Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • avant-hier

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00Bonsoir.
00:01Rebonsoir.
00:02Europe 1, le talent de la France Beauj.
00:05Et un autre talent ce soir sur Europe 1, il y en a plein à Dijon.
00:08Avec vous Claude Draghi, la start-up a deux ans aussi, c'est une petite start-up.
00:14Vous, vous êtes ingénieur de formation, vous avez travaillé dans des grands groupes comme Capgemini, Thalès.
00:20Vous aussi, je vais vous reposer la même question, vous auriez pu rester dans ces grands groupes.
00:24Vous connaissez, vous étiez bien.
00:27Maintenant, pourquoi l'entrepreneuriat ? Que s'est-il passé, Claude ?
00:31Eh bien, on m'a souvent dit, mes troupes m'ont souvent dit, pourquoi tu ne montes pas ta boîte ?
00:34Et j'aurais toujours dit, si c'est pour être le mille unième à faire la même chose que les autres, ça ne m'intéresse pas.
00:38En revanche, le jour où j'aurais une idée...
00:39Donc vous n'aviez pas eu la bonne idée ?
00:41Exactement.
00:41D'accord. Et elle est venue comment, l'idée, alors ?
00:44Par hasard, en fait, je m'étais spécialisé, parce que j'avais un petit peu de temps, donc j'ai déposé deux, trois brevets,
00:49et puis je m'étais spécialisé dans le comptage par la pesée, et un jour j'ai...
00:52C'est pointu, moi je ne fais pas ça au réveil, c'est dans le comptage par la pesée, c'est-à-dire ?
00:57Eh bien, aujourd'hui, on sait faire des inventaires, les boulons, les clous, vous n'allez pas les compter,
01:03vous les pesez, et le poids total divisé par poids unitaire égale le nombre.
01:06Par exemple, l'or, voilà.
01:07Donc ça, c'est un inventaire par comptage physique, au sens légal du terme.
01:10Et moi, je m'étais spécialisé sur un tas de dispositifs, une poubelle qui vous pèse les déchets,
01:18une réserve qui vous rapproche automatiquement, parce qu'on sait exactement combien de produits dessus,
01:23et enfin, un dispositif qui se met dans les rayons des supermarchés pour anticiper les ruptures en rayon,
01:30qui est quand même le premier pain point des consommateurs,
01:32qui coûte 5 milliards d'euros par an de manque à gagner aux distributeurs.
01:36Et j'ai publié la photo de mon POC, mon démonstrateur technologique de ce truc-là,
01:43sur un réseau WhatsApp de mon école.
01:47Et là-dessus, Hélène Michaud, qui a repris le clôt des poulettes en Bourgogne,
01:51m'a contacté pour me dire, voilà, moi j'ai repris l'exploitation de mes parents il y a 10 ans,
01:54les bouteilles de vin, c'est en enfer, on ne sait jamais combien il y en a, est-ce que tu peux m'aider ?
01:58Et j'ai dit, pourquoi pas appliquer mes technos au monde vinicole, en l'occurrence.
02:04Et aujourd'hui, on a développé non plus un, mais un propre.
02:07Mais il paraît que votre femme rentre dans l'histoire, non ?
02:09Il n'y a pas à un moment donné une réflexion de votre épouse ?
02:13En fait, vous demandiez pourquoi je m'étais spécialisé dans le comptage par la pesée,
02:18parce qu'au tout départ, ma femme a voulu changer de cuisine.
02:21Et alors, évidemment, passer de l'un à l'autre, il y a un petit cheminement.
02:25Il se trouve qu'en bon italien d'origine, c'est moi qui fais la cuisine, les courses, etc.
02:28Donc la cuisine, c'est mon domaine.
02:30Donc je me suis dit, je change de cuisine, d'accord, mais j'ai une poubelle qui soit propre.
02:33Alors, je ne veux pas la toucher, elle s'ouvre, elle se ferme toute seule.
02:36Et voilà, j'ai demandé à mon cuisiniste, il m'a dit que ça n'existait pas.
02:39Alors, je l'ai fait.
02:40Et du coup, une fois que j'ai ma poubelle qui s'ouvre et qui s'ouvre...
02:42Mais vous l'avez commercialisée ?
02:44Non, non, pas encore.
02:45Il faudrait, hein.
02:46On l'a veut.
02:46C'était en 21, ça.
02:48Et après, je me suis dit, il faudrait...
02:50C'est comme ça que vous avez commencé à déposer les fameux brevets dont vous nous parliez au début.
02:54Tout à fait.
02:54D'accord, donc tout a démarré par une demande de votre épouse et vous, en bon cuisinier aussi, vous dites, on va la changer.
03:01Et c'est comme ça que vous êtes spécialisée dans la pesée, allez-y, dans le comptage par pesée.
03:08C'est ainsi que vous avez voulu mettre en application votre expertise, votre savoir-faire au service du vin.
03:14Pourquoi du vin ?
03:15Parce que Hélène Michaud m'a contactée.
03:17Parce qu'elle vous a contactée grâce à votre groupe WhatsApp de l'école.
03:19Exactement.
03:19On a tout reconstruit.
03:21Et bien, maintenant, vous allez pitcher.
03:22C'est quoi, donc, votre entreprise qui s'appelle Botisum, B-O-T-I-S-U-M ?
03:28Elle est née en 2023, ici, à Dijon.
03:30Et bien, vous allez pitcher et on se retrouve.
03:32Vous êtes prêts ?
03:32Oui.
03:33Et bien, c'est à vous, Claude.
03:34Botisum, donc, c'est une entreprise qui est née effectivement en 2023.
03:38On a trois produits et solutions aujourd'hui.
03:40On a d'abord un intercalaire qui est en plastique recyclé et recyclable pour ranger les bouteilles,
03:45pour que les vignerons puissent ranger les bouteilles dans leur palox, dans leur palette,
03:48et surtout, continuer à les gerber.
03:50Ils peuvent protéger les bouteilles et les gerber.
03:52Ensuite, on a une application qui, d'ailleurs, en sas aussi, tout comme Bakio, est complémentaire,
03:58qui est le cœur de l'activité.
04:00Elle fait trois fonctionnalités majeures.
04:02La première, c'est l'inventaire en temps réel, mais par comptage physique, donc au sens légal du terme.
04:06Vous êtes dans les vignes, quelqu'un vous appelle, vous savez combien, du coup, vous avez de vin et où.
04:10La deuxième fonctionnalité, c'est le traçage des mouvements.
04:13Dès qu'on prend une bouteille ou qu'on l'ajoute, c'est horodaté dans l'application.
04:17Il faut assigner ce mouvement à une catégorie qui, en l'occurrence, on sait caler sur les douanes,
04:21puisque chaque mois, les vignerons doivent déclarer ça aux douanes.
04:24Et enfin, la dernière fonctionnalité des troisièmes, c'est, puisqu'on sait horodater un mouvement,
04:29on sait aussi mettre sous surveillance un stock.
04:31Par exemple, entre 22h et 6h du matin, c'est pas normal qu'il y ait des bouteilles qui bougent dans la cave.
04:36Et dans ce cas-là, ça sonne.
04:38Et enfin, le dernier, c'est une table.
04:40Comme on sait compter les bouteilles, à m'exercer, à faire des tests, on se baisse sans arrêt.
04:46C'est extrêmement fatigant.
04:47Donc, puisqu'on sait compter les bouteilles, on a asservi une table élévatrice
04:50qui reste toujours à hauteur d'homme et on économise du temps, de la fatigue et plus de mal.
04:55Merci, Claude Draghi, fondateur de Bautissom.
04:58Si je comprends bien, il y a trois produits.
05:00Oui.
05:00Trois produits.
05:01Là aussi, on est dans, parmi les fonctions, il y a cette baisse de la pénibilité, de la fatigue.
05:06Oui.
05:07Qui est très importante.
05:08Je me tourne vers la coach de ce soir, la Poste Pro, Marie-Stelle Abidé.
05:12Les atouts de la start-up, les atouts de Bautissom, selon vous ?
05:15Alors, ils sont nombreux aussi, également.
05:18Donc, on a des éléments d'ADN communs sur la partie, on va dire, logistique, la pénibilité, par exemple, au travail, le déplacement d'éléments relativement lourds.
05:28Ce que je trouve très intéressant dans votre activité, c'est cette alliance que vous avez fait entre la techno, le digital et, encore une fois, une application métier très concrète.
05:36C'est-à-dire, comment est-ce que j'arrive, de façon très simple, à répondre à un besoin d'usage qui est le comptage, la gestion de la fraude, appliqué à un métier,
05:43mais qui, finalement, demain, pourrait se diversifier aussi dans d'autres secteurs d'activité.
05:46Donc, c'est là où le potentiel de diversification est intéressant, également, je pense, pour vous.
05:52Et puis, vous l'avez développé avec quelqu'un qui était dans le métier.
05:55Alors, il y a souvent une histoire de rencontre, une histoire personnelle, qui fait qu'à un moment, on pivote vers une activité particulière.
06:00Et ça, je trouve que c'est s'approprier, finalement, ce besoin-là avec des gens qui l'ont expérimenté depuis des années dans le cadre de leur métier.
06:06C'est une vraie valeur ajoutée.
06:08Et puis, vous êtes dans le fameux secteur de l'IoT, l'Internet des objets, qui est en plein essor, également.
06:14Le deuxième point très intéressant, c'est que vous avez mis une app, en fait, derrière, une application que peut télécharger très simplement sur son téléphone.
06:22Et l'adoption de la technologie, elle doit être simple, elle doit être intuitive.
06:27C'est un élément essentiel pour que, finalement, chacun puisse l'utiliser dans les meilleures conditions.
06:31Et ça aussi, c'est un peu une clé pour développer l'usage et pour développer votre activité derrière.
06:35Et puis, également, pareil, l'écosystème en territoire, qui sont les partenaires avec lesquels vous travaillez, où vous produisez également vos éléments logistiques.
06:44Et puis, comment est-ce que, du coup, vous continuez, dans un ancrage local, à développer votre activité ?
06:49Donc, c'était les trois points forts qui m'avaient marqués chez vous.
06:52Des points forts, Claude Ragui, mais aussi des besoins.
06:55Alors, vous avez dit aux équipes, à Louise Morin, on a plein de besoins.
06:59Mais le besoin principal, aujourd'hui, c'est la vente, parce que vous vous apprêtez à commercialiser les outils, les objets.
07:05Mais il faut se faire connaître.
07:07Exactement.
07:07C'est ça, l'idée.
07:08Et Maristella, là aussi, a beaucoup travaillé.
07:11On va faire une petite pause.
07:12On a hâte d'écouter vos conseils.
07:14Coach, vous restez avec nous sur Europe 1.
07:17On va écouter une petite musique.
07:19Et après les conseils de Maristella, on va découvrir cette technique du toucher.
07:23C'était les moines qui avaient développé cette technique, que les moines ont délimité.
07:27C'est comme ça que les moines ont délimité les parcelles en Bourgogne.
07:29On va accueillir Cyril Total, le fondateur et le créateur du toucher du vin.
07:33Mais d'abord, les Beatles, good to get you into my life sur Europe 1.
07:37Europe 1, 21h, 22h, Elisabeth Assayag.
07:41Belle robe vermeille, c'est un Bordeaux.
07:44Un peu de pourriture noble en suspension.
07:48Ce vin a 23 ans.
07:50Le vin, c'est la terre.
07:53Celle-ci est légèrement graveleuse.
07:55C'est un médoc.
07:58Sevin a profité d'une belle exposition sud-ouest sur un coteau de bonne pente.
08:05C'est un Saint-Julien.
08:08Château Léoville-Lascaz, 1953.
08:11Et vous êtes bien sur Europe 1.
08:15Elle bouge cette franche.
08:16Nous, nous sommes à Dijon, ce soir, dans un bureau de poste.
08:19Bureau de poste Dijon-Grangier, que les Dijonais appellent la grande poste.
08:23Bienvenue si vous nous rejoignez.
08:24Nous sommes à Dijon avec la Poste Pro pour une émission dédiée au vin, dédiée à l'onologie, dédiée à cette fameuse Wine Tech.
08:31C'est un mouvement de start-up qui s'est, en quelque sorte, généré de lui-même.
08:35C'était en 2020.
08:37C'est une effusion d'innovation au service de la viticulture.
08:42Digitaliser du vin, ça peut sembler saugrenu.
08:44Et pourtant, c'est bien ce qu'on fait, ce que font de nombreuses start-up françaises.
08:48On en parle ce soir.
08:50Ici, à Dijon, le territoire de la métropole compte aujourd'hui quelques 50 hectares de vignes plantées en zone référencée en AOC, Bourgogne.
08:58On a appris plein de choses.
08:59Je suis toujours avec Marie-Sté Labidé, la coach de ce soir, directrice du marché des professionnels à la Poste Pro.
09:07Nous sommes avec nos entrepreneurs, avec Sylvain Gauthier, cofondateur de Bacchio,
09:12Loïc Collet, le directeur général, le cofondateur de Vitis Optima,
09:16Claude Draghi, le fondateur de Bottissomme.
09:18Claude qui a des besoins, qui a créé trois produits au service de l'onologie.
09:25Parmi ses besoins, c'est de se faire connaître.
09:27C'est le moment des conseils de Marie-Sté Labidé.
09:30Marie-Stéla.
09:31Oui, alors le faire connaître, il revient pendant l'émission.
09:34On l'a vu sur les différentes problématiques.
09:36C'est vrai que la visibilité, si vous avez un super produit, un super service,
09:40mais que finalement, les gens ont du mal à le trouver, ont du mal à se l'approprier,
09:43finalement, il y a un effort assez important à produire ensuite derrière.
09:46Donc, je suis allée voir votre site internet, parce que vous en avez un.
09:49Et en effet, vous êtes distribué au travers de revendeurs.
09:53Et donc, j'ai cliqué sur un des revendeurs comme si j'étais un client.
09:55Et là, j'arrive sur le site du revendeur et je ne vous trouve plus.
09:58Je ne vous vois plus.
09:59Et je me dis, mince, du coup, comment est-ce que je peux rester en relation ?
10:02Voilà, donc ça, c'est le premier petit point qui m'a interpellée.
10:05Donc, évidemment, après le référencement, le fait de pouvoir vous trouver,
10:09d'avoir le contenu qui est valorisé, c'est toujours finalement de l'attractivité
10:11que vous créez autour de votre produit et de votre service,
10:15votre application mobile, je l'ai regardée aussi, je l'ai téléchargée.
10:18Alors, je ne suis pas cliente, donc je n'ai pas pu la tester en profondeur.
10:22Peut-être bientôt.
10:23Comment ?
10:23Peut-être bientôt.
10:24C'est des signes professionnels ?
10:25Oui, c'est surtout pour les professionnels.
10:26Vous n'êtes pas cavistes aujourd'hui.
10:28Jusqu'à présent, on va rester là.
10:29Non, mais je connais quelques cavistes.
10:30Éventuellement.
10:31Pour les vignerons, on va parler cavistes.
10:33Pour les vignerons, pardonnez-moi, vous avez raison.
10:35Oui, effectivement.
10:35Pour les vignerons.
10:36Elle en connaît aussi, puisque vous êtes issue d'une famille de vignerons.
10:39Oui.
10:40Voilà.
10:40Donc, il y a peut-être quelques contacts encore pour faire passer Bautissomme.
10:44Alors, en Italie, si ça vous intéresse, pour le coup, parce qu'ils sont essentiellement là-bas.
10:48Pourquoi pas ?
10:48Mais pourquoi pas ?
10:49Ils attaquent le marché italien en juillet.
10:51Ah ben voilà.
10:51Oui, c'est fait pour ça, la France Brouche.
10:53Il faut comprendre le marché italien qui est très spécifique, qui est différent du marché français.
10:58Il y a plus de 310 000 exploitations en Italie versus 60 000 en France.
11:02C'est très familial, c'est un marché aussi qui est culturellement différent, mais je pense que vous l'avez très bien appréhendé.
11:09Donc, c'est une autre aventure, l'Italie.
11:11Donc, intéressante aussi.
11:13Mais comment se fait-il connaître en France, alors, Marie-Stéla ?
11:16Alors, se faire connaître en France, on en a parlé notamment sur la visibilité et la présence en ligne.
11:19Je pense que ça, c'est le premier levier que vous pouvez activer.
11:23Il y a deux autres sujets qui m'ont intéressée aussi dans le cadre de votre activité.
11:28Votre application, elle est disponible aujourd'hui sur iOS, qui est donc le logiciel d'exploitation d'Apple sur les iPhones.
11:34Elle n'est pas disponible sur Android ?
11:36Si, si.
11:37Alors, je ne l'ai pas trouvée.
11:38C'est normal, elle n'est pas en production encore.
11:39D'accord, voilà.
11:40Donc, je voulais vous demander justement si elle était dans les cartons, parce qu'en effet, il y a un équipement sur Android qui est relativement important.
11:46Donc, ça contribue aussi.
11:48Et Sylvain parlait tout à l'heure de logiciels de gestion pour la gestion des stocks, la compta, la traçabilité, tout ce qui est CRM.
11:55Avec Backio ?
11:56Exactement.
11:57Donc, les ERP, qui sont ces fameux logiciels de gestion.
12:00Vous parliez aussi, je crois, de compatibilité.
12:03C'est important pour que vous puissiez couvrir aussi 100% du marché, donc que votre solution, elle soit finalement agnostique avec n'importe quelle solution de gestion aujourd'hui.
12:12Et un dernier point qui est plutôt, qui lie un peu la visibilité.
12:15Vous avez à la fois des clients qui sont distributeurs, qui sont des coopératives, et vous avez des clients qui sont des vignerons.
12:22Et en fait, dans la façon dont on s'adresse à eux, le fait de personnaliser aussi votre approche sur votre produit et vos services permet de cibler finalement les besoins des uns et des autres.
12:32Et de pouvoir, voilà, en tout cas exposer vos produits de façon tactique aussi en fonction des clients que vous souhaitez adresser.
12:41Claude, Claude Raghi, votre réaction par rapport à tout ce que vient de dire Marie-Stélle ?
12:45J'ai fait le choix effectivement de passer en indirect, du moins sur la France, avec des distributeurs.
12:51C'est un choix parce qu'ils connaissent leurs clients.
12:54Et donc quand un distributeur appelle un vigneron, le vigneron décroche, il sait qui c'est et il vient.
12:59Si moi j'appelle, même pas en rêve.
13:00Et en revanche, il ne faut pas que je compte sur le distributeur pour faire la promotion de mes produits.
13:06Si ce n'est, les vignerons, ils vont à leur coopérative ou voir leur distributeur.
13:10Quand ils y vont, là on peut les accrocher et leur montrer des choses.
13:13Du coup, moi j'ai initié une campagne de communication, notamment dans un mensuel spécifique vigneron, parce que c'est ma cible,
13:24pour me faire connaître.
13:25Comme dit ma partenaire Alain Michaud, elle me dit, en 2000 ans, tout a évolué dans la vigne, sauf l'inventaire.
13:30On le fait toujours à la main.
13:31Du coup, c'est pour ça que j'ai besoin de me faire connaître, parce que les gens ne savent pas que ça existe, déjà.
13:36Donc il faut le raconter.
13:38Voilà, il y a une évangélisation à faire.
13:41Donc on fait des salons, on fait des campagnes marketing.
13:44Et sur les réseaux, vous êtes présents ?
13:45On est présents sur les réseaux.
13:47Assez ?
13:48Je pense que ça passe aussi par là, non ?
13:50C'est un enjeu, parce que vous êtes en effet présents sur les réseaux sociaux, mais vraiment dans l'animation, la production du contenu, le fait de publier régulièrement.
13:58On voit le sens du produit.
13:59Exactement.
14:00Et puis ça permet de faire revenir les gens, de s'approprier aussi votre activité de façon plus régulière, et du coup de s'y intéresser.
14:06Et ça crée aussi un mouvement de partage, de communauté, qui est hyper intéressant à exploiter.
14:11On prendra en tout cas de vos nouvelles.
14:13On attendra la suite, Claude Draghi, fondateur de Bottice.

Recommandations