12:25de difficultés
12:25avec certaines solutions
12:27qui me semblent trop radicales
12:29et qui, à mon avis,
12:31arrivent après
12:33et qui ne sont pas
12:34en train d'essayer
12:34de résoudre le problème
12:35à la racine.
12:36C'est-à-dire que si on met
12:36des pansements sur des jambes de bois,
12:37très bien,
12:38mais on ne mettra que
12:39des pansements sur des jambes de bois.
12:40Je pense qu'il faut faire les deux.
12:42Et que, oui, effectivement...
12:42Alors, attendez, attendez, Claire,
12:44voilà, voilà, voilà,
12:44voilà ce qu'elle vient de dire.
12:45Merci, c'est bon,
12:46on a compris.
12:47Non mais, Claire,
12:48elle vient de dire les deux.
12:49Les deux, c'est tout ce qu'on a vécu
12:50depuis...
12:51C'est ce qu'on a vécu
12:52depuis huit ans, les deux.
12:52Il me semble quand même
12:53qu'il faut résoudre les problèmes
12:55à la racine
12:55si on ne veut pas
12:56qu'ils se reproduisent.
12:56Mais Valérie Benahim,
12:57vous n'avez jamais
12:58résolu aucun problème.
12:59Je ne suis pas aux affaires.
13:00Oui, mais vos amis
13:01n'ont jamais résolu aucun problème.
13:03Écoutez-moi bien,
13:03ça fait huit ans
13:04qu'on est dans le 1 en même temps
13:05et il ne se passe rien.
13:05Donc, Claire,
13:06quand j'entends Valérie Benahim
13:07dire qu'il faut faire les deux,
13:08il ne faut pas faire les deux.
13:09Il faut faire...
13:09Voilà, je vous le dis.
13:10C'est catastrophique.
13:11Je veux dire,
13:12si on en est dans ce...
13:15Comment ce président,
13:19je ne comprends pas,
13:20mais lui aussi,
13:21ne voit-il pas ?
13:22Il le voit,
13:23il le voit très bien.
13:23Je pense qu'il le voit
13:24mais qu'il ne peut rien faire.
13:25Il n'intervient jamais.
13:27Il ne peut rien faire.
13:28Jamais il n'intervient
13:29sur la violence.
13:31Je vais vous dire,
13:31quand vous n'avez pas
13:33d'autorité...
13:33C'est inamnissif,
13:34c'est intolérable.
13:34Non, mais quand vous n'avez
13:35pas d'autorité,
13:36Claire,
13:37quand vous n'avez pas d'autorité,
13:38à un moment,
13:39quand vous avez trop laissé
13:40les choses glisser,
13:42vous avez laissé trop de mou,
13:43à un moment,
13:43c'est impossible de revenir en arrière.
13:45C'est comme avec les enfants.
13:46Non, non, mais les mecs,
13:48arrêtez,
13:48ça s'est dégradé
13:49de façon incroyable.
13:50Arrêtez de dire des bêtises,
13:51c'est catastrophique.
13:52Le trou,
13:53au niveau économique,
13:54ça n'a jamais été
13:55aussi catastrophique.
13:56Au niveau sécuritaire,
13:57c'était aussi catastrophique.
13:58Non, non, mais partout,
13:59surtout dans tous les domaines,
14:00ça n'a jamais été
14:00aussi catastrophique.
14:01Donc, à un moment,
14:02quand tu laisses trop de mou,
14:04à un moment,
14:04c'est fini,
14:05tu ne peux plus revenir en arrière.
14:06Et Claire,
14:07il y a un manque,
14:08il y a un laxisme incroyable
14:10au niveau de...
14:13Je l'adore,
14:13Johan Uzaï et tout.
14:15Ah ben ça,
14:16c'est formidable.
14:17Je ne les loupe jamais.
14:18Le matin, le soir...
14:20Ah ouais, ouais, non, mais...
14:21Claire,
14:21est-ce que vous avez le sentiment
14:23que la France n'est pas tenue
14:24et que Valérie Bédaïm
14:25et Géraldine Maillet
14:26sont responsables également ?
14:27En quelque sorte.
14:32Cyril, Cyril,
14:32je ne veux pas les accabler.
14:34Je ne veux pas les accabler.
14:35Accablez-moi, Claire,
14:36de toute façon,
14:37ce n'est pas grave.
14:37Non, mais d'après leurs propos,
14:38c'est incompréhensible.
14:40C'est ça, surtout.
14:42On a vraiment l'impression
14:43qu'elles ne vivent pas
14:44dans le même monde.
14:45Ah oui, mais...
14:46Parce que vous savez
14:46qu'il y en a de la violence.
14:47Enfin, chez nous aussi,
14:48il y en a à Grenoble.
14:49Mais alors à Paris,
14:50c'est terrible.
14:50Gauthier Lebré.
14:51C'est incouvantable.
14:52Il y a juste quelque chose
14:53que je ne comprends pas,
14:54c'est pourquoi vous épargnez
14:55Olivier d'Artigol ?
14:57Ah ben tiens.
14:57Le bon camarade,
14:58le bon pote.
14:59Le bon pote est de retour.
15:01Non, non, mais Olivier d'Artigol,
15:02parce que là, c'est fini.
15:02Olivier d'Artigol,
15:03ça y est, il est sorti de tout ça.
15:04Olivier est plus à gauche
15:05Valéry et Gérardine.
15:06Non, non, non,
15:06il est sorti de tout ça.
15:08On lui a coupé le civil,
15:09ça va ?
15:10Il est apolitique.
15:14Il se fait aussi tacler
15:15par Pascal.
15:16Mais comme moi,
15:16il est apolitique.
15:17C'est quand même
15:17l'ancien porte-parole du PC.
15:19Moi, je n'ai pas eu
15:20de responsabilité politique.
15:20Mais c'est l'ancien
15:21porte-parole du PC.
15:22Mais c'est l'ancien
15:23porte-parole du PC.
15:25Il faut arrêter
15:25avec le PC.
15:26Il a arrêté
15:27avec beaucoup de choses.
15:28Vous savez que vous avez
15:29une carte du Parti
15:29communiste français
15:30dans votre portefeuille ?
15:32Oui, c'est la carte
15:32de la Sécurité Sociale.
15:33Elle n'est pas rouge,
15:34mais elle est verte.
15:35Oh là là là.
15:36Allez, merci Claire.
15:37Merci d'avoir été avec nous.
15:38Ça sera le dernier mot
15:39de Dartigol aujourd'hui.
15:40Ça a une parole.
15:41Merci Claire d'avoir été avec nous.
15:42Merci Claire, en plaisir.
15:43Merci Claire, oui.
15:44Merci Claire.

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