Le chef du Groupe Wagner, Evgueni Prigojine, affirme ce matin être entré en Russie avec ses troupes dans le but de renverser le commandement militaire, se disant « prêt à mourir » avec ses 25.000 hommes pour « libérer le peuple russe ». Le parquet russe a pour sa part annoncé une enquête pour « mutinerie armée » contre M. Prigojine, entré en rébellion après avoir accusé l’armée régulière russe d’avoir bombardé ses hommes. Les autorités ont renforcé les mesures de sécurité à Moscou et dans plusieurs autres régions du pays.
« On continue, on ira jusqu’au bout », a lancé le chef du groupe paramilitaire dans un message audio sur Telegram. « Nous détruirons tout ce qui sera mis sur notre route », a-t-il menacé. « Nous sommes tous prêts à mourir, tous les 25 000. Et après il y en aura encore 25 000. Parce que nous mourons pour la patrie, nous mourons pour le peuple russe, qu’il faut libérer de ceux qui bombardent la population civile », a-t-il martelé.
Il a annoncé que ses troupes, jusqu’à présent déployées en Ukraine, avaient traversé la frontière russe et étaient entrées dans la ville de Rostov, dans le sud de la Russie. Il a aussi assuré qu’elles avaient abattu un hélicoptère russe qui avait « ouvert le feu sur une colonne civile ». Il n’a pas apporté de preuve de ces affirmations ; l’Agence France-Presse (AFP) n’a pas été en mesure de confirmer leur véracité.
« On continue, on ira jusqu’au bout », a lancé le chef du groupe paramilitaire dans un message audio sur Telegram. « Nous détruirons tout ce qui sera mis sur notre route », a-t-il menacé. « Nous sommes tous prêts à mourir, tous les 25 000. Et après il y en aura encore 25 000. Parce que nous mourons pour la patrie, nous mourons pour le peuple russe, qu’il faut libérer de ceux qui bombardent la population civile », a-t-il martelé.
Il a annoncé que ses troupes, jusqu’à présent déployées en Ukraine, avaient traversé la frontière russe et étaient entrées dans la ville de Rostov, dans le sud de la Russie. Il a aussi assuré qu’elles avaient abattu un hélicoptère russe qui avait « ouvert le feu sur une colonne civile ». Il n’a pas apporté de preuve de ces affirmations ; l’Agence France-Presse (AFP) n’a pas été en mesure de confirmer leur véracité.
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00:00 Nous sommes au staff, 7h30, sous contrôle des objets de guerre de Rostov, dont l'aérodrome.
00:12 Les avions qui partent pour la bataille partent en fonction de l'ordre.
00:17 Il n'y a pas de problèmes. Les bateaux sanitaires partent, il n'y a pas de problèmes.
00:22 Tout ce qui se fait, nous avons pris en contrôle,
00:24 pour que l'aviation ne fasse pas de coups sur nous, mais sur les Ukrainiens.
00:30 Le chef du bureau du gouvernement travaille en mode ordinaire.
00:37 Il n'y a pas de problèmes, aucun officier n'a été ennuyé.
00:40 Donc quand vous allez être raconté que Chevak Wagner a interrompu la travail,
00:45 et qu'il y a eu des problèmes à la frontière, ce n'est pas pour ça.
00:49 Quand nous sommes venus ici, nous avons encore une fois confirmé beaucoup de choses.
00:53 Un énorme nombre de territoires ont été perdus.
00:56 Les soldats ont été tués.
00:58 3-4 fois plus que ce qui est enregistré sur les documents.
01:04 Ce qui est enregistré, c'est 10 fois moins que ce qui est dit sur la télévision.
01:08 Les pertes sanitaires par jour sont des dizaines de milliers de personnes.
01:13 Ce sont les tués, les blessés, les blessés, les soignants,
01:18 qui ne se refusent pas parce qu'ils ont peur,
01:21 mais parce qu'ils n'ont pas d'excuses.
01:24 Ils n'ont pas d'armes, ils n'ont pas de gouvernement.
01:27 Le chef du général du staff a couru d'ici,
01:31 dès qu'il a connu que nous allions à l'étage.
01:35 Nous sommes venus ici.
01:37 Nous sommes venus ici.
01:39 Nous sommes venus ici.
01:41 Nous sommes venus ici.
01:43 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]