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  • il y a 1 an
François Cocq :«Si on décide de reprendre sa souveraineté, ça oblige Bruxelles à bouger. [...] Quand la souveraineté populaire se réapplique dans un pays, Bruxelles est obligée de changer sa ligne directrice.»

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Transcription
00:00Si on ne capitule pas devant Bruxelles et qu'on décide de reprendre le contrôle et qu'on décide de reprendre sa propre souveraineté,
00:06ça oblige Bruxelles et Mme von der Leyen à bouger.
00:09Pourquoi est-ce que Mme von der Leyen...
00:10C'est pour ça qu'elle avance un pion là.
00:11Parce qu'il y a quelques semaines, c'est l'Allemagne, c'est l'Allemagne qui a dit qu'elle allait reprendre le contrôle de ses frontières.
00:15Qui l'a fait d'ailleurs.
00:16Qui allait pouvoir rentrer en Allemagne.
00:20Rétablissement des contrôles pour 6 mois.
00:21Mme von der Leyen sent le vent du boulet là.
00:24Il y a la pression populaire.
00:27Pour ceux qui nous disent qu'on ne peut rien faire contre l'Union européenne et qu'il faut se plier à leur directive et à leur règlement,
00:34ils voient qu'à un moment donné, quand la souveraineté populaire et la souveraineté nationale se réappliquent dans un pays,
00:40Bruxelles est bien obligée, d'une manière ou d'une autre, sinon de suivre, du moins en tout cas de changer sa ligne directrice.
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