Donald Trump avait promis à ses électeurs qu'il arrêterait la guerre en Ukraine avant même de s'installer dans le Bureau ovale de la Maison-Blanche le 20 janvier. Ou, du moins, que vingt-quatre heures lui suffiraient pour convaincre Poutine de cesser le combat et pour contraindre Zelensky à oublier ses ambitions de reconquête de ses provinces perdues. Aussi, une seule chose compte pour lui : éviter de commencer sa présidence par un fiasco pour l'Amérique, comparable à celui qu'avait connu Joe Biden en août 2020, tout juste huit mois après son investiture.