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  • il y a 6 mois
La loi anti-fast fashion doit être votée au Sénat à partir de ce lundi, plus d'un an après son vote à l'Assemblée nationale. Le texte cible essentiellement les géants chinois comme Shein et Temu. Yann Rivoallan, président de la fédération du prêt-à-porter féminin, était en direct sur BFMTV.

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Transcription
00:00Un, on a raison de se focaliser. Pourquoi ? Parce que Chine, TEMU, ce sont avant tout des prouilles non conformes ou dangereuses.
00:06Donc, eux, ceux-là, évidemment, il faut les interdire.
00:09Mais il y a aussi la mode, qui est une industrie polluante et qui doit aussi se transformer.
00:14Pour se transformer, il y a plein d'actions possibles et imaginables.
00:17Dans les actions, c'est aussi promouvoir, par exemple, la seconde main et mettre en place d'autres actions qu'on demande à la fédération.
00:23Mais donc, vous dites, le Sénat fait bien de se focaliser que sur les entreprises chinoises.
00:26Alors, il faut, de toute façon, commencer par celle-ci.
00:30Mais je prends, par exemple, des sociétés aussi comme Primark.
00:33Primark a été repris par la DGSSRF il y a encore quelques semaines.
00:36C'est une société qu'on ne peut pas qualifier, en fait, clairement, de société durable.
00:40Et donc, on a aussi, avec ce type d'entreprise, certes européenne, certes qui paie ses impôts.
00:45Donc, en soi, c'est positif.
00:46Mais on doit aussi lui mettre des normes de façon à ce qu'elle aille aussi dans le bon sens.
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