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Rachel Rama (Bayer): «Aujourd’hui, la recherche s’adapte aux nouveaux défis agricoles grâce à des technologies innovantes comme l’IA»
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il y a 1 an
Dans le cadre de notre conférence « Nourrir la planète: comment réarmer la ferme France ? », notre journaliste Emmanuelle Ducros reçoit Rachel Rama, responsable Recherche et Développement pour les produits de protection des cultures chez Bayer
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On va parler plantes, on va parler culture, on va parler protection des cultures aujourd'hui sur le
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plateau de l'opinion. Je suis très heureuse de vous recevoir. Bonjour Rachel Rama, vous êtes la
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responsable de la R&D pour les produits de protection des cultures chez Bayer. Vous êtes
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une chercheuse et on va parler aujourd'hui du nouvel état d'esprit de la recherche et des
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nouvelles technologies qu'on utilise dans la recherche pour la protection des plantes. C'est
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un monde qui est en grand changement. D'abord, il y a un point qui va peut-être vous paraître
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à vous assez banal mais qui ne l'est pas pour le grand public à mon avis. Pourquoi est-ce qu'il
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faut protéger les plantes des ravageurs ? Ce n'est pas une évidence. Pourquoi est-ce qu'il
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faut le faire ? Le monde agricole aujourd'hui fait face à de nombreux défis et notamment le
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changement climatique, les changements aussi de notre demande en tant que consommateur, la
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souveraineté alimentaire. La protection des cultures est au centre de tout ça. Là aussi,
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il faut qu'on change et qu'on évolue. Je suis une scientifique, alors je vais dire d'une équation
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qui est assez compliquée. Il faut continuer à produire pour nourrir la planète et les gens
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qui sont de plus en plus nombreux. En même temps, il faut faire attention aux ressources de la
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planète et à l'environnement et tout ça dans un contexte qui est quand même compliqué,
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qui est le contexte du changement climatique. C'est pour ça qu'aujourd'hui, on se remet en
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question et on se dit que si les choses changent, il faut aussi que la recherche change et que nos
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solutions s'adaptent à ces nouveaux défis. Justement, il y a des nouveaux défis. Comment
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est-ce que vous, en tant que chercheur, vous pensez que vous pouvez accompagner les agriculteurs dans
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ces nouveaux défis de protection des plantes avec toutes ces données que vous venez dénumérer ? La
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nécessité de produire, la biodiversité à laquelle il faut faire attention, l'eau,
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les ressources. Qu'est-ce qui a changé dans l'état d'esprit ? Comment est-ce qu'on envisage
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les choses maintenant ? On cherche des solutions qui sont plus précises et puis des solutions que
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l'on va pouvoir combiner parce que la protection des cultures, c'est plusieurs types de solutions.
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Elles sont variées et comme on le disait, on peut les utiliser ensemble. C'est une boîte à outils
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pour les agriculteurs et il faut maintenir cette boîte à outils puisqu'on a tendance à vouloir
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enlever des choses. Mais en fait, il ne faut pas enlever, il faut faire mieux et il faut avoir
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plus d'outils. Donc, ça va de la semence qui va être plus résistante à des maladies, ça va des
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biocontrôles, la partie digitale aussi. Et puis aussi dans la chimie conventionnelle, on peut
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faire aussi de l'innovation et avoir des choses un petit peu plus précises et je dirais un peu
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plus techniques que ce qu'on a aujourd'hui. C'est-à-dire qu'on sort d'une époque où on avait
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un problème, une molécule en gros et on sort avec un peu plus de subtilité que ça. Et donc, là
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maintenant, vous avez une nouvelle approche, vous dans votre laboratoire. Alors, vous vous dites,
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c'est comme chercher, trouver des clés plus efficaces pour les serrures qu'on a identifiées.
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Alors, vous avez appelé ça CropKey, c'est votre manière de définir la façon dont vous faites de
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la recherche. Vous l'expliquerez sans doute beaucoup mieux que moi. Qu'est-ce que ça veut
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dire CropKey, la clé pour les récoltes ? Oui, c'est la clé des champs, la clé des moissons,
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pour être un petit peu politique. Alors, avant de parler de CropKey, il faut juste comprendre
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quelque chose en biologie. C'est-à-dire que tous les êtres humains, ils sont faits de protéines.
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Et les ravageurs, c'est-à-dire les maladies des plantes, les mauvaises herbes, mais aussi les
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insectes ravageurs, ils sont faits de protéines. Ça, c'est important. Et si on peut stopper
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l'activité d'une de ces protéines, qui est vitale pour la survie du ravageur, eh bien,
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on va le stopper dans son action et dans sa menace sur la culture. Donc, nous, ce qu'on fait,
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c'est qu'avant, on partait de la molécule, parce qu'on stoppe une protéine avec une molécule. Et
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avant, on partait des molécules. On achetait des molécules et on les testait, nos chercheurs
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les testaient, une par une. On a testé environ 150 000 par an, en espérant en trouver une qui
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allait avoir l'activité qu'on veut, fongicide, herbicide, insecticide. C'était un peu Colin
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Maillard, on tâtonnait avec les yeux bandés. Voilà, on testait et puis on héritait de la
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chimie qu'on avait trouvée. Et là, on a décidé de tout changer. On s'est dit, on va retourner la
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table, enfin, retourner la paillasse, puisqu'on est dans un laboratoire. Et on s'est dit, on va
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le faire tout à l'envers, parce que pour être plus précis, ce qu'on dit, pour être plus
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intentionnel dans ce qu'on fait, on va partir maintenant de la protéine. Donc, on va aller
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chercher dans les ravageurs la protéine qu'il va falloir cibler. Celle qui agit et qui cause
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l'activité. Voilà, qui cause l'activité. Donc, on va aller la chercher. Et il y en a des millions
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de protéines. Et avant, on n'avait pas accès à toutes ces protéines. Donc là, on va aller chercher
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la bonne protéine, qui est notre verrou du CropKick. Et puis après, une fois qu'on a notre protéine,
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qu'on la connaît, on peut aller concevoir de manière très, très, très, très précise la clé,
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la molécule, qui va s'adapter seulement à cette serrure. Quand on est en train de designer cette
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clé, en tout cas de lui donner forme, qu'est-ce qu'on peut utiliser comme outil pour justement,
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pour la sculpter en fait, cette clé, comme si on était un serrurier du vivant ? Mais comment
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est-ce qu'on fait alors ? Oui, puis c'est intéressant, parce qu'en fait, les gens
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peuvent se dire, mais pourquoi maintenant, on peut révolutionner la chimie ? On en fait depuis
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longtemps. Qu'est-ce qui a changé ? Exactement. Et donc, qu'est-ce qui a changé ? C'est les
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technologies qu'on a maintenant. Depuis cinq ans, vous voyez bien avec votre smartphone,
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avec ChatGPT, avec tout ça, il y a des nouvelles technologies qui sont aussi accessibles aux
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chercheurs et qui révolutionnent complètement la façon dont on peut travailler. Donc, on parlait
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de cette protéine. Une fois qu'on l'a trouvée, c'est compliqué de produire les protéines,
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de les extraire et de les produire. Aujourd'hui, on peut travailler sur des protéines en virtuel.
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D'accord, on les modélise. Voilà, on va les modéliser. Et donc ça, on a un algorithme,
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un nouveau algorithme qui s'appelle, personne ne connaît, mais AlphaFold, qui est bien connu
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par les chercheurs par contre, même en santé humaine, puisque c'est quelque chose qui est
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très utilisé. Et avec cet algorithme, il peut, à partir du génome de la protéine, qui est
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complètement plat, il va modéliser la structure 3D de la protéine. Il va nous la redonner dans
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l'espace. En fait, il donne une espèce de guide de fabrication. Mais en fait, il va nous faire
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apparaître la structure de la serrure. D'accord. Parce que si vous ne l'avez pas, et avec cette
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structure de la serrure, qu'est-ce qu'on peut faire ? On peut designer notre clé. C'est
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l'intelligence artificielle au secours du design de la protéine, si je comprends bien ? Oui,
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qui replie la protéine comme il faut, et qui nous permet de designer la clé, la molécule qui va
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fitter complètement avec cette serrure. Donc ça, sans l'intelligence artificielle, on n'avait pas
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accès à toutes ces protéines qui sont difficiles à produire avant, il les fallait physiquement.
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D'accord. Et ça, il y en a qui sont enchassées dans les membranes, qui sont à des endroits où on ne peut pas...
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Et maintenant, une fois qu'on a le modèle, on peut plus facilement la produire physiquement ?
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En tout cas, on n'en a pas besoin au départ. D'accord. On gagne du temps. On gagne du temps,
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parce qu'au départ, elle ne peut être que virtuelle. Et l'intelligence artificielle va
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nous aider aussi pour designer la clé. Parce que cette clé, il faut qu'elle soit super précise.
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Et donc, on va utiliser l'intelligence artificielle, et on a notre chat GPT à nous,
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qui est de l'intelligence artificielle générative, qui a appris tout ce qu'on a fait. Jusqu'à présent,
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on lui a tout donné, toutes les informations. Ça fait très longtemps qu'on fait de la chimie à l'extérieur.
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Et lui, il va nous aider à designer la protéine avec toutes les caractéristiques qu'on a besoin
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au niveau de la durabilité, de la sécurité humaine, de l'environnement. On lui dit, on lui dit,
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voilà, on veut ça, ça, ça, ça, ça, ça. Il va chercher dans tout ce qu'on a fait avant,
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et au lieu de nous proposer un texte comme chat GPT, il nous propose des molécules. Voilà.
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Et donc, ça, ça nous permet d'avoir des chimies qu'on n'a peut-être jamais regardées.
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Ça nous étonne des fois même, je vous dirais franchement. Et c'est sympa parce que nos chercheurs, ils disent,
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tiens, ça, j'aurais peut-être pas pensé de mettre à cet endroit-là. Donc, ça nous permet d'avoir des points de départ
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qui sont beaucoup plus précis.
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Et est-ce que ça veut dire qu'on raccourcit aussi certaines étapes de laboratoire qui peuvent être extrêmement longues,
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avec beaucoup d'erreurs ? Là, on fluidifie le processus de recherche ?
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Voilà, tout à fait. Tout à fait. Parce que quand vous n'avez pas à produire physiquement votre molécule,
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physiquement votre protéine, vous pouvez. C'est un peu ça. Moi, des fois, je dis, on a créé notre Tinder,
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parce qu'en fait, on a une protéine virtuelle, on a une molécule virtuelle, et on peut les tester virtuellement
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si elles matchent ou elles ne matchent pas. Donc, tu sais, je matche, je ne matche pas,
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et ça nous permet de sélectionner des chimies qui sont très précises.
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Et alors, est-ce qu'on en a déjà de ces chimies très précises qui sont effectives et qui sont dans les champs
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ou sur le point de l'être ? Alors, on a beaucoup de choses. Alors, on a commencé il y a 5 ans la recherche,
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même si ça va un peu plus vite avec l'intelligence artificielle, ça prend quand même du temps.
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On a à peu près 30 protéines aujourd'hui qu'on investigate, qu'on travaille. Donc ça, ça ne nous est jamais arrivé
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d'en avoir 30 d'un coup comme ça. Ça, c'est possible aussi. C'est impressionnant. Donc voilà. Donc ça, on les travaille
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et on les fait avancer dans le processus de recherche. Et puis, on a notre première molécule qui va arriver
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dans les champs en 2030 et qui est un herbicide et qui provient de cette façon de faire, de cette nouvelle façon
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de faire la recherche, CropKey, et qui est un herbicide pour les mauvaises herbes en poste levé pour les grandes cultures.
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Donc, cet herbicide-là, il va cibler précisément un type de mauvaise herbe et pas les autres et pas les insectes autour.
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Et il a un nouveau, ce qu'on appelle nouvelle protéine, ce qu'on n'a pas encore dit, mais nouvelle protéine veut dire
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nouveau mode d'action. Et on entend souvent qu'il y a des résistances qui se développent sur les anciennes molécules.
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Et là, on va aller casser la résistance avec ce nouveau mode d'action parce que ce n'est pas la même protéine,
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ce n'est pas la protéine d'avant.
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D'accord. Donc, on change complètement la façon de faire et même peut-être d'appliquer ?
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Alors, vous avez raison, la matière active, ce n'est pas le produit. Après, on va aller travailler la formulation,
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puis on va aller travailler comment on va l'appliquer dans le champ. Et aujourd'hui, il y a plein de solutions modernes
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pour appliquer les produits et pour en appliquer moins. Parce qu'on parle toujours des volumes des produits
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et on peut réduire ces volumes avec de l'application de précision.
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De la précision et moins de volume. Ça veut dire que les chercheurs dans les laboratoires, ce n'est plus les mêmes qu'il y a 30 ans.
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Qu'est-ce que c'est les nouveaux profils qui sont dans vos laboratoires ?
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Oui, c'est vrai qu'on a beaucoup changé. On a des nouveaux profils et on appelle ça des profils hybrides.
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Parce qu'en fait, on va avoir des gens qui sont vraiment très pointueux en intelligence artificielle.
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Et puis après, on demande à nos chimistes, biologistes, biochimistes d'être hybrides.
11:17
C'est-à-dire qu'ils doivent apprendre à utiliser ces algorithmes. C'est très, très différent.
11:24
Moi, ça fait 20 ans que je suis dans la recherche, mais je ne faisais pas de la recherche du tout comme ça quand je suis rentrée dans la boîte.
11:31
Là, vous êtes biologiste, mais il faut que vous sachiez utiliser les algorithmes.
11:36
Et si je regarde, on s'est amusé un peu à regarder ce qu'on faisait dans les laboratoires, je crois que 80% de ce qu'on fait aujourd'hui,
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il y a cinq ans, soit on n'aurait pas pu le faire, soit on l'aurait fait de manière complètement différente.
11:48
Vous n'imaginez même pas qu'on pouvait le faire.
11:50
C'était presque de la science-fiction. Moi, quand j'ai commencé, c'était le séquençage d'ADN qui était vraiment la révolution aujourd'hui.
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Séquencer l'ADN, c'est une commodité, c'est facile. Donc, vous voyez, en 20 ans, comme ça évolue,
12:05
c'est bien qu'on puisse utiliser des nouvelles technologies. Et c'est pour ça que moi, quand j'entends
12:09
qu'il n'y a pas d'innovation possible en protection des cultures, mais bien sûr que si.
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Est-ce que c'est un espoir aussi pour les jeunes générations qui veulent des métiers avec du chance,
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des métiers qui fassent la différence pour l'environnement, pour le changement climatique, pour les grands défis ?
12:30
Est-ce qu'on peut leur dire aujourd'hui, la protection des cultures, on a laissé ça de côté pendant des années
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parce que c'était un peu méprisé comme travail. Aujourd'hui, on peut vraiment avoir des effets de levier fantastiques sur la manière de faire.
12:42
Exactement. Et qu'est-ce qu'il y a de mieux que d'avoir un job qui a du sens ? Moi, en tout cas, ça me remplit.
12:49
Je me dis tout le temps, j'apporte ma petite pierre à l'édifice. Et des fois, quand on a des jeunes qui viennent chez Bayer
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et qui nous titillent un petit peu sur ce qu'on fait, je leur dis, venez. Venez voir. Et puis, venez, au lieu de se plaindre,
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de dire qu'il n'y a pas de solution, essayez de trouver la solution avec nous. Parce que nous, on cherche tous les jours,
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on y met toute notre passion. Je peux vous dire, le temps, les chercheurs, c'est comme ça. Et on ne lâchera pas.
13:18
Et donc, il faut venir et chercher la solution. Faire beaucoup mieux avec beaucoup moins, c'est de l'ordre du possible désormais ?
13:27
Oui. Avec la précision qu'on a aujourd'hui, les précisions d'application, la précision dans les molécules, dans tout, on va pouvoir le faire.
13:36
Merci beaucoup, Rachel Rama. C'était passionnant. C'était technique. On a compris qu'il y avait des clés dans les plantes
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et qu'il fallait aller les chercher et chercher les clés. Je vous remercie d'être venue nous en parler sur le plateau de l'opinion.
13:46
Merci beaucoup.
13:47
Je vous souhaite une très bonne journée.
13:48
Merci.
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