L'anesthésiste de Besançon, Frédéric Péchier, fixé aujourd'hui
- il y a 5 ans
Frédéric Péchier devrait être présent à son audience, ce mercredi 12 juin. En jeu : son maintien en liberté.
Déjà inculpé en 2017 pour sept empoisonnements présumés, l’anesthésiste de Besançon (Doubs) a été de nouveau mis en examen en mai pour 17 nouveaux cas. Il est ressorti libre, sous contrôle judiciaire. Le parquet a fait appel de cette décision et c’est cette requête que la cour d’appel de Besançon examine ce mercredi 12 juin.
Un des avocats des parties civiles affirme que le docteur Péchier a violé son contrôle judiciaire en entrant en contact avec d’anciens collègues.
Pour ses avocats, le docteur Péchier a scrupuleusement respecté son contrôle judiciaire depuis deux ans.
Entre 2008 et 2017, dans cette clinique de Besançon, le docteur Péchier aurait injecté des doses potentiellement mortelles de produits à ses patients, provoquant des arrêts cardiaques. Le but : les réanimer dans l’espoir d’apparaître comme un sauveur.
Devant le palais de justice de Besançon, certaines victimes présumées seront présentes. Elles aussi réclament la détention du médecin. L’instruction s’annonce longue, avant un éventuel procès aux assises.
Déjà inculpé en 2017 pour sept empoisonnements présumés, l’anesthésiste de Besançon (Doubs) a été de nouveau mis en examen en mai pour 17 nouveaux cas. Il est ressorti libre, sous contrôle judiciaire. Le parquet a fait appel de cette décision et c’est cette requête que la cour d’appel de Besançon examine ce mercredi 12 juin.
Un des avocats des parties civiles affirme que le docteur Péchier a violé son contrôle judiciaire en entrant en contact avec d’anciens collègues.
Pour ses avocats, le docteur Péchier a scrupuleusement respecté son contrôle judiciaire depuis deux ans.
Entre 2008 et 2017, dans cette clinique de Besançon, le docteur Péchier aurait injecté des doses potentiellement mortelles de produits à ses patients, provoquant des arrêts cardiaques. Le but : les réanimer dans l’espoir d’apparaître comme un sauveur.
Devant le palais de justice de Besançon, certaines victimes présumées seront présentes. Elles aussi réclament la détention du médecin. L’instruction s’annonce longue, avant un éventuel procès aux assises.