L'information a d'abord été traitée sur un mode mineur en Israël. Mais au fil des jours, le ton est monté à Jérusalem, comme en témoignent les déclarations ce dimanche en réunion du gouvernement du Premier ministre, Yaïr Lapid : « La fermeture des bureaux de l'Agence juive en Russie serait un événement grave, lourd de conséquences sur les relations entre Israël et la Russie. » En réalité, dans les cercles gouvernementaux, on se pose la question : « Quelle mouche a piqué Poutine ? »