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00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente
00:06 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane
00:12 Et bonjour à tous, je suis heureux d'être à votre écoute durant 7h.
00:19 Alors après chaque émission, je me pose la question suivante,
00:22 ai-je été suffisamment à votre écoute ?
00:25 Et la réponse de ma petite voix me dit, ne te nourris pas de ce sentiment de culpabilité
00:31 et laisse venir le sentiment du bonheur, celui de vous écouter chaque jour.
00:37 Hier, nous avons eu à l'antenne Samira, Samira est en couple depuis 3 ans,
00:43 son ex-compagnon ne souhaite pas faire connaître son existence,
00:47 ni à son ex-femme et ni à ses enfants, par sentiment de culpabilité.
00:53 Alors, le sentiment de culpabilité repose sur la sensation que l'on a mal pensé, mal agi,
01:00 que l'on a fait peut-être le mauvais choix ou que l'on a raté quelque chose dans sa vie.
01:06 On associe le sentiment de la culpabilité à une émotion négative,
01:11 pourtant, en contenant nos débordements, il est essentiel à nos relations,
01:17 mais cette sensation désagréable, car ce sentiment de culpabilité est insidieux
01:23 et nous fait parfois souffrir quand il est excessif.
01:27 Alors, en nous posant des limites utiles, cette émotion régule le lien social,
01:33 car ce sentiment de culpabilité a aussi du bon, c'est une boussole pour mieux agir,
01:39 il favorise la formulation d'excuses et nous pousse à porter aussi assistance.
01:45 Cette émission porte assistance puisque je suis à votre écoute,
01:50 je vous rappelle le numéro d'appel, c'est le 0826 300 300,
01:55 mais aussi vous pouvez échanger et partager votre avis sur le groupe Facebook "À votre écoute".
02:00 Nous sommes en direct live sur Youtube et sur le live de Facebook,
02:05 et aujourd'hui à la réalisation de l'émission, c'est Bastien, au standard, Aude et Jordan.
02:11 Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delovane.
02:16 Alors, pour revenir sur le sujet de hier et justement sur le sentiment amoureux
02:21 que nous avons abordé tout le long de l'émission,
02:25 je viens de lire un petit post sur le groupe "À votre écoute" de Laura,
02:29 qui nous dit "le sentiment amoureux, c'est de la souffrance".
02:32 Alors, moi j'aimerais lui dire que cette sensation de souffrance peut être vécue
02:37 quand nous sommes dans un attachement excessif, et donc ça nous éloigne du sentiment amoureux,
02:43 mais ça alimente forcément une dépendance affective.
02:46 Et si à présent on écoutait Marie-Claire. Bonjour Marie-Claire.
02:50 Bonjour, vous m'entendez Alexandre ?
02:52 Bonjour, on vous entend très bien, tout le monde vous entend Marie-Claire, c'est parfait.
02:55 Je suis ravie de vous retrouver en direct, parce que je suis votre émission depuis pas mal de temps.
03:01 Ah, très bien, merci de votre fidélité à Sud Radio Marie-Claire.
03:05 Marie-Claire, vous avez connu un homme sur les réseaux sociaux,
03:09 votre relation est devenue sérieuse depuis le mois de mai de cette année.
03:15 Alors, cet homme vous correspond beaucoup, vous avez des points communs, notamment intellectuellement,
03:22 mais le problème de cette histoire, parce que malheureusement vous appelez pour un souci,
03:26 c'est que cet homme est toujours marié, il s'était séparé de sa femme, mais toujours pas divorcé.
03:33 Alors, vous avez vécu ensemble une période sous le même toit et puis...
03:38 Non, pas du tout, on n'a jamais vécu ensemble.
03:40 Ah, alors excusez-moi pour l'information qui est peut-être un petit peu erronée ou que j'ai mal...
03:44 On s'est vus, on s'est rencontrés, mais on ne vit pas ensemble parce qu'il vit toujours avec sa femme.
03:49 D'accord, ok. Mais vous avez quand même vécu une histoire ensemble.
03:53 Oui.
03:54 Voilà. Et il venait chez vous j'imagine, non ?
03:56 Oui, il est venu chez moi, on s'est vus.
03:59 D'accord.
04:00 Et en fait, on échangeait tous les jours, on envoyait soit des messages vocaux, soit des textos, soit sur WhatsApp,
04:09 et on avait un attachement assez profond et depuis début septembre, je n'ai plus de nouvelles du tout.
04:16 D'accord. Justement, sa femme a des fragilités de santé et la situation est devenue un peu compliquée pour lui et entre vous,
04:24 parce qu'il a souhaité l'accompagner dans sa maladie. Alors aujourd'hui, Marie-Claire, est-ce que déjà vous,
04:33 vous avez le sentiment que cet homme vit justement ce sentiment de culpabilité face à la situation avec sa femme ?
04:42 Je crois que oui.
04:43 Oui ?
04:44 Oui, parce qu'en fait, ce qui s'est passé, c'est qu'il avait un frère qui s'est suicidé.
04:52 Et je pense que quand je lui ai demandé, déjà j'étais étonnée qu'il partage la même maison.
04:59 Il m'a dit "je n'ai plus du tout de rapport avec elle, mais on partage la même maison".
05:03 D'accord.
05:04 Moi je suis horrible, je sais aller au premier étage ou l'inverse, enfin peu importe.
05:07 Donc il est marié, mais il m'a dit qu'il n'avait plus de rapport. Le seul rapport qu'il a, c'est un rapport en fait des dents, de soignants, pour l'aider elle.
05:16 Mais je crois qu'il y a aussi une autre notion qui s'est ajoutée, il a un frère qui s'est suicidé,
05:21 et il garde une culpabilité vis-à-vis de cette personne qui s'est suicidée.
05:25 Et j'ai l'impression que moi je lui ai dit "mais moi je ne peux pas avoir une relation avec un homme marié
05:31 qui va rester toute sa vie avec cette femme, ne serait-ce que pour l'aider à la soigner ou à l'aider".
05:38 Parce que moi ce que je recherche c'est une relation, pas une relation cachée, une relation ouverte aussi,
05:44 et puis une relation à deux faisant plein de choses.
05:48 En fait il y avait déjà des barrières à la base, mais moi je n'ai pas tellement voulu voir ces barrières.
05:55 Et ce frère en fait il intervient à travers cette relation avec cette femme.
06:01 Alors je ne sais pas trop, parce que moi je n'ai jamais rencontré sa famille du coup,
06:06 donc je ne sais pas trop exactement, mais j'ai l'impression qu'il y a un lien de culpabilité.
06:10 Il reçoit une culpabilité vis-à-vis de ce frère-ci,
06:13 comme s'il ressentait aussi de la culpabilité s'il n'aide pas sa femme.
06:18 D'accord. Alors qu'est-ce qu'il vous promet avec vous ? Quel est son engagement vis-à-vis de vous ?
06:25 Écoutez, il y avait vraiment des messages avec une expression claire du sentiment amoureux qu'il avait pour moi.
06:33 Donc c'est pour ça qu'en fait j'ai été assez déçue, très déçue même, quand il a pu donner une nouvelle.
06:42 Il y a eu un moment, il y a eu une promesse d'avoir une rencontre au bord de la mer qui ne s'est pas faite.
06:48 Voilà. Donc j'ai envoyé des messages peut-être un peu secs, mais ça c'est un peu mon tempérament en fait.
06:55 Je ne suis pas toujours très "diplomate" et je crois qu'il a cessé les messages en fait.
07:05 Bien sûr. Alors quand même ce que je retiens de ce que vous avez dit auparavant,
07:10 c'est que vous n'avez pas voulu voir les choses et peut-être qu'au fond de vous,
07:16 vous sentiez que cette situation allait vous arriver, que cet homme à un moment donné allait peut-être fuir de cette relation
07:23 et ne pouvait pas assumer totalement ses engagements envers vous.
07:27 Mais vous, vous avez fermé un petit peu les yeux face à ce qui allait devenir.
07:32 Et je crois que dans cette volonté d'avancer, dans cette volonté de vous réaliser aujourd'hui,
07:39 il y a peut-être chez vous un besoin de prendre du recul sur certaines situations pour peut-être analyser autrement et différemment.
07:49 Alors je ne vous dis pas ça pour vous faire un reproche ou quoi que ce soit, pas du tout.
07:53 Mais je crois que cet homme, malheureusement, il est dans une tourmente par rapport à sa situation familiale.
08:01 Alors après, lui-même a voulu peut-être en vous rencontrant se donner une bouffée d'oxygène.
08:07 Mais malheureusement, il a senti en vous cette véritable volonté d'engagement, ce sérieux, cette stabilité que vous avez et que lui n'a pas.
08:17 Même si c'est un homme qui est engagé, mais il a un problème de stabilité.
08:22 Et je crois vraiment qu'il ne faut pas lui en vouloir.
08:25 Il faut juste prendre du recul et vous occuper votre pensée, votre esprit à quelque chose de nouveau, à une nouvelle rencontre,
08:33 à quelque chose qui va vous permettre de vous libérer, de vous donner cette chance et cette capacité à rencontrer quelqu'un d'autre.
08:41 C'est ce que vous souhaitez ?
08:43 Oui, en fait, à chaque fois que je rencontre quelqu'un, je rencontre souvent des hommes.
08:48 Ce n'est pas un problème de rencontre.
08:51 Ça ne dure jamais longtemps parce que déjà souvent ils sont mariés ou en couple.
08:55 Je ne sais pas pourquoi je tombe toujours sur des hommes en couple ou mariés.
08:58 Mais si vous me le permettez Marie-Claire, c'est que dès le départ, vous avez des radars qui vous signalent une situation et vous n'en tenez pas forcément compte.
09:06 Oui, mais vous n'êtes pas assez à l'écoute de votre petite voix intérieure qui peut très bien vous donner des indications sur l'avenir.
09:16 Pour moi, il y aura un changement affectif, il y aura quelque chose de bon et de positif pour vous dans l'avenir.
09:23 Mais je sens que ce n'est pas avant début de l'année prochaine où là vous rentrez dans une période de réalisation.
09:29 Puis vis-à-vis de cet homme, vous aurez des nouvelles, mais je vous sens assez déçue, je vous sens prendre du recul par rapport à tout ça.
09:37 Très déçue parce qu'en fait, je misais beaucoup sur cette relation parce que justement, c'était quelqu'un que je sentais dans l'empathie des autres.
09:45 Ce n'est pas toujours le cas.
09:47 Et aussi, vraiment, il avait des mots vraiment... En fait, j'ai cru peut-être aveuglément à une époque.
09:56 Moi, ce que je vous propose, parce que votre témoignage est intéressant, vraiment Marie-Claire,
10:00 si vos chers auditeurs vous entendez le témoignage de Marie-Claire et que vous avez vécu cette situation et que vous en êtes sortie,
10:08 que vous avez des conseils à donner ou que vous voulez intervenir, n'hésitez pas à appeler le standard 0826 300 300
10:15 et on pourra peut-être interagir avec vous, Marie-Claire, dans ces cas-là, on vous fera passer sur un prochain passage à l'antenne.
10:22 Est-ce que vous le souhaitez ?
10:23 Bien sûr, bien sûr.
10:24 Voilà, parce que ça peut être intéressant d'avoir des avis différents.
10:27 Donc vraiment, n'hésitez pas à appeler le standard et on essaiera de vous faire passer tous ensemble. D'accord ?
10:33 Merci beaucoup Alexandre.
10:35 Merci à vous. Merci au plaisir.
10:38 Allez, on se retrouve dans quelques instants, c'est le 0826 300 300.
10:44 On se retrouvera aussi avec David qui nous racontera comment se reconstruire après une séparation
10:50 et avec une personne qui a eu aussi des troubles psychologiques.
10:53 A tout de suite.
10:54 Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de cette émission.
11:04 Une émission de confidence, de partage, de guidance et surtout de confiance comme David,
11:09 que l'on retrouve dans quelques instants.
11:11 Mais avant tout, le saviez-vous que le sentiment de culpabilité est un état émotionnel qui se manifeste
11:17 lorsqu'une personne se sent responsable ou coupable de son propre comportement ?
11:22 Il peut être considéré comme une forme de honte.
11:25 Alors que la culpabilité, quant à elle, est un jugement moral que l'on porte sur soi-même
11:31 en raison d'un acte qu'on a commis et qui est considéré comme répréhensible.
11:38 Alors, vous souhaitez témoigner, poser des questions, c'est au 0826 300 300.
11:44 Et si on écoutait David. Bonjour David.
11:46 Bonjour Alexandre.
11:48 Bienvenue sur Sud Radio.
11:50 Merci, je vous connais depuis peu, depuis 6 mois.
11:58 Des petits soucis physiques, rien d'important, m'ont fait rester sur le canapé.
12:05 Je vous ai découvert, et depuis je ne manque pas une émission.
12:09 J'ai même écouté les podcasts cet été.
12:11 C'est super. En tout cas, merci David de votre fidélité à Sud Radio.
12:15 Et restez, même si vous continuez à reprendre vos activités, n'hésitez pas à écouter l'antenne de Sud Radio.
12:22 David, vous dites que vous avez la maîtrise sur votre vie, sauf sur le côté sentimental.
12:31 Oui, c'est ça. Vous parliez de la petite voix tout à l'heure à l'auditrice précédente.
12:38 Cette petite voix, j'arrive bien à l'écouter au niveau amical, au niveau professionnel.
12:43 Elle me guide merveilleusement bien, j'ai envie de dire.
12:46 Et sur mon côté affectif, je rame.
12:50 Vous êtes un peu dans le même cas que Marie-Claire, notre auditrice précédente.
12:54 Oui, je n'ai pas pu tout entendre, mais oui. J'ai eu Jordan au téléphone tout à l'heure.
12:59 D'accord. Alors, David, vous êtes séparé depuis un an et demi de votre ex-compagne,
13:05 avec laquelle vous étiez quand même resté 16 ans. Ce n'est pas rien.
13:08 Vous avez eu un enfant ensemble.
13:10 Vous êtes séparé pour des fragilités psychologiques que votre ex-compagne avait,
13:15 ou a toujours peut-être, je ne sais pas, et elle a même suivi une thérapie.
13:19 Vous avez tenté d'être là, de la soutenir, mais suivant vos propos,
13:24 vous aviez une image de votre relation et de cette personne comme une personne qui était dans une piscine.
13:31 Elle était en train de se noyer et même en essayant de l'aider,
13:34 de lui tendre votre bras pour la sortir de l'eau, impossible de pouvoir le faire.
13:39 Je rappelle que c'est juste une métaphore et que c'est une image, bien entendu.
13:42 Alors, David, racontez-nous comment vous avez vécu votre histoire
13:47 et quels ont été ces problèmes psychologiques de votre ex-femme ?
13:51 C'est un peu délicat d'évoquer les problèmes psychologiques.
13:55 Non, juste, oui, on ne va peut-être pas rentrer dans les détails, mais tout au moins, voilà.
13:59 Mais quelle était la difficulté du quotidien, tout au moins ?
14:03 Je dirais, pour continuer à reprendre votre image métaphorique,
14:07 c'est qu'il y a un moment de tendre le bras et que ça a été sans doute impossible pour elle de le saisir,
14:15 de me pencher encore plus, encore plus au bord de l'eau.
14:18 C'est moi qui suis tombé aussi, donc j'ai décidé de partir.
14:25 Je me suis sauvé, mais pas dans le sens de la lâcheté, mais dans le sens de sauver sa peau pour se reconstruire.
14:31 Ce que j'ai prétentieusement, je vais dire, bien réussi à faire.
14:38 Vous avez effectivement dit, il y a un an et demi, je me suis reconstruit, je dirais, la première année.
14:44 Vraiment, je m'occupe de mon côté affectif, de mon cœur prêt à accueillir quelqu'un de nouveau,
14:54 une prochaine relation depuis six mois. Et je rame ! Pardonnez-moi David, mais justement,
15:02 puisque c'est le sujet du jour, un petit peu, est-ce que vous, vous avez eu,
15:05 durant votre relation passée, ce sentiment de culpabilité ?
15:10 Ou est-ce que vous l'avez toujours ? Non, non, non, non.
15:15 Peut-être si, je l'ai eu un tout petit peu, je ne l'ai plus, mais je veux dire, je l'ai eu,
15:22 parce que quelque part, je tends la main, peut-être que j'ai mal tendu la main.
15:28 Maintenant, avec l'année et demie de recul, c'est juste que ce n'était pas possible.
15:35 D'accord, je rappelle que dans la culpabilité, effectivement, ça fait partie des choses,
15:40 des réflexions sur lesquelles nous sommes, de se dire, est-ce que j'ai bien fait les choses
15:44 ou pas bien fait les choses ? Et ça alimente justement ce sentiment de culpabilité.
15:48 Et aujourd'hui, ça fait six mois que vous venez de dire que, depuis six mois,
15:52 vous êtes dans un démarrage de relation, c'est ça ? C'est ce que j'ai entendu ?
15:56 Je ne peux pas dire démarrage de relation, mais vraiment, je suis passée à autre chose,
16:04 à une thérapie, accompagnement thérapeutique, bien entendu.
16:07 De nouveau, j'ouvre mon cœur, je dirais, prêt à accueillir quelqu'un,
16:15 mais je n'y arrive pas. Je vais vers les autres.
16:21 Une petite sensation parfois de transparence.
16:26 D'accord. Alors, vous voyez, moi, j'ai entendu que vous aviez rencontré quelqu'un,
16:30 mais peut-être que justement, cette interprétation-là me vient autrement et différemment,
16:35 dans le sens où, depuis six mois, vous avez accepté à nouveau de vous aimer.
16:40 Et vous avez peut-être fait cette rencontre avec vous-même, en faisant peut-être cette thérapie,
16:44 et vous êtes venu à vous rencontrer de ce que vous n'avez pas fait depuis longtemps,
16:49 parce que vous étiez peut-être abandonné au travers de cette histoire,
16:52 et ce qui pourrait être compréhensible, bien entendu.
16:56 Et aujourd'hui, vous avez déjà fait cette rencontre avec vous-même,
17:00 pour être prêt à faire la bonne rencontre, et pour pouvoir à nouveau vous réaliser sentimentalement.
17:06 Et ça, je sens que oui, vous allez y arriver.
17:09 Alors, il y a chez vous cette notion de générosité, cette notion d'envie de donner,
17:14 cette notion de naturel, d'authenticité, qui semble respirer.
17:21 Alors, est-ce que je me trompe ?
17:24 Non, oui, ça me parle, complètement.
17:28 Voilà, donc il y a ce côté-là qui ressort chez vous, et gardez-le, au contraire, cultivez-le,
17:34 parce que justement, la personne que vous allez rencontrer va être une personne
17:37 qui sera aussi dans ce même état d'esprit,
17:40 et qui cherchera une personne comme vous, avec ces aspects-là, et avec ces qualités-là.
17:44 Alors bien sûr, vous avez sûrement des défauts, tout le monde a des défauts,
17:47 mais les défauts peuvent être parfois appréciables, pour justement s'améliorer et pour avancer.
17:53 Et ce sera le cas, en ce qui vous concerne.
17:56 Donc, pour moi, vous verrez que d'ici cette fin d'année, vous avez une rencontre
18:01 qui semble se faire et se mettre en place,
18:03 mais je sens que le mois de février 2023 est un mois qui sera,
18:07 serait porteur de bonnes nouvelles et de chances pour vous.
18:10 Alors, ça peut arriver avant, mais en février, ou à cette période-là, approximativement,
18:16 eh bien, là, vous serez dans un autre état d'esprit, dans une autre vibration de votre vie,
18:21 et puis avoir un sentiment aussi que vous avancez dans votre existence sentimentale.
18:26 Merci David !
18:28 Merci, donc merci Alexandre, et donc je prévois le cadeau de Saint-Valentin, donc pour février.
18:33 Voilà, exactement, et puis, et puis, ben si jamais, en février,
18:37 votre dulcinée n'est pas encore arrivée, offrez-vous déjà ce cadeau pour vous,
18:42 c'est important de prendre soin de soi et de se faire plaisir.
18:45 Merci, en tout cas.
18:46 Mais, rappelez-nous en février quand même, d'accord ?
18:48 Allez, merci Alexandre, bonne après-midi, bonne émission.
18:51 Au revoir.
18:52 On vous attend à l'antenne, au 0826 300 300, ne bougez pas, on revient dans un instant avec Bénédicte.
18:58 Bénédicte a du mal à prendre des décisions sur son choix sentimental, surtout ne bougez pas.
19:05 Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delovane.
19:10 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
19:16 Et de retour sur Sud Radio, il est 16h30, je vous rappelle que nous sommes en direct live sur YouTube et sur le live de Facebook.
19:24 Et je reviens avec un post du groupe, à votre écoute, sur Facebook,
19:29 où justement, c'est Karine qui nous dit "culpabilité et loyauté aussi".
19:35 Alors, la plupart des gens sont gouvernés par ses sentiments,
19:38 je pense qu'il faut une véritable introspection pour en sortir et ça fait tellement du bien après.
19:44 Merci Karine pour ce post et justement, demain nous parlerons de la loyauté.
19:49 Mais sachez que plus vous culpabilisez de certaines émotions et plus vous multipliez par deux vos réactions,
19:56 elles seront de plus en plus vives, de plus en plus aussi incontrôlables
20:00 et tout à l'heure je vous donnerai aussi des conseils sur ce sujet-là.
20:04 À présent, j'accueille Bénédicte. Bonjour Bénédicte.
20:07 Bonjour Alexandre.
20:09 Bienvenue sur Sud Radio.
20:11 Merci.
20:12 Alors Bénédicte, vous ne savez pas comment vous comporter avec un homme qui cesse de revenir dans votre vie.
20:20 Tout simplement, vous avez une histoire plutôt compliquée.
20:23 Alors, je ne sais pas si c'est tout simplement, mais en tout cas, elle est compliquée,
20:26 puisque vous êtes séparée en fin 2019 avec cet homme.
20:31 Vous êtes séparée parce qu'il avait rencontré une autre femme.
20:34 Cet homme est revenu quelques mois après, vous êtes restée ensemble dans votre maison, c'est ça ?
20:41 Parce que vous avez construit un foyer ensemble ?
20:43 En effet, on vivait depuis 7 heures dans cette maison.
20:46 Voilà, jusqu'en 2022 et vous avez voulu tourner la page et vous avez déménagé pour vous installer ailleurs.
20:54 Et en ce moment, il revient à la charge avec peut-être l'idée de reprendre une relation affective.
20:59 Alors Bénédicte, dans quel état d'esprit vous êtes aujourd'hui et êtes-vous toujours un peu amoureuse de cet homme ?
21:07 J'aboue être un petit peu perdue parce que je pense être amoureuse,
21:12 mais je me questionne à savoir si c'est de la vie qu'on a vécu et de tous les bons moments qu'on a traversés ensemble,
21:21 ou alors si je suis encore amoureuse de l'homme qu'il est aujourd'hui.
21:27 Donc, je suis un peu perdue en effet.
21:30 Oui, Bénédicte, justement, durant ces phases de réflexion, parce que quand on se sépare, on réfléchit beaucoup,
21:39 et surtout quand il y a un sentiment envers l'individu, j'imagine que vous avez passé par un sentiment de culpabilité, non ?
21:47 Sentiment de culpabilité ?
21:51 Au tout début.
21:53 Disons qu'étant donné qu'il est parti et qu'il m'a aussi trompée,
22:00 donc j'ai plus de sentiment de culpabilité, je ne sais pas.
22:05 Non, c'était peut-être plus lui qui se sentait coupable.
22:09 Moi, je me sentais plus coupable d'avoir certainement pu offrir à mes enfants le foyer dont j'avais espéré.
22:18 Oui, alors il y avait peut-être ce sentiment-là, en tous les cas par rapport à vos enfants,
22:23 et puis lui aussi, peut-être parce que c'est légitime qu'à un moment donné, on se sent un peu coupable d'une situation, d'une faute qu'on peut commettre.
22:31 Et aujourd'hui, vous ne savez plus si c'est un sentiment amoureux ou pas,
22:38 qu'est-ce que vous avez envie ? Quelle est l'envie et la projection de cette histoire ?
22:45 Eh bien, je suis aussi dans le flou. Je ne sais pas de quoi j'ai envie.
22:52 Je pense que je pourrais de nouveau être heureuse avec lui,
22:56 mais ça fait partie un petit peu des fantasmes que l'on peut avoir de ce qu'on n'a pas ou de ce qu'on n'a plus.
23:04 Mais concrètement, je voudrais tout simplement trouver quelqu'un avec qui je suis bien,
23:11 et puis avec qui je puisse continuer ma vie, être heureuse, et que ce soit surtout simple.
23:16 Et surtout ça avec lui ou avec un autre, mais comme il n'est pas très loin, qu'il me relance et que moi je suis un peu indécise.
23:26 Donc, c'est le flou général.
23:30 Oui, mais je retiens, ce que vous dites, c'est un fantasme d'avoir le bonheur avec lui.
23:36 Vous pensez que le bonheur est un fantasme ?
23:38 À partir du moment où il n'est pas vraiment concret, je pense que ça peut l'être en effet.
23:47 Quand je le vis, je ne le considère pas comme un fantasme, puisque c'est du réel et je le vis pleinement.
23:53 Mais à partir du moment où ça reste, on en rêve. Pour moi, oui, ça fait partie du fantasme.
24:01 C'est un fantasme quand ce n'est pas encore du concret.
24:04 D'accord, mais en attendant, c'est un peu frustrant quand même, non ?
24:08 Oui.
24:10 Vous n'avez pas décidé d'aller au-delà et à l'encontre de toutes ces frustrations pour vous donner cette capacité et vous offrir un nouveau bonheur ?
24:21 Vous voulez dire avec lui ou avec un autre ?
24:25 Avec lui en lui imposant les règles ou avec un autre tout simplement ?
24:29 Ni l'un ni l'autre en effet. Avec lui non, parce que j'ai aussi beaucoup de peur.
24:35 J'ai peur de nouveau de souffrir, parce qu'il est quand même parti de foi.
24:39 Et avec un autre, non, j'aurais eu une possibilité qui n'a pas abouti, mais je ne me sens pas non plus prête à me relancer dans une autre histoire,
24:50 de me donner dans une autre histoire, sachant que je ne suis pas au clair avec cet homme.
24:56 Je ne veux pas me laisser de faux espoirs ou laisser de faux espoirs à un autre si pour moi je ne suis pas claire dans ma tête.
25:04 Pardonnez-moi, sans porter de jugement, Bénédicte, mais tout ça je trouve un peu complexe au niveau de votre pensée, attention,
25:11 ce n'est pas du tout un jugement de valeur ou quoi que ce soit. Il faut vraiment que ça soit clair pour vous.
25:17 Et je crois qu'il ne faut pas oublier le passé, il ne faut pas oublier ce que vous avez vécu avec cet homme,
25:23 ce qu'il vous a fait vivre et le comportement et l'attitude qu'il a pu avoir.
25:27 Et je crois que dans la vie, et attention, c'est valable pour tout le monde, je crois qu'on peut tous s'améliorer,
25:35 mais on a tous une personnalité et en changer totalement sa personnalité, vous ne pouvez pas prétendre de pouvoir le faire.
25:43 Vous voyez ce que je veux dire. Donc, il faut penser à vous, à votre bonheur et à celui ou de celle, peu importe,
25:54 qui va vous nourrir ce bonheur pour vous permettre d'avancer dans une réflexion beaucoup plus fluide et beaucoup plus déterminée.
26:04 Et aujourd'hui, cet homme vous laisse un petit peu sur le bas côté, dans le sens où il vous laisse avec des bagages,
26:12 des pensées, des troubles, des doutes, des hésitations. Est-ce que c'est un climat confiant sur l'avenir ?
26:19 Je ne suis pas certain. Je ne suis pas en train de dire qu'il faut le fuir, mais je suis tout simplement en train de vous dire,
26:25 Bénédicte, retournez-vous et n'oubliez pas ce qu'il y a eu dans le passé, parce que ça peut toujours revenir dans le futur aussi.
26:34 Et donc, ce que vous aspirez et ce que vous souhaitez, vous, parce qu'après, vous pourriez être en accord avec ça,
26:41 mais ce que vous aspirez, c'est de vivre autre chose. Et pour moi, il y aura une opportunité qui va se présenter courant de 2024,
26:49 printemps-été 2024. Et attention de ne pas fermer les yeux sur une relation qui pourrait être, je ne dis pas la chance de votre vie,
26:58 parce que non, mais qui pourrait être la bonne relation pour justement aller dans le même sens et dans la même réflexion que vous.
27:06 Ouvrez bien les yeux. D'accord, Bénédicte. Très bien. En attendant, avec cet homme, vivez ce que vous avez à vivre,
27:14 mais n'oubliez surtout pas ce qui s'est passé. D'accord. Ça a été pour vous, Bénédicte ? Oui, ça a été. Le message est passé ?
27:21 Oui, oui, oui. Bien, n'hésitez pas à nous tenir au courant et prenez soin de vous, surtout. Merci. Merci à vous.
27:30 Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delovane. Et la parole est à Laurent. Bonjour, Laurent.
27:38 Bonjour, Alexandre. Merci de m'accorder l'admission. D'accord. Alors, juste, Laurent, parlez bien dans votre combiné,
27:44 parce que le son est un petit peu flou. Donc, vous nous entendez bien, ça va ? Oui, oui, je vous entends bien.
27:52 Voilà, c'est beaucoup mieux. Alors, Laurent, vous nous appelez d'où ? De l'Ariège. De l'Ariège. Bien. Vous êtes un artisan.
28:01 Vous vous êtes confié la construction d'un garage et vous avez travaillé en collaboration avec des constructeurs,
28:08 mais vous avez eu des problèmes de malfaçons, de problèmes d'infiltration d'eau et vous avez exprimé vous-même un mécontentement.
28:17 Et tout ça, à partir de ce moment-là, tout ça, c'est compliqué. Alors, vous avez reçu des menaces de ces constructeurs
28:23 et ils sont même allés jusqu'à faire des actes de vandalisme sur les voitures des clients. C'est bien ça, hein, Laurent ?
28:29 Oui, oui, c'est ça. Voilà. Et vous avez vous-même lancé une procédure avec vos assurances où apparemment, bien, ça vous a coûté très cher
28:38 parce que vous avez laissé toutes vos économies. À la suite de cette histoire, vous avez été obligé de revenir à un statut de salarial
28:46 et vous travaillez sans relâche pour vous en sortir. Alors, déjà, on est désolé de cette situation pour vous.
28:53 Et je crois que malheureusement, ça arrive comme ça des situations quand on est dans une activité indépendante.
29:01 C'est beaucoup plus difficile qu'une grande entreprise pour arriver à dépasser les obstacles.
29:06 Mais aujourd'hui, Laurent, ce qui est important de savoir, vous en êtes où dans cette histoire ?
29:12 Eh bien, voilà. Aujourd'hui, j'ai reçu à attendre d'être indemnisé par des assurances parce que je n'arrivais plus à m'en sortir.
29:19 Normalement, ça devrait aller assez vite, mais ça traîne tout le temps, tout le temps.
29:24 Et voilà, là, il me reste de quoi tenir un mois et après, je risque d'être engagé à mes propres.
29:31 Donc, voilà, je voulais savoir si j'allais avoir gain de cause assez rapidement.
29:37 Parce qu'aujourd'hui, on n'a pas donné un jugement définitif sur un avis favorable et gain de cause sur ce que vous déclarez, c'est ça ?
29:48 Voilà, c'est ça. C'est en cours et bon, j'attends. Ça se retarde de plus en plus.
29:54 Et voilà, là, je ne vais plus pouvoir tenir très, très longtemps.
29:57 D'accord. Est-ce que ça se joue avec trois assurances ?
30:00 Oui, exactement.
30:02 D'accord. Parce que pour moi, il y a quelque chose en rapport avec trois qui semble bien apparaître.
30:07 Alors, il y en a deux qui vous sont favorables et une qui s'oppose un petit peu à tout ça.
30:12 Donc, ça va être défendable, mais la seule chose, et vraiment, c'est au niveau de l'échéance.
30:20 Pour moi, un mois me semble être court pour arriver à sortir de cette situation et puis aussi à obtenir un jugement définitif et avoir une réponse favorable.
30:34 Donc, ça va être un petit peu long et je crois que cette échéance-là que vous vous êtes donnée,
30:39 et notamment pour vous, peut-être même par rapport à votre vie au quotidien,
30:44 eh bien, il va falloir que vous preniez de la patience, que vous puisiez un petit peu.
30:50 Alors, j'imagine que vous n'avez plus vraiment de ressources, mais que vous puisiez sur votre énergie,
30:55 et pas seulement d'un point de vue matériel, mais sur votre énergie vitale, sur la confiance aussi,
31:02 parce que vous avancez. Je crois qu'il y a effectivement des comptes rendus, des expertises qui montrent bien que ce que vous manifestez doit être entendu
31:14 et chacun doit prendre sa responsabilité, mais forcément, il y a des enjeux entre assurances, dont peut-être une qui veut porter la responsabilité sur l'autre.
31:25 Et ça, c'est un peu le jeu du monde de l'entreprise aujourd'hui. Donc, ne baissez pas les bras,
31:32 parce que je sens que vous allez y arriver, mais c'est juste cette histoire d'échéance où là, par contre, un mois, ça me paraît encore un peu difficile.
31:41 En dehors de cette procédure dans laquelle vous êtes, vous avez repris une activité professionnelle, et vous faites quoi aujourd'hui ?
31:49 Je suis livreur.
31:50 D'accord. Ah oui, donc vous avez carrément changé d'activité.
31:53 Ah oui, totalement.
31:55 Vous vous plaisez dans cette activité ou vous la faites juste par débit ?
31:58 Non, non, non, non, non, non, ça réussit ça.
32:01 Bien. Donc, vous avez l'intention de continuer, d'avancer, et puis j'imagine que cette activité vous nourrit un peu votre quotidien
32:11 et vous redonne de la force pour continuer à avancer dans la vie, non ?
32:17 Oui, tout à fait.
32:19 Vous êtes bien entouré d'un point de vue familial et sentimentalement, ça va ?
32:24 Oui, oui, ça va, ça va.
32:26 C'est bien. Je sens que malgré tout, vous avez cette capacité à tenir.
32:31 C'est juste cette échéance qui me paraît un peu plus superplexe, et il faudra juste faire attention.
32:40 Après, vous allez me demander, mais combien de temps ? Je pense que c'est une question de 3-4 mois,
32:44 avant qu'il y ait quelque chose de à nouveau favorable, qui s'étudie et qui se positionne pour vous.
32:52 D'accord, d'accord, d'accord, on tiendra.
32:56 Mais il faut tenir, exactement, il faut tenir.
32:58 N'hésitez pas à nous tenir au courant pour voir un petit peu comment vous évoluez dans votre vie professionnelle.
33:06 Et puis si vous avez d'autres questionnements, n'hésitez pas à appeler l'antenne de Sud Radeau.
33:12 D'accord ? Très bien, très bien, très bien, merci beaucoup.
33:15 Merci à vous. Prenez soin de vous.
33:18 Merci.
33:19 Allez, on se retrouve dans quelques minutes avec des conseils sur le sentiment de la culpabilité.
33:25 On retrouvera aussi Corinne, elle nous a contactés au tout début de cette saison.
33:30 Alors je crois même que ça a été une de mes premières auditrices,
33:34 et je lui ai demandé de nous rappeler pour nous tenir au courant de sa situation avec son compagnon.
33:40 On en parle dans un instant, ne bougez pas et c'est sur Sud Radeau.
33:44 Sud Radeau, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
33:50 Sud Radeau, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
33:55 Et de retour sur Sud Radeau pour cette dernière partie,
33:59 avant de retrouver les vrais voix présentées par Philippe David et Cécile Minibus.
34:03 Alors il vous reste encore quelques minutes pour passer à l'antenne de Sud Radeau.
34:08 Je vais vous donner quelques conseils pour déceler le sentiment de culpabilité.
34:13 La première chose, c'est d'analyser la situation, que ce soit d'un événement, d'un choc émotionnel
34:18 qui vous précipite dans l'urgence.
34:20 La deuxième chose, c'est appuyer vous sur vos sensations corporelles,
34:25 telles que nos ventres, poids de l'estomac, ou serment dans la gorge, etc.
34:30 Apporter du soin à cette partie du corps, ça permettra de soulager la douleur psychique.
34:36 C'est aussi reconnaître le mécanisme, assumer votre culpabilité,
34:40 vous permettra d'entendre ce qu'elle vous dit.
34:43 Accepter ses limites, se sentir toujours coupable est une façon détournée de se surestimer
34:48 et interroger sa propre faille.
34:50 S'interroger sur soi-même permet de mieux avancer dans la vie.
34:54 Et puis, un petit ouvrage que je peux vous recommander, que j'ai lu précédemment,
34:59 c'est "Laissez vivre ces émotions" du Dr Stéphanie Ahusso dans les éditions Odile Jacob.
35:05 Il vous permet de travailler sur vos émotions sans culpabilité et sans trop d'anxiété.
35:11 Un ouvrage riche et instructif.
35:13 Et la parole est à Corinne. Bonjour Corinne.
35:16 Bonjour Alexandre.
35:18 Bienvenue sur Sud Radio.
35:20 Alors Corinne, j'ai peur. Sincèrement j'ai peur.
35:24 Moi aussi, moi j'ai peur.
35:26 Mais voilà, donc je sais qu'on s'est eus à l'antenne il y a une quinzaine de jours.
35:31 Voilà, une quinzaine de jours. Je vous avais demandé de nous rappeler, ou qu'on allait vous rappeler.
35:36 Voilà.
35:37 Si c'est ce qui a été fait, pour avoir des nouvelles.
35:40 Et puis, bon, voilà. Comme je vais peut-être un petit peu rappeler un petit peu votre témoignage,
35:46 parce que les auditeurs n'ont pas eu connaissance tous de votre ancien témoignage.
35:51 Je... vous avez rencontré quelqu'un.
35:57 Vous vous êtes vu qu'une seule fois physiquement pour déjeuner ensemble.
36:01 Et vous l'avez relancé plusieurs fois pour se revoir.
36:04 Soit il a un souci de santé, soit il trouve toujours une excuse.
36:08 Et lors de votre passage à l'antenne, donc de votre dernier passage,
36:13 vous avez dit que la relation entre lui donnait un sentiment d'amélioration.
36:17 Et à ce jour, ça semble être encore compliqué, Corinne.
36:21 Tout à fait.
36:23 Voilà, exactement.
36:24 Comment pourriez-vous, en tout cas, nous dire comment avez-vous rencontré cet homme
36:30 et déjà, quelles sont les affinités que vous avez eues ensemble
36:33 et pourquoi ça reste compliqué touchant ?
36:35 Alors, comment je l'ai rencontré ? Via un site de rencontre, tout simplement.
36:42 Et les affinités, c'était des points de vue, comment sur une vie à deux,
36:49 sur un futur, sur une façon de voir les choses,
36:54 sur une façon de, voilà, je sais ce que je veux, mais je sais ce que je ne veux plus non plus.
37:00 Donc voilà, on a échangé, c'est ce que vous avez dit la dernière fois,
37:04 on a échangé pendant ses vues une fois vraiment, en mangeant ensemble.
37:09 Après, je l'ai vu trois fois sur son lieu de travail.
37:13 Et voilà, il s'est bien passé, comme ça peut bien se passer devant tous les collègues et tout.
37:18 Donc c'était moins, je dirais, intime que...
37:21 Alors là, Corinne, excusez-moi de vous interrompre parce que c'est très important,
37:25 parce que je me souviens de ce passage où il refusait que vous puissiez vous présenter sur son lieu de travail.
37:32 C'est bien ça ?
37:34 Non, non, c'est le truc, c'est qu'après, on a échangé pendant deux mois et demi à peu près en texto.
37:43 Et là, depuis 15 jours, je n'ai plus aucune nouvelle.
37:49 Il ne répond pas à mes textos, si j'appelle, je tombe sur la messagerie.
37:53 Donc voilà, je suis avec un pouls artistique de savoir...
37:59 D'accord. Et donc depuis 15 jours, toujours pas de nouvelles ?
38:03 Non.
38:04 D'accord. Alors, quel est votre questionnement aujourd'hui ?
38:08 De savoir si c'est tout simplement une fuite, alors je vais dire, c'est peut-être un peu un grand mot que je vais dire,
38:14 par l'HT, et voilà, et je n'ai pas envie de m'expliquer.
38:17 Ou sachant qu'il a de sérieux soucis et de santé et familiaux, c'est un peu une politique de l'autruche,
38:25 c'est des "je ne veux pas te mettre entre guillemets dans la confidence totale, et je te rappellerai quand ça ira mieux".
38:36 Vous avez tenté de le voir sur son lieu de travail ?
38:40 Non, parce qu'il est hospitalisé en ce moment.
38:43 Il est hospitalisé, bon, c'est un peu compliqué, il est peut-être dans sa bulle, il a besoin de se retrouver,
38:50 et puis peut-être aussi qu'il n'est pas tout seul et qu'il a autour de lui un entourage qui ne lui permette pas d'entretenir ce lien avec vous.
38:57 Alors moi, je maintiens, dire, Corinne, vraiment, et je sais que vous appelez pour avoir un peu d'espoir,
39:03 mais parfois je pourrais vous dire "non, ça ne marchera pas, vous n'aurez plus de nouvelles votes",
39:08 mais je maintiens à dire que vous allez avoir des nouvelles.
39:11 Son absence, cette fuite, je ne veux pas dire qu'elle n'est pas normale,
39:14 mais elle est justifiée par des choses extérieures qui, aujourd'hui, sont un peu malgré lui,
39:20 et il n'a pas forcément envie de le justifier.
39:22 Donc restez confiants.
39:25 Alors, de vous à moi, j'ai prévu d'aller le voir,
39:28 puisque je savais avant que l'on ne se parle plus, comment dirais-je, où il était hospitalisé.
39:34 Il savait parfaitement que je m'étais renseignée sur le fait que les visites étaient autorisées et tout,
39:40 donc moi j'ai prévu d'aller le voir, et puis, je dirais, de jouer le tour pour le tour.
39:45 Soit tu m'accueilles, soit tu me fous à la porte, mais voilà, je pense que je suis quelqu'un de comme ça, au bout d'un moment.
39:51 Effectivement, il serait intéressant justement d'intervenir à l'antenne, après l'avoir vue, pour voir quelle a été la réaction.
39:58 Mais bon, on ne désespère pas, en tous les cas, n'hésitez pas à faire un retour,
40:03 pour nous dire comment ça s'est passé, comment va l'évolution,
40:06 mais moi je maintiens mes propos et je pense que la relation peut s'améliorer.
40:10 Si vous, vous avez vécu ce genre de situation, et que vous avez envie d'intervenir,
40:17 n'hésitez pas à appeler l'antenne pour justement conseiller notre auditrice Corinne,
40:23 et puis peut-être pour échanger tous ensemble.
40:26 Merci Corinne de votre témoignage.
40:28 Merci, je vous en prie, et puis merci à vous de m'avoir fait rajeunir sans le savoir,
40:32 de 40 ans avec un coup de fil, quoi !
40:34 C'est super, merci, à très bientôt.
40:37 À très bientôt, au revoir.
40:39 Et pour conclure, je dirais, faire que le sentiment de culpabilité n'existe pas,
40:43 c'est prendre le risque de l'ancrer plus profondément en nous.
40:46 Allez, on se donne rendez-vous demain, je vous attends à présent sur le groupe "À votre écoute" de Facebook,
40:52 avec bien sûr, comme tous les jours, les conseils et des extraits de l'émission,
40:56 ainsi que tous vos commentaires.
40:58 Prenez soin de vous, et la place est aux vrais voix. Bonjour Philippe.
41:01 Bonjour Alexandre Delovane.
41:03 Vous êtes en pleine forme, manifestement.
41:06 Ça va, le t-shirt...
41:08 Le t-shirt avec le sourire tout magnifique.
41:10 Au menu des vrais voix, vous avez vu Fabien Roussel,
41:13 il a parlé carrément dans l'humanité,
41:16 il a appelé les Français à investir les préfectures,
41:18 les grandes surfaces et les stations-services.
41:21 Est-ce que pour vous, il va désormais sur le terrain de Jean-Luc Mélenchon ?
41:25 Mélenchon lui reprochait ses outrances d'aller trop loin.
41:28 Est-ce que maintenant, comme Fabien Roussel est l'homme le plus honni par la France Insoumise sur les réseaux sociaux,
41:33 en se faisant traiter de mou, voire carrément de droite par certains,
41:37 est-ce qu'aujourd'hui, il a décidé d'aller sur le terrain de Jean-Luc Mélenchon ?
41:40 On va en débattre, ce sera à 17h30 dans notre grand débat.
41:43 A 18h37, ce soir, les Bleus jouent le Rouaille.
41:48 Et on va se poser la question, le rugby est-il en train de devenir le sport le plus populaire de France ?
41:52 Puisqu'en audience, le rugby a beaucoup mieux marché que le football ces derniers temps.
41:56 Vous voulez nous appeler ? Pareil, le 0826 300 300.
42:00 Avec Cécile de Médibus, nos vrais voix du jour.
42:03 Philippe Bilger, François Hesdegoy et Sébastien Ménard.
42:07 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.