« On ne peut pas rester sur le dogme du véhicule électrique pour tous, parce qu'il est trop cher », a lancé lundi Carlos Tavares, le directeur général de Stellantis, le groupe issu de la fusion de Peugeot-Citroën et Fiat-Chrysler. Il met en cause sans ambiguïté une transition énergétique trop rapide en Europe. Et de tirer, une fois de plus et sans doute dans une indifférence renouvelée, le signal d'alarme.
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