DB - 25-05-2025
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00:00Musique
00:30Fred l'insouciant a préféré laisser nos amis poursuivre seul leur voyage.
00:45Les voici en Camargue, menant une vie sauvage en attendant de retrouver l'oncle.
00:49Musique
00:50André, lui, serait bien tenté d'arrêter là leurs aventures,
01:07de s'installer définitivement dans ce pays libre et magnifique
01:10et d'y apprendre le métier de gardien.
01:12Musique
01:13C'est alors que survient un télégramme signé de l'oncle
01:23qui appelle ses neveux à Marseille.
01:25Musique
01:26Le capitaine Jérôme, qui conduit nos amis jusqu'à la grande ville,
01:37voudrait bien les persuader d'embarquer comme mousse
01:39sur son navire qui lève l'encre demain pour 7 à 6 heures.
01:43Mais André et Julien ne pensent qu'au rendez-vous tant attendu avec l'oncle.
01:47L'y trouveront-ils ?
01:48Nous le saurons au cours de ce 25e épisode
01:51dont la maxime est
01:52« Le courage rend égaux riches et pauvres, grands et petits ».
01:57Musique
01:59Adieu la vie sauvage !
02:27« L'enchantement du vent dans les roseaux, les cris des flamands et du Martin Pêcheur,
02:31l'amitié des bêtes, adieu la Camargue. »
02:35Les voici redevenus enfants de la ville.
02:37Ils ont remis leur costume propre.
02:39On roule vers Marseille, vers les hommes et la civilisation.
02:42Et ce matin, la civilisation a le visage du capitaine Jérôme,
02:48et ce visage qui peut passer si rapidement du jovial au terrible.
02:54Dehors, l'accro déroule son paysage lunaire, son désert de cailloux.
02:58« Tous ces cailloux que Jupiter fit pleuvoir en ce lieu, dit la légende,
03:01pour délivrer Hercule aux prises avec ses ennemis. »
03:05Un peu plus loin, on se demande quel autre dieu fantasque
03:08a fait pousser ces étranges fleurs d'acier.
03:10Ce sont les raffineries de pétrole de l'étang de Berre.
03:14C'est là que les navires venus d'Orient débarquent le pétrole
03:17qui est traité sur place au bord de cette petite mer intérieure
03:20isolée de la grande ville.
03:22Des marmites de sorcières,
03:24mais des sorcières qui auraient le confort moderne.
03:26André épie le capitaine à la dérober.
03:44Un brave homme, certainement,
03:46mais qui préférerait mourir que de perdre une occasion de se mettre en colère.
03:50On aimerait lui dire « On vous aime bien, capitaine,
03:52mais pourquoi tenez-vous tant à nous faire peur ? »
03:56Le capitaine s'est pris d'amitié pour les enfants,
03:58et spécialement pour André.
03:59Il veut l'avoir à côté de lui, il l'abreuve de conseil,
04:02le cite en exemple à tout venant.
04:04Voudrait à tout prix qu'il embarque avec lui ce soir.
04:06Mais ce soir, pour André et Julien,
04:09c'est le rendez-vous de l'ombre.
04:16Un petit vallon dans la banlieue de Marseille.
04:19L'un des cent petits ports qui annoncent le grand.
04:21C'est là que demeure la sœur du capitaine
04:24et le fameux neveu,
04:25celui qui a les deux pieds dans le même soulier
04:27et celui qui ne veut pas être mousse.
04:43Julien explique à Ursi ce que c'est que Marseille et la Méditerranée.
04:48André porte la valise du capitaine.
04:50Le capitaine, lui, ne porte rien.
04:51À propos de valise,
04:55André vient de réaliser, avant de quitter la Camargue,
04:58qu'ils ont perdu la fameuse valise de l'oncle,
05:01égarée sans doute au cours de l'Odyssée avec Fred à travers la Provence.
05:05Après tout, cette valise ne semblait contenir que de vieux papiers.
05:07Mais que se passe-t-il soudain dans ce port paisible ?
05:18On dirait que le capitaine sème la terreur sur son passage.
05:21À mesure qu'on avance sur le quai,
05:23ce sont des têtes qui se penchent aux fenêtres,
05:24des silhouettes qui filent dans les escaliers.
05:27Comme si le diable en personne venait de débarquer.
05:30Le capitaine Jérôme est célèbre à 10 lieux à la ronde.
05:33Chaque fois qu'il voit un enfant, c'est plus fort que lui.
05:36Il faut qu'il en fasse un mousse.
05:37Sous-titrage Société Radio-Canada
06:07C'est là qu'habite la sœur du capitaine.
06:16Marcel ! Marcel !
06:19Voilà le capitaine Jérôme qui arrive !
06:22Alors, tu n'oublies pas ce que je t'ai dit, hein ?
06:44S'il n'est pas prêt à partir, je ne dis rien.
06:45Je ne m'énerve pas et tu pars à sa place.
06:48Et mon oncle, vous savez bien qu'il nous attend.
06:49Alors, si l'autre me lâche, tu vas me lâcher toi aussi.
06:52Non, je vous ai dit, s'il n'est pas...
06:53Oui, on te parlera ça plus tard.
06:54D'abord, assieds-toi.
06:58Tu étais là et on ne me disait rien.
07:01Et alors, comment vas-tu ?
07:03Et ce voyage ?
07:04Alors, tu dois être sur le départ.
07:05Et comment va la famille ?
07:07Et Marcel ?
07:07Comment il va, Marcel ?
07:09Oh, le pauvre !
07:10Il s'est cassé le bras !
07:12Oh, une vraie malchance, lui qui a de si belles mains.
07:15Ce matin, oh, il n'est pas bien longtemps.
07:17C'est en tombant dans l'escalier.
07:19Oh, quelle misère, mon Dieu !
07:22Depuis hier, il est tout triste, le pauvre petit.
07:24Ce matin, il me disait,
07:26Toto ne va pas être content.
07:28Moi qui espérais tant faire un beau voyage.
07:31Celestine !
07:32Ah, si je n'étais pas ton frère !
07:34Oh, si tu n'étais pas mon frère,
07:36il ne serait pas ton neveu
07:37et il n'y aurait pas à se pourrir les sangs
07:39chaque fois que tu embarques
07:40parce que tu veux l'emmener de force !
07:43De force !
07:44Tu l'avoues, n'est-ce pas, qu'il ne veut pas partir ?
07:45Tu l'avoues !
07:46Je n'avoue rien du tout, moi, je dis !
07:48Mais enfin, comment veux-tu qu'il parte avec son bras ?
07:50Si c'était un vrai marin, il s'en passerait de son bras.
07:53J'en ai connu, moi, qui, avec leurs dents,
07:54serrait les cordages, avec leurs dents.
07:56Silence !
07:58Fais-moi le voir, c'est en paillé.
08:00Tu veux le voir ?
08:00Oui, je veux le voir.
08:02Je veux qu'il me dise lui-même
08:03qu'il ne peut pas partir.
08:09Ne le brutalise pas, surtout, Jérôme.
08:10Sois tranquille, je ne le toucherai pas.
08:13Pour moi, c'est un homme mort.
08:14Attends-toi, Jérôme, tu vas nous attirer le malheur.
08:16Le malheur ! Le malheur !
08:18Mais tu veux dire sur qui il tombe, le malheur ?
08:21Le voilà !
08:23Bonjour, tonton !
08:27Bonjour !
08:28Faman t'a dit, tu venais pour m'emmener.
08:34Eh, c'est pas de chance.
08:37Je courais dans l'escalier,
08:38le chien du voisin que je ne vois pas
08:40et qui me part dans les jambes.
08:42Et je tombe juste sur le bras.
08:44Ton bras ?
08:46Ton bras !
08:47Tu veux que je te dise ?
08:48Tu devrais le faire couper, ton bras.
08:49Oui, et le faire suspendre,
08:50au-dessus de l'hôtel de la bonne mère,
08:52pour la remercier,
08:53de te donner toujours de bons prétextes
08:54pour rester chez toi.
08:56Pauvre Mila !
08:57Aouh ! Tu m'as fait mal !
08:58Non, touche pas, Jérôme, il a mal.
09:00Tu t'en vas déjà, Jérôme ?
09:02Alors, si c'est arrivé un jour plus tôt,
09:03j'aurais le temps de me trouver un plaçard, hein ?
09:05Pas besoin d'aller bien loin, va ?
09:06Il n'en manque pas, de gars courageux
09:08qui ne demandent qu'en embarquer.
09:11Tiens, tu vois ce garçon-là ?
09:13C'est un garçon valeureux.
09:15Tu peux le regarder.
09:16Tu peux même lui serrer la main.
09:18Mais, tu n'en es même pas dit.
09:22Enchanté.
09:23Il n'attend qu'un mot de moi pour prendre ta place,
09:24tu entends ?
09:25Je m'excuse, capitaine, mais vous savez...
09:26Qu'est-ce qui a demandé quelque chose, hein ?
09:28Un mot, tu entends ?
09:30Un mot !
09:31Eh ben, c'est parfait, tonton !
09:32Comme ça, tout s'arrange, Jérôme.
09:34C'est une chance.
09:35Une chance ?
09:36Dis plutôt que c'est toi qui l'as, la chance.
09:38On voit bien que tu n'es pas ma place.
09:40Et même si tu t'étais cassé les deux bras
09:42et les deux jambes,
09:43c'est encore toi qui l'aurais, la chance.
09:45Parce que si tu avais réussi à partir avec moi,
09:47des marins comme toi,
09:49je t'aurais tellement cogné dessus
09:50que je t'aurais laissé pour mort.
09:52Eh ben, ce sera pour mort un blaçant.
09:54Allez vite, vos autres.
09:55Viens, Julien !
09:56Jérôme !
09:57Oui ?
09:57Dis-moi que tu n'es pas fâché.
09:59Je ne suis pas fâché.
10:01Viens.
10:03Mais lui, je le remis.
10:08Bon voyage, la marine.
10:10Décidément, Marcel n'embarquera pas.
10:34Il faudra que le capitaine se console.
10:37Et le capitaine Jérôme essaie de se consoler
10:39en présentant à ses amis son royaume,
10:41le vieux port de Marseille.
10:43Le capitaine a le secret espoir que tant de beauté,
10:55tant de couleurs et tant de bruits
10:56donneront aux deux enfants l'envie de prendre la mer avec lui.
11:00Et il étale largement devant eux
11:02toutes les richesses de Marseille,
11:04la porte de l'Orient.
11:05Les matelots et les pêcheurs de Marseille
11:10accueillent avec un sourire
11:11mi-respectueux, mi-amusé
11:13celui qu'ils surnomment entre
11:15le Napoléon du Vieux-Port.
11:17Le Napoléon du Vieux-Port.
11:47Le Napoléon du Vieux-Port.
12:17Le Napoléon du Vieux-Port.
12:47Le Napoléon du Vieux-Port.
12:52L'Orient.
13:23André et Julien regardent de tous leurs yeux, pas seulement les bateaux et le port et la ville, la mer.
13:46La mer retrouvée, il y a des mois qu'ils ne l'avaient pas vue, au Havre, la première étape de leur voyage.
13:53C'est compris, dit le capitaine. Si ton oncle n'est pas au rendez-vous, rappelle-toi, 6 heures.
14:15Adieu, capitaine. Et bonne route.
14:48Les personnes sont venues habiter, serrées comme des abeilles dans les cellules de cette ruche gigantesque, pour mieux partager l'espace, la verdure, l'air, le ciel.
14:59C'était donc là, dans l'un de ces 320 appartements que les attendait l'oncle François.
15:04Leclerc, appartement 136, 17e étage.
15:20Leclerc, appartement 136, 17e étage.
15:50Leclerc, appartement 136, 17e étage.
16:20Bonjour, messieurs. Inutile d'appeler, je vous préviens tout de suite.
16:42L'illustre architecte qui a conçu cet immeuble a eu comme premier soin de rendre chacune de ces pièces parfaitement insonores.
16:49N'espérez rien non plus du côté de la fenêtre. Nous sommes ici au dernier étage et pas le moindre visage.
16:59Il faut que les habitants de cette maison puissent vivre heureux à l'abri des regards.
17:02Rien, le ciel et la mer. Vous pouvez essayer à la rigueur de faire des signes au navire.
17:10Qu'est-ce que vous voulez ?
17:11Attendez, vous êtes bien pressé. Voyons, vous êtes chez moi, dans l'un des immeubles les plus confortables de France.
17:16Prenez au moins la peine de vous asseoir. Voici notre travail au siège.
17:20Qu'est-ce que je vous appelle ?
17:22Une mentale pour M. Julien, naturellement. Et pour vous ?
17:26Ensuite, nous pourrons causer comme de vieux aînes.
17:28Je crois que nous n'avons rien à nous dire.
17:31Je suis certain du contraire.
17:35Laissez-nous sortir !
17:36On veut retrouver notre oncle.
17:38Votre oncle ?
17:39Justement, figurez-vous que votre oncle m'intéresse à peu près autant qu'il peut vous intéresser.
17:44Vous le connaissez ?
17:45Depuis plus longtemps que vous pouvez le connaître.
17:47Adrien Lappalut.
17:48Vous êtes Adrien Lappalut.
17:50On ne peut rien vous cacher.
17:51Je vois que la vieille taupe de Chambéry vous a mis au courant.
17:55Eh bien, cela abrègera les présentations.
17:57Nous pourrons en venir tout de suite aux fêtes.
17:59Je vous assure que nous n'avons rien à nous dire.
18:02Comment vous avez fait pour nous retrouver ?
18:04Ah, vous voyez, votre frère, lui, désire en savoir davantage.
18:10J'adore les gens curieux.
18:12Je le suis moi-même extrêmement.
18:15Je me doutais bien que vous passeriez à Montélimar, notre patrie commune.
18:21Depuis, je vous suis à la trace.
18:23Je n'ai aucun mérite, d'ailleurs.
18:26Votre équipage fait assez de bruit partout où il passe.
18:30J'ai pensé vous faire une petite visite en Camargue, mais j'ai horreur de me bouiller les pieds.
18:37J'attends tranquillement.
18:40Vous télégraphiez à votre oncle poste restant.
18:42Je subtilise le télégramme, simple jeu d'enfant.
18:47Je vous réponds en son nom.
18:49Je vous donne cette adresse.
18:53Et nous voici.
18:55Qu'est-ce que vous voulez ?
18:57Si c'est pour savoir où est notre oncle, nous n'en savons rien nous-mêmes.
18:59Au contraire, je sais, moi, où il se trouve.
19:01Et même, je l'ai vu il y a une semaine de très près.
19:03C'est pas vrai !
19:05Ah, cette fois, c'est vrai, M. Julien, ma tête a coupé.
19:07Excusez-moi.
19:09Simple plaisance.
19:10Où est-il ?
19:11À Bordeaux.
19:12C'est là que le menait son bateau.
19:14Malheureusement, au moment de reprendre le chemin de Marseille, il a eu un petit accident.
19:18Un petit accident qui le retiendra bien quelques semaines à l'hôpital.
19:23Vous avez tout le temps de lui écrire.
19:24Qu'est-ce que vous lui voulez ?
19:25Peu de choses.
19:27Quelques papiers qu'il possède et qui datent de notre lointaine association.
19:31Quelques papiers qui suffiraient, s'il voulait,
19:34à m'envoyer habiter un appartement infiniment moins confortable que celui-ci.
19:39Je lui demanderai bien moi-même ses papiers à votre oncle.
19:43Seulement, je le connais, il ne voudra pas me les donner,
19:46tandis qu'à ses neveux, il n'a rien à refuser.
19:51Vous voulez que je lui écrive ?
19:52Exactement.
19:55Et si je lui écris, vous nous laisserez partir ?
19:58Pas tout à fait.
19:59Dès qu'il aura répondu, en me donnant les renseignements dont j'ai besoin.
20:04En attendant, nous aurons tout le temps de faire connaissance.
20:09Donnez-moi du papier.
20:15Je le sais.
20:16À votre aise.
20:26Julien ! André !
20:28Ouvrez-moi ! Vous êtes là ?
20:30C'est près, juste une minute. C'est près.
20:32Fred ? Fred !
20:34C'est moi, Julien !
20:35Attends, Fred ! On va t'ouvrir.
20:37Tu paieras ça, mon petit bonhomme.
20:37Pas un mot de trop.
20:43Vous apprendrez qui je suis.
20:49J'ai dit pas un mot.
20:54Excusez-moi si je vous dérange.
20:56Il y a une aussi devant la porte.
20:57Ah, je suis entré ?
20:58Ben oui, c'est moi.
20:59C'est toujours moi.
21:00Non, vous ne pouvez pas se quitter comme ça.
21:01C'était trop bête.
21:02Avouez.
21:03D'abord, vous avez oublié votre valise.
21:04Et vous savez où ?
21:06Dans le coffre de la voiture.
21:07Ah, ce qu'on est bête.
21:08Il n'y avait même pas pensé.
21:10La valise de l'oncle.
21:11Un bon jour, je tombe sur le garagiste qui m'avait acheté la voiture et qui avait trouvé la valise.
21:14Qu'est-ce que je fais ?
21:15Je vous cherche.
21:16Je vous suis à la trace.
21:17Moi, je suis.
21:18Je retrouve votre cabane, le gardien, etc.
21:20Heureusement, il avait conservé le télégramme avec l'adresse.
21:22Qu'est-ce que je fais ?
21:23Je prends la voiture parce que j'ai racheté la voiture.
21:26Mais oui, alors apparition, disparition, comment ?
21:28Ça, une idée géniale du pauvre Fred, une idée merveilleuse.
21:31Je vous raconterai.
21:32C'est votre oncle ?
21:33Non.
21:34Un petit Cézanne.
21:35Que je vous présente.
21:36Mon ami Fred, monsieur Adrien Lapalut.
21:40Enchanté, monsieur.
21:40Vous ne voulez pas vous déranger.
21:41Mais ce n'est pas pressé.
21:43Qu'est-ce que je fais de la valise ?
21:45Ben, va la poser là.
21:49Là ?
21:51Non, là.
21:53Là, je vois que ça tombe bien.
21:56Ah oui, Fred.
21:57Que voulez-vous dire ?
21:59Rien.
22:00Non, je veux dire que ça fait plaisir de voir des gens qui se retrouvent après tant d'années.
22:05Sincèrement, j'aurais regretté de manquer ça.
22:07Imaginez si j'étais arrivé un peu plus tôt ou un peu plus tard.
22:13On va arroser ça.
22:14Juste un verre et puis je vous laisse.
22:17Allez, vite, vite, après, prouvez-vous que je le tiens.
22:20Les clés sont sur la porte.
22:23Excusez-nous, monsieur Lapalut.
22:28On s'en trouve pas !
22:29Et puis, j'ai certification qui vient du tout.
22:35Il y a tout impossible.
22:36Bye.
22:38Il n'y a pas, lui.
22:39Au revoir.
22:42Bonjour.
22:43Sous-titrage MFP.
23:13Sous-titrage MFP.
23:43Fred avait été touché.
24:05André l'entraîna rapidement.
24:09En quelques instants, la décision était prise.
24:11À quoi bon poursuivre la palue ?
24:13Il n'y avait plus qu'un moyen pour les enfants de se sauver, d'échapper à leur ennemi,
24:16de rejoindre l'oncle à Bordeaux, le bateau du capitaine Jérôme qui levait l'encre à six heures.
24:20Au passage, on récupéra la valise de l'oncle, on sauta dans la voiture.
24:24Au moment où Fred, affaibli par sa blessure, au prix d'un immense effort atteignait le port de la Joliette,
24:38le navire déjà larguait les amas.
24:55Déjà, le bateau s'éloignait.
24:57André et Julien eurent à peine le temps d'apercevoir, là-bas sur le quai, dans la voiture, Fred, inanimé.
25:04Sous-titrage MFP.
25:34C'est parti !
26:04Sous-titrage MFP.