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Interview d'Hussein Bourgi, sénateur de l’Hérault, défenseur des droits LGBT+
HERAULT TRIBUNE
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il y a 2 ans
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00:00
Le 17 mai, Journée internationale de lutte contre les LGBT+, phobie,
00:04
une date importante qui renvoie à 1980.
00:07
Qui renvoie en réalité en France à 1983,
00:12
puisque effectivement c'est suite à l'élection de François Mitterrand le 10 mai 81,
00:17
que quelques semaines plus tard, Gaston Deferre, ministre de l'Intérieur,
00:21
supprime les fichiers des homosexuels dans les préfectures,
00:24
que Robert Badinter en 82 dépénalise l'homosexualité,
00:29
et en 1983, celui qui était ministre de la Santé en France,
00:33
dans le gouvernement de François Mitterrand, Jacques Ralit,
00:37
retire l'homosexualité de la liste des maladies mentales.
00:40
Après 1983, il a fallu attendre 7 ans,
00:43
et il a fallu attendre le 17 mai 1990,
00:47
pour que l'OMS, l'Organisation mondiale de la santé,
00:50
retire à son tour l'homosexualité de la liste des maladies mentales.
00:53
C'est la raison pour laquelle, lorsqu'il a fallu choisir une date
00:56
qui fasse sens au niveau mondial, au niveau international,
00:59
pour créer cette journée contre la discrimination
01:02
que subissent les personnes LGBT,
01:04
on a choisi cette date, qui est une date internationale,
01:07
qui était la date du 17 mai 1990,
01:09
pour organiser, partout dans le monde, le 17 mai 2005,
01:13
donc 15 ans plus tard, la première journée de mobilisation,
01:16
de sensibilisation, d'information et de prévention comme aujourd'hui.
01:19
On a quand même un peu l'impression que c'était hier.
01:22
Effectivement, le temps passe très très vite.
01:25
Moi, je me vois en 2005,
01:28
pour moi c'était hier ou avant-hier, sur la place de la Comédie,
01:31
on était 4 ou 5 à tenir un stand, à distribuer des tracts,
01:35
pour informer les gens qui passaient,
01:38
et beaucoup de gens ne savaient pas c'était quoi cette journée,
01:41
ils ne savaient même pas c'était quoi l'homophobie, c'est quoi, c'est quoi,
01:44
et donc il a fallu faire de la vulgarisation, il a fallu faire de la pédagogie.
01:48
Et donc, aujourd'hui, beaucoup de temps est passé, entre temps,
01:53
et puis aujourd'hui, ça a une présence beaucoup plus affermée,
01:56
beaucoup plus importante dans les médias,
01:59
dans les administrations, chez les pouvoirs publics,
02:02
donc c'est bien, finalement, on a pas mal fait de chemin
02:06
pour continuer à sensibiliser l'opinion publique,
02:09
sensibiliser les enseignants, sensibiliser les parents,
02:12
et informer la société.
02:14
La parole s'est libérée, les symboles se sont multipliés aussi,
02:17
il y a quand même une haine qui est là,
02:20
on voit au rapport et aux chiffres qui apparaissent,
02:23
on est quand même jamais loin de la catastrophe.
02:25
Alors, effectivement, le côté positif, c'est qu'il y a beaucoup plus de visibilité,
02:30
beaucoup plus de parole publique, beaucoup plus d'action,
02:33
et donc, aujourd'hui, il y a davantage de gens qui sont informés qu'il y a quelques années.
02:40
A contrario, avec les réseaux sociaux, on se rend compte que la haine,
02:46
qu'elle soit raciste, qu'elle soit sexiste, qu'elle soit antisémite,
02:50
ou qu'elle soit homophobe, se libère.
02:52
Et effectivement, on a une forme de résurgence, de recrudescence,
02:58
de paroles haineuses, de paroles injurieuses,
03:01
et finalement, les gens se cachent derrière leurs écrans,
03:04
ou se cachent parfois derrière un pseudo,
03:06
ce qui est beaucoup plus lâche et moins courageux,
03:08
pour balancer des saloperies à caractère antisémite,
03:11
à caractère sexiste, à caractère homophobe.
03:13
Et aujourd'hui, lorsqu'on regarde les réseaux sociaux,
03:16
on se rend compte que lorsqu'on veut atteindre une femme,
03:19
lorsqu'on veut atteindre une jeune femme, une collégienne, une lycéenne,
03:23
on va la traiter de pute,
03:25
et on va balancer des informations qui n'en sont pas,
03:29
parfois c'est des fake news, c'est des mensonges,
03:32
pour justement dégrader l'image de cette personne.
03:36
Et finalement, en faisant passer une femme, une jeune femme, une adolescente,
03:41
pour une pute, on la touche dans son identité,
03:46
et dans sa dignité, et dans son image.
03:49
Et pour quelqu'un qui est jeune, qui est en train de se construire,
03:54
de s'affirmer, ça vient impacter l'estime de soi.
03:59
Pour les garçons, qu'ils soient homosexuels ou pas d'ailleurs,
04:04
la meilleure façon qui est choisie pour ceux qui veulent les dégrader,
04:08
qui veulent les humilier, les rabaisser,
04:10
même s'ils savent très bien que la personne en question,
04:14
que le gars en question est hétérosexuel, a une femme ou une copine,
04:18
on va le traiter de pédé, de pédale ou d'enculé.
04:21
Parce qu'effectivement, c'est devenu l'insulte,
04:25
le statut le plus dégradant, le plus inférieur.
04:28
Et donc finalement, on voit se multiplier ce genre de propos haineux.
04:34
Alors quelqu'un qui est hétérosexuel,
04:37
finalement va vouloir se venger, va vouloir se défendre
04:40
pour prouver qu'il n'est pas homosexuel.
04:42
Et quelqu'un qui est homosexuel, au contraire,
04:44
lui va prendre ça de plein fouet,
04:46
et de la même manière que la femme qui a été traitée de pute,
04:50
va se sentir finalement touchée dans son identité,
04:54
dans ce qui fait sa personnalité,
04:57
et finalement, on porte atteinte à la dignité des personnes.
05:00
Et vous savez, quand on porte atteinte à votre dignité,
05:03
une fois, deux fois, en vous insultant,
05:05
vous pouvez dire « je m'en fiche ».
05:07
Mais quand ça devient quelque chose de répétitif,
05:10
ça finit par miner le moral,
05:12
ça finit par miner la psychologie de la personne,
05:15
et c'est là où on commence à avoir des gens qui ont une phobie.
05:18
Une phobie, par exemple, d'Internet, d'aller sur les réseaux sociaux.
05:22
Et parfois, lorsqu'ils n'ont pas de compte pour aller sur Facebook,
05:26
ou sur Insta ou sur Snapchat,
05:28
ça n'empêche pas les agresseurs de continuer à balancer des saloperies sur eux.
05:33
Et ce sont des gens de leur entourage, de leur famille, de leurs amis,
05:36
qui ont dit « t'as vu ce qu'il a fait ? »
05:38
Ils ont mis encore une photo de toi,
05:40
ils ont encore mis un commentaire sur toi.
05:42
Et c'est ce qui fait que la personne est systématiquement poursuivie,
05:46
persécutée, quasiment traquée.
05:49
Il n'y a même pas besoin d'être persécutée
05:51
pour subir finalement de la discrimination
05:54
par rapport à son identité ou son orientation.
05:57
Il y a aussi, vous avez parlé du cas du vieillissement
06:00
et de l'accompagnement des personnes vieillissantes,
06:02
où en fait, on est obligé de revendiquer
06:04
puisqu'on n'est pas assez défendu sur le papier.
06:06
Alors, quelqu'un qui arrive dans une structure d'hébergement collectif,
06:12
alors on s'en rend compte souvent.
06:14
Dès qu'il y a un endroit où on accueille quelqu'un,
06:17
on peut accueillir une personne pour la journée.
06:20
Mais quand la personne est obligée de vivre avec vous,
06:23
y compris le soir, parfois le week-end,
06:25
très rapidement, on vous pose des questions.
06:29
Et il y a des exemples qui ont été démontrés
06:34
entre l'époque où on faisait le service militaire,
06:37
les questions qu'on se posait pour faire connaissance.
06:40
Prénom, nom, tu viens d'où,
06:43
qu'est-ce que tu as fait dans la vie, etc.
06:46
Où habitais-tu avant de venir à la caserne
06:48
et ensuite, est-ce que tu as une copine ?
06:51
Et certains, pour personnaliser leur environnement,
06:55
mettaient des photos de leur famille, de leurs copines justement,
06:58
sur la porte de leur armoire.
07:00
Mais quelqu'un qui faisait son service militaire
07:02
parce qu'il n'avait pas d'autre choix,
07:04
qui n'avait pas de copine,
07:06
pour faire comme les autres, soit monter,
07:08
soit s'en inventer une.
07:10
De la même manière, quand vous avez des élèves
07:12
qui sont à l'internat, dans les BAU, dans les lycées,
07:15
très rapidement, pareil,
07:17
quand on passe parfois 24 heures sur 24 avec quelqu'un,
07:21
arrivent des questions, parce que l'être humain
07:23
a besoin de savoir qui est l'autre,
07:25
qui est celui qui partage le même dortoir,
07:27
qui est celui qui est dans la même classe
07:29
avec laquelle je vis quasiment.
07:31
Et finalement, à cet âge-là,
07:33
on partage beaucoup plus de temps
07:35
avec ses camarades de lycée
07:37
qu'avec ses propres parents.
07:39
Et effectivement, dès qu'on suspecte
07:41
une homosexualité,
07:43
une transidentité,
07:45
ça devient l'enfer pour celui ou celle
07:47
qu'on veut absolument exclure du groupe.
07:49
Et lorsqu'arrive l'âge de la retraite,
07:51
on va dans les maisons de retraite
07:53
et pas dans les EHPAD.
07:55
Et souvent, dans les EHPAD ou les maisons de retraite,
07:57
il y a des personnes qui vont raconter leur vie,
07:59
qui vont parler de leurs enfants,
08:01
de leurs petits-enfants.
08:03
Mais quelqu'un qui est homosexuel
08:05
ou qui est lesbienne
08:07
peut difficilement faire comme les autres,
08:09
parler des enfants ou des petits-enfants,
08:11
parce que l'âge étant, parfois,
08:13
on a moins de capacité
08:15
de se souvenir de ce qu'on avait raconté
08:17
sur les enfants ou les petits-enfants
08:19
qu'on n'a pas.
08:21
On est suspect de ne pas avoir de visite
08:23
de ces enfants ou de ces petits-enfants.
08:25
Donc tout simplement pour dire qu'il faut absolument
08:27
qu'on puisse former le personnel
08:29
à accueillir les personnes qui avancent en âge
08:31
et qui sont homosexuelles,
08:33
aussi dans les maisons de retraite et dans les EHPAD,
08:35
pour ne pas que cette chape de plomb
08:37
vienne s'abattre sur eux,
08:39
parce qu'aller dans un EHPAD
08:41
ou une maison de retraite,
08:43
ce n'est jamais anodin,
08:45
ce n'est jamais simple,
08:47
ce n'est jamais facile,
08:49
il faut que la personne qui avance en âge
08:51
soit obligée de continuer à mentir,
08:53
à feinter,
08:55
à raconter des salades
08:57
pour ne pas être
08:59
découverte ou pour ne pas être
09:01
trahie, tout simplement.
09:03
Et donc on a besoin de former le personnel
09:05
à un accueil qui soit un accueil bienveillant de tout le monde.
09:07
Et au niveau de la législation,
09:09
vous avez mentionné le cas d'une concert
09:11
qui fait partie de la commission
09:13
des lois, qui va faire une proposition
09:15
de loi. Est-ce que vous pouvez nous en parler,
09:17
la proposition ?
09:19
Aujourd'hui, en France,
09:21
le ministère de la Santé, la haute autorité de santé
09:23
a créé un protocole,
09:25
un parcours, lorsque vous avez
09:27
des personnes qui
09:29
ne se sentent pas
09:31
dans l'identité, dans le corps
09:33
de naissance.
09:35
Ça veut dire qu'une personne qui est dans un corps
09:37
masculin peut se sentir
09:39
davantage femme qu'homme.
09:41
Ou une personne qui est dans un corps féminin
09:43
peut se sentir davantage
09:45
homme que femme. On parle justement
09:47
de transidentité.
09:49
Il y a depuis maintenant plusieurs
09:51
décennies des accompagnements
09:53
qui ont été mis en œuvre dans beaucoup de pays
09:55
dans le monde, mais en France depuis plus
09:57
récemment, qui permettent à une équipe
09:59
d'accompagner la personne dans son
10:01
parcours. Accompagner, ça veut dire quoi ?
10:03
Ça veut dire des entretiens avec une équipe
10:05
médicale pour le
10:07
traitement hormonal, pour
10:09
ensuite l'opération
10:11
chirurgicale, pour aussi
10:13
pour celles et ceux qui le souhaitent
10:15
et peuvent être nombreux et nombreuses
10:17
un accompagnement psy.
10:19
C'est une thérapie sur le long terme
10:21
qui est mise en place.
10:23
On a un protocole qui existe, un
10:25
protocole qui est encadré médicalement,
10:27
scientifiquement, et
10:29
une reconnaissance de l'État par
10:31
le ministère de la Santé, la Haute Autorité de Santé, la
10:33
CPAM, qui prend en charge
10:35
justement ces dépenses-là pour permettre
10:37
à cette personne tout simplement de vivre mieux.
10:39
Parce qu'effectivement, être dans un corps
10:41
qui n'est pas celui dans lequel on se projette
10:43
peut créer des situations de mal-être
10:45
et y compris chez des
10:47
adolescents, moi je l'ai vu autour de moi,
10:49
des périodes où on alterne boulimie,
10:51
anorexie, des périodes
10:53
où on alterne tentative de suicide,
10:55
les automutilations,
10:57
les scarifications, parce qu'effectivement
10:59
la personne se sent mal dans
11:01
ce corps, elle veut se libérer de ce
11:03
corps. Et donc j'ai une collègue qui a déposé
11:05
une proposition de loi disant
11:07
il faudrait interdire ces
11:09
protocoles et cet accompagnement
11:11
avant la majorité
11:13
de la personne. Et donc
11:15
c'est avec ça qu'on n'est pas d'accord en disant
11:17
pourquoi un enfant qui a
11:19
15 ans, 16 ans,
11:21
qui est à l'âge où on se construit,
11:23
on devrait l'empêcher
11:25
justement de commencer
11:27
cette thérapie, cet accompagnement avant l'âge de 18 ans
11:29
si ses parents sont d'accord,
11:31
si le médecin, si l'équipe médicale,
11:33
le médecin de famille, les psys,
11:35
tout le monde considère qu'effectivement
11:37
cette personne après plusieurs entretiens
11:39
explique vraiment que ce n'est pas
11:41
quelque chose de passager, parce que c'est un traitement sur la
11:43
durée. Pourquoi on devrait dire
11:45
à des personnes vous êtes condamnées
11:47
à vivre cette identité jusqu'à l'âge
11:49
de 18 ans, parce qu'effectivement
11:51
c'est leur faire du tort, leur faire du mal.
11:53
Donc c'est ce qu'on va essayer de démontrer
11:55
et de convaincre
11:57
notre collègue que finalement
11:59
elle protégeait
12:01
l'enfance
12:03
et la jeunesse, mais en l'occurrence
12:05
pour protéger l'enfance et la jeunesse,
12:07
je considère que les mieux placés ce sont les parents.
12:09
Ce sont les parents qui ont fait ces enfants,
12:11
ce sont ces parents qui en général
12:13
s'occupent très bien de leurs enfants,
12:15
qui aiment leurs enfants, et qui sont à même
12:17
d'entendre les aspirations de leurs enfants.
12:19
Lorsqu'on a un enfant qui est soutenu
12:21
par ses parents,
12:23
parce que ce n'est pas facile pour un parent
12:25
d'entendre, oui, je suis
12:27
transidentitaire,
12:29
je suis homosexuel, je suis lesbienne,
12:31
oui, c'est un choc d'abord
12:33
pour les parents. Les parents se posent beaucoup de questions
12:35
souvent, et finissent par comprendre,
12:37
finissent par accepter, finissent par accompagner.
12:39
Parfois ils ne sont pas d'accord
12:41
et ils mettent leurs gosses à la rue. C'est une autre histoire.
12:43
Mais moi je parle des cas où vous avez l'enfant
12:45
mineur qui est accompagné
12:47
volontairement par ses parents.
12:49
Il y a une équipe, il y a le médecin de famille,
12:51
il y a les psys, voilà.
12:53
Pourquoi on veut les empêcher tout simplement,
12:55
alors que tout le monde veut tout simplement
12:57
que cette personne aspire
12:59
à vivre un peu plus sereinement,
13:01
à vivre en paix
13:03
avec ce corps, avec cette identité,
13:05
avec cette personnalité.
13:07
Voilà, il faut faire coïncider
13:09
l'enveloppe corporelle avec l'identité profonde.
13:11
Et pas
13:13
entraver cela.
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