Michel-Édouard Leclerc, président du comité stratégique des centres Leclerc, était l'invité d'Apolline de Malherbe dans le Face à Face, sur BFMTV et RMC.
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00:00Il y a plusieurs sujets. Il y a la concurrence sociale, et on vient d'en parler. Il y a une manière de réciprocité.
00:06Sur les petits colis, pour moi, le problème, il est écologique. C'est-à-dire que la valeur d'un livre, la valeur...
00:13Et ce n'est pas que Chine ou Tému, c'est aussi Amazon, c'est aussi Leclerc, c'est aussi Action, Carrefour, je nous mets dedans.
00:21Quand on livre à travers la France des petites valeurs, alors que ça va coûter à la collectivité énorme
00:27pour recycler les cartons, les plastiques, tout ça, je trouve que là, on pourrait tester une contribution écologique.
00:34Personne n'y trouverait à redire, c'est des produits pas chers, mais par contre, ce sont des milliards,
00:39je crois que c'est 5 milliards de petits colis en Europe, aujourd'hui, en dessous de 150 euros,
00:43qui se baladent et souvent qui reviennent à la case départ ou qui sont stockés.
00:48On ne sait pas comment finissent les plastiques. Le plastique est très mal recyclé.
00:51Là, on pourrait installer une contribution écologique, ce qui serait même infime.
00:55Ça démarre, parce qu'il ne faut pas pénaliser les gens qui ont besoin d'acheter pas cher.
01:00Il ne faut pas pénaliser les gens qui ont besoin d'acheter pas cher.
01:02Quand des gens achètent sur Tému ou quand ils achètent sur Chine,
01:05ou quand ils vont chez Action, c'est parce qu'ils ont un problème de pouvoir d'achat.