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Thierry Cabannes - Circulaire Retailleau : Durcissement des régularisations, Bruneau Retailleau veut serrer la vis
Europe 1
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24/01/2025
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🗞
News
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00:00
Merci de nous accueillir l'équipe de ce Vendredi soir.
00:02
Noémie Allua, bonsoir, Nathan Devers, bonsoir, Véronique Jacquier, bonsoir,
00:09
Michel Auboin, ancien préfet, bonsoir, et comme tous les Vendredi soir, j'ai le plaisir d'accueillir Gautier Lebret.
00:16
Bonsoir Gautier.
00:17
On va commencer cette deuxième heure en revenant sur le rendez-vous politique de Sonia Mahbouk ce matin et sur CNews et sur Europe.
00:24
Bruno Retailleau n'a évité aucun sujet sensible.
00:28
On va y revenir avec vous, mon cher Gautier.
00:30
On va évoquer l'un des dossiers prioritaires du ministre de l'Intérieur, l'immigration.
00:34
Et pour Bruno Retailleau, il n'y a pas de droit systématique à la régularisation.
00:39
On l'écoute.
00:40
Au-delà des métiers en tension, ce que j'ai voulu aussi, c'est resserrer d'autres conditions.
00:45
Par exemple, pour exiger sept années de présence de résidence sur le territoire.
00:50
Sept années au lieu de cinq.
00:51
Sept années exactement.
00:52
Et puis aussi, pour faire en sorte que lorsqu'une personne est frappée d'une décision pour l'éloigner,
00:58
une obligation de quitter le territoire, évidemment, ça n'est pas possible.
01:02
Ou on veut faire respecter la loi française, un individu qui a une OQTF doit quitter le territoire,
01:08
mais ne doit pas être régularisé.
01:10
C'est le bon sens.
01:11
Il faut maîtriser l'immigration.
01:13
Et je l'assume, il n'y a pas de droit à la régularisation.
01:17
On peut, un préfet, et c'est à sa main, sur des critères qui ont été strictement resserrés,
01:23
peut être souverain.
01:25
C'est le droit de l'État souverain d'ailleurs, d'admettre ou de ne pas admettre,
01:28
sur son sol, qui il souhaite admettre ou non.
01:31
Mais je l'ai rappelé qu'il n'y avait pas de droit systématique, de droit automatique,
01:35
de droit opposable à la régularisation.
01:38
Avant le décliptage politique avec notre ami Gauthier Lebret,
01:40
je m'adresse à l'ancien préfet que vous êtes.
01:42
La pression est sur les préfets.
01:43
Comment mettre tout ça en œuvre ?
01:46
Oui, la pression est sur les préfets.
01:47
En même temps, tout le monde a bien compris,
01:50
et d'ailleurs, il le redit lui-même,
01:53
on a toujours eu des processus de régularisation d'admission exceptionnelle
01:57
et de séjour en fonction des cas individuels.
01:59
Ce qui a été un peu compliqué dans l'histoire de cette procédure,
02:06
c'est l'introduction par Manuel Valls, en 2012,
02:08
d'une circulaire qui a fixé une sorte de cadre.
02:11
Parce qu'on était sur un droit discrétionnaire qui n'était pas un droit encadré.
02:17
En donnant un cadre, en fait, on a donné la main à des magistrats
02:20
qui ont eux-mêmes encadré les critères qui n'étaient pas encadrés jusque-là.
02:23
C'était une circulaire qui n'était pas publiée,
02:24
une circulaire qui n'a pas d'effet impératif.
02:28
Bon, donc le ministre est obligé de faire avec cette circulaire Valls.
02:32
S'il la reprend, il réduit un peu le nombre de ces critères
02:37
et il laisse la possibilité, quand même, au préfet de gérer des situations individuelles.
02:42
Parce que vous pouvez avoir des situations individuelles
02:44
qui font qu'une personne qui est là depuis deux ans
02:46
mérite peut-être d'être régularisée pour différentes raisons
02:49
et qu'après tout, quelqu'un qui est là depuis sept ans ne mérite pas de l'être.
02:52
Donc, il faut aussi laisser de la liberté au système pour qu'il puisse fonctionner.
02:57
Cotier Lebret, décliptage.
02:59
On rappelle que Manuel Valls fait partie au même gouvernement que M. Rotailleau.
03:04
Ça ne va pas échapper.
03:05
La circulaire Valls qui est supprimée et qui est remplacée par la circulaire Rotailleau.
03:10
Manuel Valls, c'est l'homme aussi qui a supprimé le délit de séjour irrégulier avec François Hollande.
03:15
Aujourd'hui, quand un clandestin rentre sur le sol de France,
03:17
il n'est pas automatiquement délinquant.
03:20
Parce qu'avant, quand vous mettiez un pied sur le sol français
03:23
et que vous étiez en situation irrégulière,
03:25
vous étiez automatiquement délinquant puisque vous faisiez un délit de séjour irrégulier.
03:29
Bon, Manuel Valls, maintenant, il est aux Outre-mer.
03:32
Il y a d'autres choses à lui reprocher quand il était ministre de l'Intérieur.
03:36
C'était lui aussi qui avait permis, par ses décisions,
03:39
que la famille de l'assassin de Dominique Bernard ne soit pas expulsée.
03:43
Il y avait des militants communistes qui s'étaient saisis des dernières directives de Manuel Valls
03:48
pour que la famille ne soit pas expulsée puisque les enfants étaient scolarisés.
03:52
C'est ça qui permettait d'empêcher l'expulsion.
03:54
C'est du passé, c'est les années Hollande, c'est terminé.
03:57
Maintenant, c'est le hasard de la nouvelle forme
04:01
qu'a pris l'Assemblée nationale et du nouveau gouvernement.
04:03
Des hommes qui étaient opposants peuvent se retrouver au sein de la même équipe gouvernementale.
04:08
François Bayrou et Bruno Rotailleau n'étaient pas sur la même ligne au départ.
04:12
Maintenant, on apprend que François Bayrou est très content
04:14
de cette nouvelle circulaire prise par Bruno Rotailleau.
04:17
C'est très bien. Le ministre de l'Intérieur, il fait ce qu'il fait depuis qu'il est arrivé.
04:21
Plus de fermeté, plus de sévérité, moins de régularisation.
04:24
Ce que demande, c'est être français sur dix.
04:26
On le répète, ça.
04:28
Tant qu'il pourra agir, il restera au gouvernement.
04:30
Le jour où il ne pourra plus agir, et peut-être que ce jour arrivera,
04:34
il démissionnera, il partira en disant, regardez, on ne me laisse pas agir.
04:38
Et vous savez que le ministère de l'Intérieur fonctionne en deux temps.
04:42
Premier temps, vous arrivez, vous prenez des mesures fortes, drastiques,
04:45
et donc vous devenez populaire.
04:46
Deuxième temps, il y a un OQTF qui est dans l'actualité parce qu'il a commis un meurtre.
04:52
Il y a tel ou tel délinquant qui fait aussi les gros titres de la presse.
04:57
Et ça se retourne vers le ministre de l'Intérieur.
04:59
On lui dit, vous êtes arrivé avec tambours battants
05:03
et vous nous avez promis d'avoir des résultats.
05:04
Mais là, il y a un OQTF qui vient de commettre un meurtre
05:06
et qui n'a toujours pas été expulsé.
05:08
Donc, c'est pourquoi le ministère de l'Intérieur fonctionne en deux temps.
05:10
Il est possible que Bruno Rotailleau s'en aille avant le deuxième temps.
05:13
En tous les cas, ce matin, il a dit au micro de Sonia Mambrouk
05:16
qu'il était au service des Français.
05:17
Quand elle a orienté sur potentiellement ses ambitions.
05:20
Véronique Jaquet.
05:22
Oui, je pense que la circulaire établie par Bruno Rotailleau
05:26
veut en fait changer l'exceptionnel qui était devenu la norme
05:30
et qui était devenu un droit.
05:31
C'est-à-dire, on régularise à tout crin, c'est un droit.
05:35
Et donc, il y avait une forme de pompe aspirante à venir en France
05:38
en estimant que c'est par cette voie-là qu'on arrivait à être plus vite français,
05:45
enfin, à rester sur le sol français que par la voie normale.
05:48
Donc, ça avait quand même quelque chose d'ubuesque
05:50
et le ministre de l'Intérieur l'a très bien expliqué.
05:52
Alors, si j'ai bien compris les choses d'ailleurs,
05:54
il y a une deuxième circulaire qui est en préparation
05:57
pour renforcer la surveillance aux frontières
05:59
et une troisième qui concernerait la relation avec les consulats étrangers.
06:04
Donc, on voit qu'il y a aussi quand même une forme de cohérence
06:06
chez Bruno Rotailleau pour agir sur l'immigration
06:10
liée aussi à l'insécurité.
06:12
Et puis, ce qui me paraît intéressant à soulever,
06:15
c'est que dans cette idée de non-régularisation rapide,
06:21
puisqu'il faudrait 7 ans de présence sur le sol français
06:24
pour prétendre à quoi que ce soit,
06:26
il y a quand même le distinguo avec la régularisation
06:29
sur les métiers en tension.
06:31
Là, il y aurait un petit assouplissement,
06:32
il y a 30 000 régularisations de ce type
06:37
et là, on accorderait un petit peu plus de droits à la régularisation
06:41
pour certains métiers en tension,
06:43
c'est-à-dire des salariés qui travaillent dans les EHPAD,
06:45
qui travaillent dans les hôpitaux,
06:46
qui travaillent dans les restaurants.
06:48
Et en revanche, on sert la vie, si j'ose dire,
06:52
pour ce qui est regroupement familial
06:54
ou pour ce qui est régularisation d'étudiants.
06:57
Ça me paraît là aussi une question de bon sens.
06:59
Allez, Nathan et Noémie, j'aimerais vous entendre tous les deux
07:01
juste avant la première pause publicitaire.
07:03
Non, mais on comprend qu'il sert la vie
07:04
pour des raisons de convictions personnelles,
07:06
parce que lui-même s'est toujours engagé contre l'immigration illégale,
07:10
mais aussi parce qu'on arrive à un moment de l'histoire
07:12
où il y a une demande populaire.
07:14
La souveraineté populaire, c'est quelque chose qui compte,
07:15
malgré tout, en politique, même si certains l'ont oublié.
07:18
Et effectivement, il citait d'ailleurs au cours de son discours tout à l'heure,
07:21
ces sondages qui montrent que 70 % des Français,
07:24
vous l'avez dit brièvement Thierry,
07:25
réclament plus de fermeté sur ces sujets.
07:28
Donc, il y a un moment où lorsque vous êtes au pouvoir,
07:29
vous devez aussi tendre l'oreille et écouter ce que le peuple réclame.
07:33
Vous devez aussi porter la voix de ce que nous demandent les Français
07:37
et c'est ce qu'il fait aujourd'hui en prenant des dispositions
07:39
qui, comme il le dit, vont serrer la vie sur cette question de l'immigration illégale.
07:44
Il ne fait que répondre à une demande populaire qu'il entend
07:48
et il se trouve par ailleurs que ça vient rejoindre des convictions personnelles
07:53
sur lesquelles il travaille depuis un certain nombre d'années.
07:55
Mais là, c'est vrai que c'est son heure, c'est son moment.
07:57
Et en plus, encore une fois, ce qu'il dit rejoint des aspirations
08:02
qui sont évoquées régulièrement dans les sondages d'opinion des Français.
08:05
Et ce matin au micro d'Océania, il a fait référence à sa collaboration
08:09
avec M. Migaud en disant qu'il était important
08:12
que l'intérieur et la justice fonctionnent ensemble.
08:15
C'est une espèce de petit tacle comme ça.
08:18
M. Migaud se laissant entendre que finalement,
08:20
ça semblerait mieux marcher avec M. Darmanin, à temps de verre.
08:25
Oui, je crois que de manière générale,
08:28
la stratégie de M. Retailleau au ministère de l'Intérieur,
08:31
et c'est une stratégie qui est, à mon avis, sincère.
08:33
Ce n'est pas du cynisme.
08:34
Ça veut dire que c'est exactement l'application de ses convictions.
08:37
Mais c'est une stratégie qui est comparable à celle de Nicolas Sarkozy.
08:40
Vous parliez tout à l'heure d'ailleurs des méthodes,
08:42
comment gérer le calendrier, la temporalité au ministère de l'Intérieur.
08:45
Il fait un peu ce que Nicolas Sarkozy avait fait en son temps,
08:48
c'est-à-dire, en gros, essayer d'aspirer les voix du Rassemblement national,
08:55
jadis pour Nicolas Sarkozy, notamment des électeurs du Front national,
08:59
en allant un peu sur leur terrain.
09:02
Par ailleurs, Bruno Retailleau, je pense qu'il pense exactement chaque mot,
09:05
chaque virgule de ce qu'il dit, qu'il n'est pas dans une logique de cynisme.
09:09
Nicolas Sarkozy, c'est moins sûr.
09:11
Peut-être qu'il avait vu qu'il y avait un intérêt politique.
09:13
Bruno Retailleau a toujours fait sa carrière quand il était sénateur,
09:16
quand il était pour François Fillon, sur ce genre de thème.
09:19
Alors ensuite, vous avez raison, en démocratie,
09:22
on doit évidemment se soumettre à ce que pense la majorité des citoyens,
09:28
et c'est le principe même de la démocratie.
09:31
Moi, ce que je constate quand même, c'est que la grandeur aussi d'un homme d'État,
09:35
c'est parfois d'aller, non pas forcément à l'encontre de l'opinion,
09:38
mais en tout cas, de rappeler des réalités.
09:40
Et je crois que, par exemple, sur la question des régularisations,
09:42
il faut revenir à du concret, la plupart des gens qui sont sans papier,
09:46
qui ne sont pas régularisés, en tout cas pour un très grand nombre d'entre eux,
09:48
ce sont des gens qui travaillent, et qui travaillent dans des conditions
09:51
qui sont souvent non déclarées, qui sont donc extrêmement difficiles,
09:54
qui sont extrêmement mal payées, parce que quand vous n'êtes pas déclaré,
09:57
vous n'avez aucun encadrement légal.
09:59
Et puis, évidemment, avec un phénomène qui a été étudié depuis Marx et bien avant,
10:03
c'est que dans ce genre de situation, quand vous faites venir des gens
10:06
dans des situations qui ne sont pas encadrées,
10:08
que vous les sous-payez dans des conditions de travail très dures,
10:10
ça fait baisser les salaires de manière générale.
10:12
Donc, je crois aussi qu'il y a quelque chose, ça pourrait être expliqué,
10:15
vous voyez, ce n'est pas l'idéologie de M. Retailleau,
10:18
mais ça serait possible qu'un ministre de l'Intérieur explique
10:20
que les choses ne sont pas forcément aussi simples
10:24
que la manière dont elles sont présentées dans le débat public.
10:26
Allez, on marque une pause sur Europe 1 et sur CNews.
10:30
On se retrouve avec nos invités du soir dans quelques instants.
10:33
Et on parlera de l'autre dossier prioritaire pour Bruno Retailleau,
10:36
la lutte contre les narcotrafiquants.
10:38
À tout de suite.
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