América, me acuerdo
- il y a 11 ans
"Tout m'est revenu d'un air de musique... La vie n'était pas plus belle mais bouillonnante, agitée. Cet air remuait des fantômes... Tant d'années avaient passé, pourtant leur image était intacte. Je les reconnaissais, un par un... L'amour fou qui ne passe pas... sait-on où il est passé ?"
Un accord de guitare et le ton est donné, trois notes d'accordéon et on les reconnaît... Effluves parfumées, épicées, colorées, mosaïque d'airs lointains et pourtant si proches, ces mélodies latino-américaines, connues ou non, parlent à notre mémoire. De la valse péruvienne au « son » cubain, de la samba d'Ary Barroso au tango d'Astor Piazzola, elles nous rappellent des rêves, des fêtes, des amours, des pleurs... des moments intenses qui ont marqué nos vies.
Extraits du spectacle musical "América, me acuerdo", (Amérique, je me souviens) produit par l'association L'Art Scène. Le spectacle met en scène un groupe de quinze chanteurs, a capella ou accompagné,avec déclinaisons en petit et grand choeur, duos, solos, passages parlés et instrumentaux. Le répertoire alterne des tubes, comme « Que nadie sepa mi sufrir » (« La foule ») ou « Libertango », avec des airs moins connus. Jouant sur les rythmes, les intensités, les timbres, il compose un spectacle plein de vie aux couleurs chamarrées.
Un accord de guitare et le ton est donné, trois notes d'accordéon et on les reconnaît... Effluves parfumées, épicées, colorées, mosaïque d'airs lointains et pourtant si proches, ces mélodies latino-américaines, connues ou non, parlent à notre mémoire. De la valse péruvienne au « son » cubain, de la samba d'Ary Barroso au tango d'Astor Piazzola, elles nous rappellent des rêves, des fêtes, des amours, des pleurs... des moments intenses qui ont marqué nos vies.
Extraits du spectacle musical "América, me acuerdo", (Amérique, je me souviens) produit par l'association L'Art Scène. Le spectacle met en scène un groupe de quinze chanteurs, a capella ou accompagné,avec déclinaisons en petit et grand choeur, duos, solos, passages parlés et instrumentaux. Le répertoire alterne des tubes, comme « Que nadie sepa mi sufrir » (« La foule ») ou « Libertango », avec des airs moins connus. Jouant sur les rythmes, les intensités, les timbres, il compose un spectacle plein de vie aux couleurs chamarrées.