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L'armée prête pour les engagements « les plus durs » : Emmanuel Macron naïf vis-à-vis de Vladimir Poutine ?
Europe 1
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21/03/2024
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des menaces Russes envers la France et de l'escalade verbale entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine.
Retrouvez "Punchline" sur : http://www.europe1.fr/emissions/punchline
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00:00
On va avancer, j'aimerais qu'on évoque maintenant la situation en Ukraine et la réponse de la France à l'agression russe.
00:07
Jean-Luc Mélenchon, le leader de la France Instouise, a pris la parole hier.
00:11
Il estimait qu'Emmanuel Macron ne prenait pas la mesure de la dangerosité de Vladimir Poutine.
00:15
On va écouter ce que dit M. Mélenchon et puis on va en débattre ensuite sur le fait que voilà,
00:20
est-ce que la France doit encore augmenter sa riposte militaire pour soutenir l'Ukraine ?
00:24
Écoutons Mélenchon.
00:26
Je pense que le président ne se rend pas assez compte du fait que M. Poutine est réellement dangereux.
00:34
Il l'est parce que c'est un homme à sang-froid, très calculateur et qui inscrit tout ce qu'il fait dans la durée.
00:42
Si le président Macron comprenait qu'il a affaire à quelqu'un de très dangereux,
00:47
qu'il ne se laissera pas impressionner par 3-4 phrases, il ne jouerait pas la partie comme ça.
00:53
Il a joué d'abord en essayant d'avoir le plus de monde possible à chaque fois qu'on avance d'un pas.
00:59
Et notamment, ce n'est pas partir tout seul comme ça, menacer tout le monde,
01:03
à dire "on va envoyer du monde à terre", etc.
01:05
Voilà pour Jean-Luc Mélenchon, François Biponi alors.
01:07
Oui, on sait tous que Poutine est dangereux.
01:09
Vous ne me prenez pas coup de hume, je suis d'accord avec Jean-Luc Mélenchon.
01:11
Parce que, effectivement, j'étais avec un ami serbe hier soir qui connaît bien aussi la Russie,
01:18
mais vous ne vous rendez pas compte, il est capable de faire ce qu'il dit.
01:23
Il l'a fait pour l'Ukraine, il est capable de faire ce qu'il dit.
01:25
Les Russes, en France...
01:27
Il nous annonce la 3e guerre mondiale.
01:29
Oui, mais...
01:31
Un argument qui est quasiment à l'inverse.
01:33
Je veux dire par là, est-ce qu'il faut aller le provoquer ?
01:37
Ou alors, dans ce cas-là, Emmanuel Macron va jusqu'au bout.
01:40
Mais si c'est uniquement mettre un peu la pression pour un peu faire peur à Poutine,
01:44
je ne suis pas sûr de son efficacité.
01:46
Pour le coup, dans la déclaration et dans les déclarations de Jean-Luc Mélenchon,
01:49
elles ont été, dans le détail, décortiquées par un certain nombre de spécialistes en géopolitique
01:54
ou d'experts militaires.
01:56
Elles sont fausses, ils se trompent dans le nombre de troupes qu'ils nous prêtent.
01:59
Bref, ils se trompent sur beaucoup de choses.
02:01
J'imagine d'ailleurs avec une bonne dose de mauvaise foi et pas seulement d'ignorance ou d'incompétence.
02:05
Mais moi, quand j'entends justement cet argument-là, j'ai envie de dire,
02:09
précisément, ça ne fait que plaider pour la fermeté.
02:12
Quelqu'un qui serait capable de toute façon de faire peser une menace existentielle
02:16
en permanence sur l'Europe ou sur les démocraties occidentales,
02:20
évidemment qu'il ne faut pas le provoquer,
02:22
évidemment qu'il ne faut pas devancer, s'engager dans une escalade
02:25
ou provoquer la guerre en soi.
02:27
Oui, mais il ne faut pas s'aplatir dans le pieu à la moindre menace.
02:30
Bien sûr, on l'a vu, c'est une règle quasi implacable de l'histoire du continent européen.
02:35
Quand on n'est pas capable de prouver et de se donner les moyens,
02:40
parce qu'il ne suffit pas de le dire, et c'est là où il y a une grande limite
02:43
à la posture d'Emmanuel Macron,
02:44
mais quand on n'est pas capable de prouver qu'on est aussi prêt à assumer la guerre,
02:48
non pas parce qu'on la désire, mais parce qu'on sait que c'est le seul moyen
02:52
d'éviter justement d'être anéanti par des gens qui en veulent à nos modèles de société,
02:58
ben oui.
02:59
Céline Pizarro.
03:00
En fait, le problème, c'est que si on doit être réaliste jusqu'au bout,
03:03
la question de la guerre n'est pas morale, elle est matérielle.
03:06
Donc la question, c'est quels sont les moyens que nous avons pour faire la guerre.
03:09
Et sur un certain nombre de points, on ment aussi énormément.
03:12
C'est-à-dire que quand on affiche notre matériel,
03:15
on affiche même le matériel qui ne fonctionne pas.
03:17
C'est génial comme ça.
03:19
Quand on fait l'état de nos stocks, c'est ça ?
03:21
Bien sûr.
03:22
C'est rassurant.
03:23
Céline, honnêtement, tous les pays le font.
03:25
Oui.
03:26
Il n'y a pas un pays qui ne commence pas à la Russie.
03:28
Il n'y a pas tous en même temps.
03:30
Ce que je veux dire, c'est qu'à un moment donné,
03:33
la question de la vérité, de savoir exactement où en sont nos stocks,
03:37
elle est un petit peu plus compliquée que traiter l'un ou l'autre de menteur.
03:40
Mais surtout, si la Russie est une puissance moyenne,
03:44
alors nous, nous ne sommes même plus une puissance.
03:46
Il faut voir aussi à qui on parle.
03:48
Et même s'il ment également sur ce qu'il a,
03:51
ce qui est sûr, c'est que lui, il est en économie de guerre.
03:54
Ce qui est sûr, c'est que nous, nous n'y sommes pas.
03:56
Donc il faut aussi arrêter dans ce type de délire.
03:58
Moi, je suis pour...
04:00
Si on veut être crédible face à la Russie,
04:02
on fait comme l'Allemagne.
04:03
L'Allemagne, elle n'ouvre pas sa grande bouche,
04:06
mais elle est en train de réarmer,
04:08
elle est en train de fabriquer des munitions,
04:10
elle est en train de réorganiser un peu sa production.
04:13
Nous, on l'ouvre grand, on ne fait rien derrière.
04:15
Oui, puis il n'a pas de lignes directrices.
04:18
Un coup, il est pacificateur, un coup, il est réconciliateur,
04:20
après, il va à l'offensive.
04:22
Et ensuite, dans son discours pour les Européennes,
04:24
il nous explique que c'est l'Ukraine qui est au centre de tous les maux.
04:28
Donc je pense qu'il n'est pas du tout cohérent,
04:30
il n'est pas soutenu non plus par les autres membres de l'Union Européenne,
04:32
et c'est très inquiétant.
04:33
C'est faux.
04:34
Si vous regardez les États baltes,
04:36
un certain nombre d'États de l'Est de l'Europe
04:38
sont sur cette ligne de fermeture.
04:40
Il ne dit pas l'Allemagne, il dit envoyer des troupes,
04:42
mais pas tous les pays, voilà, pas l'Espagne.
04:44
Donc pas tous les pays.
04:46
On ne peut pas dire que l'ensemble de nos membres sont Européens,
04:49
il y a des divisions en Europe.
04:51
Oui, je trouve d'être aussi fort.
04:53
Alors, je dis que le truc qui est très naïf,
04:55
c'est Jean-Luc Mélenchon vis-à-vis d'Alain Poutine,
04:57
puisque son discours consiste,
04:59
depuis le programme de la France insoumise en matière de défense,
05:01
c'est ne pas vouloir le 2 % de PIB,
05:04
qui est l'objectif fixé par l'OTAN,
05:06
qu'on arrive à peine à atteindre,
05:08
et qui est, je rappelle que la Russie,
05:10
ils sont à plus de 6 % du PIB en France.
05:12
C'est absolument minimaliste et vital.
05:14
On ne peut pas dire d'un côté "Poutine est dangereux",
05:16
de l'autre "désarmons-nous".
05:17
Ou alors c'est vraiment qu'on veut, pour le coup,
05:19
l'aplatissement généralisé.
05:20
Enfin, il faut choisir le discours.
05:22
Soit on dit "Poutine est faible et on n'a pas besoin de s'armer",
05:25
et si on dit "Poutine est dangereux, alors on a besoin de s'armer",
05:27
et le discours de la France insoumise,
05:28
c'est un discours de désarmement généralisé.
05:30
- Oui, policiers, militaires...
05:32
- Ils veulent même affaiblir la dissuasion nucléaire française,
05:34
puisqu'ils proposent un désarmement.
05:36
Donc voilà, c'est un discours...
05:37
- Pas de cohérence. - C'est un faux discours.
05:39
- Louis de Regnelles.
05:40
- Je trouve qu'il y a deux sujets par rapport à ça.
05:41
C'est un, la cohérence, c'est ce que vous avez évoqué.
05:43
On ne peut pas dire le lundi,
05:45
"On restaure l'ambiguïté stratégique
05:47
et on envisage d'envoyer des troupes au sol",
05:49
et le vendredi, faire intervenir un ministre
05:51
pour dire aux Français, surtout, "Attention,
05:53
il n'y aura pas de troupes au sol, vos enfants seront protégés".
05:55
Sauf si on pense que les services de renseignement russe
05:58
ne suivent pas l'actualité médiatique en France.
06:00
Mais donc, le message envoyé à l'égard du Kremlin
06:03
est quand même assez faible de ce point de vue-là.
06:05
Et ensuite, il y a une question de fermeté.
06:06
Aujourd'hui, les Américains,
06:08
s'ils tombent sur des espions russes,
06:10
des agents du renseignement russe,
06:11
que font-ils ?
06:12
Globalement, ils judiciarisent, ils interpellent,
06:14
et ensuite, ils négocient avec les Russes.
06:16
Nous, qu'est-ce qu'on fait ?
06:17
Si on tombe sur eux, on les expulse du territoire.
06:19
On n'ose pas les garder.
06:21
On n'ose pas judiciariser et négocier.
06:23
Et donc, en fait, Vladimir Poutine voit tout ça
06:26
et joue de ses faiblesses.
06:28
Et aujourd'hui, on voit bien, Vladimir Poutine est devenu...
06:30
Et, objectivement, Emmanuel Macron a peur de Vladimir Poutine
06:33
parce qu'il est devenu très menaçant pour le pays.
06:36
Multiplication des cyberattaques,
06:38
multiplication aussi des fausses informations,
06:41
et ça, ça a été certifié cette semaine
06:43
par les services de renseignement français,
06:44
notamment sur le fait que la France envisageait...
06:46
Envoyer des troupes.
06:47
Étaient sur le point d'envoyer réellement des troupes
06:50
en Ukraine pour combattre l'armée russe.
06:52
Donc, les services ont travaillé là-dessus,
06:54
ont pu remonter jusqu'au service de renseignement extérieur russe.
06:59
Et enfin, la troisième chose, c'est que la Russie,
07:01
les Russes ont réussi à prouver aussi
07:03
qu'ils avaient gardé un savoir-faire
07:05
en matière de ce qu'on appelle le compromat, la compromission,
07:08
avec la révélation, la publication de cet échange
07:11
entre le chef d'état-major de l'armée allemande
07:13
et ses subordonnés dans un hôtel
07:15
qui critiquait ouvertement la position du chancelier allemand.
07:18
Et aujourd'hui, on sait que ce qui est le plus craint maintenant
07:22
par les autorités françaises, c'est le compromat.
07:25
C'est-à-dire vrai ou faux,
07:27
mais une histoire de compromission politique
07:29
impliquant et déstabilisant en tout cas l'unité du pays.
07:33
L'analyse de Louis Noragnel.
07:34
Allez, c'est 18h32, l'heure du rappel des titres de l'actualité
07:37
avec Mathieu Defez.
07:38
Une marche blanche organisée cet après-midi
07:43
à la Courneuve en Seine-Saint-Denis.
07:45
Plusieurs centaines de personnes présentes
07:47
lors de ce rassemblement à l'initiative
07:49
de la famille de Juanis.
07:50
Le cortège ça y est est arrivé au Berviliers
07:53
sur les lieux du drame où ce jeune de 18 ans
07:55
est mort la semaine dernière dans une collision
07:57
avec une voiture de police après un refus d'obtempérer.
08:01
Près de 3 tonnes de cocaïne ont été saisies au port du Havre.
08:04
La marchandise se trouvait dans un conteneur
08:06
en provenance de Guadeloupe.
08:07
La police judiciaire est chargée des investigations,
08:10
l'acheminement par voie maritime
08:12
est la principale porte d'entrée de la cocaïne en France
08:15
avec 75% des quantités saisies.
08:18
Enfin, les transports en Ile-de-France
08:20
se perturbaient le 4 avril prochain.
08:22
La CGT de la RATP appelle tous les salariés à la grève
08:26
en cause des augmentations de salaire trop tardives
08:28
selon le syndicat.
08:30
Il déplore notamment que l'augmentation de salaire
08:32
de 100 euros ne soit effective qu'à partir de janvier prochain.
08:36
Merci Mathieu Defez.
08:37
Encore un mot sur la réponse française
08:39
face à l'agression russe en Ukraine.
08:41
Le général Pierre Schill a fait une tribune
08:43
il y a quelques jours dans la presse
08:44
pour dire que l'armée de terre française
08:46
se prépare aux engagements les plus durs.
08:48
Le fait savoir, elle le démontre.
08:49
La dissuasion nucléaire
08:50
sanctuarie ses intérêts vitaux.
08:52
Excusez-moi Louis de Rignel,
08:53
c'est quand même pas rien de dire ça
08:54
alors que les Russes sont en train de nous menacer
08:56
de 3ème guerre mondiale.
08:58
Oui, alors vous allez me dire que c'est de la mousse ?
09:01
Non mais c'est quelque chose qui est dit
09:02
dans toutes les revues stratégiques,
09:04
qui est dit à chaque débat de loi de programmation militaire.
09:07
Après, si le chef d'état-major de l'armée de terre
09:09
prend la parole spécifiquement là-dessus,
09:11
oui c'est pour insister sur ce message.
09:13
Mais rappelez la sanctuarisation de la dissuasion nucléaire,
09:16
rappelez qu'on se prépare aux conflits de haute intensité.
09:18
Rien de nouveau sous le soleil.
09:20
Juste parce que tous les journalistes
09:21
cherchent à avoir les scénarii de l'armée.
09:23
Vous ne dites que des scénarii.
09:24
Juste un petit mot là-dessus.
09:26
Tous les journalistes cherchent à récupérer
09:28
à l'état-major des armées,
09:30
les scénarii de projection de l'armée française.
09:32
Ah oui, normal, c'est notre travail.
09:33
En fait, il y a une équipe, depuis toujours,
09:35
à l'état-major des armées,
09:36
qui s'occupe de travailler sur ce qu'on appelle la planification.
09:39
Et donc ils envisagent plein de scénarii
09:41
avec des guerres nucléaires et tout ça.
09:43
Et ça c'est normal, ça fait partie du travail d'anticipation.
09:46
Le problème, c'est que le moment où on montre les muscles
09:47
devant Poutine qui est dangereux,
09:49
le problème c'est qu'on le fait seul.
09:51
C'est ça la difficulté.
09:52
Ça serait une réponse européenne.
09:54
Là ça pourrait avoir du poids,
09:56
mais là c'est la France qui fait le travail.
09:58
Alors il y a quand même les exercices otaniens
09:59
avec 90 000 soldats qui luttent.
10:01
On ne le fait pas seul.
10:04
Bien sûr que personne ne peut douter
10:06
des conséquences d'années de sous-investissement
10:13
dans la défense européenne,
10:14
du fait que nous ayons été convaincus
10:15
que nous étions sortis de l'histoire.
10:17
Mais ça ne s'empêche pas que la totalité
10:18
des budgets de défense de l'Union européenne,
10:20
c'est supérieur au budget de défense russe.
10:22
Donc je ne vous dis pas que...
10:23
Oui, la totalité, oui.
10:24
Mais de toute façon, la menace existe.
10:27
La menace existe quoi qu'il en soit,
10:31
qu'elle nous plaise ou qu'elle nous déplaise,
10:33
que nous adoptions une ligne mélange de laquelle,
10:35
une ligne macronienne.
10:36
De toute façon, je pense que la France insoumise
10:39
refuse cette état de paix.
10:43
Vous avez entendu hier,
10:44
le réarrière-pédophile de Léon Tolstoy
10:47
qui disait "nous sommes en train de calculer
10:48
pour faire une frappe nucléaire sur Paris".
10:50
Je veux bien qu'on m'explique beaucoup de choses.
10:52
C'est aussi une forme de bluff,
10:54
mais à partir du moment où la Russie exprime ça,
10:57
si on est pris aussi à Gabriel Attal
10:58
en évoquant la décadence de l'Occident,
11:00
en raison de sa vie personnelle,
11:03
cette menace-là, elle existe,
11:05
on ne peut quand même pas faire comme si ça n'existait pas.
11:07
Elle existe et on la prend très en compte.
11:09
Et on va parler maintenant de la menace terroriste,
11:11
parce qu'elle existe aussi sur le sol français,
11:14
à la fois la cyber-menace et la menace d'attentat.
11:17
Marc Travédic sera notre invité dans un instant,
11:19
ancien juge antiterroriste.
11:21
A tout de suite sur CNews et Europe 1.
11:24
18h-19h sur CNews et Europe 1.
11:27
Punchline, Laurence Ferrari.
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