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L'incroyable Mawa McQueen nous raconte son parcours, de Trappes aux Etats-Unis
neo
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6 months ago
« Le rêve français existe ! » Née en Côte d’Ivoire, Mawa McQueen a grandi à Trappes avant de devenir millionnaire à Aspen aux Etats-Unis. Pour neo, elle nous raconte l’incroyable histoire de sa réussite, fruit de sa détermination. 💪
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00:00
Je suis millionnaire.
00:01
Je t'emmerde, moi.
00:02
Je fais ce que j'ai envie de faire.
00:03
Mais j'ai trimé comme une chienne.
00:04
Ma vie, c'était une vie de merde.
00:06
On s'est retrouvés à la rue.
00:07
Je voulais aller vivre aux États-Unis.
00:08
Moi, Mahoua qui vient de Trappes.
00:10
Je vais servir le président.
00:11
Je me serais suicidée.
00:12
Que de rentrer.
00:13
Qu'est-ce que je vais leur dire maintenant ?
00:14
Je dis, oh, vous avez raison de rester dans le ghetto.
00:16
Pourquoi j'aurais honte de dire,
00:18
j'ai de l'argent ?
00:19
Moi, je ne crois pas à la chance.
00:20
Tu peux tout créer, tu peux tout manifester.
00:22
Il faut vraiment le vouloir.
00:24
Le rêve français existe.
00:26
Bonjour, je suis Mahoua McQueen.
00:28
Je suis passée de Trappes, en région parisienne,
00:31
à être millionnaire à Aspen, aux USA.
00:34
Et ça, c'est mon histoire.
00:35
Je ne suis pas millionnaire, je suis multimillionnaire.
00:37
Je n'ai jamais imaginé que mon destin
00:39
soit celui que je viens de créer.
00:41
Je suis née en Côte d'Ivoire, à Abidjan.
00:44
Je suis arrivée à Trappes à l'âge de 12 ans.
00:47
Ma mère avait 18 ans.
00:49
Elle est partie à Paris pour se chercher,
00:51
comme on dirait, pour avoir une vie meilleure.
00:53
J'ai 20 frères et sœurs,
00:55
mais à l'époque, on était 11.
00:57
On avait deux chambres.
00:58
On était deux sur des lits superposés,
01:01
entassés comme des sardines.
01:03
Pour être polie, tu n'avais pas ta propre chambre.
01:06
Tu n'avais même pas un endroit où tu pouvais crier.
01:08
Je ne parlais pas très bien le français
01:11
et j'avais déjà du retard en Côte d'Ivoire.
01:15
Donc, j'avais encore plus de retard en France.
01:18
J'étais nulle à l'école et je suis toujours nulle à l'école
01:22
parce que j'ai du mal à apprendre.
01:23
Pendant longtemps, j'ai trouvé que je n'étais pas intelligente
01:25
et que j'étais bête d'ailleurs.
01:27
Mais j'étais quand même mignonne.
01:29
Après la cinquième, j'ai choisi ou j'ai été forcée
01:32
à faire un CAP de collectivité pour apprendre à cuisiner,
01:36
s'occuper d'enfants, avoir un minimum de skills,
01:39
comme on me dit, pour pouvoir me débrouiller dans la vie.
01:41
J'avais une grande gueule.
01:44
J'étais le boss à la maison.
01:47
Tout le monde faisait ce que je disais
01:48
parce que mes parents travaillaient et j'étais l'aînée.
01:52
J'avais le devoir de m'occuper de mes frères et sœurs.
01:54
Et c'est marrant parce que j'étais tellement bonne dedans.
01:57
Et c'est là que j'ai remarqué que j'aime être la bosse.
02:00
Oui, on avait à manger et on avait un toit.
02:03
Mais ça, ça a été même pour un court moment
02:06
parce qu'on s'est retrouvés à la rue
02:07
et j'avais pas de papier, apparemment, que je savais pas.
02:10
J'étais illégale, donc tout ça, ça me tombait dessus.
02:13
Et je me dis, mais quelle vie de merde !
02:19
Il n'y avait pas d'issue.
02:20
Au moins, si j'étais bonne à l'école
02:22
ou si j'avais une famille ou des parents qui m'aidaient
02:26
ou si j'avais un endroit propre pour moi, pour me développer,
02:30
j'avais pas ça.
02:31
Quand on se retrouve à la rue à 17 ans,
02:36
on a beaucoup de colère.
02:36
On a beaucoup de colère contre la vie,
02:39
mais on le dirige surtout à nos parents.
02:45
C'est pas de leur faute, ils essaient de faire leur mieux.
02:48
Mais il y a des choses, on sait pas comment faire,
02:52
on sait pas comment.
02:54
Des fois, je me disais,
02:56
j'aurais mieux fait d'être en Afrique que d'être en France.
03:00
Je n'ai voulu pas de cette vie-là.
03:02
J'avais une aversion pour la vie que je menais.
03:06
C'est ça qui m'a sauvée.
03:08
Je voulais me casser de là.
03:11
Peut-être certaines personnes auraient eu cours à la drogue,
03:14
d'autres à autre chose,
03:15
mais moi, c'était les États-Unis.
03:17
On choisit son échappatoire.
03:21
On est en France, mais comme je disais,
03:22
on nous vendait le rêve américain.
03:24
En étant en France, il y avait le Cosby Show,
03:26
Arnold et Woody.
03:27
La plupart des shows étaient américains.
03:29
Je voulais aller vivre aux États-Unis.
03:31
C'était mon rêve.
03:32
Le directeur a dit,
03:33
attends, il faut qu'on la sauve la pauvre.
03:35
Il a dit, qu'est-ce que tu veux faire ?
03:36
Je ne sais rien.
03:38
Il dit, tu aimes faire la cuisine ?
03:38
Je dis, bah oui, je fais la cuisine tous les jours.
03:41
Il me dit, ça te dirait si on réussissait à t'avoir une place
03:46
au lycée hôtelier de Saint-Quentin.
03:48
Ils ne vont jamais m'accepter, je n'ai pas le niveau.
03:50
Il dit, il faut essayer.
03:52
Et puis, je suis rentrée et j'ai fait.
03:54
Il y a des bons Samaritains.
03:56
Mon rêve américain, je l'ai toujours eu.
03:58
OK ?
03:59
Quel que soit où je partais,
04:01
le comment, je ne savais pas comment j'allais le réaliser.
04:03
Je me suis dit, un jour, je vais aux États-Unis
04:05
et je vais voir le président de la République des États-Unis.
04:08
Personne ne m'a cru.
04:09
Donc, j'arrive au lycée hôtelier.
04:11
Je me dis, après, je vais appliquer comme tout le monde à Disney.
04:15
Disney n'a jamais voulu de moi.
04:17
Si je voulais, je pouvais travailler au McDonald's ou à la grillée.
04:21
Absolument pas, je ne suis pas l'unique qui a décidé de travailler là-bas.
04:23
Pendant que les autres étaient dans les palaces, non.
04:26
Personne ne voulait me donner ma chance.
04:27
Donc, j'ai économisé, j'ai gardé des enfants.
04:30
Et puis, après, je suis partie en Angleterre.
04:31
Je deviens, en deux ans, restaurant manager.
04:34
Et mon copain qui sait très bien, tous les jeudis, il me voit faire les...
04:39
Envoyer les CV.
04:42
Il dit, Mahoua, arrête, arrête, arrête de te rabaisser.
04:46
Il faut s'inscrire pour la loterie, une loterie de cartes vertes.
04:51
Attendez, ça n'existe pas.
04:53
Moi, je sais tout sur l'Amérique.
04:55
Et en plus de ça, il disait, il faut payer.
04:57
Il faut payer 20 pounds.
04:59
Je dis, mais attends, c'est de l'arnaque.
05:01
Il dit, OK, Mahoua, je vais jouer.
05:04
Il m'a laissé tomber.
05:05
C'était bien parce qu'avec le recul, son seul travail dans ma vie,
05:09
c'était juste de venir et faire ce petit truc-là.
05:11
Parce que j'ai gagné et je suis partie.
05:13
Lui, il n'a pas gagné.
05:14
Donc, dans la vie, en fait, on s'attache aux gens et on ne veut pas qu'ils partent.
05:18
Non, des fois, ils sont là pour des choses précises.
05:21
Donc, il faut le respecter, ça.
05:23
On dit que les choses arrivent à temps.
05:26
Comme par hasard, au moment où j'ai gagné la green card,
05:29
il y a un hôtel à Kennebunkport qui m'a appelé.
05:33
Donc, je suis partie, j'arrive là-bas.
05:35
Et puis aussi, je voulais épouser Denzel Washington, il faut le dire ça.
05:39
J'étais très fan des Américains noirs.
05:41
C'était hot.
05:43
J'épousais un blanc, aux yeux bleus, allemand.
05:48
Enfin bref, j'arrive dans le Maine.
05:50
C'était au mois d'avril 2002.
05:52
Pas un chat.
05:54
C'est une petite ville.
05:56
Je cherche tous les Denzel Washington, tous les noirs.
05:59
Que le style américain, zéro.
06:01
Que des blancs.
06:03
Je dis, mais attends, c'est quelle Amérique, ça ?
06:05
Je ne me rends pas compte de là où je suis.
06:07
Je ne savais pas que la famille de George Bush
06:09
habitait à cinq kilomètres de là où j'étais.
06:12
Qu'on habitait dans la même rue.
06:14
Je rêvais, il y a dix ans auparavant,
06:17
j'ai dit, un jour, j'irai aux États-Unis et je vais rencontrer le président.
06:20
Donc, je travaillais en tant que serveuse.
06:22
Un jour, il y a quelqu'un qui appelle pour me dire,
06:24
le président sera là dans une demi-heure.
06:27
J'ai dit, ouais, ouais, je pensais que c'était une blague.
06:29
Et puis, tu as au moins sept voitures blindées qui sont au fond.
06:34
Je suis allée me cacher dans la salle de bain.
06:36
Et il y a mon patron qui dit,
06:37
Mawa, c'est toi qui vas servir le président.
06:40
Moi, Mawa, qui viens de Trappes,
06:42
vous me dites, et j'étais la seule noix,
06:45
je vais servir le président ?
06:47
Tu veux rire ou quoi ?
06:48
Il dit, tu sors ou t'es virée ?
06:49
Donc, je sors.
06:50
J'hallucinais, il y avait le père, le fils et d'autres personnes.
06:53
Je les ai servis.
06:55
Il me prend la main, il me dit, you're gonna be OK ?
06:57
Je dis, bien sûr.
06:58
OK, Mr. President, First Lady.
07:00
À la fin, ils ont regardé mon patron et puis, il me dit,
07:03
il peut la garder, elle, c'est la meilleure.
07:04
Pendant des années, on m'appelait Mawa Bouche.
07:06
Et mon patron m'a dit,
07:08
si t'avais un endroit où tu voulais aller, où ça serait ?
07:10
Mais tu reviens en été,
07:12
parce que la famille Bouche t'adore.
07:13
Et puis, je faisais de la thune grave.
07:15
Et je dis, moi, je veux aller à Aspen, comme les riches.
07:19
Parce que j'avais déjà vu Aspen dans les Feux de l'Amour.
07:22
Parce que j'adorais les Feux de l'Amour.
07:23
Oh là là, j'étais...
07:25
Pendant cinq ans, en fait, je fais ça.
07:27
Hiver à Aspen, été dans le Maine.
07:30
Et j'ouvre ma compagnie de traiteur.
07:34
J'ai perdu beaucoup d'argent.
07:36
J'ai ouvert une première crêperie.
07:38
Ça n'a pas marché.
07:39
C'était un petit châc à Aspen.
07:41
J'ai fermé.
07:42
J'ai ouvert une autre crêperie à une demi-heure d'Aspen.
07:45
Ça n'a pas marché.
07:46
J'ai ouvert The Kitchen Hotline.
07:48
Ça, c'est ça qui m'a tuée.
07:49
Ça, ça m'a ruinée parce que c'était...
07:53
presque un million de dollars.
07:54
Je suis tombée dans une dépression, mais grave.
07:58
Parce que je n'avais plus rien.
08:00
Il n'y a rien qui fonctionnait.
08:01
L'échec total.
08:03
Je suis dans ma dépression, presque suicidaire.
08:06
Je ne serai jamais rentrée en France.
08:08
Je me serai suicidée que de rentrer.
08:10
La honte !
08:11
Mes frères et soeurs, c'était ma vie.
08:13
Je voulais leur montrer.
08:14
Je voulais les sortir de là.
08:18
Qu'est-ce que je vais leur dire maintenant ?
08:19
Je dis, vous avez raison de rester dans le ghetto.
08:22
Mais vous imaginez la responsabilité ?
08:25
Donc, je regardais la télé.
08:26
Encore, j'adore la télé.
08:27
Au Preuve, c'est un show avec Tony Robbins.
08:30
Il dit, failure is good.
08:32
Mais il est con, lui.
08:33
Tous les gens qui ont réussi dans la vie ont échoué.
08:38
C'est ce que tu deviens quand tu as échoué
08:41
qui est le plus important.
08:42
Ça t'apprend.
08:44
J'ai dit, mon Dieu, il faut que j'aille l'écouter, ce gars-là.
08:49
Et je suis allée et ça a changé ma vie.
08:52
Ça a vraiment expliqué toute ma vie.
08:55
J'ai toujours voulu être le héros de ma famille.
08:59
J'ai toujours voulu réussir.
09:00
On m'a dit, tu veux toujours trop Mawa dans la vie.
09:03
Il faut avoir le bon état d'esprit
09:07
pour comprendre pourquoi les choses ne vont pas marcher.
09:10
C'est là que j'ai tué Mawa Sidibé.
09:13
Là, je n'avais plus peur de rien.
09:15
Je dis, je vais essayer jusqu'à ce que je meurs
09:17
pour que je sois la meilleure dans tout.
09:19
J'ai essayé les crêpes trois fois avant d'y arriver.
09:22
Trois fois.
09:24
Je trouve l'endroit idéal et je dis,
09:27
ok, mais je vais changer les choses un petit peu.
09:30
Crêpes au foie gras.
09:32
Crêpes à la bourguignonne.
09:34
Mais que des trucs que le prix soit un peu plus élevé
09:38
que ce que les gens connaissent.
09:39
La première crêpe au caviar, 120.
09:42
Ibérico, 78.
09:44
Bien sûr, on avait d'autres crêpes.
09:45
Il y avait toujours de la Nutella.
09:47
Mais les crêpes salées, je suis allée complètement.
09:50
Je n'ai rien à perdre, de toute façon, on va voir.
09:52
Vous savez, la crêpe qui se vendait le plus, c'était
09:55
la crêpe au caviar.
09:56
À ma surprise.
09:59
Le premier jour, on s'est fait déchirer 600 crêpes.
10:02
On n'avait même plus de pâtes.
10:04
Pour décrire Aspen, c'est vraiment la station de ski
10:07
qui, au mètre carré de milliardaires,
10:11
c'est le plus au monde.
10:12
Il faut être super, super riche.
10:13
Pour vous donner un exemple, moi, en tant que millionnaire,
10:16
je suis pauvre à Aspen.
10:18
C'est vraiment des milliardaires multimillionnaires.
10:22
Si tu es millionnaire, tu ne peux pas vraiment t'offrir
10:25
une crêpe au caviar tous les jours.
10:28
Les gens n'achètent pas la crêpe au caviar,
10:32
ils achètent le caviar.
10:33
Et moi, je ne leur charge pas la crêpe,
10:35
c'est le caviar que je leur charge,
10:36
parce que le caviar, il est très cher.
10:37
La crêperie est devenue un symbole d'Aspen.
10:41
Les gens, quand ils viennent à Aspen,
10:42
ok, on veut une crêpe au caviar, ok.
10:45
C'est un truc maintenant.
10:46
J'ai la crêperie et je suis chef privé pour des stars.
10:49
Ce n'est pas que la crêperie qui rend millionnaire,
10:53
ça y contribue, mais je suis chef privé,
10:56
j'ai d'autres business.
10:58
Pourquoi j'aurais honte de dire, j'ai de l'argent ?
11:01
Mais c'est quoi l'argent ?
11:03
Ça vous ouvre des portes ?
11:04
C'est pas parler d'argent.
11:05
Il ne faut pas parler de ça, il ne faut pas faire ça.
11:07
Je t'emmerde, moi.
11:09
Je fais ce que j'ai envie de faire.
11:10
Souvent, les gens me disent,
11:11
ah mais toi, tu as eu de la chance.
11:13
Moi, je ne crois pas à la chance.
11:14
Il faut être discipliné et il faut travailler dur.
11:17
L'américain, il est né en tant que bâton.
11:19
Le français, il est né en tant qu'homme d'oie.
11:21
Oh non, mais ce n'est pas juste.
11:23
Vous voyez la différence ?
11:24
En France, on critique au lieu de faire.
11:26
Oui, mais on ne nous donne pas la chance.
11:28
Mais tu l'apprends, merde.
11:29
J'adore la France, elle m'a beaucoup donné.
11:31
Mon idée de crève, je l'ai eue où ?
11:32
Le rêve américain, je l'ai eue où ?
11:34
Je l'ai eue ici, en France.
11:35
Donc, je ne veux pas que les gens croient que
11:37
il faut toujours partir.
11:39
Le rêve français, il existe.
11:41
Je ne dis pas qu'il n'y a pas de problème.
11:42
Je ne dis pas que ce n'est pas...
11:43
Oui, c'est dur d'être jeune et d'être en France.
11:46
C'est dur d'être noire ou arabe ou je n'en sais rien ou vieux.
11:50
Mais vraiment, si on regarde, on choisit notre vie.
11:54
C'est beaucoup plus intéressant quand on la crée.
11:56
Qu'on ne laisse pas les gens nous dicter
11:58
où on doit aller, ce qu'on doit faire.
12:00
C'est ton esprit qui fait les choses.
12:01
Ce n'est pas des mains.
12:03
Il y a des gens qui travaillent dur
12:04
mais qui ne réussissent pas.
12:06
C'est l'état d'esprit.
12:07
On peut réussir, quel que soit d'où on vient.
12:10
Que tout le monde arrête de se donner des excuses, c'est tout.
12:12
C'est vrai que ça prend du temps.
12:14
Mais à chacun sa route.
12:16
Get your right mindset.
12:19
Gold.
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3 anecdotes insolites d'une gastro‑entérologue par Pauline Guillouche !👩⚕️
neo
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