Les Vraies Voix Citoyennes avec Théa Serfaty, fondatrice de Politique Médiatique ; Emile Said-Ploneis, ambassadeur en service civique pour l'association 1 Lettre 1 Sourire ; Sacha Devos, bénévole pour l'association 1 Lettre 1 Sourire ; Albane d’Hérouville, responsable du projet Ose la rencontre pour la Fondation OCH.
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NewsTranscription
00:00Citoyens, mon patriot, rejoins le parti sans pilote.
00:07Citoyens, citoyennes, on vous court.
00:10Les citoyens propres nous ont dit, propres nous ont fait du regard.
00:13Pour l'honneur, pour servir, pour la gloire, nous avançons.
00:17Je suis un citoyen ordinaire.
00:19Citoyen, soldat, frère, père.
00:22C'est mon devoir de citoyen.
00:24Je n'ai plus le pouvoir.
00:26Sud Radio, les vraies voies qui font bouger la France.
00:2919h20, les vraies voies citoyennes.
00:32Aurélie Gros, Stéphane Pellet.
00:34Et très heureux pour ces vraies voies citoyennes.
00:37Alors, samedi soir, il y aura deux finalistes,
00:39le Paris Saint-Germain et l'Inter de Milan.
00:41Lundi dernier, avec Aurélie Gros et Stéphane Pellet,
00:44on avait les trois premiers finalistes du trophée du G500 Citoyens.
00:49Ce sera le 12 juin à Lille et on en a trois autres aujourd'hui.
00:53Aurélie Gros, Stéphane Pellet, bonsoir.
00:55Bonsoir à vous, Philippe David.
00:57Vous êtes plus anxieux, je parie, pour le trophée du G500 Citoyens
01:00que pour PSG Inter Milan ?
01:01Ah, totalement.
01:02Et vous Stéphane ?
01:03Parce que c'est six associations formidables,
01:05dans des champs totalement complémentaires pour nos citoyens.
01:08Et on se dit toujours qu'ils mériteraient tous de gagner.
01:11C'est un peu l'école des fans, là, excusez-moi.
01:13Ah oui, mais bon, je suis fan des associations en France
01:15qui remplissent un service public.
01:17Et moi, j'ai un scoop pour vous, Philippe.
01:19Oui.
01:20Savez-vous quel est le pronostic des Marseillais ?
01:23Ah bah, ils achètent tous des maillots de l'Inter, là.
01:25Donc c'est bien, ça va être travailler les détaillants de sport.
01:27Mais j'espère qu'ils vont se tromper.
01:29C'est une très très belle ville, Milan.
01:31Oui, je connais très bien Milan.
01:32Enfin, à part la place du Dôme, c'est pas top.
01:34Mais la place du Dôme, là, c'est absolument magnifique.
01:36Il y a encore plus beau, c'est Lille.
01:38Ah, bien sûr.
01:39Parce que la ville de Lille accueille les 12, 13, 14 juin prochain,
01:43le troisième sommet citoyen.
01:45Vous vous rendez compte, après deux éditions à Marseille,
01:47la troisième a lieu à Lille,
01:49avec tous les Hauts de France qui sont mobilisés.
01:51Un très très bel accueil, d'ailleurs, par la ville de Lille.
01:54Exactement, et on peut encore s'inscrire pour participer à ce magnifique sommet
01:58sur www.ideal-6citoyens.fr
02:06La semaine prochaine, on vous donnera le programme complet
02:10pour que vous puissiez savoir quel jour vous venez,
02:14même si moi, je sais que vous serez là le jeudi.
02:16Le 12, absolument.
02:18Allez, ces trois associations en France,
02:20plus de 75% des jeunes de 18 à 25 ans,
02:22disent ne pas faire confiance aux médias traditionnels,
02:25politiques, médiatiques.
02:27Fondée par Théa Serfati, qui est à nos côtés,
02:29forme à l'esprit critique, au décryptage médiatique
02:32et à une citoyenneté éclairée.
02:33Bonsoir.
02:34Bonsoir.
02:35Environ 2 millions de personnes âgées vivent en situation d'isolement en France
02:39grâce à Une lettre, un sourire, une initiative
02:41qui permettent à chacun d'envoyer une lettre à une personne isolée,
02:44une phrase, un geste, une attention et parfois une transformation.
02:47Émile Saïd Ploneïs et Sacha De Vos, bénévoles,
02:51sont avec nous pour en parler.
02:53Bonsoir.
02:54Bonsoir.
02:55Et enfin, en France, plus de 12 millions de personnes vivent avec un handicap,
02:59mais moins de 5% des lieux de loisirs proposent
03:01de véritables temps de rencontres inclusives.
03:03Ose la rencontre, créez des espaces de lien
03:05entre jeunes validés, jeunes porteurs de handicap.
03:07Pour une société plus ouverte, plus humaine,
03:09Albane Derouville est avec nous.
03:11Bonsoir.
03:12Bonsoir.
03:13Bienvenue dans Les Vraies Voix Citoyennes.
03:18Et on commence avec vous, Théa Sarfati,
03:20mais c'est vous qui lancez le débat, Aurélie Gros.
03:23On a cesse de le répéter, en tout cas, nous,
03:26au Sommet Citoyens et ailleurs, dans nos rencontres citoyennes.
03:30On a une époque où les fake news circulent plus vite que les idées,
03:34où l'information est orientée vers des choses
03:37qui ne concernent pas forcément le quotidien des Français.
03:40Et Théa Sarfati s'est lancée dans cette création de ce média et de ces débats,
03:44avec notamment toutes les questions autour de l'industrie.
03:47Bonsoir, Théa.
03:48Bonsoir.
03:49On est ravis que vous soyez sélectionnée pour ce trophée.
03:51Alors déjà, pourquoi vous avez lancé Politique médiatique ?
03:55C'est surtout né d'un constat.
03:57En fait, aujourd'hui, actuellement, il n'y a aucun média jeune dédié à l'économie.
04:01Quand je dis un média jeune, c'est un média qui va vraiment mettre les citoyens,
04:04notamment les plus jeunes, ceux qui sont le moins visibles publiquement, médiatiquement,
04:08pour justement parler d'économie, de consommation,
04:10de ce qui les concerne et de ce qui va les concerner dans les années à venir.
04:13Là aussi, on parle vraiment de questions de grande consommation,
04:15que ce soit le prix des billets de train.
04:17En fait, pourquoi on paye un billet de train à ce prix-là ?
04:19On en parlait précédemment.
04:20Parfois du simple au triple.
04:21Exactement.
04:22Mais c'est pour ça qu'il faut en parler aujourd'hui.
04:24Et pour en parler, quoi de mieux que le débat et notamment le débat avec des dirigeants.
04:27Alors, comment se passent justement ces débats avec les jeunes et les dirigeants ?
04:31Et comment ils y accèdent ?
04:33Et comment ils y accèdent ?
04:34Exactement, via les réseaux sociaux.
04:35C'est accessible à tous, dans toutes les villes de France.
04:37Aujourd'hui, on a couvert Paris, Lyon, Rennes, Nice.
04:40C'est vraiment la Côte d'Azur.
04:41On a fait un vrai tour là-bas pour vraiment organiser des micro-débats.
04:45Concrètement, notre rêve aujourd'hui,
04:47et c'est pour ça qu'on participe à ce trophée aussi,
04:49c'est de pouvoir couvrir l'ensemble des villes françaises.
04:51Et pourquoi pas même l'Outre-mer ?
04:52On se prend à rêver à ce jeu-là.
04:54Mais concrètement...
04:55Très sûr qu'il y a d'organiser un séminaire à pas péter.
04:57Il y a pire.
04:58Je pense que ça peut plaire.
04:59On vient dans l'enjeu.
05:00Je pense que ça peut plaire.
05:01Avec les réseaux sociaux...
05:02Je propose qu'on fasse une délogue.
05:04Et même Bora Bora, encore mieux.
05:06Faut n'y t'en passer.
05:07C'est pour ça que concrètement,
05:08tous ont besoin aujourd'hui d'en savoir plus sur l'économie.
05:10Et pour s'inscrire à un débat, c'est tout simple.
05:12C'est via nos réseaux sociaux,
05:13arrobases politiques-médiatiques.
05:15On est sur Instagram, YouTube, Linkedin, TikTok.
05:17On essaye de viser le plus de jeunes possible,
05:19et surtout le plus de français possible.
05:21Vous vous considérez comme un média ?
05:23Exactement.
05:24On se considère comme un média aujourd'hui,
05:25parce qu'on est uniquement sur les réseaux sociaux.
05:27Est-ce que vous êtes considérée par les professionnels,
05:28les autres médias, comme un média ?
05:30Pour l'instant, oui.
05:31Faudrait peut-être leur demander.
05:32Mais pour l'instant, oui.
05:33En tout cas, on est certes un média digital.
05:35On n'est pas perçu comme un média traditionnel.
05:37Là, c'est clair.
05:38On n'est pas un média physique,
05:39même si on a des débats qui le sont.
05:40C'est des débats qui sont vraiment organisés physiquement
05:42dans les villes de France,
05:43avec trois à quatre dirigeants,
05:45justement des décideurs-dirigeants,
05:46qui sont des directeurs d'affaires publiques,
05:47des PDG, etc.,
05:48qui viennent à la rencontre des jeunes
05:50et des personnes sélectionnées,
05:51des citoyens comme vous et moi.
05:52Alors, quel sujet vous avez abordé jusqu'à maintenant ?
05:55Pour l'instant, on a fait l'industrie du sexe,
05:57la sextech notamment.
05:58Pour le dernier, on a fait le tabac.
06:00On était le premier, justement,
06:01à vraiment inviter des industriels du tabac
06:03pour pouvoir en parler librement,
06:05même si la majorité n'était absolument pas d'accord
06:07avec leurs idées.
06:08C'était ça, vraiment, l'antichambre de ce débat-là.
06:10Et le premier, on l'a fait sur les transports, notamment.
06:12Là, on a fait des micro-débats aussi sur la défense,
06:14le financement de la défense.
06:15On essaye vraiment ici...
06:16Ah oui, là, c'est quand même...
06:17Exactement.
06:18...éclectique.
06:19Entre le sexe et la défense,
06:20ce n'est pas la même chose.
06:21On est d'accord.
06:22C'est clair.
06:23Et pourtant, justement,
06:24on a besoin d'avoir ces informations-là
06:25et d'en savoir plus,
06:26peu importe le sujet.
06:27Mais vos experts, c'est plutôt des gens de...
06:29Vous faites la défense, par exemple.
06:31Vous prenez un général, un géostratège...
06:33On prend que des dirigeants d'entreprise
06:35ou, justement, des directeurs à faire public,
06:37notamment au sein des entreprises,
06:38parce qu'ils ont non seulement l'appui technique,
06:39mais aussi l'appui, vraiment, des connaissances de terrain.
06:41Donc, vraiment, ils essayent, justement,
06:43d'avoir ces deux piliers.
06:44Et forcément, c'est d'autant plus intéressant.
06:46D'accord.
06:47Alors, dans l'explication, il faut le dire,
06:48qui a fait qu'on vous a sélectionnés
06:50parmi, donc, les membres du jury
06:52qui ont été impressionnés par votre travail,
06:53c'est le fait qu'ils ont regardé vos débats.
06:55C'est vrai que ce sont des débats de haut vol,
06:57il faut le dire.
06:58Merci beaucoup.
06:59Qui vont loin.
07:00Qui présentent souvent de manière antagoniste.
07:02Et c'est tant mieux,
07:03plutôt que tout le monde serve la soupe.
07:04Et sans tabou.
07:05Ben oui, ça, c'est le moins qu'on puisse dire.
07:07Et presque sans tabac, d'ailleurs.
07:11Excusez-moi, c'est un peu fumeux,
07:12comme calembour, ça.
07:14Mais, justement,
07:15est-ce que c'est pas un peu trop de haut vol ?
07:17Parce que vous aurez remarqué
07:19que, désormais,
07:20qu'est-ce qui fait de plus en plus
07:21l'information des jeunes,
07:22puisque c'est votre cible ?
07:23C'est ce fameux réseau social
07:24dont je ne vais pas donner le nom,
07:26mais où, grosso modo,
07:27on reste 4 à 5 secondes sur une information,
07:29puis on passe à une autre,
07:30puis à une autre, etc.
07:32Comment vous pouvez attirer
07:34des jeunes plutôt adeptes
07:36de la simplicité ?
07:38C'est une très bonne question.
07:39On le fait via deux formats
07:40complètement différents.
07:41Le premier, c'est uniquement
07:42via les réseaux sociaux.
07:43On fait des vidéos,
07:44vraiment sur le terrain,
07:45type reportage,
07:46avec des micro-interviews.
07:47Donc, c'est un format entre
07:48combiné et brut.
07:49Donc, vraiment,
07:50on reprend les codes des médias
07:51traditionnels, entre guillemets,
07:52même si, là aussi,
07:53c'est des médias digitaux
07:54et qui plaisent vraiment aux jeunes.
07:55C'est des médias vraiment
07:56qui sont très vus,
07:57notamment sur TikTok.
07:58Donc, on continue là-dessus.
07:59Et même au niveau des débats,
08:00la majorité, je tiens à le dire,
08:01aujourd'hui,
08:02ils ont entre 16 et 25 ans,
08:03ceux qui viennent à nos débats.
08:04Donc, c'est quand même
08:05une majorité qui est assez jeune.
08:06Mais c'est des, on va dire,
08:08étudiants plutôt plus profils,
08:11je veux dire,
08:12plutôt sciences politiques,
08:14économie, etc.,
08:15où vous avez tout ?
08:16Des jeunes plombiers ?
08:17On cible tout.
08:18Là aussi, c'est une très bonne question.
08:20Nous, on s'attendait vraiment
08:21à ça.
08:22C'est la seule de l'année,
08:23alors vous avez de la chance.
08:24Non, mais justement,
08:25on cible un peu tout le monde.
08:26Et majoritairement,
08:27les jeunes, ça, c'est clair.
08:28On ne veut pas, justement,
08:29se cantonner à cette cible jeune-là.
08:30Pour nous,
08:31l'information économique
08:32et notamment via les réseaux sociaux,
08:33on a choisi les réseaux sociaux
08:34pour une raison,
08:35c'est vraiment pour être accessible
08:36à tout le monde.
08:37On s'est d'abord focalisés
08:38sur les jeunes
08:39pour vraiment essayer
08:40d'avoir ne serait-ce que
08:41des citoyens, justement,
08:42jeunes qui soient
08:43habitués de nos sujets,
08:44qui aient vraiment
08:45des questions pertinentes
08:46par rapport à leur tranche d'âge.
08:47Mais à chaque fois,
08:48à chaque débat,
08:49on a des jeunes
08:50entre 16 et 66 ans.
08:51Moi, je les appelle
08:52toujours les jeunes,
08:53c'est mes petits jeunes.
08:54Le jeunesse n'est pas un âge,
08:55c'est un état d'esprit.
08:56Exactement, c'est un état d'esprit
08:57et surtout,
08:58on a les mêmes questions
08:59peu importe la tranche d'âge.
09:00Et donc, un débat,
09:01ça dure combien de temps
09:02et comment ça se passe ?
09:03Ça dure 1h20.
09:041h20,
09:05ils posent des questions libres.
09:06Exactement.
09:07Ce qui va comme question.
09:08Exactement.
09:09Au transport,
09:10ils peuvent...
09:11ou les transports de demain,
09:12c'est peut-être des choses
09:13qui ont été abordées,
09:18c'est que les dirigeants
09:19qui sont là
09:20et qui viennent débattre
09:21n'ont pas les questions à l'avance.
09:22Et ça, c'est quelque chose
09:23qu'on ne retrouve absolument pas
09:24dans les débats classiques.
09:25Là, c'est vraiment l'interaction.
09:26Ils viennent pour débattre.
09:27Vraiment, c'est le cœur du débat.
09:28Ils viennent parce qu'ils savent
09:29justement qu'ils n'ont pas les questions
09:30et qu'ils vont être face
09:31à des questions
09:32qu'ils n'ont pas forcément.
09:33Justement.
09:34Justement, même pas.
09:35Si on s'intéresse un peu
09:36cette fois-ci au débouché
09:37et qu'on élargit un peu la focale,
09:38vous avez envie que les jeunes
09:39soient informés.
09:40Mais pour en faire quoi
09:42À part d'être éclairés,
09:43d'avoir compris,
09:44comment ensuite
09:45ils le transforment ?
09:46Qu'est-ce qu'ils en font
09:47finalement dans l'univers
09:48qu'on va appeler
09:49plus généralement politique
09:50ou sociétal ?
09:51Est-ce que vous avez eu
09:52ou revu
09:53des jeunes qui ont participé
09:54à des débats
09:55et qui ont pris des initiatives
09:56ou qui ont changé
09:57leur point de vue finalement
09:58ou leur regard ?
09:592 jeunes sur 3 reviennent
10:00à la fin de nos débats.
10:01C'est une très belle statistique.
10:02On en est assez fiers.
10:03Mais même à travers
10:04les réseaux sociaux
10:05et nos formats
10:06de manière générale,
10:07on est partis d'un constat.
10:08C'est qu'aujourd'hui,
10:09l'économie pour nous,
10:10en tout cas au sein de PM,
10:11c'est le contre-pouvoir
10:12de la politique,
10:13ceux qui s'intéressent
10:14un petit peu à la politique.
10:15Certains disent même
10:16que le pouvoir économique
10:17est plus puissant
10:18que le pouvoir politique.
10:19Exactement,
10:20et on commence à le comprendre
10:21au sein de cette génération
10:22qui arrive progressivement
10:23et c'est pour ça
10:24qu'ils veulent vraiment
10:25prendre en main
10:26leur citoyenneté,
10:27prendre en main
10:28leur information
10:29et essayer de trouver
10:30des médias un petit peu plus niches,
10:31un peu plus segmentés
10:32pour avoir les réponses
10:33à leurs questions.
10:34On disait,
10:35c'est un homme politique,
10:36mais il y a très longtemps
10:37que les Français étaient fâchés
10:38avec l'économie.
10:40Je suis entièrement d'accord,
10:41les Français sont en général
10:42assez fâchés avec l'économie.
10:43Ça pourrait être notre slogan,
10:44là, ce que vous dites.
10:45Clairement,
10:46ça pourrait être notre slogan
10:47parce que, justement,
10:48on part du principe
10:49que même le terme industriel,
10:50il y a une barrière à l'entrée
10:51par rapport à ce terme-là.
10:52On imagine tout de suite
10:53l'usine un peu vieillissante,
10:54ouvriers, etc.
10:55Et tout de suite,
10:56quand on met d'autres mots à côté,
10:57même le terme économie
10:58est très connoté,
10:59nous, on essaie vraiment
11:00de casser ces barrières-là,
11:01ne serait-ce que des barrières
11:02de terme en disant
11:03mais en fait,
11:04vous pouvez vous y intéresser,
11:06Et d'un autre côté,
11:07je dirais, je rajouterais,
11:08mais vous allez rebondir,
11:09je pense que les jeunes
11:10sont fâchés
11:11avec les médias traditionnels aussi.
11:12Exactement,
11:13et c'est pour ça
11:14qu'on a choisi
11:15les réseaux sociaux aussi.
11:16On vous le disait,
11:17c'est pour toucher, certes,
11:18le plus de monde possible
11:19mais surtout aussi
11:20parce qu'on voit
11:21que c'est un petit peu
11:22la fin des médias traditionnels
11:23et justement,
11:24ils essayent de se mettre
11:25vers le digital
11:26pour cette raison.
11:27Mais je voudrais vous poser
11:28une question,
11:29l'économie,
11:30c'est quand même assez binaire,
11:31pas tout à fait binaire,
11:32tertiaire ou quaternaire.
11:34Vous vous êtes plutôt,
11:35sur quelle tendance,
11:36vous invitez tout le monde à parler ?
11:37Nous, on invite tout le monde.
11:38Justement, c'est vraiment
11:39l'essence même du débat,
11:40que ce soit à travers
11:41des formats vraiment purement digitaux
11:42ou à travers nos débats.
11:43Si vous avez une opinion,
11:44que ce soit dans le public
11:45ou vraiment au sein du débat même,
11:46vous pouvez poser vos questions,
11:48vous pouvez débattre,
11:49dire, je ne suis pas forcément d'accord,
11:50même si je n'ai pas
11:51tous les éléments de réponse.
11:52Je viens poser ma question,
11:53je viens apprendre,
11:54je viens comprendre
11:55et à la fin,
11:56peut-être qu'on change d'avis.
11:57Et les débats sont retransmis
11:58en live direct ou pas ?
11:59Non,
12:00ils ne sont pas retransmis en live.
12:01Pas pour l'instant ?
12:02Pas pour l'instant.
12:03On adorerait.
12:04C'est les quelques dernières secondes
12:06pour la question fatigue.
12:07D'une part,
12:08en quelques secondes,
12:09comment on peut vous aider ?
12:10Parce que ça reste quand même
12:11l'essentiel.
12:12Je vais m'appliquer ma question.
12:13Ce que vous venez de dire
12:14sur notre antenne.
12:15Et puis d'autre part,
12:16allez, d'un mot,
12:17si vous deviez remporter ce trophée,
12:19ce serait pourquoi ?
12:20Pour quelle raison ?
12:21Déjà, vous nous aidez
12:22en nous recevant ici,
12:23forcément,
12:24et en parlant de nous,
12:25en parlant de nos réseaux sociaux,
12:26le fameux arrobas politique médiatique
12:28que vous avez publié récemment.
12:29Mais même de manière générale,
12:30je pense que pourquoi
12:31voter pour nous aujourd'hui ?
12:33Je pense qu'il y a énormément
12:34d'associations
12:35qui ont été sélectionnées,
12:36qui font un très bon travail
12:37sur le terrain.
12:38Nous aussi,
12:39on ne va pas se comparer
12:40vraiment sur, pour moi,
12:41l'action qu'on va faire
12:42vraiment sur le terrain
12:43ou même l'impact,
12:44parce qu'on a tout un vrai impact
12:45autour de cette table
12:46et même ceux qui étaient là
12:47la semaine dernière.
12:48Mais concrètement,
12:49Arrobas politique médiatique,
12:50aujourd'hui,
12:51c'est un million et demi
12:52de personnes touchées.
12:53Et on a envie de continuer
12:54ce combat-là.
12:55Merci beaucoup,
12:56Arrobas politique médiatique.
12:57De suite,
12:58on retrouve une association
12:59totalement différente.
13:00Une lettre, un sourire.
13:01Sud Radio.
13:02Sud Radio.
13:03Parlons vrai.
13:04Parlons vrai.
13:05Sud Radio.
13:06Parlons vrai.
13:07Sud Radio,
13:08les vraies voix qui font bouger la France.
13:0919h20,
13:10les vraies voix citoyennes.
13:11Aurélie Gros,
13:12Stéphane Pelé.
13:13Et on retrouve,
13:14bien évidemment,
13:15Aurélie Gros,
13:16Stéphane Pelé
13:17pour cette deuxième partie
13:18des vraies voix citoyennes
13:19où on reçoit
13:20trois nouveaux finalistes.
13:21Ce sera le Trophée citoyen
13:22le 12 juin prochain
13:23à l'Île Stéphane Pelé.
13:24Donc,
13:25bonsoir à tous et à toutes.
13:26Donc là,
13:27c'est le moment
13:28de la couleur jaune
13:29puisque
13:30une lettre,
13:31un sourire,
13:32c'est une très très belle association
13:33mais qui a un truc
13:34marrant,
13:35c'est que tous ceux
13:36qui sont mobilisés
13:37ont tous
13:38un dress code particulier.
13:39Vous allez d'ailleurs
13:40nous en parler.
13:41Alors,
13:42je crois qu'on a
13:43d'un côté
13:44Émile,
13:45c'est ça ?
13:46Et de l'autre côté,
13:47Sacha,
13:48qui est avec nous
13:49en studio.
13:50L'association
13:51Une lettre,
13:52un sourire,
13:53c'est quelque chose
13:54qui nous avait marqué.
13:55C'était vraiment
13:56un coup de cœur
13:57à l'époque
13:58parce que
13:59de cette période
14:00du Covid,
14:01on avait tous retiré
14:02des moments
14:03très très difficiles
14:04et vous,
14:05vous aviez apporté
14:06un rayon de soleil
14:07en racontant
14:08cette initiative incroyable.
14:09D'ailleurs,
14:10vous allez de nouveau
14:11nous la raconter
14:12mais enfin,
14:13vous avez porté
14:14une idée
14:15au départ
14:16qui est partie
14:17d'un certain nombre
14:18de personnes,
14:19des familles,
14:20des cousins,
14:21c'est ça ?
14:22C'est ce qu'on peut
14:23montrer à des personnes âgées
14:24notamment dans les épaules.
14:25Puis depuis,
14:26ça a agrandi.
14:27Vous allez nous raconter tout ça.
14:28Vous vous souvenez
14:29comment a été lancée
14:30Une lettre,
14:31un sourire,
14:32Sacha ?
14:33Alors moi,
14:34ça fait seulement un mois
14:35que je suis là
14:36mais Emile est là
14:37depuis plus longtemps
14:38et à mon avis,
14:39il le racontera.
14:40Très bien.
14:41Bon,
14:42on passe tout de suite
14:43à Emile.
14:44Ça,
14:45ça s'appelle
14:46passer le ballon.
14:47Emile,
14:48c'est à vous.
14:49Merci beaucoup
14:50à vous
14:51d'être là.
14:52Merci à vous.
14:53Merci à vous.
14:54Merci à vous.
14:55Merci à vous.
14:56Merci à vous.
14:57Merci à vous.
14:58Merci à vous.
14:59Merci à vous.
15:00Merci à vous.
15:01Merci à vous.
15:02Merci à vous.
15:03Merci à vous.
15:04Merci à vous.
15:05Merci à vous.
15:06Merci à vous.
15:07Merci à vous.
15:08Merci à vous.
15:09Merci à vous.
15:10Merci à vous.
15:11Merci à vous.
15:12Merci à vous.
15:13Merci à vous.
15:14Merci à vous.
15:15Merci à vous.
15:16Merci à vous.
15:17Merci à vous.
15:18Merci à vous.
15:19Merci à vous.
15:20Merci à vous.
15:21Merci à vous.
15:22Merci à vous.
15:23Merci à vous.
15:24Merci à vous.
15:25Merci à vous.
15:26Merci à vous.
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15:28Merci à vous.
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15:30Merci à vous.
15:31Merci à vous.
15:32Merci à vous.
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15:35Merci à vous.
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15:38Merci à vous.
15:39Merci à vous.
15:40Merci à vous.
15:41Merci à vous.
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15:43Merci à vous.
15:44Merci à vous.
15:45Merci à vous.
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15:48Merci à vous.
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15:50Merci à vous.
15:51Merci à vous.
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16:41Merci à vous.
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16:44Merci à vous.
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18:11Merci à vous.
18:12Merci à vous.
18:13Merci à vous.
18:14Est-ce qu'il y a un durable secret entre l'expéditeur et le destinataire ?
18:18C'est déjà arrivé que des gens qui s'échangent des lettres, des jeunes qui écrivent,
18:22après aillent à la rencontre d'eux ou continuent en fin de compte à converser par courrier ?
18:27Alors oui, c'est assez fréquent.
18:29Là, on a eu un événement par exemple la semaine dernière, en partenariat avec la
18:33Fédération française de tennis, où on a fait rencontrer des ramasseurs de balles
18:36avec des seniors en Ehpad, qui sont venus dans un premier temps à Roland-Garros et
18:40ensuite on a eu des ramasseurs de balles qui se sont déplacés du coup en Ehpad pour
18:43faire leur rencontre.
18:44Et en fait, tous les ramasseurs de balles, au début de la compétition, ont tous écrit
18:47une lettre qui était destinée à des seniors.
18:50Et ce qu'on les a invités à faire, c'était de laisser une adresse en bas de la lettre
18:54à laquelle les seniors peuvent à leur tour écrire.
18:56Alors l'expression, ce sera que vous donnez véritablement au mouvement associatif ces
19:00lettres de noblesse.
19:01Oh, comme c'est bien dit après, pistolet !
19:04Et voilà, vous avez trouvé le slogan d'une lettre à un sourire.
19:07C'est bien, ce soir c'est la soirée des slogans.
19:09Ah bah c'est bien, on prendra les droits d'auteur !
19:13Je voudrais vous poser une question à tous les deux.
19:15Vous allez dans les Ehpad très bien, mais l'isolement des personnes âgées, on avait
19:19reçu une association qui s'appelle Stop à l'isolement, et même des personnes non
19:23âgées, des personnes qui vivent dans la solitude la plus totale, ou en situation de handicap,
19:27c'est pas malheureusement que dans les Ehpad ou les établissements spécialisés.
19:30Est-ce que vous arrivez à en trouver par un fichier, je sais pas comment on fait, pour
19:34leur écrire ?
19:35Alors, je vais la prendre celle-là Emile, ça te dérange pas.
19:39Il s'avère qu'évidemment nos partenaires principaux sont des Ehpad, mais on travaille
19:44avec tous types de structures, et moi j'ai eu la chance de m'en rendre compte la semaine
19:48dernière en gérant la réception de tous les seniors à Roland-Garros, puisqu'ils
19:51venaient absolument de partout en France, et de structures complètement différentes.
19:55On avait des personnes qui venaient mais en fait seules, ou avec eux leurs petits-enfants,
19:59donc c'était l'occasion d'avoir une activité.
20:01Et ça nous permet de lutter contre l'isolement dans les structures, même si elles sont spécialisées,
20:06oui forcément il y a de l'isolement, mais aussi de l'isolement à domicile chez les
20:10personnes directement.
20:11Alors, du coup derrière ça on a aussi besoin de savoir, comment vous faites, parce que
20:16bon, je vais faire cette fois-ci un peu critique facile, mais la jeunesse, souvent on s'aperçoit
20:21quand on reçoit des SMS, etc., qu'elle écrit le français comme elle peut, quelques fois,
20:26etc.
20:27Comment on fait pour conserver une qualité d'écriture ? Je crois qu'il y a aussi, vous
20:31avez une action de ce point de vue-là ?
20:33Emile ?
20:35Oui, alors tout à fait.
20:36On a pas mal de partenariats avec des écoles, des universités, des centres d'apprentissage
20:42en fait, où on envoie des ateliers pour que les jeunes là-bas apprennent tout simplement
20:47à écrire une lettre, à signer une enveloppe, etc.
20:50Et ça nous permet de renforcer cet apprentissage de l'écriture de la lettre et du lien intergénérationnel
20:58en fait.
20:59Et vous avez senti des gens qui restent attachés à cette forme-là, qui peut-être aussi pour
21:04l'anniversaire de leur maman ont décidé de leur écrire une petite lettre finalement ?
21:07Oui, il y a parfois des mamans ou des personnes qui sont pas du tout, qui ont des enfants,
21:13etc.
21:14Moi j'ai connu, pour avoir eu ma mère en EHPAD, qui n'ont pas eu de visite de l'année,
21:17soit dit en passant.
21:18Ah oui.
21:19J'ai connu ça aussi, franchement.
21:20Je parlais d'une manière générale, peut-être recourir de plus en plus à ces formes-là
21:24qui restent des très très belles formes finalement.
21:27Non, effectivement, c'est pour ça qu'on essaie de faire un maximum de communication
21:30et d'être présent sur un maximum d'événements.
21:32Notre but, c'est vraiment de démocratiser la relation épistolaire et de rappeler aux
21:38jeunes comment leurs grands-parents avaient l'habitude de communiquer les uns avec les
21:43autres.
21:44On a été présent sur beaucoup d'événements ces derniers mois, dans les aéroports, à
21:49des concerts, à des avant-premières de films notamment, où on aidait les jeunes
21:55et les moins jeunes d'ailleurs à écrire des lettres et ensuite on allait les jouer.
22:00Et bien écoutez, génial, vous restez avec nous.
22:02Avec nous, oui.
22:03Dans la dernière partie, vous nous raconterez à quoi peut vous servir ce trophée.
22:07Et vous serez tous les trois à en parler.
22:0919h28, les vraies voix citoyennes sur Sud Radio.
22:12Dans quelques instants, on rencontre un troisième finaliste, ou plutôt une troisième finaliste.
22:17Ose la rencontre, Fondation OCH.
22:19Restez bien avec nous sur Sud Radio.
22:21Sud Radio.
22:22Parlons vrai.
22:23Parlons vrai.
22:24Sud Radio.
22:25Parlons vrai.
22:26Sud Radio.
22:27Parlons vrai.
22:28Sud Radio.
22:29Les vraies voix qui font bouger la France.
22:3019h20, des vraies voix citoyennes.
22:31Aurélie Gros, Stéphane Pellet.
22:33Et nous sommes avec les finalistes du trophée du G500 citoyens, avec bien évidemment Aurélie
22:39Gros et Stéphane Pellet.
22:41Et on a maintenant notre troisième association du soir, Stéphane et Aurélie.
22:45Je vais le faire.
22:46Allez, puisqu'Aurélie a un peu de, comment dire, de mal, je vais le faire alors directement.
22:52Je garde la quatrième partie pour les vraies questions.
22:55Les vraies voix, les vraies questions.
22:58Alors, ce soir, Albane Desrouvilles, c'est ça ?
23:01Oui, c'est ça.
23:02Vous aviez eu l'occasion de venir, non je ne crois pas, vous êtes responsable du projet
23:06Ose la rencontre à l'intérieur de la Fondation OCH, c'est ça ?
23:09Exactement.
23:10Alors, il faudrait que vous nous racontiez, parce que d'un côté OCH, on ne sait pas
23:14ce qu'il y a derrière ces trois lettres, et puis Ose la rencontre, on ne sait pas
23:17non plus exactement de quoi vous voulez parler.
23:20On a compris qu'au-delà de l'inclusion, vous cherchez vraiment à fabriquer, créer
23:26des moments magiques, des véritables rencontres.
23:28Mais vous allez nous dire entre qui et qui, et surtout pourquoi tout ça est porté par
23:32un mouvement, une fondation.
23:35Merci beaucoup de nous accueillir ici, à nouveau, et de nous avoir présélectionnés.
23:41On est très heureux.
23:42Ose la rencontre, en fait, la genèse, c'est que pendant le Covid, vous vous souvenez,
23:482020-2022, ça a duré longtemps, on en parlait tout à l'heure, on s'est rendu compte que
23:53les personnes avec un handicap étaient très isolées, soit dans leur structure d'accueil,
23:58soit dans leur famille, soit toutes seules.
24:01Et on s'est rendu compte aussi que nos jeunes cherchaient du sens, avaient en même temps
24:07un élan de solidarité, on l'a entendu avec une lettre et un sourire.
24:11Et à la sortie du Covid, nous, la fondation OCH, on fêtait les 60 ans de la fondation
24:19OCH, ça veut dire l'Office Chrétien des Personnes Handicapées, on est une association
24:23au service des personnes handicapées et de tous leurs proches, les parents, les grands-parents,
24:28les frères et sœurs, les conjoints, vraiment pour les soutenir dans leur mission au quotidien.
24:33On a un média ombre et lumière, on a des écoutants, écoute et conseil, on a des événements.
24:38Il y a 60 ans, on était quoi ? Disons un peu après-guerre, c'est ça ?
24:4360 ans, on fêtait 1965.
24:46Ah bah oui, on était disons 20 ans après.
24:4963, oui.
24:50Voilà, et donc 2023, on va fêter les 60 ans et on rassemble des personnes avec un handicap,
24:57des proches, des bénévoles et on se met autour de la table et on se dit
25:01comment est-ce qu'on a envie de fêter les 60 ans ?
25:03Et en fait, a émergé ce projet Ose la rencontre, parce que peut-être que certains personnellement
25:08avaient déjà fait cette rencontre d'une personne avec un handicap qui avait changé notre vie.
25:12Et on s'est dit qu'on avait envie de faire expérimenter à des jeunes et des moins jeunes
25:20et puis des personnes handicapées cette rencontre, parce que ce sont souvent deux mondes
25:23qui ne se connaissent pas très mal.
25:25On parle beaucoup d'inclusion, mais on parle peu, en fin de compte, de la rencontre.
25:30Oui, et d'ailleurs, on s'est aperçu, il y a eu un sondage IFOP créé par notre média
25:35Ombre et Lumière en décembre 2024, tout récent, et c'était très intéressant,
25:39parce que les Français sont peu à l'aise avec le handicap, mais ils reconnaissent
25:43l'apport positif et impactant des personnes handicapées dans la société.
25:47Et quand on leur demande quel est le levier qui permettrait d'améliorer,
25:51le premier levier, c'est la rencontre.
25:53Oui, peut-être, d'ailleurs, à l'image du film, un petit truc en plus,
25:57parce qu'un petit truc en plus, quelque part, c'est la rencontre de personnes
26:02qui n'auraient jamais dû se rencontrer, et qui changent une vie.
26:06Alors, racontez-nous, qu'est-ce que vous a fait la rencontre ?
26:10C'est tout simple, on invite une personne handicapée à déposer son rêve
26:15sur le site OseLaRencontre.fr, et ensuite on invite les personnes valides
26:20à aller voir sur le site plein de rêves qui sont déposés,
26:24et à choisir à quels rêves ils ont envie de répondre,
26:28quelles personnes ils ont envie d'accompagner dans la réalisation de son rêve.
26:31Avec des rêves tout simples.
26:33Ah voilà, c'est ça, pas forcément des très très gros moyens,
26:36c'est pas faire du parachutisme avec Tom Cruise, non c'est pas ça.
26:40Le but c'est la rencontre.
26:43Et vous avez quelques rêves à nous raconter ?
26:46Magnifiques, c'est par exemple Pascale qui a un handicap,
26:54elle est IMC, et elle a toujours rêvé d'être infirme moteur cérébrale,
26:58et elle rêvait d'être puricultrice.
27:00Et à cause de son handicap, elle n'a pas pu faire les études,
27:03et c'était compliqué, elle a 45 ans aujourd'hui,
27:06c'était encore plus compliqué à son époque.
27:09Et on l'a mise, et donc il y a une crèche qui a répondu à son rêve,
27:15et qui l'a accueillie pendant une journée, dans la crèche,
27:18pour qu'elle puisse faire cette expérience du métier de puricultrice
27:21au milieu de sous ses enfants.
27:23Les parents étaient d'accord, les enfants même,
27:26elle raconte combien un petit garçon est venu contre elle,
27:30et elle dit de cette expérience,
27:34vous n'avez pas réalisé seulement mon rêve,
27:36mais aussi rendu mes parents fiers et heureux.
27:38Ils sont âgés, et ont traversé avec moi le deuil de ne pouvoir faire les études
27:42et exercer ce métier que je porte, grâce à l'OCH.
27:46Ce deuil s'est transformé en rêve,
27:48et grâce à toi, ce rêve est devenu réalité.
27:51Et aujourd'hui, qui peut répondre au rêve ?
27:53Alors des personnes, moi je peux répondre à un rêve,
27:55si j'en ai la capacité, une entreprise peut répondre à un rêve,
27:58si je comprends bien, tout le monde peut répondre.
28:00Tout le monde, alors là on entame la saison 2,
28:02puisque la saison 1 c'était un peu pour fêter les 60 ans,
28:05il y a eu plus de 70 rêves réalisés, plus de 280 personnes impliquées,
28:10parce qu'il y a eu des professionnels aussi qui se sont impliqués,
28:13et aujourd'hui on a vraiment envie de le proposer,
28:16de créer des partenariats avec des entreprises,
28:19et des associations, des lieux de vie,
28:21parce qu'on s'est aperçus que les entreprises étaient heureuses
28:26d'offrir une journée de solidarité à leurs salariés,
28:29et en fait on est sur une plateforme telle que Day One,
28:31ou Vendredi, maintenant ça s'appelle Kimout je crois,
28:34et qui permet à des salariés de se mettre en lien,
28:38et de choisir Ose la rencontre,
28:40et donc il y en a plusieurs qui ont choisi Ose la rencontre.
28:42Donc des formes qu'on appelle de mécénat de compétences,
28:44là on les transforme en RSE d'une certaine manière,
28:47la responsabilité sociale des entreprises.
28:49Voilà, c'est une journée, une journée offerte par l'entreprise
28:51pour permettre à ses salariés d'expérimenter cette rencontre,
28:54et d'oser la rencontre avec les personnes handicapées.
28:56Et donc puisque vous êtes dans ce moment où justement
28:59on parle heureusement beaucoup plus finalement
29:01des personnes en situation de handicap,
29:03on a fêté les 20 ans de la loi Ditschirach de 2005.
29:06On a fait une émission spéciale d'ailleurs, avec une citoyenne.
29:09Et tout à fait, une étape spéciale du sommet citoyenne,
29:11puisque nous étions à l'Institut National des Jeunes Aveugles.
29:14Est-ce que pour autant l'handicap reste pour vous un tabou ?
29:17Est-ce que grâce à ce que vous faites, on se permet de le franchir ?
29:21Je pense que c'est des petits pas.
29:25Il faut que si chaque citoyen pouvait expérimenter
29:30rien qu'une rencontre, voilà, une rencontre d'une journée,
29:35le slogan « Ose la rencontre », il faut expliquer ça.
29:38Pourquoi oser ? Il faut un véritable courage pour ça ?
29:41Il faut un peu oser, d'abord aller sur le site,
29:44oser répondre à un rêve, et puis répondre au rêve,
29:47ça veut dire oser se laisser former par nous,
29:49parce qu'on connaît un peu les personnes handicapées,
29:52on peut former, sensibiliser, donner des clés, répondre aux peurs.
29:56Je pense que beaucoup des concitoyens ont peur du handicap.
30:00On en voit dans la rue des personnes à un fauteuil,
30:02mais combien vont les saluer, ou changent de trottoir, etc.
30:09Il y a une peur, parce qu'il y a une méconnaissance.
30:11Comment expliquer cette peur ? Est-ce qu'une personne
30:13qui est en fauteuil roulant n'est pas contagieuse, ou quoi que ce soit ?
30:16Comment expliquer ça ?
30:18C'est la différence. La différence fait souvent peur, en fait.
30:21On se lie avec des gens qui nous ressemblent,
30:24et on a peur de l'altérité, souvent.
30:26Il y a un apprentissage et une pédagogie, aussi.
30:29Cette pédagogie, on y croit,
30:32et on forme chaque personne valide qui souhaite s'impliquer dans la rencontre.
30:38On leur propose, en visio, de répondre à leur crainte, à leur peur,
30:42d'oser mettre des mots là-dessus,
30:44et ensuite de leur présenter des situations
30:46dans lesquelles ils vont peut-être se retrouver,
30:48pour les préparer.
30:50Je voulais dire que la jeunesse est en la clé, à mon avis,
30:54pour lutter contre cette peur.
30:56Je ne crois pas qu'une école qui répondrait à un rêve d'un jeune
31:00pourrait aussi faire partie du projet,
31:03et pour le développer encore plus.
31:05Je pense que c'est sur la jeunesse qu'il faut se tourner.
31:07Oui, tout à fait.
31:09En 2023, c'était essentiellement tourné vers les jeunes et les jeunes pros.
31:13Là, on voudrait élargir, parce qu'il y en a beaucoup qui se sont dit
31:15« Moi, je ne suis plus jeune pro, mais j'ai envie aussi ! »
31:18Et parfois, je ne rencontre pas au quotidien des personnes avec un handicap.
31:23Cependant, on essaie de se mettre en lien avec des universités, des écoles,
31:26pour permettre aux universités de donner ça comme projet aux jeunes.
31:31Je suis heureuse de pouvoir être entendue là, chez Sud Radio,
31:35parce que ça peut donner des idées aux universités, aux écoles, aux entreprises.
31:40Et à monsieur et madame Tout-le-Monde.
31:42Voilà, exactement.
31:43Et tout le monde, on bénéficiera tous, en fait.
31:47Allez, osons la publicité !
31:49On s'ouvre la publicité !
31:51Encore un slogan.
31:53Vous êtes hyper inspirée, Stéphane Pelé.
31:55Ce sont les associations inspirantes.
31:57Et Théa, ça y est, elle est déjà en train de réfléchir à ce qu'elle va pouvoir faire.
32:00Exactement.
32:01Moi, j'ai que 21 ans, mais peut-être que je peux avorter quelque chose, écoutez.
32:04Ah bah oui.
32:05Volontiers.
32:06Ose-la-rencontre.fr.
32:07Et puis, on en discute, au téléphone, en visio.
32:10Eh bien justement, on se retrouve dans quelques minutes
32:12pour la dernière ligne droite de l'émission, pour en discuter tous ensemble.
32:15Restez bien avec nous et les vraies voix citoyennes de Sud Radio.
32:18Sud Radio, c'est vous qui donnez le temps.
32:21Tout le monde peut appeler, donner son avis, qu'il plaise ou qu'il plaise pas.
32:24L'important, c'est d'essayer de rester constructif.
32:26Et j'aime bien l'esprit qu'il y a chez vous.
32:28Sud Radio, parlons Sud Radio.
32:30Les vraies voix qui font bouger la France.
32:3219h20, les vraies voix citoyennes.
32:35Aurélie Gros, Stéphane Pelé.
32:39Retour des vraies voix citoyennes pour cette dernière ligne droite
32:42avec trois finalistes du trophée du G500 citoyens.
32:45Ce seront les 12, 13 et 14 juin prochains à Lille.
32:49C'est à vous.
32:51Et on répète, donc, politique médiatique,
32:53lettres à se lire,
32:55Ose la rencontre de la fondation OCH.
32:57C'est important de le répéter
32:59et tous les auditeurs peuvent voter
33:01depuis quelques semaines maintenant,
33:03mais peuvent continuer à voter
33:05en ligne sur le site Sud Radio
33:07ou sur le site Ideal-Citoyens
33:09avec un S.fr.
33:11Mais allez voter, c'est important.
33:13C'est le moment à vous poser à tous les quatre,
33:15tous les trois associations,
33:17mais vous êtes quatre.
33:19Qu'est-ce que vous attendez, en fin de compte,
33:21de ce trophée Sud Radio,
33:23puisque vous avez été sélectionné,
33:25au nombre de six, parmi les cent associations
33:27qui ont répondu au concours.
33:29Qu'est-ce que ça va apporter pour vous ?
33:31Une mise en réseau ?
33:33Un tremplin ?
33:35Donc on commence par...
33:37Comme c'était la première à parler,
33:39on va refaire l'ordre.
33:41Très bien, j'ouvre la danse, d'accord.
33:43Je pense que c'est tout ça à la fois,
33:45en même temps, dans le sens où, forcément,
33:47il y a d'abord cette mise en avant par Sud Radio,
33:49où forcément il y a aussi 700 000 auditeurs
33:51qui nous écoutent actuellement.
33:53Ça peut être intimidant, mais c'est aussi
33:55700 000 personnes qu'on touche,
33:57forcément, aujourd'hui, ce soir, en tout cas.
33:59J'aimerais en tout cas faire peut-être
34:01une lettre ouverte, justement,
34:03aux citoyens qui nous écoutent,
34:05que ce soit des grands-parents, des tantes,
34:07des cousins germains, des papas, des mamans,
34:09si vous avez envie de mieux connaître l'économie,
34:11mais surtout la consommation et même les questions
34:13de manière générale que vous pouvez vous poser,
34:15il n'y a pas de questions bêtes.
34:17Et c'est pour ça aussi qu'on existe
34:19au sein de Politique Médiatique,
34:21c'est justement pouvoir répondre à toutes ces questions
34:23qu'on n'ose pas vraiment poser,
34:25ou qu'on a envie de poser,
34:27mais on n'arrive pas à trouver la personne parfaite
34:29qui pourrait y répondre,
34:31et c'est pour ça qu'on existe aussi.
34:33Alors, je vais la prendre.
34:35C'est plus facile d'être en studio.
34:37Alors, avant tout, forcément,
34:39c'est une visibilité, un public
34:41qu'on n'a peut-être pas l'habitude de toucher,
34:43qui est du coup sensible peut-être à notre association,
34:45mais surtout, nous, on est dans une politique
34:47où on lance plein de campagnes actuellement,
34:49on essaie d'être présent dans toute la France,
34:51mais ce n'est pas toujours possible,
34:53donc premièrement, pour recruter, c'est une possibilité,
34:55mais aussi pour financer,
34:57donc on essaie d'être présent dans tous les EHPAD
34:59à travers la France,
35:01mais cela veut dire qu'il faut organiser
35:03ce qu'on appelle des Smile and Go,
35:05c'est des gens qui prennent un vélo et qui vont suivre un itinéraire,
35:07faire une quarantaine d'EHPAD, par exemple,
35:09en une vingtaine de jours,
35:11c'est ce qu'a fait une de nos collègues là pendant deux semaines,
35:13et en fait, pour maintenir
35:15une présence dans ces EHPAD,
35:17il faut qu'on ait forcément plus de moyens
35:19pour y aller, et donc, pour nous, c'est une réelle opportunité.
35:21Albane Derouville,
35:23la réponse à la même question.
35:25Qu'attendez-vous du Trophée Sud Radio ?
35:27D'abord, c'est toujours un prix
35:29qui n'est pas négligeable.
35:31Nous ne fonctionnons qu'avec des dons
35:33et des legs, nous ne recevons aucune subvention.
35:35Et puis, c'est surtout
35:37une reconnaissance, un encouragement,
35:39une visibilité
35:41pour le projet, pour toucher
35:43aussi le maximum de personnes avec un handicap
35:45qui ne sont peut-être pas
35:47dans d'autres lieux.
35:49La radio est vraiment un excellent média.
35:51Je le confirme.
35:53Et aussi pour
35:55les bénévoles, pour les accompagnateurs,
35:57pour toute personne qui souhaiterait
35:59répondre à ses rêves et accompagner
36:01quel que soit leur âge
36:03à partir de 18 ans. Et il y a des rêves
36:05qui attendent, comme
36:07visiter Notre-Dame,
36:09sortir en boîte de nuit,
36:11aller au Cirque Bouclillon,
36:13visiter une ferme de volailles, et chanter
36:15avec d'autres. Voilà, par exemple,
36:17quelques-uns des rêves qu'on peut retrouver sur le site
36:19de la rencontre. Donc, on attend.
36:21Bon, écoutez, on a aussi
36:23une autre question à vous poser, et puis il faut faire des réponses
36:25un tout petit peu plus courtes pour qu'on puisse
36:27faire tourner. Alors, cette fois-ci, on va commencer par
36:29Emile.
36:31Est-ce que cette sélection parmi les six
36:33finalistes est déjà une victoire pour votre
36:35association ? Et si vous répondez oui, on
36:37comprendra.
36:39Bien sûr, c'est toujours une victoire
36:41de faire parler de nous, c'est une victoire
36:43de présenter l'association
36:45à la radio. Il y a plein d'auditeurs, et ça nous permet,
36:47on espère, de
36:49sensibiliser à cette cause
36:51qui est hyper importante. Écrivez à vos grands-parents,
36:53écrivez à travers notre site,
36:55ça prend deux minutes
36:57à se connecter, et vous ferez une bonne action
36:59en écrivant une lettre.
37:01Alban,
37:03c'est à vous. Est-ce que c'est déjà
37:05une victoire d'être dans les six finalistes ?
37:07C'est déjà une victoire,
37:09et un grand merci à tous ceux qui ont
37:11voté pour nous, à notre équipe de com' aussi.
37:13Voilà,
37:15et puis, oui, donner la parole
37:17aussi, j'ai donné un des petits témoignages.
37:19Pour moi, c'est vraiment important,
37:21la radio vous permettait
37:23de donner la parole aux
37:25personnes qui ont vécu Ausse-la-Rencontre,
37:27qui participent, qui ont envie de développer.
37:29Donc vraiment,
37:31si vous pouvez inviter
37:33des personnes handicapées sur votre radio,
37:35ça serait formidable.
37:37Et puis il y a une émission spécifique sur la radio,
37:39magnifique émission.
37:41Le week-end animé par
37:43Anthony Martin-Smith,
37:45qui, je rappelle, est judoka
37:47paralympique.
37:49Est-ce que c'est déjà
37:51une victoire dans les six finalistes ?
37:53Bien sûr, c'est déjà une victoire.
37:55Bien sûr,
37:57c'est déjà une victoire, surtout qu'on est la plus jeune
37:59association parmi celles sélectionnées. On vient à peine
38:01de passer le cap des un an,
38:03un an pile où on est passé sur ce radio,
38:05et un an depuis notre lancement. Donc c'est clair que ça
38:07va assez vite, et c'est pour ça que c'est une vraie victoire.
38:09Génial, et puis la dernière question,
38:11c'est Aurélie Gros.
38:13Ah non, alors oui,
38:15la dernière question, c'était
38:17si vous aviez une mesure
38:19dans les champs qui vous intéressent,
38:21que vous voudriez
38:23porter en résolution pour le G500,
38:25quelle serait-elle,
38:27à destination, évidemment, de décideurs,
38:29dans le milieu du handicap,
38:31du média, ou encore...
38:33Albane Bérouville.
38:35Mission piège.
38:39Je vais pas avoir plein d'idées, mais...
38:41Peut-être donner
38:43la parole, dans les médias,
38:45aux personnes qui ont vécu
38:47Hose la rencontre, notamment, parce que ça transmet
38:49vraiment la joie, ça donne du courage,
38:51et de l'espérance
38:53aussi, dont le monde a tant besoin
38:55en ce moment.
38:57Théa Sarfati.
38:59Nous, on rencontre beaucoup de dirigeants,
39:01mais surtout beaucoup de citoyens, et pour moi,
39:03ça serait aller beaucoup plus sur le terrain,
39:05que ce soit du côté des citoyens,
39:07ou du côté vraiment des dirigeants. Ils adorent aller sur le terrain,
39:09au final, mais il faut peut-être
39:11aller un petit peu plus loin, les pousser à y aller,
39:13parce que des fois, justement, on n'ose pas, franchement,
39:15y aller, et c'est assez dommage.
39:17Et bien, voilà, et le mot de la fin,
39:19qui c'est qui va l'avoir ?
39:21C'est soit Sacha, soit Emile, ou Samil,
39:23ou...
39:25Allez-y !
39:27Pour nous, c'est vraiment pousser l'inclusivité,
39:29le vivre ensemble, on pense que
39:31dans notre société, les gens communiquent trop peu
39:33les uns avec les autres, et on pense que
39:35écrire des lettres, c'est un bon moyen
39:37de pallier à ça, donc
39:39merci à tous les ministères qui nous supportent déjà,
39:41et on espère qu'on va continuer
39:43sur cette lancée.
39:45Merci à vous tous, et Aurélie Gros, vous allez trancher
39:47les six finalistes.
39:49Puisque maintenant, il faut vraiment aller voter,
39:51je le rappelle aux auditeurs, nous avions reçu la semaine
39:53dernière Cancer at Work,
39:55Le Vieux Biclou,
39:57Une Voix pour Elle, et ce soir,
39:59Une Lettre à un Sourire, Ose la Rencontre,
40:01et Politique Médiatique.
40:03Donc, à vos claviers, que le meilleur gagne,
40:05mais vous êtes déjà tous des gagnants.
40:07Tous invités au sommet citoyen.
40:09Et tous invités au sommet citoyen,
40:11à Lille, le 12, 13, 14 juin,
40:13et à l'ensemble des 700 000 auditeurs
40:15de Sud Radio, s'ils veulent rencontrer
40:17Philippe David en vrai.
40:19– Merci beaucoup Aurélie Gros, Stéphane Pellet,
40:21Théa Sarfati, Émile Saïd,
40:23Plomeïs,
40:25Sacha De Vos, et Albane Dérouville.
40:27On se retrouve, évidemment,
40:29demain à 10h, mais tout de suite,
40:31les vraies voix du rugby, et comme dans les vraies voix du rugby,
40:33il y a vraie voix, François Trio, bonsoir.
40:35Si je vous dis que les joueurs de Bordeaux
40:37sont rentrés heureux, alors que les joueurs
40:39de Northampton sont rentrés peunots,
40:41ça veut dire quoi ? – Oui, oui, on va en parler,
40:43c'est pas mal ça, comme petit jeu de mots.
40:45– Puisqu'il leur a mis deux essais quand même,
40:47peu d'eau. – C'est un beau clin d'œil,
40:49effectivement, mais on va effectivement revenir
40:51sur cette victoire historique de l'Union Bordeaux-Bègle,
40:53fêtée comme il se doit par le public bordelais.
40:55On en parlera d'ailleurs avec
40:57Mamad Diaby, un des joueurs de l'UBB
40:59qui sera avec nous, enfin, un de ceux qui peut
41:01encore parler, qui a de la voix.
41:03Et puis, il y aura le patron
41:05de Sud-Ouest également, qui nous parlera
41:07de cet événement pour la ville de Bordeaux.
41:09– Eh bien, écoutez, c'était magnifique,
41:11c'était sur Sud Radio, samedi après-midi,
41:13la victoire de l'UBB
41:15contre Northampton en finale de la grande
41:17Coupe d'Europe de rugby, le cinquième
41:19club français à s'imposer, après le
41:21Stade Toulousain, le CA Briviste,
41:23le Stade Rochelet et le RC Toulon.
41:25Le RC Toulon, c'était avant le Stade Rochelet.
41:27Allez, on se retrouve demain, 17h, avec Cécile
41:29de Ménibus pour les vraies voix. Nous, on se retrouve
41:31lundi prochain, 19h,
41:33mais tout de suite, les vraies voix du rugby,
41:35avec François Triot et sa bande.
41:37– Sud Radio à votre service.
41:39– Avec Fiducial.